Accueil arrow News arrow Dernières news arrow LA LOI SUPRÊME DU RÉGIME OU SA VA(O)LEUR
LA LOI SUPRÊME DU RÉGIME OU SA VA(O)LEUR Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-09-2023 08:17

Pages vues : 895    

Favoris : 135

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Celtes, Conformité, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Judéo-maçonnerie, Libération, Limite, Marxengelsisme, Or, Penser, Racine du mal, Réel, République, Religion, Robot, Saisie, Simplicité, Tiahuanaco, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke

 
pyrite4_460.jpg
 
 
LA LOI SUPRÊME DU RÉGIME OU SA VA(O)LEUR
L’OPINION : chaque humain plus que jamais
depuis la dégringolade de l’Église de Rome
et l’institution du MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN
EN SA LAÏCITÉ FRANÇAISE, est, dans sa façon
de penser, de sentir, un résultat de la vie,
de sa vie à lui.
IL EST FABRIQUÉ, MOULÉ DANS UN CADRE
MAINTENANT SOCIÉTAL (1) ET TEMPOREL.
IL EST CONDITIONNÉ, dans ce que le
mahayanisme appelle ”coproduction
conditionnée”
(2).
Le Soûtra du Diamant qui renseigne
le Gate gate est du concept mahâyâna.
 
Ce que le citoyenisé ou consommateur appelle
”liberté” n’est que le droit de rechercher les
conditionnements qui l’arrangent le mieux,
dont il jouit le plus, ce qui n’est pas possible
sans contredire ce qui convient à l’autre, au
social.
RÉSULTAT : la bande organisée qui s’appelle
« État » appelle son régime « État de droit »
ou pire : « démocratie », laquelle fonctionne
par conflits d’intérêts est condamnée à la
frustration permanente par ses propres limites.
Ainsi il y aura de perpétuels conflits entre
consommateurs, classes et nations qui se disent
« États de droit » (3).

En triomphant, la LIBRE PENSÉE signait son
ARRÊT DE MORT, car il est évidemment impossible
pour la bande organisée appelée ”gouvernement”
ou ”l’exécutif”, de gouverner en reconnaissant
à chacun le droit de ne pas être d’accord.
Le ”pouvoir du peuple” (la démocratie] est une
escroquerie, et les régimes d’assemblée, si subtil
que soit leur cuisine, n’ont pu tenir que parce
qu’en souterrain, en ”État profond”, occultement
s’exerçait la machinerie des appétits économiques
ou vulgaire loi de succion sur les citoyens et
les classes.
Comme la libre pensée n’existe pas dans l’étatisme
cet État de droit (3) est OBLIGÉ DE SE
TRANSMUTER EN MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN avec
ses consommateurs livrés à une même OMNIPOTENCE
INDIFFÉRENCIÉE, INCLUSIVISTE, en une collectivité
religieuse ou socialiste en un « DIEU » créé dans
les croyances en une forme de MONOTHÉISME
unilatéral et en impérialisme spirituel, très
visible dans l’Empire anglo-américain et
en France avec ses ”valeurs de la république”.

De cet impérialisme spirituel républicain,
SEULE la Réalisation du Soi (4) PRÉSERVE.
Seul le Vrai « Qui suis-je ? » correspondant
au Coincidentia oppositorum permet de se
libérer de l’emprise de cet impérialisme
spirituel républicain et socialiste.

La « démocratie » semble avoir triomphé dans
l’Empire anglo-américain que parce qu’on n’y
trouve plus de recherche sur la question de
savoir ce qu’est l’être humain, le
« Qui suis-je ? »
Le « Qui suis-je ? » s’est transformé aux USA
en transhumanisme et donc sur la RECHERCHE
INDIVIDUEL DE SON PROPRE « BONHEUR » CONCU
COMME « UN DROIT ÉMANANT DE DIEU » :
L’INDIVIDUALISME POSSESSIF SERA ALORS UN
DROIT FONDAMENTAL, ÇA EXPLOSE DANS
LA SOCIÉTÉ DU SMARTPHONISME ET DE SON
TOUS CONNECTÉS ALIÉNANT FAISANT CROIRE
À UNE « LIBERTÉ ». La ”liberté” pour chacun
d’agir selon son propre intérêt, sans que
l’État de droit n’y vienne trop fourrer
ses lois.
Dans l’Empire et forcément dans son transhumanisme
le « Qui suis-je ? » s’est transmuté en
« amour de soi » considéré comme « naturel » !
C’est-à-dire que le « Qui suis-je ? » est
transmuté en dialectique matérialiste historique
ou NATURALISME, LE LOCKEISME (5),
UN DÉSENCHANTEMENT DU MONDE « COMME SI »
LA NATURE ÉTAIT SALE ET QU’IL FALLAIT LA
REMPLACER, FAIRE ”MIEUX” QUE LA NATURE,
« Comme si » la nature était imparfaite,
le transhumanisme US le prouve assez.
Bref, TOUT EST FAIT DANS LA RACINE DU MAL :
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou
Eucharistie (dans son sens en la
croyance au corps ou attraction
”universelle”, la ”valeur d’échange”,
la ”baisse du taux de profit”].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme,
du Désir, du Sans-Forme, jusqu’à la
gloutonnerie spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable,
chapitre V, 14)

Ils sont introuvables pour la raison naturelle
que Nous sommes l’Univers et que la racine du
mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner
et POUR-VOIR comment il fonctionne :
ON SORT DU TROU POUR EXAMINER LE TROU,
et comme dans un Trou il n’y a rien d’autre
que le Trou : pas de Trou à voir.
POUR-VOIR OU POUVOIR SIGNIFIERA ALORS :
D’É-couvrir : augmentation de l’ego par l’opinion
ou le recouvrement de toutes choses par le MASQUE
LE RIDEAU DE SON EGO, CE SERA LA CHUTE :
SORTIR, DEHORS, SAISIR… ET TENTER D’AMÉLIORER
LA CONDITION HUMAINE : FAIRE « MIEUX »,
LE TRANSHUMANISME LE PROUVE ASSEZ…

La Pyrite de Fer que le scribe de cette page
a en face de lui EST DE SA FAMILLE, ELLE EST
AUSSI UN GURU… PYRITE QUI A UNE ÂME.
Ça peut s’appeler « L’ONTOLOGIE DU TAO »
(ontologie : partie de la métaphysique qui
s'applique à l'être en tant qu'être, son Soi,
indépendamment de ses déterminations
particulières ; et TAO : le TOUT, LE DIAMANT
OU GATE GATE, LA VOIE CONSTANTE OU LA VRAIE
VOIE, LA PORTE-PORTE puisque TOUT est dans TOUT,
fractal dans le SOLVE et COAGULE,
la seule Dualité honnête. Le TAO n’est ni le
Solve ni le Coagule).

Le « Mieux » cause la perte de ce monde
tout en en enrichissant certains.
« Il n’est rien en ce monde qu’il puisse
gagner par l’action qu’il accomplit, et
rien non plus par l’action qu’il n’accomplit
pas ; il ne dépend aucunement de toutes ces
existences, pour rien [qui soit à gagner] ».
(Bhagavad-Gîtâ 3,18).



Notes.
1. Le socialo-communisme lorgnant vers la planète entière commencé en URSS en 1917, a pris fin en 1991 pour laisser la place AU SOCIALO-COMMUNISME DU MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN (que certains appellent ”sociétal”) :
Le communisme, au contraire du capitalisme, parce que centré sur une conception bien définie de l'homme, si fausse qu'elle soit, tend à substituer aux classes, lesquelles se définissent par des critères économiques, une autre classification selon les critères d'une pseudo-spiritualité qui engendre des pseudo-castes : celles des paysans, des ouvriers, des fonctionnaires, des politiques, bref, celle du DÉLUGE DE SPÉCIALISTES PUISQUE CONSÉQUENCE FRANÇAISE DE 1789 OÙ TOUT LE MONDE EST DEVENU LE « ROI ».
Castes ouvertes, en principe, n'étant pas légitimées par la naissance, mais d'autant plus réelles qu'elles se définissent par un certain degré d'accès aux mystères dogmatiques d'une pseudo-spiritualité. Car la classe est de la Terre. La caste est de l'Esprit (pour réf. à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).

Le ”Sociétal” ou le communisme républicain et son ”Vivre ensemble”, avec nécessairement ses normes ou ”valeurs”, empêche toute CAPACITÉ VISIONNAIRE. L’orthodoxie républicaine et ses dogmaticiens NE FONT QUE FABRIQUER CONSTAMMENT DES LIMITES (lois, etc.) ET AINSI NE CONVOQUENT QU’À REJOINDRE LEURS PROPRES LIMITES.
2. Soit l’énoncé de la dualité cause-effet, ou en un autre nom : la « coproduction conditionnée » (pratîtya-samutpâda). Formule qui correspond au concept de « variations concomitantes », en n’oubliant pas que nos Anciens qui n’utilisaient que le langage parlé et n’étaient pas aussi matérialistes et calculateurs que maintenant se moquaient de la chose ou objet mais fonctionnaient en mettant en première place l’information à obtenir et par tous moyens, et ne s’embarrassaient pas de logique et autre analyse ; donc c’était tout, ou rien.
Le samsâra : cycle des naissances et des morts, monde phénoménal des noms-les-formes, est une « coproduction conditionnée » ; coproduction ou socialisme, collaborationnisme.

3. ÉTAT DE DROIT (d’après le juriste et psychiatre Pierre Legendre) : fondé sur le principe de la « raison », donc sur la France des gens riches qui se voulaient « philosophes » : les « lumières », et la France de Pasteur, selon la leçon du Prof. Macron.
Pierre Legendre, dans Le crime du caporal Lortie : « Je dirais, c’est une construction culturelle [?] d’une image fondatrice [inconscient collectif ?], grâce à laquelle toute société définit son propre mode de rationalité [c’est-à-dire que si deux individus sont d’une même opinion, ils fondent déjà une société, UNE CONVENTION] », « c’est-à-dire l’attitude de l’IMAGE, DE L’ILLUSION devant le questionnement humain sur la causalité ».
Pour Legendre cette construction du mental produit un « certain type d’institutions, une politique de la causalité [donc de la pure dualité guerrière ou d’opinion], dont procède ce montage de l’interdit [donc nécessairement de la LIMITATION PAR FRUSTRATION ET DE LA SOUMISSION] que nous appelons en Occident l’État et le Droit ».

« Selon cette perspective, le système institutionnel, porté par l’image fondatrice [causale genre Big Bang ou la Cause, la convention, LE CONTRAT, L’AGRÉGAT ou le faire comme tout le monde], a pour fonction de transmettre la Raison [la pensée si mortifère et paradoxalement utilitaire… sens d’outil…], d’inscrire la reproduction humaine dans ses rapports de causalité, de perpétuer l’interdit [l’inceste et le cannibalisme principalement], à travers les générations [donc en réseau…]. Ainsi une société n’est-elle pas un bétail d’individus comptabilisables [là, ERREUR MONUMENTAL de Legendre puisque nous sommes tous devenus des marchandises numérisables], mais dans le principe une composition historique [causisme et Histoire-Opinions-Temps] de sujets différenciés [non résolution du dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif]. De la sorte, nous naissons tous présumés raisonnables. Cette condition impose à la folie statut de décomposition, soit, en termes de tradition européenne, statut de maladie de l’esprit [seulement point de vue de Legendre et non certitude]. À proprement parler, l’esprit se défait (de-mentia) ».
Nous retrouvons là le même principe de construction de grumeaux selon les deux Anglais qui s’harmonisent pour former en premier, un match de football, et en second, avec un troisième Anglais, former pourquoi pas un Empire. PREUVE DE LA FRAGILITÉ EXTRÊME DE L’ESPÈCE HUMAINE. Ainsi, dans un système étatique, pas de différence entre une « démocratie » à l’occidentale et « État de droit » et le régime stalinien, hitlérien ou maoïste, ou de Mussolini, ce n’est QU’UNE QUESTION DE DEGRÉ…

Page 51 du livre de Legendre cité, il considère en note de bas de page UNIQUEMENT LE CORPS, LE SPATIO-TEMPOREL, L’EGO ou POSSESSION : « Dans cette perspective [celle du politisme lié à l’étatisme], il s’agit de notifier qu’aucun humain, en tant que sujet de la parole [donc seulement du mental et des cinq sens], n’a le pouvoir de se soustraire à son statut dans l’espèce »…. Encore la croyance, croyance… Et « Circulez ya rien à voir », c’est le ravage du fixisme, le ravage du langage sonore tout simplement. Legendre ne jure que par la causalité : « la Loi des lois », donc ce qu’il appelle comme les perruques poudrées : « la raison », le mental killer. Il associe ce mental à un PATRIARCAT, une paternité qui « institue la Raison des fils [sens du droit romain] ». Par contre Pierre Legendre reconnaît parfaitement en page 53 que « les sociétés techno-scientifiques sont prisonnières d’un engrenage [l’évolutionnisme] : des accès aveugles de moralisation [et de sentimentalisme en isme] et de répression, entrecroisés dans le discours gestionnaire du sujet libre ».

4. « Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).
« La grâce divine est essentielle à la Réalisation. Elle conduit à la réalisation de Dieu. Mais une telle grâce n’est accordée qu’au dévot sincère (bhakta) ou au yogi qui a travaillé avec acharnement et sans répit sur la voie de la liberté.[…] Toute pensée est incompatible avec la Réalisation. L’attitude correcte consiste à exclure toute pensée de nous-mêmes et toute autre pensée. La pensée est une chose et la Réalisation en est une tout autre ». (Ramana Maharshi, entretien 29 du 4-2-1935).
« Dans la réalisation du Soi, il n’y a que être et rien d’autre que être ». (Entretien 33 du 4-2-1935).
Et à propos du fameux ”mieux” : « Vous êtes déjà le Soi. Aucune science élaborée n’est nécessaire pour l’établir ». (Ramana Maharshi, entretien 331 du 18-1-1937).
« Elle n’est possible [la Réalisation] que si vous vous réalisez vous-même. C’est cela la Perfection ou la Réalisation ». (Ramana Maharshi, entretien 332 du 18-1-1937).

« Mieux vaut [pour chacun] sa propre loi d’action [svadharma], même imparfaite, que la loi d’autrui, même bien appliquée. Mieux vaut périr de sa propre loi ; il est périlleux de suivre la loi d’autrui ». (Bhagavad-Gîtâ 3,35).
« Tous les êtres vivants ont conscience de leur environnement. On doit donc en conclure qu’ils sont tous pourvus d’un intellect. Cependant, l’intellect de l’homme est différent de celui des animaux, car l’homme, non seulement, perçoit le monde tel qu’il est et agit en conséquence, mais, de plus, n’étant jamais satisfait de l’état actuel des choses, il cherche à l’améliorer suivant ses désirs.
Ce faisant, il étend le champ de ses divers intérêts, mais reste néanmoins insatisfait. Il commence alors à penser et à raisonner.
Son désir d’une paix et d’un bonheur permanents est le signe manifeste de l’existence d’une telle permanence dans sa propre nature. C’est pourquoi il s’efforce de trouver et de regagner sa propre nature – son Soi. Une fois le Soi trouvé, tout est trouvé. Cette recherche intérieure est le chemin que doit emprunter l’intellect de l’homme. Après une pratique continue, l’intellect finit par réaliser de lui-même que sa propre activité dépend d’un pouvoir supérieur. Mais il ne peut pas par lui-même atteindre ce Pouvoir. Si bien qu’arrivé à un certain stade, il s’arrête d’agir. Quand l’intellect a suspendu ainsi toute activité, seul reste le Pouvoir suprême. C’est la Réalisation ; c’est la finalité ; c’est le but.
Il est donc clair que la finalité de l’intellect est de comprendre qu’il est dépendant d’un pouvoir supérieur et qu’il est incapable de l’atteindre. Il doit alors s’annihiler lui-même avant d’atteindre le but ». (Ramana Maharshi, entretien 502 du 14-8-1938).
5. Le règne de l’opinion arrivée à maturation après le 1789 français, prend le masque de l’Universel en renversant les rôles, tel le principe de John Locke : Ce sont les accidents du spatio-temporel qui engendrent les Essences (a). Pour John Locke, la connaissance découle de l’expérience égoïste et sensorielle du DEHORS, les expériences qui ont lieu dans le spatio-temporel, les expériences de la loi de succion vulgaire. C’est l’empirisme, qui d’ailleurs ne peut s’exercer qu’à l’état de veille : tout à partir du Dehors, qui rejoint aussi l’antique dilemme du Moi-Individuel/Moi-Collectif.

Avertissement pour les lockiste et autres dialecticiens matérialistes historiques : « Ne peut être Réel que ce qui est non seulement au milieu, mais aussi au début et à la fin ». Citation de la Mandukya-Upanishad dans : Ramana Maharshi au jour le jour, 21-11-1945 soir.

a. ESSENCE : dans le sens par exemple du principe de l’outil appelé tour : déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne, produisant des copeaux. N’existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe SERAIT, Essence éternelle du tour ; mais ce qui ne serait pas, c’est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe ou Essence : l’ex-istant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucun machine, même construite par un transhumaniste : la recherche ou le bricolage peuvent éveiller l’idée d’un principe, elles ne le créent pas.…. Quand un humain découvre un principe, c’est qu’il le portait déjà en lui, comme une plaque photographique non révélée, dans les structures intimes de son être. (En réf. à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).
 
 

Dernière mise à jour : 13-09-2023 08:48

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >