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Tous les problèmes de l’humain viennent Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 15-09-2023 08:49

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Celtes, Conformité, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Guillotine, Homéopathie, Horticulture, Humain, Judéo-maçonnerie, Libération, Limite, Marxengelsisme, Or, Penser, Racine du mal, Réel, République, Religion, Robot, Saisie, Simplicité, Tiahuanaco, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke

 
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Tous les problèmes de l’humain viennent
parce qu’IL CROIT,
il a une « certaine conception » de la vie,
non de la sienne, mais de celle des autres,
il parle de « Vous et vos proches », il
parle du social, DU DEHORS, donc de l’égalité,
de la fraternité et qu’il existerait la « liberté »,
LE TOTAL CONCEPT LE PLUS DRAMATIQUE
DE L’ÊTRE HUMAIN.
 
CONCEPT = SAISIR, CAPTER, CALCULER,
MESSIANISER, INVENTER UN SALUT,
UN PARADIS, UN BUT, UN COMMERCE.


« La vie de l’humain est ce qu’elle est. Ce qui est EST [sens du ”Le Royaume des Cieux est en Vous”]. Tous les problèmes viennent du fait d’en avoir une certaine conception [”certaine conception” qui s’appelle OPINION, la chose possédée par le mental. Certaine conception comme la fameuse ”amélioration” qui entre dans l’évolutionnisme et la RÉPARATION des juivistes : la tiqounerie]. Le mental entre en jeu [en ‘je’]. Il a une certaine conception [l’icarisme, telles les ailes de cire d’Icare ; de nos jours les ”ailes d’Icare” sont L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE : LA CAROTTE, LE MESSIANISME du TRANSHUMANISME-TECHNOLOGIE-CONCEPT]. Tous les problèmes viennent de là. Si vous êtes tel que vous êtes, sans le mental avec ses concepts [ses opinions donc et ses ”améliorations”], tout ira pour le mieux pour vous. Si vous cherchez la source du mental, toutes les questions seront résolues.
[…] Le salut pour qui ? [la libération pour qui ?] Qui désire le salut ? Et qu’est-ce qu’une conduite juste ? Qu’est-ce que la conduite ? Et qu’est-ce qui est juste ? Qui peut juger de ce qui est juste et de ce qui ne l’est pas ? Selon les samskâra (tendances), chacun a des considérations différentes sur ce qui est juste [le mot ”juste” renvoie nécessairement à l’opinion]. Ce n’est qu’en connaissant la Réalité que l’on peut savoir ce qui est juste [seul un Total peut connaître un Total]. La meilleure attitude serait de trouver QUI désire le salut. La juste conduite est de remonter jusqu’à la source originelle de ce QUI, ou EGO ».
(Ramana Maharshi au jour le jour, 31-12-1946).
SOURCE ORIGINELLE = « LE MÉTAL AU MILIEU DE L’EAU PRIMORDIALE » (le Plomb ou absence de racine du mal, absence de loi de succion vulgaire ou attraction).
« LE MÉTAL AU MILIEU DE L’EAU PRIMORDIALE » =
LE VRAI FEU…………

(Non, non, il ne s’agit pas de l’arme scalaire et antigravitation des Nazis : Die Glocke, "la cloche”  : deux cylindres-tambours massifs d'environ un mètre de diamètre, qui au cours de l'expérience tournaient l’un dans l’autre et en sens inverse à très grande vitesse, et dont « l’eau primordial  » consistait en partie d’oxyde de thorium et de l'oxyde de béryllium, et d’une sorte de mercure contenant peut-être des ”isotopes lourds”).
 
OÙ EST LE « SOCIAL » ET « L’INSTINCT GRÉGAIRE » (de troupeau, moutonnier) DE L’HUMAIN ?
Car la Conscience infinie N’EST PAS L’ERREUR DE CARL GUSTAV JUNG : L’INCONSCIENT COLLECTIF (que les transhumanistes des Google veulent mettre dans une puce informatique et que ce serait selon eux la « vérité »). La Conscience infinie est purement INDIVIDUELLE MAIS SOUS ”FORME” DU SENTIMENT OCÉANIQUE :

« Tout comme les fleuves, en se déversant dans l’océan, perdent leur individualité et qu’ensuite les eaux de l’océan s’évaporent pour retomber en pluie sur les montagnes, puis s’écouler en rivières et retourner à l’océan, ainsi les individus, qui entrent en sommeil, perdent leur individualité et reviennent comme individus, selon leurs vâsanâ (tendances) antérieurs, sans en être conscients. Par conséquent, même dans la mort, le sat [réel, juste, existence absolue] n’est pas perdu ». (Ramana Maharshi, entretien 108 du 29-11-1935). Et définition du SENTIMENT OCÉANIQUE, DÉFINITION DU MIROIR AUTHENTIQUE EN FORME DE GATE GATE :
Le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant, le jnanî, est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair ou sans tain] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur). Les shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938)
« Il n’y a pas de perception [de Pour-Voir chez un être réalisé]. Percevoir [perce et voir : le Trou, dans lequel il n’y a rien d’autre que le Trou, donc pas de Trou à pour-Voir] st seulement ÊTRE. L’état de Réalisation du Soi, comme nous l’appelons, ne consiste pas à atteindre quelque chose de nouveau ou un but lointain, mais simplement à être ce que vous êtes en permanence ET QUE VOUS AVEZ TOUJOURS ÉTÉ [le scribe de la page souligne]. Vous devez seulement cesser de prendre pour vrai ce qui ne l’est pas. Tout le monde considère comme réel ce qui n’est pas réel [comme voir le Trou, comme un objet, et donc une possession-information]. Nous devons perdre cette habitude. Alors nous réalisons le Soi tel qu’Il est, autrement dit, nous serons le Soi. À ce stade, nous allons rires de nous-mêmes du fait d’avoir fournie tant d’efforts pour découvrir le Soi qui est une telle évidence [parabole de ce Trou qui n’est pas à voir ou à pour-voir].
[…] Cet état [de Réalisation] transcende celui qui perçoit et ce qui est perçu. Il n’y a plus de sujet percevant pour percevoir quoi que ce soit. [Le scribe de cette page confirme par la pratique de l’aquarelle, que quand il était face à une paysage, ou face à une tour en pierres pour pratiquer la peinture à l’aquarelle, il faisait UN avec ce paysage ou avec cette tour]. Celui qui à présent perçoit tout cela cesse d’exister et seul demeure le Soi [pour l’aquarelle, l’impression indescriptible par n’importe quel mot et syntaxe de langue française de l’aquarelliste, et qui rejoint ce sentiment oéanique]. (Ramana Maharshi au jour le jour, 19-11-1946).

Le ”CONNAÎTRE TOI-MÊME PAR TOI-MÊME” n’est pas correct.  Car ”connaître” suppose la dualité du sujet face à l’objet à connaitre, comme s’il y avait deux Soi, une qui connaît, un autre qui est connu, ainsi que le processus de connaître..
« L’état que nous appelons ”Réalisation” est simplement d’être soi-même et non pas de connaître ou de devenir quelque chose. Être réalisé, c’est être ce qui EST et ce qui a toujours été. On ne peut pas décrire cet état, ON NE PEUT QUE L’ÊTRE [AU SENS DU TROU, A-temporel, et suivant l’exemple de l’aquarelliste faisant UN avec le paysage, avec la tour en pierres]
Bien-sûr, nous parlons habituellement de ”Réalisation du Soi” faute d’un meilleur terme. Comment ”réaliser” ou rendre réel ce qui seul est Réel ? Ce que nous faisons tous, c’est ”réaliser” ou considérer comme réel ce qui est irréel. Nous devons renoncer à cette habitude”. (Ramana Maharshi au jour le jour, 22-3-1946, après-midi).

Cet état océanique ou de MIROIR VÉRITABLE qui ne renvoie RIEN, est identique à la VIERGE NOIRE ET SON ENFANT : LE FLÉAU, le Soi, le Ici et Maintenant en permanence qui élimine le non-Soi.
Enfant de la Vierge Noire : un phénomène ne peut en examiner un autre, la pensée ainsi produite apparaît « COMME SI » cela était possible et ainsi ça produit l’ego. Par exemple on voit une forme donnée que l’on voit apparaître dans un clair miroir. « La forme et l’apparence de son reflet se manifestent comme deux choses différentes. De même en est-il de la pensée produite et pour l’objet du recueillement appelée ”image” ou ”reflet” : ils nous apparaissent comme des objets différents ». (Réf. au Soûtra du Dévoilement du sens profond, chapitre 8).

L’EGO FAIT CROIRE.
Le « COMME SI » de l’ego dans le Soûtra de la Liberté inconcevable dans le mot NÉANT DE LA NAISSANCE OU D’UNE CAUSE : « La naissance de l’être, quel qu’il soit ou quel que soit le nom-la-forme, est logiquement impossible. En revanche, l’apparence est non seulement possible mais elle existe bel et bien, quoiqu’elle soit forcément changeante, fallacieuse et insaisissable ». C’est la « vacuité de l’apparence »….. (Qui d’ailleurs sert de commerce depuis les quelques derniers millénaires du Néolithique : L’HALLUCINATION DES OBJETS QUI ENGENDRE L’ALIÉNATION PAR LA MARCHANDISE PERÇUE COMME OBJET AU DEHORS…. C’est une définition du COMMERCE).

ENFANT DE LA VIERGE NOIRE = LE ZÉRO INDIEN : comprendre la Nature de tous les mondes : du désir, de la forme et du sans forme, « la dimension des enseignements, la dimension profane et le domaine des êtres animés, le nombrable et l’innombrable, de même que l’espace : voilà tout ce qu’il [l’Éveillé] atteint et pénètre entièrement. […] Il accepte une naissance, renonce au monde profane et accomplit l’Éveil authentique. Puis il fait tourner la roue des enseignements et entre en nirvana :
Tout cela, jusqu’à la Liberté de l’extinction dans la Paix et les enseignements qu’ils n’a jamais reçus, il peut les réaliser ». (Soûtra de Dix terres, chapitre 10, Nuage des Enseignements).

ENFANT DE LA VIERGE NOIRE : Le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant, le jnanî, est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair ou sans tain] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda) », explique Ramana Maharshi cité plus haut pour l’exemple du Miroir sans tain, qui correspond à la définition de la SINGULARITÉ, DE L’IDIOTÈS : COMME L’ENFANT DE LA VIERGE NOIRE, TOUS NOMS-LES-FORMES SONT AINSI IDIOTÈS DÈS LORS QU’ILS N’EXISTENT QU’EN EUX-MÊMES, SANS LA RACINE DU MAL LA DUALITÉ DEDANS)DEHORS ; C’EST-À-DIRE QU’ILS NE PEUVENT PAS SE REFLÉTER DANS UN MIROIR AVEC OU SANS TAIN DONC D’APPARAÎTRE DANS LE DOUBLE DU MIROIR. Et c’est précisément le sort de toute Réalité que de ne pouvoir se dupliquer sans aussitôt tomber dans le DEHORS, dans l’autre : l’image que renvoie le miroir n’est pas superposable à la Réalité qu’elle suggère. L’UNIVERS N’A PAS DE COMPLÉMENT EN MIROIR (comme l’exprime Ernest Mach, puisque AUCUN MIROIR NE PEUT SAISIR LE REFLET DE L’UNIVERS, IL FAUDRAIT POUVOIR EN SORTIR, TEL QUE « VOIR LE TROU », et comme dans un Trou il n’y a rien d’autre que le trou, il est INSAISISSABLE : AUCUN ŒIL NE PEUT SAISIR LE CORPS DE LA VIERGE, D’OÙ SON ASPECT DE VIERGE NOIRE ET SON ENFANT, LEQUEL FIGURE LE TOUT OU LE « RIEN DU TOUT ».
L’UNIVERS EST SANS AILLEURS, PUISQUE NOUS SOMMES LUI-MÊME, NOUS SOMMES DEDANS SANS DEDANS NI DEHORS
 !

Or pour se « saisir » de l’Univers et donc de son Soi, il faudrait un Big miroir (plus grand que l’Univers Lui-même) ! Et le monde ambiant n’offre que des CAILLOUX, DES PIERRES (astéroïde, météorite, etc.).
Pierre = sans double, sans copie, sans f(r)iction. L’ANTI-PIERRE SERA LE DOUBLE, LE TEMPS QUI COULE. Dans la Pierre le nom-la-forme est à jamais tel qu’en lui-même. Ainsi la Pierre sera le Vrai Accès au Seul Réel (gravure en haut de page)…..

Surtout depuis l’après 1945, le monde n’a que des enfants d’une Vierge qui n’est plus noire : une VIERGE-OBJET, VISIBLE, DONC VIERGE IMPUR !
Ses « enfants », innombrables, sont les SOUVENIRS, LES INFOS, produisant : PARALYSIE, IMMOBILITÉ dans le ”Plus ça change et plus c’est la même chose” face à des déluges de souvenirs et d’infos qui submergent le consommateur, notamment à travers sa smartphonerie qui semble remplacer son cerveau. Souvenirs ou infos défilent là-dedans à portée de doigts : UNE PARALYSIE à moitié lucide.
Il y a OUBLI, non pas quand les souvenirs disparaissent, mais quand tous les souvenirs apparaissent en même temps (cas de la maladie d’Alzheimer…), quand chaque souvenir fait valoir ses droits égaux à la reconnaissance, de façon indifférenciée : c’est alors le LABYRINTHE SANS CHEMIN POSSIBLE, LE CHAOS.

« La vie de l’humain est ce qu’elle est », dit le Maharshi ou Sage cité en début de page : Sophocle dans Antigone écrivait que « l’homme marche vers rien », parce que ce RIEN annule la mise en valeur du temps et ce ne sera pas bon pour le commerce ou le social !!!
« Ayant tous les chemins [étant l’Univers], sans chemin il marche vers rien, quoi qu’il puisse arriver ».

Ce qui n’existe qu’en changeant ne peut se modifier du fait qu’il change ; que tout soit toujours pareil signifie alors que tout est toujours également IMPRÉVU, ÉPHÉMÈRE, CHANGEANT. Et selon Lucrèce, telle est la raison de l’uniformité du monde (ce que le transhumanisme cherche certainement à casser afin de NORMALISER, NUMÉRISER, ARTIFICIALISER ou CONFORTER…), de ne pouvoir changer de forme ni de constitution pour être constitutionnellement sans forme (NATURE).

Que TOUT soit toujours changeant d’Instant en Instant sur le TOUT « aboutit » au FLÉAU ou Éternel Présent, Éternel Instant : LA NATURE, le Point sur le TOUT.

Et tel qu’Alzheimer, l’humain est PERDU DANS LE SOLEIL DE TOUS LES RAYONS DE LA FRACTAL DU POINT SUR LE TOUT : IL A TOUS LES CHEMINS, TOUT EN N’AYANT AUCUNE DESTINATION, ALORS RIEN NE SERA AUSSI DANGEREUX COMME UNE MACHINE HUMAINE DE L’ÉVOLUTIONNISME QUI NE VA NULLE PART PARCE QU’ELLE NE BOUCLE PAS SUR ELLE-MÊME (Éternel Retour ou Réalisation du Soi), TOUS LES CHEMINS LUI SONT, PAS DÉFINITION, OUVERTS, D’OÙ LES DERIVES DU TRANSHUMANISME ET DES NOMBREUX « ISMES » TECHNOLOGIQUES ACTUELS FRUITS DU COMMERCE ET DU CAPITALISME.
Jean Coulonval l’exprime ainsi dans Synthèse et Temps Nouveaux :

L’idée de « création » ne peut venir que dans la dualité SUJET-OBJET ou CAUSE-EFFET !!! « C’est parce que vous dites que vous êtes né, que les Écritures [abrahamisme] vous disent « d’accord » et ajoutent que Dieu vous a créé » (Ramana Maharshi, entretien 238).
Avec un Dieu créateur on fabrique une sanctification de la dualité. C’est ce que symbolise parfaitement Jean Coulonval dans son livre Synthèse et Temps Nouveaux, dans « L’œuf et la Poule » : « Une jeune cousine, élevée par les bonnes sœurs, me disaient un jour : ”Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu”. À quoi je répondais : ”Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Tu t’enfermes dans une chaîne de causes et d’effets dont les deux bouts ne se rejoignent pas, et que tu peux allonger à l’infini, sans que ton raisonnement soit valable” ». Notre monde malade actuel fonctionne de cette façon : l’évolutionnisme en une course sans fin (ou vers la Super Carotte « fin des temps »). « Pourquoi une ligne aurait-elle une fin, puisque après un pas je peux en faire un autre ? ». Je « progresse », donc je « construis » (Faire/Fer), JE CAPITALISE…

LA PIERRE (en haut de page) exprime ce soleil du labyrinthe de la Fractale, ce labyrinthe du Soi….. L’ostensoir.


Le Vrai Soleil ne peut qu’être le CŒUR, le Soi. C’est la raison pour laquelle nos Ancêtres de la fin du Paléolithique, dans leur erreur, au lieu d’honorer le Soi ou Soleil, le TOUT, l’UN, sont allés jusqu’à l’adorer et le fondre et ainsi tomber dans la FAUSSE CAVERNE DE PLATON : DANS LA FAUSSE OMBRE FAUSSE VIERGE NOIRE, OBSCURANTISME DU ”SIÈCLE DES LUMIÈRES” des riches perruques poudrées du 18è siècle…….
Dès lors, en croyant le Soleil comme une UTILITÉ, la voie de l’Agriculture était toute tracée en même temps que celle du messianisme ou du Salut : DEMANDE DU « MIEUX », DEMANDE DE PROTECTION, ET L’ACTUEL TRANSHUMANISME EST BIEN DU THÈME « PROTECTION » (de la maladie, de la vieillesse et de la mort….). En conséquence dans une grande partie du christianisme de l’Église de Rome, l’ostensoir a la forme d’un soleil doré entouré de rayons d’inégales longueurs. Au centre de l’ostensoir se trouve une lunule ou petite boîte de cristal destinée à recevoir l’hostie consacrée. On reste dans l’ombre de la Caverne mais on préfère aussi JOUER, f(r)ictionner avec le Dehors et sa ”lumière” (de l’autre, du social…..)

- PIERRE = AUCUN MESSIANISME, AUCUNE MISE EN VALEUR DU TEMPS, AUCUNE F(R)ICTION : le Point focal ou Foyer-Équateur : pas de réalité concrète, conception d’un point contenant la totalité de l’image. Il ne peut exister un plus petit grain de Matière (sens Euclidien) Infiniment/non défini/ petit, et Infiniment/non défini/grand = mêmes problèmes. (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux). (Le point focal ne subit plus la loi de cause et d’effet).
- MI-ROIR, MIR–ACLE : s’É-tonner ; MIRER, MIREOR, MIRER : réfléchir deux moitiés.
MIRAVILE : Merveille, MIROIR/REFLEXE/RÉFLEXION, MI : DEMI, MILIEU : ‘Moi’, MI en parts égales et ROIR [MIREOR] : modèle.
MEI = DEMI, réfléchir la pensée et alors on perd de sa spontanéité, d’où le d’Anger de la ”raison” (réfléchir calculer, conceptualiser, administrer).
Matière et lumière (non polarisée) : des MIROIRS, se MI-RÉ dans l’autre moitié, regarder son image.
C’est la surface qui réfléchit : l’Eau, le Soleil, ET L’UTILITARISME DU SOLEIL QUI FOURBIRA LE FEU VULGAIRE ET SA THERMODYNAMIQUE JUSQU’À L’ACTUEL NUCLÉAIRE.

LE CONTACT avec la PIERRE ne peut qu’être SINGULARITÉ, VIERGE NOIRE, SANS DOUBLE ou SANS F(R)ICTION : les choses étant dans leur Ici et Maintenant ; et le CONTACT LISSE et ainsi en mise en valeur du temps n’existe que dans la dualité sujet-objet, n’existe que par l’appoint du double ou de l’ORGANISATION, et invention de la VALEUR, invention de l’HISTOIRE, de la F(R)ICTION, INVENTION DE LA LOI DE SUCCION VULGAIRE.

RAPPEL : le Soleil (S) : VIERGE NOIRE du « Nous n’avons rien , et Nous possédons Tout » (Paul : ”Nihil habentes et omnia possidentes“), la ”Lumière” du Rien du Tout (Jean de la Croix, La nuit obscure). Un mental purifié est comme la Vierge Noire : Il pénètre partout à cause de sa pureté, comme étant SANS OMBRE, la pénétration partout peut être symbolisé par l’enfant que porte la Vierge Noire…..

Sans ombre, SANS CAVERNE DE PLATON : le Dedans-Dehors n’existe pas, le concept d’ombre (de la Caverne) et de Lumière (au Dehors) n’est pas inventé : « Aussi, comme l’âme est sevrée de toutes ses tendances et de toutes ses attaches [la loi de succion vulgaire], et que ses puissances sont dans les ténèbres, elle est affranchie de toutes ses imperfections qui étaient en opposition avec son esprit, comme de sa chair et de tout le créé. Elle peut donc dire à bon droit qu’elle marche DANS LES TÉNÈBRES ET EN SÛRETÉ » (Jean de la Croix, La nuit obscure, et renvoi à la Vierge Noire, aux EAUX PRIMORDIALES et au GATE GATE… « Toutes les forces de l’âme, toutes ses tendances et toutes ses puissances, étant dégagée de toutes les choses créées, concentrent uniquement au service de Dieu leur effort et leur activité. De la sorte l’âme sort d’elle-même et de toutes les créatures pour arriver à la douce et savoureuse union d’amour de Dieu, DANS LES TÉNÈBRES ET EN SÛRETÉ ». (Jean de la Croix).


RAPPEL : à propos de « paix » et « d’infini ». « Nous avons peine à imaginer que la matière n'est pas née dans un temps et un espace qui lui préexistent, comme des récipients. Dans cette perspective, dire que la Terre, le Cosmos existent depuis tant d'années ou même depuis un temps infini - qui reste une quantité (ce n'est pas parce qu'on ne peut assigner un terme à une quantité que ce n'est plus une quantité) - cela n'a plus aucun sens. De même, dire que l'Univers en sa globalité a un rayon de X années-lumière, ou dire que l'Univers est infini, cela n'a plus aucun sens. Il serait plus juste de parler d'indéfini, quantité à laquelle on ne peut assigner un terme, et réserver le terme « infini » pour Dieu seul, le seul infini concevable.

Il serait bon aussi de réserver le terme « universel» à la globalité de l'existant inclus dans le moule des neuf termes (1), qu'il soit connu effectivement ou non, et d'appeler « général » ce qui est dénombrable. Ces confusions de vocabulaire jettent le trouble dans l'esprit de ceux qui en sont réduits à imaginer l'oiseau à la convenance du nid. L'hypothèse de l'abbé Lemaitre, d'un univers cosmique en expansion dans un espace infini (!) est la plus grosse bourde qui ait jamais été proférée. Peut-être pensez-vous que je suis téméraire de dire cela, moi, un ignorant. Ignorant, oui, mais ce que je sais, je sais que je le sais » (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).
Dans le même sens de LINGA, CHRIST, PIERRE-SOLEIL :
Ils [les humains] ne verront pas la globalité du sens, ou plutôt chacun recevra de ce soleil gnostique le rayon qui conviendra à son individualité. Il le verra plus lumineux que les autres mais non pas isolé. « Les dons sont divers, mais c'est le même Esprit » (saint Paul). Entre ces accentuations indéfiniment variées des différentes facettes du sens, il ne pourra jamais y avoir contradiction, toutes viendront du Sens des Sens, de l'unique Sens = Dieu. Il n'y aura plus d'opinions, toujours contradictoires et en conflit de par leur structure même ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux)

Dans le même sens de LINGA, CHRIST, PIERRE-SOLEIL :
Dieu n'est pas un ex-istant : « Je suis celui qui suis ». Cette rencontre avec le centre de tout existant, en tant qu'événement vécu et senti, ne peut en aucune façon être confondue avec le sentiment des psychologues et des romanciers. Votre expression « sentiment océanique », qu'elle soit de vous ou empruntée à Freud, me convient parfaitement. C'est le vertige de l'in-fini, du tout de l'existant virtuellement connaissable en son tout. C'est une connaissance inépuisable parce qu'elle se réalise par la projection d'un rayon qui joint le Tout-Rien (Je suis celui qui suis) à la circonférence de l'existant, comme le rayon d'un projecteur qui explore l'horizon. Dieu seul peut voir en simultanéité tout l'horizon du créé sans avoir besoin de faire succéder dans sa vision chaque point du temps et chaque point de l'espace, l'un après l'autre. Sa connaissance n'est pas celle d'un projecteur tournant mais celle d'un soleil qui éclaire en toutes directions dans l'instantanéité, hors du temps [symbolisé par l’ostensoir cité plus haut]. Le mystique, le « perdu en Dieu », ne peut incarner dans l'expression verbale que ce que voit le projecteur tournant, instant après instant. Il n'est pas Dieu mais il participe de son infaillibilité. Le dogme de l'infaillibilité du Pape ne signifie pas autre chose. La prétention à l’infaillibilité de tout parti politique, qui atteint son paroxysme démentiel dans le parti communiste n'est qu'une singerie de l'infaillibilité de l'Église. Ce sont des « ismes », des systèmes logiques clos sur eux-mêmes. Chacun se prétend l'incarnation dans le groupe d'une vision juste et correcte de l'Univers. alité des choses. Chacun prétend posséder J la clé de l'universalité qui est en tout homme. Toutes les idéologies politiques sont des masques pour le besoin d'absolu, de religion. L'ennui, c'est qu'il ne peut y avoir plusieurs universalités. et que la lutte entre les pseudo-universalités est cruelle, impitoyable, meurtrière et sanglante. Les ismes, quand ils s'emparent des foules, sont des folies collectives, y compris le catholicisme, la catholicité reste à faire, elle n'est jusqu'à présent qu'à l'état potentiel ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 34 à Arthur Koestler le 22-4-1975, et définition du Vrai sens du Soleil).

Note.
1. Espace, Temps, Mouvement (chaleur), Longueur (onde), Largeur (corpuscule), Hauteur, Sensibilité (mémoire), Intellect, Volonté, Divin.
 
 

Dernière mise à jour : 15-09-2023 09:52

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