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Circulus du Hiéroglyphe égyptien du H Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-02-2024 17:17

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Archange Michel, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Dragon, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Histoire, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Logibriquet, Logiquopinion, Marxengelsisme, Nation, Noël, Or, Paix, Penser, Pierre, Pont, Ptah, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Temple, Temps, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
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Circulus du Hiéroglyphe égyptien du H
H : Manifestation, Incarnation et union
des contraires : Réalisation d’Hermès.
Par la Con-naissance de la Vraie Demeure
du Sans Demeure puisque le début est
identique à la fin.
 
H sera la Manifestation et M
sera le Vase (en haut de page), la
neutralité comme le vase contenant l’eau
lui donne la forme du Vase.
M ou Vase = l’idée du contenant, mais en
tant que « milieu » le M-Vase peut recevoir
et laisser en gestation en lui tout ce
qu’il contient, comme la Semence, le Contenant.

M et H ensembles = la passivité vivant, apte
par se neutralité à recevoir une pulsion,
dans la balance Agent-Patient.




O-céan : Ici et Maintenant dans le Circulus du Hiéroglyphe égyptien du H (la cordelette verticale entrelacée avec ses deux ouvertures en bas, faisant très Nikola Tesla, et pour cause…).

Quand les yeux sont fermés, c’est le Centrum Centri et perte de l’ego (tel dans le sommeil profond sans rêve) ; quand les yeux sont ouverts, c’est la dualité sujet-objet et l’état de différenciation et concentration dans lequel la distinction entre le connaisseur et la connaissance, et le connu, mais n’est pas encore effacée, domptée.
Cet état éternellement présent ne peut qu’être l’état naturel et sans commencement ni fin, en Circulus (Ouroboros) :
Donc ÊTRE COUR, ou MAÂT (comme la Déesse égyptienne, la Plume, l’antigravitation et anti espace-temps), pouvant facilement symboliser l’expérience de l’EMI (Expérience de Mort Imminente) : le ‘Moi’, le ‘Je’, est comme l’écran de cinéma : l’écran est le Témoin : il reçoit les images, une scène du film montre un incendie, ou une inondation, l’écran n’est ni brûlé ni mouillé ; il est le Témoin, c’est-à-dire qu’il ne s’identifie pas à ses expériences : « J’ai un corps, mais je ne suis pas ce corps ». « J’ai des désirs, mais je ne suis pas ”mes” désirs » ; « J’ai des pensées, des opinions, mais je ne suis pas mes opinions ».
État d’être Cour ou Maât = Centrum Centri, TAO, L’ÉCRAN, tout ce qui reste pur et n’est pas affecté par les projections (la manifestation, les infos, les effets, le monde, les problèmes).
C’est cela qui ne peut pas être rejeté. Le SURFEU sans flamme ni cendres qui apporte la preuve absolue de son Être quand ce feu se dévore Lui-même (Ouroboros) : l’Être se totalitarise sur l’Instant de sa perte (de l’ego, des ”ismes” et croyances) et l’intensité de son Renoncement (son Silence) apporte la preuve suprême de son existence.
C’est Cela qui ne peut être rejeté : un état d’ÊTRE éternellement présent, Ici et Maintenant ou Maât, dans le Silence.

L’ego est le même durant l’état de veille, de rêve et de sommeil profond. Trouver la Réalité sous-jacente à ces trois états. C’est là la véritable Réalité. Dans cet état, il n’y a plus que ÊTRE, ce qui ne peut pas être rejeté.

Ce qui ne peut pas être rejeté, c’est le N’EST PAS X du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). Ainsi on ne peut pas rejeter le Gate gate de cette perpétuelle ERRANCE, cela fait que le REJET N’EXISTE PAS PUISQU’IL N’EXISTE PAS DE LOI DE SUCCION : LE BESOIN OU LA SAISIE DE QUOI QUE CE SOIT EST IMPOSSIBLE (”Il est impossible de vouloir obtenir quoi que ce soit”, Eka, ou Huike, Maître Chan, 487-593, le second Patriarche de la Transmission du Chan après Bodhidharma, v. 532) ; on ne prend ni ne veut. Le concept de rejet n’est qu’une Variation du Thème de la dualité MANQUE-RESTE, si chère aux mécanos Tiqounistes (les réparateurs rabbiniques de la Chute)

« On devrait être naturellement en état de samâdhi [absorption totale dans la contemplation], en son état originel, au sein de n’importe quel environnement ». (Ramana Maharshi, entretien 54, 16-6-1935).

Evidemment, dans nos milliers d’années de nostre ère de la bouffe, de la saisie et du temps du faire/fer et du récent ”marché” qui rouille, la con-templation semble absurde ! Le ventre et le bas-ventre du faire/fer et du marché passe avant tout par la croyance….

« Ne courez pas après les phénomènes (bleu du ciel, naissance et mort, etc.) ; ne demeurez pas dans la Vacuité (pas de fixation ou de coagulation, pas de dogme).
Les religions prônent la recherche de la Vérité et la lutte contre les illusions ». Le Gate gate identique au Chan est sans but, donc sans saisie, sans profit ; évidemment là encore ça semble absurde.

« Quand les sens sont plongés dans l’obscurité, c’est le sommeil profond ; quand ils sont plongés dans la lumière, c’est le samâdhi. Tout comme un voyageur endormi pendant son voyage est inconscient du trot, de l’arrêt ou du dételage des chevaux, ainsi le jnâni en état de sahaja-samâdhi est inconscient des événements, des états de veille, rêve ou sommeil profond. Dans cet exemple, le sommeil profond correspond au dételage des chevaux. Le samâdhi correspond à l’arrêt des chevaux, parce que les sens sont prêts à passer à l’action, tout comme les chevaux arrêtés sont prêts à reprendre leur course.
Dans le samâdhi, la tête ne penche pas en avant parce que les sens sont toujours présents, bien qu’inactifs ; alors que la tête penche en avant lors du sommeil, parce que les sens sont plongés dans l’obscurité. Dans le kevala-samâdhi, les activités (vitales et mentales) et les états de veille, de rêve et de sommeil profond sont simplement immergés, prêts à s’élancer à nouveau lors du retour à un état autre que le samâdhi. Dans le sahaja-samâdhi, les activités (vitales et mentales) et les trois états sont détruits et ne réapparaissent plus jamais. Cependant, certains remarquent que le jnâni demeure actif, mange, parle, marche, etc. Lui-même n’est pas conscient de ces activités alors que son entourage les remarque [état de COUR…]. Elles procèdent de son corps et non de son vrai Soi, le svarupa. Le jnâni est comparable au voyageur qui dort, ou à un enfant tiré d’un sommeil profond pour être nourri et qui n’en a pas conscience. Au réveil, l’enfant dit qu’il n’a pas bu de lait avant de s’endormir. Même si on s’efforce de le lui rappeler, il ne peut s’en convaincre. Il en va de même du jnâni en sahaja-samâdhi ». (Ramana Maharshi, entretien 82 du 16-10-1935).


Sommeil Kevala Sahaja
Mental vivant Mental vivant Mental mort
Mental plongé dans l’oubli Plongé dans la Lumière Fondu sans le Soi
  Tel un seau attaché à une corde et immergé dans l’eau d’un puits Telle une rivière se déversant dans l’océan et perdant son identité
  Le seau peut être remonté par la corde La rivière ne peut pas refluer de l’océan.  Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source

TRANSMUTER LE PLOMB EN OR = SUPPRIMER LA PESANTEUR DU PLOMB MÉTAL, OU SUPPRIMER L’ATTRACTION, SUPPRIMER LA LOI DE SUCCION VULGAIRE.

« Les pensées ne peuvent fonctionner que s’il y a des objets ». C’est le COMMERCE, le CAPITALISME, le POUR-VOIR ou POUVOIR, la RAISON et le CALCUL (objectivisme) ; voilà pourquoi la ”raison” a autant de succès depuis le français « siècle des Lumières » et des riches perruques poudrées ; voilà pourquoi l’ordinateur religion (commerce) du tout connecté a autant de succès chez les Anglo-américains. Voilà pourquoi L’OBJET PÉTROLE, L’OR NOIR a autant de « va(o)leur » chez les Barilleux (prix du baril).

Les PENSÉES TYPIQUE DE SPEED ACTUEL EN TOUT CONNECTÉ : « Si vous suivez vos pensées, vous serez entraînée par elles et vous vous trouverez dans un labyrinthe sans fin ».

Ce qu’on ne peut pas rejeter : LA SOLITUDE (on nait seul et on meurt seul, personne ne le fera à notre place…).

« La solitude est une fonction mentale. Un homme attaché à ses désirs ne trouvera jamais la solitude, où qu’il aille ; un homme sans attachement est toujours dans la solitude.
[…]
- Q. : On dit qu’il y a au Tibet de nombreux saints vivant dans un état de solitude, et qui cependant rendent de grands services au monde. Comment est-ce possible ?
- M. : C’est possible. La réalisation du Soi est l’aide la plus grande que l’on puisse apporter à l’humanité. C’est pourquoi on dit que les saints sont des bienfaiteurs bien qu’ils restent isolés dans les forêts. Mais il ne faut pas oublier que la solitude n’existe pas uniquement dans les forêts. On peut tout aussi bien la trouver dans les villes, au beau milieu des occupations du monde ». (Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935).
« La solitude est partout. L’individu est toujours seul. Ce qu’il doit faire, c’est la découvrir en lui-même et non pas la chercher en dehors de lui ». (Ramana Maharshi, entretien 44 du 3-4-1935).

« … dans la sushupti (état de sommeil profond), il n’y a plus d’identification avec le corps et donc pas de perceptions ; de même, dans l’état transcendantal, l’identité avec le brahman met l’homme en harmonie avec toutes choses, et il n’y a rien qui soit séparé du Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 2 du 15-5-1935).
Dans l’entretien 3 : « Dans le sommeil profond, l’homme ne possède rien, pas même son propre corps. Et au lieu d’être malheureux il est parfaitement heureux. Chacun désire dormir profondément. La conclusion en est que le bonheur est inhérent à l’homme et n’est pas dû à des causes extérieures. Pour ouvrir les réserves du bonheur parfait, il faut réaliser le Soi ».

Ce qui ne peut pas être rejeté : « Mais dans le sommeil profond, il n’y a aucune perception. Peut-on dire pour autant que l’ego ne s’y trouve pas ? Pour avoir conservé le souvenir d’avoir dormi, il faut bien que l’ego ait existé. Qui est-ce qui a dormi ? Vous ne vous êtes pas dit durant votre sommeil que vous dormiez. Vous le dites maintenant, une fois réveillé.
L’ego est donc le même durant l’état de veille, de rêve et de sommeil profond. Trouvez la Réalité sous-jacente à ces trois états. C’est là la véritable Réalité. Dans cet état, il n’y a plus que ÊTRE, il n’y a plus « toi », ni « moi », ni « lui » ; plus de présent, ni de passé ni de futur. Cet état est au-delà du temps et de l’espace, au-delà de toute expression.
Il est toujours là ». (Ramana Maharshi, entretien 17 du 24-1-1935).


LE SOMMEIL SANS SOMMEIL.

Est l’état du jnânî (celui qui a réalisé le Soi).
« Dans le sommeil, notre ego est immergé et les organes des sens sont inactifs. L’ego du jnani est mort et il ne fait rien de son plein gré ou avec la notion qu’il est celui qui agit. En ce sens, il est dans un état de sommeil. En même temps, il n’est inconscient comme dans le sommeil profond, mais pleinement éveillé dans le Soi ; il est donc dans un état sans sommeil. Cet état de sommeil sans sommeil, ou de sommeil éveillé, appelez-le comme vous voulez, est l’état de turiya, le quatrième état du Soi. Sur Lui se déroulent, comme sur un écran, les trois états, veille, rêve et sommeil profond, laissant l’écran non affecté ».

Bhagavân fit remarquer que nous cherchons ce qui n’existe pas [les ”Comme si”] au lieu de nous en tenir à ce qui existe. Nous nous préoccupons du futur et du passé [surtout les malades atteint de politique qui se prennent pour des ”sauveurs” tels les transhumanistes et leur oligarchie en bandes organisées dans un régime républicain] et nous ne sommes pas conscients de la vérité du présent. Nous ne connaissons ni le début ni la fin, mais nous connaissons le milieu. Si nous trouvons la vérité de cela, nous saurons ce qu’est le début et la fin. Bhagavân cita la Bhagavad-Gîtâ X,20 : « Je suis le Soi qui siège dans le cœur de tous les êtres ; je suis leur début, leur milieu et leur fin  [Le CENTRE EST NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT] ».
Bhagavân dit aussi que la seule Réalité est le mauna (le silence) et il cita Thâyumânavar (1) : « Si nous examinons toutes les religions qui paraissent si différentes, nous n’allons leur trouver aucune discordance. Elles ne sont que le jeu du Seigneur. Elles finissent toutes dans le silence, comme les fleuves qui se fondent dans l’Océan ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 21-11-1945 après-midi). Comme le régime républicain qui finira naturellement lui aussi par se couler dans l’Océan.

« Il n’y a pas de différence entre le rêve et l’état de veille si ce n’est que le rêve est court et l’état de veille est plus long. Les deux sont dus au mental.>Parce que l’état de veille est long, nous imaginons qu’il est notre état réel. Mais en fait notre état réel est ce qui est appelé turîya ou le quatrième état [le scribe de la page souligne]. Il est immuable et ne connaît rien des trois autres états (avasthâ) [tel le Centre qui est nulle part et la Circonférence qui est partout : veille, rêve, sommeil profond]. Parce que nous appelons ces trois états avasthâ, nous appelons aussi le quatrième état turîya-avasthâ. Mais en réalité il ne s’agit pas d’un avasthâ, mais de l’état réel et naturel du Soi. Quand nous le réalisons, nous savons qu’il ne s’agit pas d’un quatrième état en tant que tel, car cet état ne serait que relatif, mais de turîyatita, le ”quatrième état” qui transcende les trois autres [tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout] ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 5-1-1946 après-midi).

De nos jours le SOMMEIL SANS SOMMEIL (le sans espace-temps) DEVIENT LE PROMÉTHÉEISME IDENTIQUE À CELUI DE L’ANTIQUITÉ.

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Le Circulus du Hiéroglyphe égyptien du H se retrouve probablement chez un dément qui en fait une arme, dont un instrument de manipulation du vivant, c’est exactement du prométhéeisme, le retour de bâton sera terrible, comme pour le Prométhée (dans la Chine antique on mangeait le foie de ses ennemis… Le foie générateur d’énergie…)
Toute arme scalaire (armes "énergétiques" et "à énergie dirigée”, électromagnétisme scalaire devient l’électrogravitation) = le prométhéeisme… Et le machin ARN messager en est une variation de ce Thème de Prométhée au même titre que la découverte du feu vulgaire et sa domestication qui donnera la thermodynamique, la chimie industrielle, la métallurgie et les guerres (armure, flèche, fusil, boulets de canons, grenades et bombes, tanks, avions, etc.)
Voir la page http://voltair.free.fr/scalar/scalaire.htm

Note.
1. Thâyumânavar : saint et philosophe tamoul (1705-1742), compositeur d’un grand nombre d’hymnes et de poèmes advaïtiques (non-dualité, non cause-effet).
 
 

Dernière mise à jour : 03-02-2024 17:43

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