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La Vierge Noire et son Enfant Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 28-10-2023 10:33

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Marxengelsisme, Nation, Or, Penser, Racine du mal, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
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La Vierge Noire et son Enfant
le Blanc de l’Instant. (Noir ou ”Grand Réservoir
de toutes choses”
selon Homère en référence aux
EAUX PRIMORDIALES, la MATERIA PRIMA DU
SAINT CHAOS, à ISIS, à KEMIT la terre noire
de l’Égypte ancienne).
Le NOIR BRILLANT est identique au BLANC BRILLANT.
(voir la Pierre de la Mecque…..)
Et bien-sûr le Noir de l’ŒUVRE AU ROUGE…
 
”Pourquoi « devenir » ? Le penseur a toujours été le Réel La Conscience]. Il finira bien un jour par le réaliser. Parfois nous oublions notre identité – comme en sommeil profond et en rêve. Mais Dieu est conscience perpétuelle”. (Ramana Maharshi, entretien 31 du 4-2-1935).

- M. : Ce qui est né, c’est seulement le corps. Le corps est une création de l’ego. Mais l’ego n’est pas perçu en l’absence de corps. Il est toujours identifié avec le corps.
C’est la pensée qui pose problème. Que l’homme sensé se demande s’il était conscient de son corps lorsqu’il dormait profondément. Pourquoi le sent-il à l’état de veille ? Mais, bien que le corps ne soit pas ressenti durant le sommeil, est-ce que le Soi n’en existait pas moins ? Comment était cet homme en sommeil profond ? Et comment est-il à l’état de veille ? Quelle est la différence ? L’ego émerge, c’est le réveil. En même temps les pensées s’élèvent. Que l’homme trouve à qui appartiennent ces pensées. D’où proviennent-elles ? Elles ne peuvent que provenir du Soi conscient. S’en rendre compte, même vaguement, aide à l’extinction de l’ego. C’est alors que la réalisation de l’unique
Existence infinie devient possible. Dans cet état il n’y a pas d’individus en dehors de l’Existence éternelle. Il ne peut donc plus y avoir de pensée de mort ni de lamentations.
Si l’homme considère qu’il est né, il ne peut pas éviter la peur de la mort. Qu’il cherche donc s’il est né ou si le Soi a quelque naissance. Il découvrira que le Soi existe depuis toujours, que le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence de celle-ci est la racine de tout le mal.
Trouvez d’où jaillissent les pensées. Alors vous demeurerez dans le Soi toujours présent au plus profond de vous-même et vous serez libéré de l’idée de la naissance ou de la peur de la mort.
- Q. : Comment s’y prendre ?
- M. : Les pensées ne sont que des vâsanâ (prédispositions), accumulées au cours d’innombrables vies antérieures. Le but est de les annihiler. L’état libre de vâsanâ est l’état originel et de pureté éternelle [le scribe de la page souligne].
- Q. : Ce n’est pas encore clair.
- M. : Chacun est conscient du Soi éternel. L’homme, bien qu’il voie tant de gens mourir, continue à se croire éternel [tel le cas du winnerisme anglo-américain et son transhumanisme]. Parce que c’est la Vérité. Étant naturelle, la Vérité s’affirme d’elle-même, involontairement. L’homme s’illusionne à cause de la confusion du Soi conscient avec le corps inconscient. Cette illusion doit cesser.
- Q. : Comment prendra-t-elle fin ?
- M. : Ce qui est né doit mourir. L’illusion est concomitante à l’ego qui s’élève et disparaît. Mais la Réalité ne se lève ni ne disparaît jamais. Elle demeure éternelle. Le Maître qui l’a réalisée dit ainsi ; le disciple écoute, réfléchit sur ses mots et réalise le Soi. Il y a deux façons d’envisager cela.
Le Soi toujours présent ne nécessite aucun effort pour être réalisé, la Réalisation est déjà là. Il suffit de faire disparaître l’illusion. Certains disent que la parole venant de la bouche du Maître la fait disparaître instantanément. D’autres disent que la méditation et autres pratiques sont nécessaires pour arriver à la Réalisation. Les uns et les autres ont raison ; seuls leurs points de vue diffèrent.
(Ramana Maharshi, entretien 80 du 3-10-1935).

VIERGE NOIRE ET SON ENFANT :
parce que la « recherche » de sa propre identité est une illusion et un paradoxe : « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction » (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935). Le Seul Réel est précisément ce qui, pour être SANS COPIE, DONC SANS SOCIAL, SANS DEDANS-DEHORS, demeure réfractaire à toute entreprise d’identification ; c’est d’ailleurs illustré par l’OUROBOROS QUI SE FERME LA BOUCHE (tel en haut de page celui figuré en monstre s’étranglant avec sa queue, ou s’empêchant de ”consommer”, ”consumer”).
Le social, la copie, « le même et l’autre : le Même appartient au Réel, l’autre appartient à l’irréel (1), alors on peut jouer les Prométhée et s’autoriser à jouer aux identiques et aux différences comme ça le chaos s’installera à l’aise ! Mais le constructif là-dedans sera bien-sûr le BOLG (enfler), SYMBOLE de L’AMBIGUÏTÉ L’ENNEMI DE L’INFORMATIQUE ! CAR VRAIE TRANSPARENCE NATURELLE (fractale)…. Rejoint aussi la dualité Ici-Ailleurs de Jacques Lacan : une identité qui SOUMET L’INDIVIDU AU DEHORS, À L’AUTRE, AU SOCIAL ! Il est connu que c’est la société, le social, qui rend fou (en France par exemple ceux qui sortent d’un hôpital psychiatrique sont « SOCIALISÉS » À OUTRANCE !) Comme si l’identité, le ‘moi’, dépendait uniquement de la « pression extérieure »….. SI L’AUTRE, LE SOCIAL EXISTAIT, semble le mentionner Lacan dans ses Écrits. Et là on retombe dans le « COMME SI » décrit par Nagarjuna à la Stance 17,31-33 : « De même que le Maître [le jnani ou Libéré vivant] par son pouvoir miraculeux [le Zéro Indien], crée un être magique [Adam par exemple, ou un big bang] et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre [le ”Croissez et multipliez” tel le FRUIT, le BÉNÉFICE ou plutôt BÉBÉFICE] à son tour, de même que l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [un socialisme, une fractale].
Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes, sont pareils à un mirage, à un songe ».
De ce fait, Dieu et l’homme sont du domaine du ”COMME SI”, comme LE JEU D’ENFANT : « On fait comme si le loup y était », afin de se CRÉER UNE PEUR, UNE CAROTTE POUR AVANCER, UN SCÉNARIO, UNE HISTOIRE-ESPACE-TEMPS, UN MESSIE, POUR S’A-MUSER (du A privatif et muse : se priver de Muse, ou de l’ESSENCE, de la RACINE). Donc le monde, le ‘moi’ fabricant du monde, SONT AMBIGUÏTÉ. ILS NE SONT NI RÉELS, NI IRRÉELS, sinon, si on choisit l’un ou l’autre ON TOMBE DANS LES GUERRES SANS FIN QUI ONT TOUJOURS FAIM À CAUSE DE L’OPINION FOURGUÉE PAR L’EGO HUMAIN. AMBIGUÏTÉ, ”COMME SI”, OU ”EN QUELQUE SORTE”, ”POUR AINSI DIRE”. ÇA S’APPELLE AUSSI LE FLÉAU. (L’autre FLÉAU serait qu’il n’existe AUCUN BIG BANG et donc AUCUNE HISTOIRE, AUCUN « COMME SI », ce serait alors du nihilisme en forme d’opinion modèle ”être et non-être”, au choix, comme on choisit la couleur de ses slips).
Mais, cette ek-stase, extase, ne doit pas faire « sortir » Dehors puisqu’ELLE EST NOSTRE ÉTAT NATUREL : LA FÉLICITÉ, donc aucune sortie « hors de soi » : IL N’EXISTE AUCUNE CHUTE, RIEN N’EST À RÉPARER, AUCUNE LIBERTÉ N’EST À INVENTER (l’Ouroboros de ferme la gueule)…..

Note.
1. Le scribe de la page rapporte le fait en octobre 2000 de voir sa mère à l’hôpital le premier jour de son AVC à 89 ans, quand il fut stupéfait de voir le médecin présenter une pancarte à sa mère pour « savoir » si elle était à même d’avoir conscience de l’inscription au feutre noir sur la pancarte, lui demandant si elle était consciente. LE MÉDECIN, LE DEHORS, NE SAVAIT PAS, MALGRÉ SA TOUTE PUISSANCE DE MÉDECIN RENFORCÉE PAR SON INSTITUTION : L’HÔPITAL PUBLIQUE, ÉTAIT RÉDUIT DANS CE CAS À L’ÉTAT D’UN ENFANT IGNARE (en plus, question ”représentation” de la scène au sens cinématographique, ce ”médecin” semblant sortir des ”beaux quartiers” comme on dit ; bref, jeune, tête de ”jeune premier” façonné par son milieu social, il sortait immanquablement de la culotte d’un bourgeois résidant dans ces ”beaux quartiers”…).
Il n’y a pas que le médecin qui NE SAIT PAS : L’HUMAIN EN SA TOTALITÉ NE SAIT PAS. « Nous connaissons la matière par un pur pragmatisme scientifique, mais nous ne la « savons » pas. Notre corps physique, nous le « savons » si peu, que nous avons recours à des médecins quand il ne tourne pas rond, et le médecin lui-même ne « sait » pas. La science médicale est un pur pragmatisme », écrit si justement Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 11 à Aimé Michel, le 14-2-1972.
 
 

Dernière mise à jour : 28-10-2023 10:50

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