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Mental = errer et Juif errant Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-09-2023 09:48

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Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Celtes, Conformité, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Guillotine, Homéopathie, Horticulture, Humain, Judéo-maçonnerie, Libération, Limite, Marxengelsisme, Or, Païens, Paysage, Paysans, Penser, Racine du mal, Réel, République, Religion, Réseau, Robot, Saisie, Simplicité, Tiahuanaco, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke

 
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Mental = errer et Juif errant.
À distinguer donc de l’Univers juif d’un
monde fini malgré son « errance » soumis à un
Dieu organisant sa « finitude » sous la forme
de « peuple élu », d’un Univers infini tel
celui exposé dans l’école de Tchouang-tseu
et la Vraie Demeure le Pays du Rien du Tout.
La Verset 28 du Tao-tö king interpole
d’ailleurs le concept de finitude telle
que la ”fin des temps” du messianisme et
l’infini du Pays du Rien du Tout (1).

Il y a une différence entre Voyage (ici-bas)
et errance dont ce mot renvoie au mental
dont le principe est d’ERRER.


NAISSANCE DU MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN.
 
 
- M. : Dans la Bhagavad-gîtâ, il est dit que la nature du mental est précisément d’errer. Il faut donc rassembler ses pensées et les tourner vers Dieu. Avec une longue pratique, le mental est contrôlé et devient stable.
L’instabilité du mental est une faiblesse qui provient de la dissipation de son énergie sous la forme de pensées. Lorsque le mental est concentré sur une seule pensée, l’énergie est conservée et le mental se renforce.
- Q. : Que signifie la force du mental ?
- M. : C’est la faculté de se concentrer sur une seule pensée sans être distrait.
- Q. : Comment y parvenir ?
- M. : Par la pratique. Un bhakta (adorateur) se concentre sur Dieu ; un chercheur, adepte du jnâna-mârga, cherche le Soi. La pratique est aussi difficile dans les deux cas.
- Q. : Même si le mental est amené à la recherche du Soi, après une longue bataille il commence à s’en détourner, et l’homme ne prend conscience de cet égarement qu’au bout d’un certain temps.
- M. : En effet, c’est ainsi. Au début, le mental ne revient vers la recherche qu’après de longs intervalles ; avec une pratique constante, il revient à des intervalles plus courts, jusqu’à ce que, finalement, il ne vagabonde plus du tout. C’est alors que se manifeste la shakti dormante [énergie, Mère Divine personnifiant le pouvoir latent de Shiva]. Le mental devenu sattvique [pur] est libre de pensées, alors que le mental rajasique en est plein. Le mental sattvique se résorbe dans le Courant de la Vie [la skakti manifestée].
- Q. : Peut-on empêcher le mental d’entrer dans la phase de formation des pensées avant d’avoir fait l’expérience de ce courant ?
- M. : Oui. Le courant est préexistant.
(Ramana Maharshi, entretien 91 du 6-11-1935).

Les tribus juives nomades ou le JUIF ERRANT, QUI NE NE POUVAIT QUE FOURBIR LES « TRAVAILLEURS DU CHAPEAU » ; surtout depuis un moment du judéo-maçonnisme :
« En opérant ainsi [la Gematria), sans doute depuis l’époque de la traversée du Sinaï, les Juifs ont mis au point les principes mêmes de la spéculation intellectuelle et du discours scientifique, qui vise lui aussi à découvrir des invariants communs à des faits a priori sans rapport les uns avec les autres [c’est pour ça qu’il y a beaucoup de psychiatres juifs]. Ainsi, en travaillant sur les mots, les Juifs d’il y a trois mille deux cents ans préparaient-ils les générations futures à l’abstraction [et donc au virtuel de l’informatique si utile à ce monde du corps et du délire de l’économique…], faculté si essentielle, on le verra, à la finance, à la science et à l’art.
Cette capacité d’abstraction constitue la première richesse du nomade. Nul ne peut la lui voler. Voici comment elle permet de jouer avec les mots de l’économie».
(Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent, page 38, et il enchaîne avec l’être et l’avoir…..)

« La nature du mental est précisément d’errer. Mais vous n’êtes pas le mental. Le mental émerge puis s’immerge. Il est impermanent, transitoire, alors que vous êtes éternel. Il n’y a rien d’autre que le Soi. Rester le Soi est la solution. Ne faites pas attention au mental. Si on cherche sa source, le mental s’évanouit, laissant le Soi non affecté derrière lui ». (Ramana Maharshi, entretien 97 du 19-11-1935).

TRAVAIL DU CHAPEAU JUIF ou le JUIF AUGMENTÉ :
Dans le livre du judéo-maçon du 33è degré C.W. Leadbeater : Rites mystiques antiques - Un brève histoire de la Franc-Maçonnerie, pages 100-101.
« La race judaïque est une ramification de ce peuple sémite qui forma la cinquième sous-race de la race-mère atlantéenne. Quelque 4000 ans avant le grand cataclysme survenu en 75.025 avant J.-C. [sic], lequel engloutit le premier empire atlante d’Égypte, Manu avait conduit Ses proches partisans sur les hauts plateaux de l’Arabie, afin qu’ils puissent être séparés de la plupart des Atlantes, et qu’un nouveau type puisse se développer à partir d’eux à la future race-mère aryenne. Manu donna formellement l’ordre d’empêcher tout mariage avec les races voisines, afin de pouvoir maintenir la pureté de la nouvelle souche : c’est pour cela que fut répandue chez eux l’idée qu’ils étaient un « Peuple élu », écrit Leadbeater définissant ainsi le PEUPLE-PRÊTRE OU PEUPLE ÉLU [comme si seulement ce peuple était capable d’immortalité, et que les autres, les Gentils, ne seraient que « conviés » ou socialisé à l’immortalité si les élus ne les jugent pas valides !.
Leadbeater ajoute, ce projet de gouvernance mondiale à Jérusalem, ou à Berlin en Allemagne ? : « Peu après le cataclysme, quelque 700 d’entre eux, parmi les meilleurs et les plus prometteurs, furent envoyés en Asie Centrale par le Manu, où ils s’accrurent pendant quelques milliers d’années jusqu’à former une grande nation - le noyau de la race aryenne qui devait plus tard diriger le monde.

Environ 40.000 ans avant J.-C. le Manu amena la seconde sous-race de la nouvelle race-mère à coloniser de nouveau l’Arabie, car les Sémites précédemment écartés étaient restés les peuples atlantes les plus proches de la nouvelle souche. L’Arabie devint un grand royaume aryen, mis à part une partie de ceux qui vivaient dans la partie méridionale de la péninsule - qui refusèrent de reconnaître le Manu ou de se mélanger à Son peuple par le mariage, en citant les lois établies par Manu lui-même pour justifier leur refus. Plus tard, ces terres furent conquises par les Aryens, et une partie fanatisée de ses habitants abandonna ses foyers pour s’installer de l’autre côté de la Mer Rouge - vers la région appelée aujourd’hui Somaliland [ancienne colonie britannique, située au Nord-Ouest de la Somalie dans la Corne de l’Afrique]
[…]
Une minorité conséquente quitta la communauté, et après de nombreuses pérégrinations se retrouva sur le territoire égyptien. Le pharaon de l’époque, sensible à leur histoire, leur offrit des terres dans une région éloignée de son royaume [sic] en échange de leur installation là-bas. Puis un jour, un pharaon exigea d’eux leur soumissions à un impôt supplémentaire et au travail forcé, ce qu’ils estimèrent être une violation de leurs privilèges [déjà !]. Ils entreprirent alors une migration massive sous la direction de celui que nous nommons aujourd’hui Moïse, et après d’autres pérégrinations, ils s’installèrent en Palestine [canaan], où ils furent connus comme le peuple juif - maintenant toujours fermement qu’ils étaient un peuple élu », écrit naïvement Leadbeater pages 100-101.

Les Tiqounistes (tikkoun olam, réparation) créateurs de besoins, de l’évolutionnisme et de la république, et du social (les Tiqounistes français disent chaque semaine une prière pour leur république).

Les Tiqounistes (tikkoun olam) créateurs de « services » : l’antienne talmudique sous forme « d’altruisme talmudique » : « RIEN N’EST BON POUR LES JUIFS SI CE N’EST BON AUSSI POUR CEUX QUI LES ENTOURENT » (pages 166, 340, 359, 365 du livre de Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent). Donc vendre des services : acheter, vendre, acheter, vendre. Un Menasseh Ben Israël en 1650 écrira dans son Apologie des Juifs, que « les quatre cent familles juives des Pays-Bas rapportent beaucoup d’argent à l’État et que, partout où ils sont admis, les Juifs sont de bons citoyens qui ne veulent rien d’autre qu’apporter la prospérité autour d’eux. ‘Ce sont de fidèles vassaux’ », rapporte J. Attali.

Fin de la page 101, chapitre : Les Prophètes, Leadbeater écrit : « Il semble que Moïse [s’il a existé !] connaissait le grand rituel de l’Ame tel qu’il était accompli dans les Mystères d’Égypte [le grand rituel de l’Ame : la Légende d’Osiris découpé en morceaux…], et qu’au moins une partie de cette tradition fut transmise à ses successeurs. À une époque plus tardive, émergea une École liée aux Mystères, dont les membres conçurent l’idée de personnifier les enfants d’Israël sous l’aspect d’un Être unique capable de répandre sa grâce sur tous les peuples ; et pour ce faire, ils tentèrent d’éveiller chez ces peuples un sentiment d’unité, NOTAMMENT PAR L’UTILISATION DU RITUEL. [Le scribe de la page souligne et de là se pointe la naissance du NOUVEL ORDRE MONDIAL ET DU MONOTHÉISME DE LA RÉPUBLIQUE]. Il y avait également des écoles de prophètes, formés à l’enseignement des Mystères [sic] et à l’étude des enseignements supérieurs qu’avaient sauvegardés les rites antiques. L’Ancien Testament mentionne l’existence de l’une de ces écoles à Naioth, sous la direction du Prophète Samuel [Samuel 20,1 ], et d’autres écoles apparurent plus tard à Béthel et Jéricho [2 Roi 2,2-5].
Ces écoles ne s’intéressaient pas à la prophétie dans le sens moderne de « prédiction du futur », mais plutôt comme un effort pour instruire les gens par la prédication [en fait ils pratiquaient le manipulation mentale]. […]
Ces prédicateurs étaient choisis parmi les Lévites [membres de la tribu de Lévi, voué au service du temple, et à ce hui, un certain BHL se réclame de cette tribu] et furent envoyés pour proclamer les enseignements supérieurs sous une forme populaire (2).
Il est probable que la plupart des prophètes juifs supérieurs appartinrent à des écoles plus tardives de ce type - Isaïe, Jérémie, Ezéchiel et d’autres - mais qu’ils conservèrent une vision quelque peu pessimiste des choses, même si certains accédèrent incontestablement à de hauts niveaux de conscience dans leurs visions. Leur méthode consistait apparemment à se placer eux-mêmes dans un état d’exaltation intense, puis à s’élever jusqu’à un plan supérieur [sic], grâce à une sorte de canal qu’ils avaient ouvert [voir l’Arche d’Alliance de Moïse ou le « premier téléphone avec Dieu » (ou avec un compère produisant « la Voix du Saint-Père »). À rapprocher du rouge sombre tel le SANG ET LA VIANDE GRILLÉE DU THÈME : HOLOCAUSTE et S’ENVOYER EN L’R].
C’est de cette façon qu’Ézéchiel eut la vision des quatre Rois des éléments. Ces Grands Êtres ne peuvent être correctement regardés [sic] qu’à travers la vue permise par le plan nirvanique ou spirituel….. » écrit page 102 Leadbeater.


« TEMPLE » des Juifs = HOLLYWOOD-CINÉMA ou « spiritualisation du temple » pour porter des « fruits »
TEMPLE = TRAVAILLER DU CHAPEAU (Leadbeater, Rites mystiques antiques, page 113 : « Le temple du roi Salomon était la matérialisation physique d’un vaste complexe métaphysique [sorte de ”Jérusalem céleste”], constitué de spéculations et d’investigations mystiques : ses dimensions et ses proportions étaient en effet réputées être liées à celle de l’Univers même [sic et là encore ça peut annoncer le monothéisme républicain actuel], et tous les objets sacrés qui s’y trouvaient exprimaient à la fois le macrocosme et le microcosme [opinion de Leadbeater sans plus] ». Il poursuit : « De plus, l’idée même des Juifs selon laquelle le temple devrait être reconstruit un jour prochain, était en fait une idée transformée et imprégnée de spiritualité : elle était comprise comme une allégorie de la réalisation de la perfection divine [sic], à la fois dans l’homme et dans l’univers [ici dans le sens OÙ L’ON NE SORT PAS DE L’UNIVERS POUR LE VOIR OU LE POUVOIR PUISQUE NOUS SOMMES L’UNIVERS LUI-MÊME].
Avec la richesse de leur esprit oriental appréciant les allégories complexes et exubérantes [sic] les Juif conçurent une véritable ville faite de temples, dont le temple du roi Salomon n’était que le symbole. Ces temples et ces palais s’attachaient chacun à un aspect ou à un plan distinct de la Nature, constituant un système très élaboré de réflexions et de correspondances [LE RÉSEAU]. le modèle originel de la richesse de tout ce symbolisme se trouve dans les Mystères d’Égypte, dans lesquels étaient étudiés les dimensions de la grande pyramide - emblématique des proportions de l’univers, elle conservait des fonds et traditions occultes et astronomiques très importants. Les Juifs appliquèrent dans le temple de Salomon ce qu’ils connaissaient du système égyptien reflétant la sagesse de l’Égypte à travers le prisme de leur propre tempérament fougueux et poétique. Ces connaissances furent, d’une part, retranscrites progressivement sous une forme littéraire exotérique et, d’autre part, transmises par les loges secrètes de la Franc-Maçonnerie [opinion du judéo-maçon Leadbeater page 114] ».

Leadbeater précise cette importance pages 115-116 : « Les Mystères judaïques sont aux origines de notre tradition actuelle, les trois degrés corporatifs ayant toujours constitué la base de tout le système de l’initiation maçonnique, parce qu’ils sauvegardent les vestiges des Petits et des Grands Mystères d’Égypte - les seuls à pouvoir être, dans leur forme originelle, dénommés des degrés [tels les 25 degrés du Rite de Perfection, les 32 degrés du Rite Écossais ancien et accepté] ».

CONCLUSION : les templistes de Salomon qui prétendent s’accrocher aux « Mystères » N’AIMENT PAS LES MYSTÈRES, ILS PRÉFÈRENT L’ERRANCE DE TRIBU QUI CONSISTE À RÉCOLTER UN PEU PARTOUT DES PETITES VÉRITÉS, LES ORGANISER (3) ET AINSI POUR EUX CELA CONSTITUE LA RÉALITÉ SUPRÊME. Les templistes parlent de « LA PERTE DU NOM DIVIN », ce qui ne peut qu’enclencher l’UTILITARISME sous toutes ses formes, surtout le MESSIANISME, la PROJECTion, la REPRÉSENTATION.

Les templistes à Salomon ONT BESOIN DE LA DIALECTIQUE MATÉRIALISTE HISTORIQUE :
« Les gens ne comprendraient pas la vérité toute simple, toute nue – la vérité de leur expérience de chaque jour, toujours actuelle et éternelle. Cette Vérité est celle du Soi.
Existe-t-il quelqu’un qui ne soit pas conscient du Soi ? Les gens ne veulent même pas en entendre parler (du Soi), en revanche, ils sont avides de savoir ce qui se passe dans un au-delà – le paradis, l’enfer, la réincarnation. C’est parce qu’ils préfèrent le mystère à la simple vérité que les religions les dorlotent ; et cela uniquement pour mieux les amener vers le Soi. Vous avez beau errer dans tous les sens, vous devez en fin de compte revenir au Soi. Pourquoi alors ne pas s’établir dans le Soi ici et maintenant même ?
Les autres mondes ont besoin du Soi comme spectateur ou penseur. Leur degré de réalité est le même que celui qui les voit ou les pense. Ils ne peuvent exister sans celui qui les voit ou qui les pense. Par conséquent, ils ne sont pas différents du Soi. Même l’ignorant ne voit que le Soi lorsqu’il voit les objets. Mais son esprit est confus et il identifie le Soi avec l’objet, c’est-à-dire avec le corps et les sens, en participant au jeu du monde.
Sujet et objet – tout se fond dans le Soi. Il n’y a ni observateur ni objet vu. Celui qui voit et ce qui est vu sont le Soi. Il n’y a pas non plus plusieurs soi. Tout n’est qu’un seul Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 145 du 23-1-1936).

Notes.
1. Connais le masculin,
Adhère au féminin,
Soi le ravin du monde [le Vase-Vallée, tel le Mont Meru, le Jardin ou Tapis Volant, l’Athanor],
Quiconque est le Ravin du monde,
la vertu constante ne le quitte pas.
Il retrouve l’enfance [le Retournement de la Lumière].

Connais le Blanc,
Adhère au Noir [telle la nuit obscure de Jean de la Croix].
Sois la norme du monde [le Soi, le TAO],
Quiconque est la norme du monde,
la vertu ne s’altère pas en lui.
Il retrouve l’illimité [il ne succombe pas au conventionnel de l’inconscient collectif et au ”bon sens”, le signifiants dans la RACINE DU MAL : LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS ou la « sortie » de l’Univers pour le voir, puisque le monde devient un langage et un isme de signes en des informations, si omniprésentes à ce hui. Ici cela rejoint ce Verset 28 car l’idée de base de Lao-tseu ne d’accorde pas avec l’illimité, Lao-tseu surtout dans un Univers fini. La notion d’Infini doit sans doute représenter la découverte de Tchouang-tseu et ses suiveurs, tel le VIDE PARFAIT].

Connais la gloire,
Adhère à la disgrâce [ne pas tomber dans le winnerisme !].
Sois la Vallée du monde [Vase-Vallée…].
Quiconque est la Vallée du monde,
la Vertu constante est surabondante en lui.
Il retrouve le bloc de bois brut [non artificialisé
par le mental de l’humain].
Le bloc de bois, débité selon le fil, donne des ustensiles.
Le saint en suivant la nature des homme devient le chef [des ministres].
C’est pourquoi le grand maître ne blesse rien.
(Tao-tö king, Verset 28, trad. Liou Kia-hway).
L’être humain n’a pas de limite, Nous le vivons à ce hui et pour le malheur de l’humanité, À CAUSE DE LA RACINE DU MAL IMPOSANT SA LOI DE SUCCION VULGAIRE OU ATTRACTION, PESANTEUR, SYMBOLISÉ PAR LE PLOMB.

2. Et EXTRÊME D’ANGER dont Nous met en garde Ramana Maharshi dans l’entretien 107 du 29-11-1935 : « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse », c’est pourtant ce que vont faire ces Lévites…. CE QUI VA CONDUIRE À L’ACTUEL MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN : ACCULER LES MASSES À LA SAINTETÉ : IMPOSITION DU NOUS OU DU « VIVRE ENSEMBLE » : le conformisme de la révolution : en politique et économie, le mot TRANSITION employé à moult sauces le prouve assez ; la démence révolutionnaire consiste à exiger des masses l’impossible, c’est-à-dire le fini dans l’Infini, la Félicité dans les contradictions du spatio-temporel, le Divin dans l’humain. Exactement ce même impossible, ou PARADOXE, que la Grâce par la Réalisation du Soi Nous donne GRATUITEMENT ET SANS CONDITION, POUR TOUS : « Le Royaume des Cieux est en Vous ».

3. Extrait de la conférence de Jiddu Krishnamurti à Omen en 1929, où il expliquait que « La Vérité est un pays sans chemin ».
« Peut-être avez-vous souvenir de cette histoire du diable et de son ami : ils marchaient dans la rue quand ils virent devant eux un homme se baisser pour ramasser quelque chose et le mettre dans sa poche. L’ami dit au diable : « Qu’est ce que cet homme vient de ramasser ? » « Un petit bout de Vérité », répondit le diable. « Mauvaise affaire pour vous, alors ! », remarqua l’ami. « Oh, pas du tout, répliqua le diable, je vais l’aider à l’organiser ! »
Je maintiens que la vérité est un pays sans chemin que vous ne pouvez l’approcher par aucune route, quelle quelle soit : aucune religion, aucune secte. Tel est mon point de vue, et j’y adhère d’une façon absolue et inconditionnelle. La vérité étant illimitée, inconditionnée, ne peut être approchée par quelque sentier que ce soit, elle ne peut pas être organisée on ne devrait pas non plus créer des organisations qui conduisent ou forcent les hommes à suivre un chemin particulier. Si vous comprenez bien cela dès le début, vous verrez à quel point il est impossible d’organiser une croyance ».
 
 

Dernière mise à jour : 26-09-2023 10:32

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