La LAÏCITÉ à la française veut faire croire aux
bétonisés, citoyens urbanisés modernes qu’ils
seraient libres de croire à ceci ou cela dans
la même logique de la loi de succion vulgaire
du « Votre député, vos proches, votre voyante,
votre voiture, votre ceci votre cela » donc
du consommateur soumis à son ”pouvoir d’achat”,
alors que la LAÏCITÉ À LA FRANÇAISE ne peut
qu’être tributaire du MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN :
le conformisme collectif de l’inconscient
collectif, LEQUEL NE PEUT QUE PRATIQUER
CETTE IDOLÂTRIE DE LA LOUANGE À SOI-MÊME,
TEL LE MESSIANISME DES SCHWAB-HARARI :
« Vous ne posséderez rien et vous serez
heureux ! », et l’idolâtrie du
TRANSHUMANISME ANGLO-AMÉRICAIN :
LE CULTE DU ‘MOI’, LE CULTE DE L’EGO QUI
ESPÈRE ABOLIR TOTALEMENT LA VIEILLESSE.
CETTE CROYANCE PARFAITE DE L’UTOPIE
TECHNOLOGIQUE POUR LA PROLONGATION DE LA VIE
DANS LA CROYANCE AU SPATIO-TEMPOREL N’EST
QU’UN CULTE DE L’EGO POUSSÉ COMME JAMAIS
AUPARAVANT DANS L’HISTOIRE HUMAINE.
LA LAÏCITÉ À LA FRANÇAISE EST UN CULTE DU
’MOI’ ET UNE INVERSION DU ICI ET MAINTENANT,
une humanité qui CROIT n’avoir aucun avenir !
Ce qui correspond complètement à son actuelle
VOIE LUCIFÉRIENNE (ou du Nouvel Ordre Mondial)
où toute évolution vers les Mondes libres sera
interrompue pour créer une évolution artificielle,
dans le Minéral, le Végétal, l’Animal et l’Humain.
Le mot à la mode actuelle : TRANSITION,
PROUVE, le NON-AVENIR de cette civilisation :
« retrouver l’illimité » dans un Univers FINI,
NUMÉRISÉ, NORMALISÉ, TRANSHUMANISTÉ.
MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN :
« L’autonomie DANS la République » (Macron-Rothschild, à propos de la Corse et de sa visite sur l’île fin septembre 2023). Dans la logique nécessairement commerciale de la possessivité du
« Votre ceci, votre cela ».
La « Réalisation spirituelle » ou Vraie Liberté est la prise de
conscience par l’être humain incarné de l’Unité de son Être Primordial
(âtman), avec la Réalité Absolue (Brahman), le EST, le CELA, le SANS
POURQUOI, qui n’est pas soumis à la mise en valeur du temps ou devenir,
le messianisme, et donc qui n’est pas soumis au corps-mental, sa raison
ou ses déluges de pensées et de verbiages en toutes langues. Conscience
infinie, Félicité Naturelle ou Innée-Ignée (VRAI FEU) est une Réalité
impersonnel, non caractérisable, insaisissable, exempt de toute
qualification liée à la loi de succion vulgaire, donc au-delà de toute
numérisation ou distinction vulgaire dans cette croyance au
spatio-temporel nécessairement lié à l’idéation qui forme les pensées.
LE CRIMINEL DE L’UNIVERS CE SONT LES PENSÉES ET LEUR GLOUTONNERIE SANS
FIN MAIS QUI A TOUJOURS FAIM EN DEDANS-DEHORS OU EN DUALITÉ-SUJET-OBJET
OU CAUSE-EFFET SANS FIN (comme la mise en valeur du temps équivalent du
mot « connaissance » (ou « culture », l’info).
Par rapport au SOLEIL VÉRITABLE OU RAYONNEMENT UNIVERSEL, le RAYON rend
accessible à nostre mental cette Réalité insaisissable ou IMPERSONNELLE
(Vrai Soleil désigné par le mot Brahman), le Vrai Soleil en vient à être
désigné comme ”Personne Divine” ou Principe originel. Évidemment il ne
faut pas tomber comme nos Ancêtres du Néolithique dans l’adoration du
soleil et en faire la DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE PUIS DE LA
THERMODYNAMIQUE ET SA MÉTALLURGIE consistant à faire du Soleil une
OBJET, UN CHRIST INCARNATIONNISTE EN UNE EXISTENCE INDIVIDUELLE
ANTHROPOMORPHISÉE ET SÉPARÉE DE L’ESSENCE ORIGINELLE (telle que le
pratiqua l’Église de Rome de l’Empire romain de Théodose 1er) ; une
existence individuelle telle la laïcité à la française et la démocratie
et ses électeurs-consommateurs.
Au contraire, c’est l’être humain qui s’abreuve en temps que Personne à
la Source : LE FLEUVE QUI VA À LA MER BE PEUT SUPPRIMER SA SOURCE. Sa
Source la Réalité Absolue, le TOUT, PAN.
Cette Personne Divine tel l’Homo Religiosus, peut s’appeler Isha ou
Ishavara (1) Dieu, le Seigneur, le Soleil au sens de ”Créateur” dont
dépend l’existence et la résorption du Cosmos.
Cette personnification de l’Absolue sous forme du SOLEIL véritable ou du
Christ, a l’avantage de permettre au mental humain qui vivote de
perceptions automatiques de la diversité et pour qui l’expérience de la
métaphysique est hors d’atteinte, de developper une relation personnelle
avec la Divinité ou « son Seigneur » (qui, en France, depuis 1789 est
remplacé par la république qui s’appela même « Être suprême » également
assimilé à la ”raison”).
Note.
1. « Nous prions Dieu de nous donner la félicité et nous la recevons par Sa grâce. Le dispensateur de la félicité doit être la Félicité elle-même et aussi l’Infini. Ishvara est donc le Dieu personnel d’un pouvoir et d’une félicité infinis. Le brahman est Félicité, impersonnelle et absolue. Dans leur nature spirituelle, les ego limités, prenant leur source dans le brahman et ensuite en Ishvara, ne sont que félicité. Biologiquement, un organisme ne fonctionne que parce que toutes ses fonctions s’accompagnent de bonheur. Le sentiment du plaisir favorise notre développement : nourriture, exercice, repos et tendances grégaires. La psychologie (et la métaphysique) du plaisir, c’est peut-être que notre nature est fondamentalement une, entière et emplie de félicité. Prenez cela pour une hypothèse probable. La Création est le fait d’une seule divinité qui se divise en Dieu et Nature (
mâyâ ou prakritî). Cette mâyâ est constituée de deux éléments : le
para, qui est l’Essence-support, et l’
apara, qui comprend les cinq éléments, le mental, l’intellect et l’ego (l’octuple manifestation).
La perfection de l’ego est tout à coup brisée, suscitant un besoin qui donne naissance au désir d’obtenir quelque chose ou de faire quelque chose. Quand ce besoin est satisfait par l’accomplissement de ce désir, l’ego est heureux et la perfection originelle est rétablie. C’est pourquoi on peut dire que le bonheur est notre condition naturelle ou notre nature. Le plaisir et la douleur sont relatifs ; ils tiennent de notre état limité et se développent en fonction des satisfactions des désirs. Si ce développement relatif est stoppé et que l’âme s’immerge dans le brahman – dont la nature est la paix parfaite – cette âme cesse d’éprouver un plaisir relatif temporaire et jouit d’une paix parfaite : la Félicité. Ainsi on peut dire que la réalisation du Soi est Félicité ; c’est le Soi réalisé en tant que l’oeil spirituel sans limites (jnanadrishti) et non pas la clairvoyance ; c’est l’abandon de soi à son plus haut niveau. Tandis que le
samsâra (le cycle du monde) est souffrance ». (
Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).
Même entretien 28 : Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction. Prenez la
bhakti [dévotion] : Je m’approche d’Ishvara et je prie afin d’être absorbé en Lui. Je m’abandonne dans la foi et le recueillement. Que reste-t-il après ? À la place du ‘je’ initial, ce qui subsiste après l’abandon total de soi-même est Dieu, dans lequel le ‘je’ s’est dissous [
”Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa Source”]. C’est la plus haute forme de dévotion (
parabhakti ou
prapatti), l’abandon total ou le niveau suprême de
vairâgya.
Vous renoncez à telle ou telle chose qui fait partie de « vos » possessions. Si, au lieu de cela, vous renoncez au ‘je’ et au « mien », tout est abandonné d’un seul coup. Le germe de la possessivité a disparu [évidemment ce ne sera pas le
”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux” des Schwab-Harari et du co-ceci, co-cela et co-vouturage]. Le mal est alors écrasé avant même d’avoir pu éclore. Pour parvenir à ce résultat, le non-attachement (
vairâgya) doit être très fort. La volonté de parvenir doit être comparable à celle d’un homme que l’on maintient sous l’eau et qui s’efforce de revenir à la surface pour survivre ».
- Q. : On dit que la grâce divine est nécessaire pour atteindre avec succès un mental sans pensées (
samâdhi). Est-ce vrai ?
- M. : Nous sommes Dieu (Ishvara). Et Ishvara-drishti (se voir en tant que Dieu) est en soi grâce divine. Aussi nous avons besoin de la grâce divine pour obtenir la grâce de Dieu.
Le Maharshi sourit et tous les fidèles se mirent à rire.
- Q. : Mais n’y a-t-il pas une différence entre la faveur divine (Ishvara-anugraha) et la grâce divine (Ishvara-prasâda) ?
- M. : Le fait de penser à Dieu est une faveur divine ! Par nature, Dieu est grâce (prasâda ou arul). Et c’est par la grâce de Dieu que vous pensez à Dieu.
- Q. : La grâce du Maître n’est-elle pas le résultat de la grâce de Dieu ?
- M. : Pourquoi établir une distinction entre les deux ? Le Maître est identique à Dieu. Il n’est pas différent de Lui.
(Ramana Maharshi, entretien 29 du 4-2-1935).
Entretien 30 même date :
Mr. Natesa Iyer, brahmane orthodoxe et avocat dans une ville du sud de l’Inde, demanda :
« Les dieux Ishvara ou Vishnou et leurs demeures sacrées, le mont Kailâsa et Vaikuntha, sont-ils réels ? »
- M. : Aussi réels que vous êtes dans ce corps.
- Q. : Possèdent-ils un vyavahâra-satya, c’est-à-dire une existence phénoménale comme mon corps ? Ou bien sont-ils une fiction comme les cornes du lièvre ?
- M. : Ils existent vraiment.
- Q. : S’il en est ainsi, ils doivent se trouver quelque part. Où donc ?
- M. : Des gens qui les ont vus disent qu’ils existent quelque part. Nous devons donc les croire.
- Q. : Où existent-ils ?
- M. : En vous [puisque Nous sommes l’Univers, on n’en « sort » pas].
- Q. : Mais alors, ce sont simplement des idées que je peux créer et contrôler ?
- M. : Il en va ainsi de toute chose.
- Q. : Mais je peux créer de pures fictions, par exemple des cornes de lièvre ou bien des choses qui ne sont que partiellement vraies, comme des mirages, etc. Par contre, il existe des faits indépendants de mon imagination. Les dieux Ishvara et Vishnou entrent-ils dans cette dernière catégorie ?
- M. : Oui.
- Q. : Sont-Ils sujets au
pralaya (la dissolution cosmique) ?
- M. : Pourquoi le seraient-ils ? L’homme qui devient conscient du Soi transcende la dissolution cosmique (pralaya) et atteint la Libération (mukti). Pourquoi pas Dieu (Ishvara) qui est infiniment plus sage et plus capable ?
- Q. : Les dieux (deva) et les démons (pishâcha) existent-ils de la même manière ?
- M. : Oui.
- Q. : Comment devons-nous concevoir la Conscience suprême (chaitanya-brahman) ?
- M. : Comme ce qui est.
[…]
[En haut de page : Mithra, Dieu des religions à mystères, donc autres que les religions abrahamistes qui sont essentiellement moralistes et politiques pour faire du socialisme. Mithra symbolise la régénération physico-mentale par l’énergie du sang, puis par l’énergie solaire, et enfin par l’énergie divine. Mithra, Osiris, Dieux solaires identiques au Christ du cycle de mort et de résurrection comme la GRAINE.
Le mithriacisme s’installera chez les Anciens Romains pendant le premier siècle avant nostre ère, importé par des pirates ciliciens capturés par Pompée ; mais ce culte était déjà pratiqué bien avant par les communautés esséniennes de Palestine. Cependant là encore dans ce symbole de Mithra, COMME TOUS LES SYMBOLES SANS EXCEPTION SONT DOUBLES, il faut distinguer le VRAI SOLEIL, du faux soleil vu dans le mithriacisme tombant dans une
« religion de militaires » : la fraternité des
« frères d’armes » (les femmes ne seront jamais admises aux rites initiatiques de Mithra). Bref, ces initiés CROYAIENT SE BATTRE POUR LE PUR CONTRE L’IMPUR ! Le 33è judéo-maçon spéculatif
C.W. Leadbeater écrit page 150 dans
Rites mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, que cette LOI DE SUCCION pour le
« bien » a été transmise jusqu’à ce hui par la lignée traditionnelle culdéenne (relafif à l’église celtique d’Écosse, avant et pendant la romanisation des îles britanniques : de
céli dé (compagnons) ou
”serviteurs de Dieu”. Parmi les batailles médiévales pour la possession de la région, on trouve la bataille de
Kilwinning, berceau de la franc-maçonnerie actuelle du
degré Rose-Croix de Herodom.
C’est évidemment là que se situe LE DOUBLE SOLEIL : LE VRAI ÉTANT AMOUR-GRATUITÉ, LE FAUX ÉTANT GUERRE-VIOLENCE-POSSESSION-OPINIONS. Il y a un gouffre sans fond entre
« fraternité d’armes » (issue de la découverte du feu vulgaire et de la thermodynamique) et la Fraternité telle AMOUR-GRATUITÉ ! Le faux soleil sera ce catholicisme GUERRIER autant du Christ incarnationniste que du protestantisme causant des ethnocides chez les Peuples du Soleil (Incas, Aztèques, Mayas, etc.) que chez les Amérindiens au 19è siècle en Amérique du Nord. L’ethnocide des Vendéens en 1793 par le pouvoir républicain français et son
« être suprême » et faux soleil en monothéisme unilatéral républicain !!!
Le Lion de Mithra avec l’Abeille dans la gueule, l’Abeille un symbole de l’Âme et de la réincarnation sous forme d’Abeille. Abeille aussi symbole de la parole : en hébreu le nom abeille,
dbure, vient de la racine
Dbr : parole. À Éleusis et à Ephèse, les prêtresses portent le nom d’Abeilles. Dard et miel et l’Abeille sont considérés comme emblème du Christ : douceur et miséricorde, justice en tant que Christ-juge. Le symbolisme de l’Abeille chez les Celtes évoque les notions de sagesse et d’immortalité de l’Âme.
Mithra sous sa forme de VRAI SOLEIL ne peut bien-sûr que jouer un rôle essentiel dans la vie humaine prochaine. De plus, à Mithra au sens de Vrai Soleil, il faut ajouter la Tradition Atlantéenne transmise par les Chaldéens, mais QUELLE ATLANTIQUE, CAR TOUT EST DOUBLE ?….]
VRAI SOLEIL, ALQUIMIE = AL le Soleil EL (le Divin), principe Divin qui mit E ou tridents du E Trinité. Rassembler le Tout dans le principe/origine à partir de ce principe/origine.
MÉTAL : déjà on n’arrive pas à trouver une étymologie acceptable du mot MÉTAL dans un dictionnaire.
Première étymologie d’après le son : Met-Al : M de Matière et Al le Soleil (El). Al signifierait le Dieu Mithra, le SOLEIL, le conservateur, le sauveur (d’après
Godfrey Higgins, cité par H.P. Blavatsky dans
Isis dévoilée, page 70, vol.1) D’après Sir W. Drummond, cité dans Isis dévoilée,
Beth-El signifie la maison du Soleil.
Al et le Soleil et MOÏSE sont identiques (au sens du Vrai Feu). Évidemment si les anciens hiérophantes ou prêtres à religions à mystères ne considéraient le Soleil visible que comme un emblème du Soleil central invisible et spirituel, ils auraient alors accusé Moïse d’adorer les corps planétaires et de s’être rendu coupable de culte du Soleil, dont fait la partie le
« Buisson ardent » avec ses chefs se prosternant devant le Seigneur : le Soleil, et jusqu’à Abraham construisant des autels de Feu, et les sacrifices des Juifs monothéistes à
Astarté, la Reine du Ciel, il y a aussi l’héliolâtrie des Chaldéens (en référence à
Isis Dévoilée, et évidemment description du feu vulgaire qui allait donner la métallurgie, la chimie artificielle et les guerres et les bombes, les avions, les tanks, etc.).
Le mot Métal est si proche du mot MENTAL ! Évidemment ce n’est pas un hasard ! Dans Mental il y a M de Matière et N de Nord : orientation de l’idéation mais surtout le N de Noun ou la Sainte Eau chaotique originelle, NOUT sont les ondes courants sur Terre...
EAU = RÊVES - PLOMB = RÊVES (les noms chinois des métaux ‘k’ien’, le plomb ’T’ie’, le fer ’Tan’, le cinabre ’T’ong’ sont très voisin. Le caractère ‘kin’ désigne le métal lui-même, tandis que ’siao’ indique l’asociation entre l’idée de métal et celle de fusion, ou précisément EN EAU.
ALCHIMIE = RÊVE = FONDRE.
ET FONDRE = POINT, FUSÉE-FUSEAU-AXE (en chinois le caractère ‘tchou’ indique le POINT qui figure au centre du caractère qui désigne la ‘pilule de cinabre’ et de ’tchou’ : L’ESSIEU. Tout cela ne peut que participer de ce qu’un Alchimie on appelle LANGUE DES OISEAUX, là encore : domaine du rêve, du
« volatil » ; INSAISISSABLE, VOLATIL évidemment dans le sens du Gate gate ou dans le sens de la devise alchimique :
Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore (le contraire de ce monde en marche vers sa digitalisation, sa numérisation informatique complète…).
Alchimique ou ART DE LA MUSIQUE : LE GATE GATE EN PRINCIPE DE THÈME ET VARIATION : le Thème devient une Variation qui à son tour en devient un nouveau Thème, et ainsi de suite avec bien-sûr LE FIL ROUGE (qui n’est autre que le Laboureur ou Laboreor, le Labour ou l’ŒUVRE, l’OUVRIER celui qui OUVRE, qui ŒUVRE).
Arunachala un Saint Michel en 2023.