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Loi de succion ou attraction : ON TOMBE Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-01-2024 17:21

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Dragon, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Marxengelsisme, Nation, Noël, Or, Paix, Penser, Pierre, Pont, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Temple, Temps, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
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Loi de succion ou attraction : ON TOMBE
raide mort, ou amoureux, on tombe enceinte,
on tombe dans le BESOIN, et on finit naturellement
dans la tombe, bref on TOMBE toujours, on SOMBRE,
« On tombe de haut », ou « On tombe bien bas »
comme dit une expression populaire du
PLOMB-PESANTEUR, telle est la
LOI DU ACHILLE-TALON, telle est LA CHUTE
évoquée dans l’Ancien Testament dans la Genèse :
la CHUTE PAR LA POMME : croquer la Pomme,
SOMBRE(r) DANS LA LOI DE SUCCION VULGAIRE,
LA PESANTEUR, LA CHAIR-LES-OS ou NOMS-LES-FORMES.
 
Les humains pris dans les noms-les-formes
y accrochent leurs projections senti-mentales,
leurs obsessions intellectuelles et morales
et les d’E-naturent d’autant.

La Pomme a des Variétés : celle des
Hespérides surtout, celui qui en mange n’a
plus faim, ni soif, ni douleurs, ni maladies,
et ces POMMES poussent tout le temps.
Les Reflets d’OR ROSE de ce bel arbre des
Hespérides annonce le GATE GATE et les Hespérides
sont bien-sûr gardés par un DRAGON.

Ceux qui portent le « TALON HAUT »
refusent-ils ou elles de TOMBER,
de HAUT ?


CHUTE = TALON = LINGA, PIERRES LEVÉES = même Thème : la STATION DEBOUT, la BASE DE L’ÊTRE HUMAIN (et du singe qui aussi se tient debout). Le Talon atteint, l’humain tombe, il en est de même de cette ”civilisation” actuelle sous la dictature du salariat du dollar de l’Empire des deux W : Washingtonisme, Westminsterisme vers leur chute. C’est donc par le TALON, le talus, la PROTUBÉRANCE (1), la Pierre levée que la mort survient : Linga ou Shiva = fonction de PUTRÉFACTION ou TRANSFORMATION des ÊTRES.

De part d’autre nous avons Achille, mouture de Dieu antique de l’Occident. La Genèse l’a arrangé sous une forme moderne : oqb en hébreu : le TALON ; et le pied en le symbole du Soi, pied an sanskrit : PADAM, le Soi ou l’Être véritable. Selon une croyance Semang, à la mort l’Âme quitte le corps par le talon. Achille fut vulnérable par le talon et scorpion comme serpent piquent le plus souvent au talon.
TALON = LA BASE DE L’HUMAIN, la base de la PIERRE LEVÉE, et quand iceux sont atteints : ILS TOMBENT. Ainsi il n’est nullement contradictoire dans la logique imaginaire que PIED et TALON concerne l’ÂME, le Soi, la VIE véritable qui s’échappe en dernier lieu, DANS LE SURFEU laissant entrer la Mort. DONC IL S’AGIT BIEN DE GENÈSE VÉRITABLE.

L’art grec primitif en à fait un CHAT BOTTÉ, enlevant un fromage à une Corneille. Dans l’Ancien Testament c’est le BOUC, Esaü.
FROMAGE = SOLEIL, puis transformation en LUNE : Séléné, ou « Hélène », qui lui est ravie à son tour par le Lièvre : symbole du renouvellement perpétuel par la mort : LE SURFEU OU GRAND MYSTÈRE DE LA VIE. La raison, qui n’est que diurne ou au seul état de veille, s’y heurte à la fois d’en-vie et de peur DEDANT TOUTE AMBIGUÏTÉ DES CHOSES.
Lièvres et lapins sont donc lunaires parce qu’ils dorment le jour et gambadent la nuit, comme la lune ils savent apparaître et disparaître avec le Silence et l’efficacité des ombres, ensuite parce qu’ils sont prolifiques. Pour les Aztèques les tâches de la lune provenaient d’un lapin qu’un Dieu avait jeté à sa face (image au sens sexuel).

Lapin et nettement plus le Lièvre sont des héros civilisateurs, tel apparaît Menebuch, le Grand Lapin des Algonquins. Objiwa des Sioux Winebago. Lièvre possesseur du secret de la vie élémentaire, qui était déjà reconnue à cet animal dans la symbolique de l’Égypte ancienne (Enel, La Langue sacrée, 1932).
Menebuch représente le PÈRE archétypal, tel le HÉROS-FILS, pouvant le rapprocher du Christ. Les Algonquins, après leur évangélisation, ont ainsi reconduit Menebuch sous la forme du Christ-Jésus.
La mythologie de l’Égypte ancienne donne les apparences du Lièvre à OSIRIS, qui sera découpé en morceaux jetés dans le Nil pour assurer le RYTHME PÉRIODIQUE (comme un CŒUR, une POMPE).
En Inde le Libéré vivant ou Brahmajnânîn (celui qui a réalisé le Brahman, l’Absolu, l’infinitude) apparaît sous la forme d’un Lièvre pour se jeter en sacrifice dans le feu (Surfeu), puisque le Lièvre comme la lune MEURT POUR RENAÎTRE, et dans la Taoïcité le Lièvre devient la préparateur de la DROGUE D’IMMORTALITÉ. On le représente au travail broyant des simples dans un mortier. Les forgerons chinois utilisaient son fiel pour la fonte des lames d’épée (communication de force et de durée à l’acier).
Enfin, ne pas oublier que TOUT SYMBOLE EST DOUBLE, et ne doit pas être possédé ou vu fixement : on va inévitablement retrouve la DUALITÉ MANQUE-RESTE : incontinence, gaspillage, luxure, démesure et quantité caractérisant nostre époque de causes et d’effets.

À l’âge du fer ou de la raison, la catastrophe du mental tente toujours de détruire les croyances animistes ; alors les ”civilisés” frappent le Lièvre ; le Deutéronome et le Lévitique de la religion du Désert le déclare « impur »

Le nom MÉNÉLAS signifie littéralement « le Lièvre de la lune ». Le monde antique depuis l’Atlantique jusqu’à l’Inde voyait dans les taches de la lune courir un Lièvre, d’où la légende du rapt du Lièvre.
De là Nous rejoignons le GATE GATE de la SVASTIKA (ROUE, TOUPIE) si bien vu par l’opportunisme d’un Adolph Hitler et de sa bande, Svastika LE BRIQUET PRIMITIF DU FEU VULGAIRE, celui de la thermodynamique dans son versant négatif, et du Silex de l’Étincelle Divine…
LE PRINCIPE FUSÉE-FUSEAU : un des deux bois devait être vert (de l’Orme par exemple) et l’autre le fuseau devant être sec (un fusain, comme d’un charbon léger très inflammable, ici le mâle, parfois nommé ”Prométhée” : littéralement « Celui qu’on agite devant », celui qui OUVRE, soit la CAROTTE DU MESSIANISME, celle que l’on attache à distance devant la tête de l’âne pour le faire avancer. Le troisième élément de ce « briquet » était ATLAS, LE SUPPORT. La corde qui s’enroulait autour du briquet ”Prométhée” ou FUSEAU, devait être ce chanvre  ou de poil de vache : ”Pyr” (du latin-grec pyralis : insecte vivant dans le feu), ce sera alors PRIAM : la Corde de la Vache.
Il fallait une une troisième pièce destinée à sécurisé comme on dit à ce hui, la main de o’opérateur et à jouer le rôle du pommeau du vilebrequin ou du foret. Pièce en cône ou en disque de terre cuite. Dans la cavité qui y était aménagée s’emmanchait le bout graissé du fuseau [christos], le ”gras”, l’autre était taillé e pointe : le ”maigre”, le ”sec”. On retrouve le nom de ces trois pièces dans le nom des Parques : Lachésis, Cape (ou Hécube : fosse), l’Auge (ou circularité), qui se nomme en sanskrit ”gupyaka”, et dans laquelle s’introduisait la pointe ”Prométhée” ; ”Clotho” était la corde et ”Atropos” ou ”Aterpa” celle qui ne tourne pas ; c’est la fusée, LE FIL D’ARIANE (Thème des GATE GATE) ou Ariadne, Aridela, nom grec de ce BRIQUET GREC.
On donnait le nom de ”Thésée”, l’esclave, au fuseau emprisonné dans la corde qui devrait délivrer le feu captif de la SVASTIKA.

Voir aussi la page Shiva esquif vase fuseau, et nombre de pages contenant la notion de POINTE, qui ramène au feu vulgaire, et à celui qui est authentique le Inné-Igné, puisque TOUT est dans tout….

Le billot ou support était le ”Palladium” ou ”Xoanon”, sur lequel étaient fixés avec des chevilles deux morceaux de bois en CROIX, tordus à leurs extrémités, pour être entraînés dans le mouvement de rotation du fuseau.
Morceaux de bois représentant ”la Cavale liée”, ”Marim”, ou le ”Vache liée”, « PYRIM » = LA FOSSE OÙ IL N’Y A POINT D’EAU : le Ver au fond de la Fosse où il n’y a Point d’Eau parce que cette « Eau » est POUSSIÈRE (J’y suis et je le blanchis, comme la Salamandre : la chaleur active de Ptah…).
Pour la ”Fosse où il n’y a point d’eau” voir le scénario d’un projet de long métrage où il est question de la queste de cette ”Fosse”.

La Salamandre (symbole d’une très grande importance) peut vivre dans le feu sans être détruite par icelui. En se basant sur le principe des Croisements (c’est-à-dire l’effet produit et pas la caractéristique), la Salamandre ne craignant pas le feu peut l’éteindre, donc le faire mourir… de froid !
Quand le Feu se dévore lui-même il s’instante ou il réalise le Ici et Maintenant dans le Blanc de l’Instant, la réunion des sept couleurs de l’Arc-en-Ciel Poussière de lumière apportant la Preuve suprême de son existence, et symbolisant la non-dualité dedans-dehors, comme au-delà du sommeil profond. Delà Nous retrouvons la VIERGE NOIRE ET SON ENFANT, LA VIRGINI PARTITURÆ, issue de la Koridwen gauloise, qui enfantait sans cesser d’être vierge d’où l’allusion à LA FOSSE QUI N’A POINT D’EAU (eau ou ÈVE).

Cette symbolique VIERGE NOIRE ne peut que renvoyez à la spiritualité des Gaulois, ou la Vierge enfantait sans cesser d’être vierge. Tous les ans, à Noël, elle se transformait en POULE NOIRE QUI AVALAIT LE DIEU GUION OU GAUVAIN, métamorphosé en PÉPIN DE GRENADE (encore le Point Focal, et Grenade comme fruits à pépins est symbole de fécondité dans le sens de ”perfections divines” selon Jean de la Croix. Mais ce pépin de fruit ROUGE évoque le FEU CHTHONIEN que Perséphone vole pour le profit des hommes, puisque sa remontée des Enfers vers la surface de la terre signifie le renouveau printanier donc la fertilité. Ce productivisme fera chuter de nombreux gros ego qui ont le complexe de Prométhée en volant le feu pour assurer la pérennité de ce monde UTILITARISTE, tels les ”sauveurs du monde”).

”Kykkos” (pépin) et PERLE de ROSÉE ROULÉE UN MATIN D’ÉTÉ (en France près à La Jarne près de la Rochelle et observé par le scribe de cette page en 1987). SCARABÉE ou SARCOPHAGE = ATHANOR OU FOURNEAU ALCHIMIQUE : LE VASE-VAISSEAU. L’autre nom de Sarcophage est neb-ânkh : ”Maître de Vie” (au sens de véhicule au sens de ”Fixation cavalante”) ; la tombe elle-même se nomme ‘is’ (signe phonétique en botte de roseaux, au sens de printemps : faire re-végéter ce qui avait été coagulé ou fixé). À cela se rapporte les DEUX PLEUREUSES ISIS ET NEPHTYS : on implore dans tous les tombeaux leurs EAU DE VIE et EAU DE MORT-COLLE qui redonne la vie, notamment à Osiris.

PUTRÉFACTION = SACRIFICE : REMETTRE LE GRAIN EN TERRE, FERMENTÉ, PUTRÉFIÉ ET DÉCOMPOSÉ POUR QU’IL RE-PUISSE POUSSER (ce qui est interdit avec les GRAINES INDUSTRIELS DE MONSANTO ET CE QUI PROUVE BIEN CE MONDE ACTUEL FINANCIER MORTIFÈRE AU POSSIBLE… QUI DE CE FAIT INTERDIT LA RÉALISATION, INTERDIT LE SURFEU, INTERDIT LE PRINTEMPS…).

Cette Poule noire (de la nuit obscure) qui avalait le Dieu Guion ou Gauvain accouchait alors d’un ŒUF D’OR : le NOUVEAU SOLEIL, le FRONT BRILLANT. Ce sera le culte de KORIDWEN. Le culte de Koridwen s’est conservé en France sous deux formes bien distinctes : on l’invoque dans les cryptes des anciennes églises romanes sous la forme d’une VIERGE NOIRE ; on l’invoque à minuit dans les carrefours déserts sous la forme d’une poule noire qui pond des œufs d’or. De toutes les madones miraculeuses, les Vierges noires sont restés le plus en crédit. « Nigra sum, sed formosa », dit l’Écriture. Marie joue un rôle assez effacé dans l’Évangile ; mais partout, sauf dans le protestantisme, la dévotion populaire lui a rendu le premier rang qu’elle occupait autrefois dans la religion de nos pères, et l’islamisme lui-même, partout où il se trouve en contact avec le christianisme, n’a pu se soustraire à cette influence… », écrit en note de bas de page 40 Grasset d’Orcet, dans : Archéologie mystérieuse, vol.1.

Vierge Noire = NON POSSESSION : aucun miroir, aucun œil ne peut saisir le reflet de l’Univers puisqu’il est NOUS comme aucun œil ne peut saisir le corps de la Vierge Noire : Elle est le Tout à elle seule, le monde et tous les corps qu’il contient n’ont aucun complément en miroir : ILS SONT À JAMAIS IDIOTÈS, UNIQUES. (En complément sur la POINTE, voir la page : LE FEU : POINTER).

BIEN PLUS : VIERGE NOIRE OU FOSSE QUI N’A POINT D’EAU EST ”MIKI” = L’ARCHANGE MICHEL, Vainqueur de l’ego (maîtrise du Dragon).
Vierge Noire = la Dame du Logis ou de la Vraie Demeure du Sans Demeure; où elle se livrait à allumer le Feu en chantant une incantation gravée sur le pommeau de terre cuite qu’elle tenait dans sa main gauche pendant qu’elle manœuvrait l’archet de la main droite.
Se rappeler de la SCIENCE DE L’ÉLECTRICITÉ STATIQUE, qui a été perdue, électricité statique rappelée par le POIL DU CHAT QUI ÉTINCELLE LORSQU’ON LE FROTTE. Ménélas (en gaulois : MARLPF), le ravisseur de la jument, et Achille qui porte ici le nom du chat PS. L’Électricité statique qui n’est autre que Prométhée dérobant l’Étincelle Divine ou VRAI FEU, le ZÉRO INDIEN, L’ÉNERGIE « LIBRE » (qui appartient à tous et donc n’est pas commercialisable…).

Le côté négatif d’Achille  sera comparable aux chevilles d’Œdipe : le pied ou Padam en sanskrit, le Soi, l’Être véritable sera par le talon-cheville d’Achille LA VULNÉRABILITÉ DE SON ÂME, UN MENTAL ENCORE IMPUR : son penchant à la colère (”le bouillant Achille”, le ”grand Myrmidon” [chétif, nain] comme dans la chanson de La Belle Hélène de Jacques Offenbach, qui comme ses paroissiens tombés dans l’entertainment salit beaucoup en prenant les goys pour des crétins, des non-élus et les hypnotisent, les ensorcellent…..(3), colère qui causera donc la perte d’Achille. Le pied déchaussé de Cendrillon pourrait causer sa perte comme celle de Jason et son pied déchaussé à la poursuite de la Toison d’Or qui en fera un BOITEUX (un nerveux, un Œdipe chancelant entre speed et banalité, une recherche de winnerisme pour compenser son état de loser).
Le TALON D’ACHILLE SIGNIFIERA LE SURFEU, LE FEU FROID ET VRAI FEU : ŒDIPE-ACHILLE NE DEVIENNENT EUX-MÊMES, LEUR VRAIE NATURE, LEUR PREUVE ABSOLUE, QUE DANS LE RENONCEMENT-PUTRÉFACTION, LE FLÉAU : LA MORT PAR LE TALON-PIED ou Soi.

SURFEU = « JE SUIS CELA » (Je suis ce JE SUIS) ; IL N’Y A PAS D’AUTRE AILLEURS QUE MOI ; « MOI ET LE PÈRE NOUS SOMMES UN » (le Soi), Jean 10,30.


VRAI FEU : INNÉ-IGNÉ, SVASTIKA, et THOR ET SON MARTEAU (bref : le CŒUR, pas l’organe de la croyance au corps… Ce sera donc LE MANANT, étymologie de Maison, donc de la Vraie Demeure du sans Demeure ou SANS FIXATION, SANS COAGULATION…)

LA CHUTE, TOMBER, BAISER (puisqu’on TOMBE amoureux ET QU’ON FINI DANS LA TOMBE, ET CERTAINES TOMBENT ENCEINTES)

Loi de succion ou attraction : ON TOMBE, non seulement enceinte mais on TOMBE DANS LA RESPONSABILITÉ SI À LA MODE DU 1789 FRANÇAIS : A-sous ME (assumer ou être responsable comme le rêve le concept actuel de républicanisme et ses valeurs et ses électeurs). A-sous-ME : du A privatif et ME (le ‘Je’-‘je’), un ME-fait pour l’être qui se veut vivant ou A nie ME (animé). « Prendre sur soi » ou assumer est la triste condition de l’USAGER de la république ; ALORS QUE LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE le RETOURNEMENT À L’ÂME-ORIGINE, se traduit par Â-ME : non possession, non loi de succion vulgaire, non asphyxié par la racine du mal la dualité Dedans-Dehors et le mental, mais « ORIGINELLE » : ON NE « TOMBE » PAS DANS L’ATTRACTION !

RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE = L’UN SANS LE SECOND : pas de social, pas de Dehors. Le Libéré vivant, l’Éveil authentique et parfait GAGNE l’isolement : I-sol-E = conscience du Vrai Feu ou VRAI SOLEIL pour RE-l’Axée. RE-gagner l’Unité, le So-L-I-EL, Sol-I-tude : le Soi est unique et d’I-vin (de la Divine Bout-œil ou Lumière….). Le RE-tour au UN sans second :
LES VILLES QUI REGROUPENT TANT DE « SECONDS » APPELÉS DEPUIS LE 1789 FRANÇAIS « CITOYENS » (celui qui habite la ville ou la cité, le bourgeois habitant du bourg : habitations formant une forteresse), SONT DES USINES À ALIÉNÉS ET DONC À DÉMOCRATIE ET À OPINIONS STÉRILES en un feu vulgaire qui rapporte au capital :

Un ‘moi’ ou consommateur, usager de cette république du social, cette usine à consensus, cette usine à opinions, NE PEUT PAS ÊTRE UN TOTAL, UN TOUT, puisque par ce social en ”vivre ensemble” le citoyen ou usager se définit par rapport à un ‘toi’, à l’autre, à son voisin, au DEHORS, ainsi il est LIMITÉ par ce qui le différencie de ce Dehors ou de ce social, de cette république. C’est pourquoi le SYSTÈME DE LA DÉMOCRATIE ne peut faire reposer son fonctionnement que sur les CONFLITS D’INTÉRÊTS, ce qui condamne ses usagers électeurs et consommateurs à la frustration permanente par leurs propres limitations, d’où le sens de la valeur d’échange : LE CONSOMMATEUR OBJET FABRIQUÉ DOIT DEVENIR PERPÉTUELLEMENT INSATISFAIT, AGITÉ, ANGOISSÉ, ET FORCÉMENT BLASÉ IL LUI FAUT BOUFFER DU TOUJOURS PLUS, DU TOUJOURS NOUVEAU SANS FIN MAIS QUI DOIT AVOIR IMPÉRATIVEMENT TOUJOURS FAIM POUR LA FONCTION DU TIROIR-CAISSE DU CAPITAL, D’OÙ LA SOURCE POUR LE CAPITALISME DE CRÉATION PERMANENTE DE BESOINS, donc éduquer les masses à ressentir LA LOI DE SUCCION VULGAIRE DE MANIÈRE IMPLACABLE : expériences nouvelles, « accomplissement personnel » (sport), « plaisir » an quantité transformé en drogue du toujours plus, toujours nouveau, comme un ”remède universel” INVERSÉ RENDANT MOURANT, RENDANT ALIÉNÉ À SOI-MÊME ! D’où d’ailleurs le slogan populaire politique : « Agiter le peuple avant de s’en servir »

« Agiter le peuple avant de s’en servir » produit la VALEUR, LE VALOIR, CE QUI ÉCLAIRE OU QUI SONNE : VAN (2), évidement actuellement EN INVERSE. Agiter telle frottement de bouts de bois l’un contre l’autre pour produire du FEU VULGAIRE : voir plus haut au mot MÉNÉLAS et BRIQUET pour des détails ; et un frottement évidemment sexuel : le feu devient FOYER ou CHALEUR INTIME, SOCIAL, DEMEURE, ÉCONOMIE, RATIONNEL, NORMALISATION.    
Quand on arrive à la tombe : nécessairement ON SE REFROIDIT en DEVENANT UNIQUE : EN SURFEU, LE VRAI FEU TOUJOURS FROID SANS FLAMME NI CENDRE, LE FEU DE LA SALAMANDRE, la chaleur active de Ptah………

L’État, la république du monothéisme unilatéral sera la THERMODYNAMIQUE, LE FOYER DU FEU VULGAIRE TUEUR DE LA SALAMANDRE, LE MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN OU SOCIALISTE NE PEUT QUE LA FAIRE CUIRE ! TEL LE REFUS DU SEUL RÉEL EN FORME DE L’EFFROI DEVANT LE NON-NÉCESSAIRE, qui va effectivement autoriser les paroissiens de ce monothéisme unilatéral républicain à la résignation de leur propre liberté, de leur VRAIE NATURE, au profit d’un ordre-dogme imposé telles les ”valeurs de la république”. Ce REFUS de l’Amour ou du Gratuit est LE symptôme du refus du Soi, du refus du Seul Réel, considéré comme FROID, PAS CUIT, ASOCIAL, donc CRU-EL : le Soi ou Seul Réel considéré comme CRU, comme FLÉAU.
On ne peut pas toujours nier radicalement le Seul Réel, décider que ce qu’on perçoit est faux : voie de l’aliénation actuelle d’un maximum de Terriens !!! Inversement on ne peut pas opinioner que ce qu’on voit est « vrai » sans aussitôt tomber dans la preuve, dans le faux, dans la possession ou le scientisme conventionnel et socialiste des ”constantes”, des ”fixes”, des ”preuves”.

La Lumière (Vraie) le contraire du S-Ombre….

[En haut de page : dessin à la plume de Michel Roudakoff]

Notes.
1. Protubérance ou TALUS, un DÉPÔT (pose, table, siège, coagulation) : LA BOUE DE GAÏA = PYTHON est un Serpent monstrueux né de la boue de la Terre GAÏA, laissée par le déluge de l’un des 4 âges, l’âge de Bronze, et de Tartare. Python fut tué par APOLLON dieu Grec de la Lumière.
Python semble représenter dans la notion de dieu solaire, ce qui est bon et ce qui peut être néfaste : le Soleil apporte des vitamines pour le corps humain, mais il brûle aussi la peau et les yeux si l’on n’y prend pas garde.
TYPHON est un monstre de la légende Grecque. Il engendre CERBÈRE, L’HYDRE DE LERNE, la CHIMÈRE etc... Il a faillit vaincre ZEUS ! C’est donc l’ennemi de l’Esprit, sorte de DRAGON À VAINCRE tel que le pratique éternellement l’Archange Michel……
Selon H.P. Blavatsky, Typhon vient de l’Égypte où l’inondation du Nil était appelé Typhon, en Basse Égypte les tertres élevés le long de la rivière pour empêcher les inondations fréquentes, portaient le nom de Typhoniens ou Taphos.
Typhon dans l’un de ses symboles est représenté par un âne.
Enfin, Typhon représente aussi un gaz dangereux. (Volcans).
TOUT SYMBOLE EST DOUBLE, OSIRIS-SETH, et ne doit pas être vu fixement ou en coagulation…..

python_typhon450.jpg
 
2. VAN définition.
Le VAN : Dans la Vallée souffle le Vent, le Vent d’Hermès, au sens du VAN. Vent ou Van trouve son homonyme en FAN (paraître, le CELA), mis en Fêmi dont la forme enclitique signifie : rendre visible, se manifester. Le latin vanna (van) trouve dans FANOS (Phanos ou Lanterne) la signification de lumineux, brillant, que le sens figuré affirme par « manifeste », « évident », le CELA ; c’est aussi proprement le Flambeau, que le second sens de Phanos ou Fanos désigne par Lanterne (la « Lanterne   ou Lumière d’Hermès, cette Pierre nécessairement volatil revivifiant le mort et donnant la vie au Soleil et à la Lune, au « mari et à la femme »…).
FAN : paraître, avec le F de Figure, Feu, Fléau, Fantôme, Finalité, Forme, Fond, Fin, Fleuve : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (Jean Coulonval, dans Synthèse et Temps Nouveaux). Le F de Feu comme du Fléau qui détruit tout et qui donne cependant au Fer après liquéfaction, la Forme ou la Figure-Fin. Ainsi est la définition du mot VAN : LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, au sens du Secret de la Fleur d’Or, manuel classique de méditation permettant l’accès à l’Être intérieur ; manuel incorporant la quintessence du bouddhisme et de la taoïcité. L’Or signifie la Lumière, celle de l’intellect qui « pointe » (AIGUILLE) ; la fleur signifie l’épanouissement, le jaillissement de la lumière du Soi. Ainsi, le nom même de cette technique désigne l’Éveil fondamental et inconcevable du Vrai Soi et de son potentiel caché, le « Zéro indien », appelé en Occident d’une façon utilitariste : « énergie libre »
Les énergies spirituelles sont symbolisées par la LUMIÈRE, mais aussi par le VENT : Il souffle dans la Vacuité de la Fontaine de Jouvence…..

RAPPEL :
« Pour manifester des siddhi (pouvoirs surnaturels), il faut qu’il y ait d’autres personnes pour les reconnaître (sens de la dualité : pour et voir, ou sujet et objet, Dedans et Dehors). Ce qui veut dire que celui qui manifeste de tels pouvoirs est dénué de jnana [Connaissance, sagesse].
C’est pourquoi les siddhi ne valent pas la moindre pensée. Seul le jnana mérite d’être recherché et obtenu ». (Ramana Maharshi, entretien 57a du 24-6-1935). Ah, c’est RADICAL, et le RADICALISÉ ne plait pas au Pour-Voir, ni aux faux radicalisés ou fanatiques du pouvoir…..

3. Il y a un gouffre monumental entre les salissures hypnotiques pour riches bourgeois des salons parisiens que le violoncelle d’Offenbach charmait, et les banlieues ouvrières de l’époque que Hervé tentait de divertir par des musiques toujours joyeuses et fraiches, jamais moqueuses comme le sont les musiques hypnotiques d’Offenbach.
Comme tous Juifs de diaspora, Offenbach disposait d’un excellent RÉSEAU, ce qui manquait apparemment à Hervé. Pour vivre, Hervé doit tenir pendant un temps l’orgue dans des églises ; pendant qu’Offenbach promène son violoncelle dans les salons élégants de Paris. (Réf. Hervé par lui-même, écrits présentés par Pascal Blanchet, p.15).
 
 

Dernière mise à jour : 15-01-2024 18:08

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