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La Fin des Temps = le SURFEU Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-02-2024 19:25

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Archange Michel, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Dragon, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Histoire, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Logibriquet, Logiquopinion, Marxengelsisme, Nation, Noël, Or, Paix, Penser, Pierre, Pont, Ptah, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Temple, Temps, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
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La Fin des Temps = le SURFEU
ON SE LA FAIT SOI-MÊME par
le « Qui suis-je ? »,
et certainement pas dans le Dehors
d’un socialisme politique de messianisme
judaïque, un socialisme où le winner qui
mange le loser, a gagné.
MESSIANISME = COMMERCE : quand on aime sur
Terre, c’est attendre en même temps quelque
chose de l’autre ; c’est du commerce, du social,
de l’échangisme en intérêts (de conflits),
appelé « démocratie ».
 
 
COMMERCE = LA MORT POSSÉDÉE (le refus de mourir si présent dans l’actuel monde mécanisé, virtualisé, monde chimique-chimérique de l’industrie du capitalisme et de ses prothèses).
La MORT GRATUITE, ACCEPTÉE COMME COMPAGNE OU AMOUR = PRIVATION DE MORT, ce sera l’ENVERS DU COMMERCE DU MESSIANISME : PROMETTRE (une terre, un paradis, un objet-objectif, une éternité).
LE MONDE MERCANTILE REFUSE LA MORT PARCE QU’ELLE LUI FAIT PEUR, et son Pour-Voir utilise cette PEUR de la mort POUR MANIPULER LES MASSES (cas récent du covid-19 et du 11-9-2001 par exemple)(1).
MORT POSSÉDÉE = CROYANCE AU CORPS ET MORT INTERDITE OU INJURE ENVERS LA MORT, ET DONC INJURE ENVERS LE VIVANT : CE MONDE MERCANTILE EST AINSI UNE INJURE ENVERS TOUT LE VIVANT SANS EXCEPTION : du moucheron et de la brindille de liseron jusqu’à l’éléphant en passant par la Montage, l’Océan et l’Humain.

Ce monde actuel de la « propreté », de l’hygiénisme (période covid-19 et du « soin méticuleux » tel le « sans contact » [y compris dans la carte bancaire]) et du « bien » où ne doivent pousser aucunes « mauvaises herbes » (aucun terroriste) est comme ce qu’indique la psychanalyse : LA PROPRETÉ EST UNE MALPROPRETÉ identique à cette obscénité du monde actuel qui a des OPINIONS (des infos) sur tout et qui les diffuse en réseaux de façon narcissique.
La peur de la mort est une obscénité envers la Vie et la Mort faisant partie de la Vie.


Devise Alchimique : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore ». Signifie entre autres que le jour où l’humain comprendra ce qu’EST L’UNIVERS, et le POUR QUOI IL ET LÀ, le dit « Univers » disparaîtra pour se transmuter en quelque chose d’abyssalement bizarre et inextricable. C’est une définition de l’INSAISISSABLE.

Un médecin de famille rendait tous les jours visite à un patient absolument terrifié par sa fin prochaine. Mais un jour le médecin eut la surprise de trouver son patient assis dans son lit et radieux. En réponse aux questions du médecin, le patient lui explique qu’il avait reçu la visite de son ami et voisin, mort déjà depuis trois ans, et qu’il l’avait rassuré à propos de la mort. Deux jours plus tard, l’homme si terrifié et maintenant rassuré mourait dans la Paix retrouvée (qui est simplement LA MORT ACCEPTÉE ET NON PLUS POSSÉDÉE). Des témoignages comme cela sont évidemment opinionés comme des hallucinations, ou de la confusion mentale à cause d’une fin prochaine, des effets secondaires de médicaments sédatifs et anti-douleurs. Cependant la psychiatre suisse, Elisabeth Kübler-Ross, en parle dans ses livres, qui ont brisé le tabou de la mort et de l’agonie dans le monde de la médecine capitaliste de Big Pharma ; la psychologue française Marie de Hennezel qui a passée de longues années au chevet des mourants en parle également ; ainsi que le médecin américain, John Lerma, et d’autres personnes comme des infirmière impliquées dans le monde de la fin de vie. (Réf. Mort ou pas ? Les dernières découvertes médicales sur les EMI, du Dr. Pim Van Lommel, médecin et cardiologue).
 
LA MORT N’EST QU’UNE PENSÉE : « La mort n’est qu’une pensée et rien de plus. Celui qui pense provoque des difficultés. Que le penseur nous dise ce qui lui arrive quand il meurt. Le ‘Je’ réel est silencieux ». (Ramana Maharshi, entretien 248 du 15-9-1936).

En rapport avec une FIN DE VIE RADIEUSE, UNE MORT ACCEPTÉE et L’UNIVERS DANS LE MENTAL :
Un vieillard s’étant démis la mâchoire en tombant, ses dents se mirent à claquer et à grincer sans arrêt, de jour comme de nuit, éveillé et endormi. Or les grincements de dents sont dans le corps ce que les roulements de tonnerre sont dans le ciel, et le tonnerre, qui est l’arme avec laquelle le Seigneur d’en Haut châtie les consciences coupables et les anéantit est la terreur des Dieux et des Démons. Aussi les Dieux de l’intérieur du corps du vieillard n’osaient-ils pas sortir, terrorisés par le tonnerre de ces dents qui claquaient sans cesse. Le terme fixé à sa vie arriva sans qu’il mourût, parce que les Dieux ne pouvaient pas quitter son corps ; et en vain, le Directeur du Destin envoya-t-il messager sur messager pour leur ordonner de sortir, mais les messagers parvenus auprès de ce vieillard immortel reculaient aux aussi devant les éclats de ce tonnerre effrayant.
Si bien que les années et les siècles passèrent sans que le vieillard ne meurt.

Il avait fini par se croire immortel. Un jour d’hiver qu’il sortit, il fut saisi par le froid, de telle sorte que ses dents pendant un Instant cessèrent de grincer : les Dieux n’étant plus effrayés par le tonnerre en profitèrent aussitôt pour s’enfuir hors du corps, lequel mourut sur-le-champ.
(Le Taoïsme et les religions chinoises, de Henri Maspero, chapitre : Les Dieux Taoïstes, comment on communique avec eux, page 477, 19-11-1937).
Henri Maspero a raison d’écrire que trop de familiarité avec les Dieux TUE LES DIEUX : disparition des temples et des fidèles, et place maintenant au mercantilisme du spatio-temporel de la laïcité et du tout connecté des productions informatiques des industries du capitalisme : « LES DIEUX SONT DÉCIDÉMENT TROP PRÈS DE L’HOMME ».

RAPPEL : En Chine au temps de la Taoïcité, il y avait des auberges gratuites et publiques, qui fournissaient riz et viandes.

PAS DE FIN DES TEMPS :
Le Réalisé vivant EST Dieu : « Le Royaume de Dieu est en vous ». « Tous sont d’accord pour dire que Dieu est en nous. Alors qu’est-ce qui doit descendre ? Et d’où ? Qui descend quoi, et pourquoi ?
La Réalisation consiste simplement à écarter les obstacles qui empêchent de reconnaître la Réalité éternelle et immanente. La Réalité est. Elle n’a nul besoin d’être amenée d’un endroit à un autre ». (Ramana Maharshi, entretien 201 du 14-6-1936).

Le Réalisé vivant EST, le TAO Lui-même : c’est pourquoi on dit qu’Il n’a pas de connaissance, car la connaissance tombe dans la POSSESSION par la dualité du sujet face à l’objet à saisir, la connaissance-dualité implique une SÉPARATION SPATIO-TEMPORELLE entre le sujet connaissant et l’objet connu ; celui qui connaît est en Dehors des choses comme s’il « sortait » de l’Univers, et l’humain en état d’union avec le TAO n’est pas en Dehors de l’Univers ou des choses, il n’est pas différent des choses, puisqu’Il est identique au TAO qui est en elles, qui est elles, qui est l’Ultime Réalité de toutes choses, masquée au mental humain ordinaire par l’illusion des phénomènes comme les images ou infos qui défilent sur un écran ou sur un mur, ou sur du papier journal ou médiatique. La connaissance actuelle n’est que futilité, A-musement : du A privatif, privation des Muses lesquelles sont la Vraie Inspiration telle l’Intuition. La connaissance actuelle n’est que la RÉCOLTE D’UNE PRODUCTION DE CHOSES CONDITIONNÉES par le fait même de les récolter, de les posséder.
 
Note.
1. Contrairement aux humains modernes, les humains anciens n’avaient pas peur de la mort :
Preuve que les Anciens n’étaient pas, comme actuellement, aliénés pas la croyance au corps : entre autres Peuples Anciens, les Gaulois étaient des Peuples POUR LA MORT, AU SENS DU SURFEU : LE DÉPASSEMENT DE SOI-MÊME. Ainsi César décrit-il une scène incompréhensible pour son Empire étatique : une baliste (projecteur de balle, un boulet de pierre) est mise en place devant une porte de l’Oppidum. Les Gaulois n’ont d’autre ressource que de s’exposer pour lui lancer de la poix [goudron ou résine de bois] qui peut l’incendier. Plusieurs fois de suite, les guerriers s’exposent le torse nu pour alimenter les flammes, plusieurs fois de suite ils sont transpercés par le tire de la baliste. À chaque fois qu’un Gaulois tombe, un autre vient tranquillement prendre sa place. C’était bien-sûr, une nécessité vitale pour eux de mettre l’engin de guerre hors d’usage. Mais les Gaulois savaient se protéger et, connaissant l’usage de la cuirasse et des boucliers, s’ils y vont torse nu c’est pour s’exposer délibérément. C’est que, comme l’a montré Pierre Clastres, l’existence du guerrier [au sens du pouvoir et de la chefferie] est un danger pour la société sauvage [originelle], aussi icelle le pousse-t-telle, s’il veut garder son titre de guerrier, à s’exposer de plus en plus, à surpasser en permanence ses exploits et ce jusqu’à la mort. Il semble d’ailleurs que pour cette raison, lorsque la communauté celtique eu atteint presque toutes les limites de l’Europe - par la guerre - et se fut heurtée aux cités fortifiées méditerranéennes - Rome, Delphes, Pergame, Marseille, les villes du littoral andalou -, noix trop dures à croquer pour elle, le mercenariat des Celtes, à la solde de pouvoirs étrangers, utilisa cette débauche d’énergie. On peut se demander pourquoi la société pousse ainsi le guerrier toujours plus en avant, la raison en est simple, c’est que sans cela il serait un trouble pour l’indivision [l’INSAISISSABLE, le scribe de cette page souligne]. Impropre au travail, il est tenté de vivre du travail des autres - faute de guerre et de butin [principe de l’actuel capitalisme : ”Régime économique et social dans lequel les capitaux, source de revenu, n'appartiennent pas, en règle générale, aux personnes qui les mettent en œuvre par leur propre travail”, dic. Le Robert et principe direct de la schwaberi-harari : ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux” (identique au Code du Deutéronome 12,2-5), et définition du capitalisme par Fernand Braudel : ”Privilège du petit nombre, le capitalisme est impensable sans la complicité active de la société”, éminemment pyramidale comme actuellement].
En outre, la constitution autour des chefs de « suites guerrières » POURRAIT être l’embryon d’un appareil [un ”isme”] d’État spécialisé [actuelle mode du spécialiste où tout le monde depuis le 1789 français est devenu le roi, le consommateur], monopolisant la violence à son seul profit [la violence légitime d’État, alors que celle des peuples est évidemment « illégitime »… Cherchez l’erreur !]. En effet, les Celtes - comme les Indiens - nomment un chef de guerre à qui ils doivent obéissance absolue en campagne. C’est ce que fut Vercingétorix qui ne fut nullement roi des Avernes, son nom indiquant seulement son origine royale, ce qui est très différent. En temps de paix, le peuple est délié de toute obéissance envers ce chef. […] Sans la nécessité pour le guerrier de se surpasser, c’est-à-dire de mourir [et ici équivalent du SURFEU OU RÉVÉLATION DE LA PREUVE SUPRÊME DE LA VRAIE VIE], on pourrait craindre que les ”suites guerrières” ne se transforment en embryon d’État [ET C’EST CE QUI SE PASSE DEPUIS DES MILLÉNAIRES DANS LES MONDES DE LA « DÉMOCARNIE » QUI COMPTE ET CONTE] ; ce sont en effet ces « suites », qui constituent ce que César croit être la nombreuse clientèle des chefs, quoique ce concept ne sont en rien comparable avec ce que nous décrivons ici. En réalité le péril de l’État fut exorcisé et la société laténienne mourut - tuée par Rome - justement parce qu’elle s’était refusée à en constituer un ». (Le Défi Celtique, Alain Guillerm, pages 182-184).
 
 

Dernière mise à jour : 02-02-2024 02:51

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