Ecrit par Sechy,
le 08-01-2024 16:36
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Loser contre winner et autorité
ou Paysans ou CLOWN contre autorité étatique.
Clown, Nain et Bouffon sont le contraire
de la royauté-autorité-pouvoir.
Le Clown sera le Loser alors que le Roi
sera le Winner. Et ce monde actuel est
durement dans cette dualité Losers-Winners
ou riches-pauvres, administrateurs-administrés.
Clown et Bouffon, Nain, rejoignent la société
qui n’est pas capable de s’assumer totalement,
elle immole EN VICTIME, la partie gênante,
SALE, non-identifiée d’elle-même.
SALE = CACHÉ, NON AVOUÉ, NON-IDENTIFIÉ
donc « INNOMMABLE », REJET.
Certains phénomènes racistes, envers les Blancs,
les Noirs, les Jaunes, les Peaux-Rouges, les
Juifs, les Losers, on va harceler en transformant
en Bouffon les membres des races opprimées,
alors que l’on n’est pas conscient que c’est une
part de soi-même que l’on CACHE ET TRAITE COMME
SALE, « INNOMMABLE », NON-IDENTIFIÉE, OUBLIÉE,
en essayent de rejeter ou de brimer l’autre,
LE DEHORS considéré comme SALE, comme CE QUI
DÉRANGE, telle UNE TÂCHE et TACHE : UNE
LOURDEUR, une ”boule dans le jeu de quilles”.
Mais INNOMMABLE = LE TRÉSOR EST CACHÉ DEDANS,
dit une fable : Le laboureur et ses enfants.
Le Winnerisme actuel qui fabrique tant de Losers,
TANT DE PAYSANS (voir plus bas), puisque l’URBAIN
des villes tôles-boulons-béton-goudron-verre
a détruit les Paysans ou en a fait des Losers :
les salariés qui ramassent les déchets, etc.,
et que dire du temps des poinçonneur(euse)s de
la RATP à Paris de 1900 à 1972……
avec l’I.A. les Paysans-Losers, les MANOUVRIERS
seront remplacés par ces machines tôles-boulons
sous contrôle de l’I.A., évidemment sous prétexte
de « progrès » ou de « bien commun »…
MANOUVRIERS ou MANŒUVRES (peut-être remplacés
par les robots avec leur I.A. ce qui signifie qu’il
n’existera plus de pauvres ?
Car les Anciens Gaulois adorant l’Arbre et le Dolmen,
les Pierres debout ou le tronc représentaient les
PAUVRES, les MANŒUVRES ou MANOUVRIERS :
ceux qui n’avaient que leurs bras et mains, en gaulois :
lama nu (main maintenant, ou main tenant, œuvrant),
lama remonte à une forme ’plma’, paume, latin palma.
Le feuillage des Arbres correspondait aux gens de
« main calme », qui vivaient sans rien faire (les
« mains mortes » tels les politiciens actuels….
MAINS : LA VIERGE NOIRE ET SON ENFANT, le noir
signifiant RIEN DE CACHÉ, et l’enfant peut vouloir
signifier : MAIN (en vieux français : mare, d’où
peut-être l’expression ”en avoir mar(r)e” signifiant
être fatigué de ses mains qui ont trop OUVERT, ou
trop navigué sur la mer nécessitant tant de
MANŒUVRES) ; mare signifiant aussi une petite
nappe d’eau stagnante.
MANOUVRIERS : la tâche, celui qui OUVRE ou ŒUVRE,
Tâche et tache n’est donc pas négatif comme traiter
de ‘tâche’ (ou tache, défaut) quelqu’un comme pour
le détruire.
Celui qui OUVRE ou ŒUVRE RÉVÈLE, CE N’EST DONC PLUS
CACHÉ, INNOMMABLE, SALE, d’où la fable du laboureur,
”Un Trésor est caché dedans”.
Ainsi chaque fois qu’il y ouverture tel le GATE GATE,
LA SALETÉ, LA TACHE, L’INNOMMABLE DISPARAÎT, puisqu’il
est identifié PAR L’OUVERTURE EFFECTUÉE PAR L’OUVRIER
ET SES MAINS.
Ainsi, TOUTES CHOSES PARTICIPANT DU ‘CECI’ ou du
POINTAGE, il devient naturel qu’aucune chose
n’est « sale » ou « innommable », ou n’est une tache.
Évidemment dans ce monde actuel que l’industrie de
l’informatique du capitalisme tente de numériser,
TOUTES LES CHOSES SONT DEVENUES SALES = TOUT
S’EST INVERSÉ !
Car dans ce monde de la QUANTITÉ, il y a une infinité
de choses qui ne sont ni ceci ni cela, ce sont
LES COCHONNERIES DE LA REPRÉSENTATION DE CE MONDE
SPECTACLE DONC DE LA NUMÉRISATION DU MONDE !
SALETÉ dès lors que tout n’est que RE-présentation,
c’est-à-dire dès lors que TOUT EST DEVENU la
TRANSITION en un passage d’une pensée sur les choses
à une pensée sur les REPRÉSENTATIONS DES CHOSES,
TOUT EST DEVENU VIRTUEL, ARTIFICIEL :
TRANSITION = PASSAGE D’UNE PENSÉE SUR LA PENSÉE,
LE MENTAL, d’où le winnerisme de la « raison »
à la mode des loupiotes du 18è siècle français
qui ne pouvait qu’aboutir à l’ordinateur et à
l’intelligence artificielle (I.A.)
Nostre monde de la RE-présentation : le théâtre et
l’industrie capitaliste de HOLLYWOOD, qui tous
procèdent de la pensée sur la pensée, donc sur
LA COPIE DE COPIE, c’est-à-dire NON SERVIR LE RÉEL
OU LA VRAIE PAIX, MAIS LUI FAIRE ÉCHEC, et toute
esthétique procède de même en cette jubilation
numérique informatique et ludique d’un réel
artificiel, opposé désormais à toute forme de
critique ou de remise en cause, tels que l’annonce
les représentations des jeux olympiques d’été 2024.
Un Jean Paulhan est dans le monde Prométhéen de la
RE-présentation et du ”PROPRE” quand il écrit qu’il
FAUT CHOISIR, ET PARADOXE DE LA RÉALISATION ET DE
LA MISE EN VALEUR DU TEMPS : SAISIT LA VÉRITÉ :
« Si la pensée est avant tout recherche de ce qui est, elle ne peut être à la fois contestation de ce qui est. Personne ne peut en même temps accepter et refuser la vérité. Il faut choisir et décider une fois pour toutes d’un point de départ, inflexible et obscure, où la pensée commence. Qui donc écrivait : ”J’espère tout du côté impénétrable” ? (Le 14 juillet, n°3, p.3)
« Où la pensée commence », est-ce un prémisse du QUI SUIS-JE ?
OÙ EST LA DIFFÉRENCE ENTRE PUR ET IMPUR, le cadavre ou la mort N’EST QU’UNE OPINION.
Sinon : MERDE À JEAN PAULHAN ! Ce pourrait être le scribe de cette page qui écrivait par le GATE GATE, ou le : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore », de l’Alchimie, le : « J’espère tout du côté impénétrable ».
Paulhan se situe DÉJÀ dans la numérisation capitaliste du monde actuel par son industrie ; il veut tout « PROPRE » en identifiant TOUT, en POSSÉDANT TOUT.
La TÂ(A)CHE ou le SALE fabriqué par le conventionnel
de certains pour en faire le Bouffon ou le Loser,
LE PAYSAN BÉTONNÉ, INDUSTRIALISÉ,
MARQUE NÉCESSAIREMENT UN ARRÊT DANS L’HARMONIE
COSMIQUE : PAYSAN OU CLOWN REJETÉ :
LE CONTRAIRE DU RIRE IDIOTÈS DU TAOÏSTE (tel que
représenté par des estampes, symbolisant que sa
sagesse, sa Libération authentique est INTÉRIEUR,
à l’image de la Stance 16,9 de Nagarjuna :
définissant une FIXATION, une POSSESSION :
« ”Un jour je m’éteindrai libre de toute
appropriation, le nirvana [libération] m’adviendra”.
Prendre les choses ainsi, c’est le comble de
l’appropriation »).
CACHÉ : APOCALYPSE = RÉ-VÉLATION (de vêler : mettre bas (en parlant d’un mammifère) ou révéler, faire naître). Apocalypse, étymologie de celer, latin celare : cacher, à rapprocher des mots latins : cella (chambre, cellier, cellule) ; cf. l’anglais cell, l’allemand zell (cellule), l’anglais cellar et l’allemand keller (cave), color (couleur cachés dans l’arc-en-ciel, photo ci-dessous symbolisant pour les ”nations unies” la ”paix” sous cette forme de ”bête de l’Apocalypse” et qui ici annonce les projets des Schwab-Harari amorcés par le mot TRANSITION), clam (en cachette, voir : clandestin, tout aussi caché que le terroriste ou le déviant… et l’État profond et ses réseaux) ; occulte et occulter : dissimuler, grec kaluptein (cacher) ; apocalypse, eucalyptus ; cf. Calypso, l’allemand helm (casque, heaume qui cache la tête à protéger).
L’ARC-EN-CIEL SALOPÉ PAR LES LGBTx n’apparaît que selon LA CIRCONSTANCE (ondée) : voir Apocalypse 17,8.
FAIRE PEUR POUR FABRIQUER LA ”PÂIX” ???
Voilà bien le principe politique de
TOUTE CHEFFERIE, DE TOUS LES POUR-VOIR OU
POUVOIR dans la dualité Paix-Conflit, alors
que sa démocratie ne repose que sur des
conflits d’intérêts liés à l’ego, ce qui
condamne cette démocratie à la frustration par
ses propres limitations droits de l’hommistes.
Aucune Vraie Paix possible en démocratie de
l’ego, en démocratie de la croyance au
corps-matière.
Tout symbole étant double, il y a Dragon et
Dragon, en se rappelant que « En dehors du Dragon
qui veille, les choses ne sont pas gardées »
(Fulcanelli, Les Demeures philosophales).
Avec cette sculpture du « camp du bien »
les choses ne sont nullement gardées puisque
TOUT TOURNE AUTOUR DE LA MISE EN VALEUR DU
TEMPS ET DONC DE LA MARCHANDISE-CORPS-MATIÈRE,
soit le DEHORS…..
BOUFFON, CHRESTIEN (dans les premiers temps du Christianisme le Chrétien était représenté par un âne les bras en croix, graffiti en haut de page), CRÉTIN, FARFELU de Frère Feuillu [Grasset d’Orcet], ASSASSIN [hachischien], CLOWN : clunus : PAYSAN.
RAPPEL : les Anciens n’étant pas contaminés et minés par l’État, Ils n’avaient pas de noms nationaux puisqu’Ils ne formaient pas un corps, un ”vivre ensemble” étatique républicain. Les dénominations de « Celtes » et de « Gaulois » sont d’invention romaine ou grecque ; César le dit expressément concernant les « Gaulois ».
Un « Vernicus » ou en vieux françois un « Vernix », est un serf ou un esclave né SUR le pays ou DANS le maison, un natif. Grasset d’Orcet écrit que ce mot bien que d’origine scandinave ou celtique, a pour radical le mot « Börn » (né), d’où l’ancien anglais et l’allemand : Bauer, Countryman, Landmann, HOMME DU PAYS ou PAYSAN, PAÏEN, PAGANISME : la religion avant celle de l’ère Chrétienne, la religion des temps Lithiques. C’est donc celui qui habite la Campagne : L’INDIGÈNE (celui qui est né dans le coin, l’autochtone).
PAYSAN (MOUJIK en Russe) [PAISANT] : homme du [PAIS] de PAGUS (Canton ou contrée) pays, terre, ferme, région.
PAGI : fidèles d’un culte antique comme le Zoroastrianisme résidant dans les districts ruraux.
PAGANS : ce sont les provinciaux de ces districts.
Paganisme devrait bien signifier : ANCIENS CULTES DE DIVERS GROUPES DE POPULATION.
PAYS : VUE – ÂGE : temps/durée.
[PAISTRE] : manger, des produits de la Terre.
C’est la vue du temps qui coule de la période de vie du Promeneur ici-bas !
C’est là où il y a des plaines, des rivières, des steppes, des montagnes, des forêts.
Le nom de « Galli » ne se trouve nulle part en numismatique. Les Galli étaient les habitants des rives du Pô, rien de plus (d’après Grasset d’Orcet).
Il n’y avait donc ni race celtique ni race gallique en France : NOS ANCIENS SE DÉSIGNAIENT ENTRE EUX, comme tous les autres peuples contemporains, PAR LE NOM QUI, DANS LEUR LANGUE, SIGNIFIAIT « HOMMES » ET « INDIGÈNES » (HOMMES DU PAIS), et la fréquence des Variantes de noms allait jusqu’à « boy » (garçon) ; « bauer » (ouvrier), et « bauen » (construire, travailler, surtout aux mines, ce qui au dire de César était la principale occupation des Gaulois sédentaires, ou des classes laborieuses).
CLOWN, BOUFFON, NAIN = AMUSEUR, SIMPLICITÉ-INNOCENCE DE L’ENFANCE = AUSSI LA PAUVRETÉ-LOSER ASSIMILÉE À LA SIMPLICITÉ, À L’ORIGINE.
Le PAUVRE sera alors le CONTEMPLATIF, le MYSTIQUE, le LIBÉRÉ de la quantité, du calcul sous toutes ses formes, le « Jeûne du Cœur » de Tchouang tseu (chapitre 4). Le DÉPOUILLEMENT matériel identique à la PUTRÉFACTION, identique à l’IDIOTÈS du Taoïste authentique pour se consacrer à l’unique Félicité du Soi, comme le sera Ramana Maharshi.
Les Celtes ne se retrouvent nulle part en corps de nation, on peut ainsi leur substituer des Goths qu’on retrouve partout, depuis l’Égypte, la Palestine et le Caucase, jusqu’aux rives de l’Atlantique, portant partout le même nom et partout soumis à une même division en caste, une caste pouvant être assimilée en caste savante, « Ases » ou « Asirs », qui était nomade, et la caste des artisans et des cultivateurs qui étaient sédentaire, ou « Boli ».
Dans le Thème du CLOWN ou PAYSAN, nous avons le PIERROT, le peint en BLANC de l’Instant des PIEDS à la TÊTE (pied assimilé dans nombre de traditions au Soi ou Conscience infinie). Ce Pierrot en costume du Brayaud, ou Braccatus arverne à la fin du 16è siècle, avec ses couleurs en braies bleues, très bouffantes, en blouse ou casaque blanche. La blouse en vieux français : bliau, bliaude, a été introduite, ainsi que les larges braies, par les Polignacs (selon Grasset d’Orcer), qui les ont apportées avec eux de l’Asie Mineure. Vêtement longtemps réservé aux nobles et aux femmes.
Les Goths ou Gavauds, d’Auvergne et d’ailleurs, portaient des vêtements serrés au corps et quadrillés comme celui d’HARLEQUIN, qui dans les romans est LE PÈRE DU CHEVALIER PAYSAN : PERCEVAL LE GALLOIS, sous le nom du chevalier Bliaucadras (à la blouse quadrillée). « Il est bancroche (auvergnat : Garelle ou Karelle) et c’est lui qui fournit au cycle carlovingien le personnage de Charles Magne ( ”Garrel magon”, pléonasme, car ces deux mots signifient également ”boiteux”).
Les vases grecques et les monuments étrusques le représentent constamment avec ses vêtements serrés et bariolés, parsemés des innombrables YEUX D’ARGUS (car il est espion et rémouleur : celui qui aiguise les outils tranchants) ; argus : aiguiseut, et en breton : ARLEC’HOUEIN. Lequel est resté dans les traditions bretonnes sous la forme d’un monstre nocturne nommé HURLINC (en français : cauchemar), qui poursuit les femmes la nuit et en abuse. Il se nomme aussi Magon, qui signifie ”boiteux”, et joue le même rôle de suborneur dans les cycles chevaleresques armoricains.
Il est le représentant du Serpent qui séduit Éve et dont il a conservé les vêtements bigarrés et les formes onduleuses (vêtements moulants le corps).
Depuis une causalité non définie, il est décapité et Pierrot pendu. Quant à Polichinelle, il représente le Dieu Baligan (Volcanus, Dieu de la flamme, représenté par les couleurs jaunes et rouge), Baligan ou Polignac, c’est-à-dire la caste chevaleresque, et il en porte toujours le costume et les couleurs auxquelles il doit son nom.
POLICHINELLE EST-IL RÉINCARNÉ DANS LE COUPLE SCHWAB-HARARI ET LEUR « TRANSITION » ÉGRÉGORIENNE (vers le Nouvel Ordre Mondial et sa bête de l’Apocalypse nommée « paix » par le camp du ”bien” et surtout des ”biens”) ???
Car ce Polichinelle en Variation annonçait déjà le coup d’État du 1789 français qui devait lui donner « la royauté de la terre », vieux rêve nécessairement depuis l’époque du Néolithique, les cités, l’Agriculture, l’État.
BÊTE DES NATIONS UNIES = LA COLOMBE DE L’ARCHE DE NOÉ, LA SERPE DU SYMBOLE DE L’URSS, LE SARMENT DE LA VIGNE, LE BARILIEULX (baril, tonneau, amphore), qui sont ses attributs nécessairement depuis le Néolithique et sa voie de l’Agriculture. C’était le temps encore valable jusqu’au milieu du 19è siècle européen où les hommes, dans certaines contrées, buvaient en moyenne leur trois litres de vin par jour.
SERPENT, VER, LIMACE LES SANS MAINS ou CHAR MAIN (main coupée et à la fois main qui coupe), coupe-main.
MÉDOR, MÉ-TAL parfait coupe main de la métallurgie découlant de la découverte du feu vulgaire et de sa domestication de même que la domestication des animaux qui donnera au Néolithique la voie de l’Agriculture, de l’État, du commerce et des cités et des armées des divers États naissants.
[En référence partielle à : Chroniques et récits d’Auvergne, de Grasset d’Orcet]
Dernière mise à jour : 08-01-2024 17:06
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