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L’objectivisme n’existe pas Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-12-2023 15:41

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Marxengelsisme, Nation, Or, Penser, Pont, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Temple, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
 
L’objectivisme n’existe pas
parce qu’il est un ”isme” une coagulation,
un fixe, une constante, une possession.

L’omniscience du monde actuel et du transhumanisme
qui se CROIT désormais fixé : tout savoir.
 
Seul existe et fait partie du Soi l’Énergie libre
ou ZÉRO INDIEN :
Vilakkam (cité dans Padamalai) : Comme tout est
uniquement pure Conscience et que cette pure
Conscience est notre Nature propre et véritable,
il n’existe en vérité aucun autre être excepté
soi-même [en creusant un peu, cela ne peut que
semble évident !]
Étant donné que [à l’état de veille] le savoir
divisé et individualisé [donc possédé telle
l’opinion] cesse dans cet état-Soi puisqu’il
n’a aucune place, seule la Conscience libre
d’attributs ou autrement dit, la Réalité qui
brille sans division et dégagée de l’acte de
savoir [qui est possession, loi de succion],
est OMNISCIENCE.

Seule la connaissance du Seul Réel est omniscience.
Lorsque l’omniscience diffère de la connaissance
de la Réalité [comme actuellement], elle devient
une connaissance défectueuse et irréelle [car
opinion possédée].
Étant donné qu’en vérité il n’existe rien en
dehors de la conscience, l’omniscience est
ignorance puisque par Nature elle implique
des différences [qui sont les opinions,
toujours changeantes car toujours sur le
défense ou l’attaque, donc toujours sur la
possession).

En réalité Nous sommes ce qui EST, mais à
travers la méprise de l’IDENTITÉ, DE L’EGO,
DE LA SAISIE, du citoyenisme, Nous nous
imaginons être « quelqu’un » qui possède
ou qui « sait » [ce monde des réseaux et infos]
et ainsi qui constitue cette société de la
représentation de scènes dignes d’Hollywood
(surtout depuis le 11 septembre 2001).
L’omniscience n’est réelle que pour les
êtres du EST. Pour le Connaissant [l’Éveillé
ou Jnani] qui ne se laisse jamais duper,
l’omniscience n’est qu’une connaissance
pervertie [cas actuel SOUMIS aux infos
dépendantes des technologies de l’industrie
du capitalisme ; comme elles sont dépendantes,
dans la dualité sujet-objet, elles ne peuvent
qu’êtres nulles. Et cela engendre de plus
en plus d’informations toutes aussi
nulles, parce que DEHORS].

LE MIGRANISME actuel est un gros indicateur
de ce monde UNIQUEMENT tourné vers le DEHORS,
vers L’ARTIFICE.
Dans ce monde du social collant, sans se considérer
étant séparé des autres, sans dévier d’un iota de
notre état véritable, si l’on demeure en permanence
en notre Soi, qui peut nous être étranger ?
Quelle importance ce que peuvent, penser, dire,
faire, les autres ?
Quelle importance que l’on se winnerise ou que
l’on se loserise ?
(Réf. à la strophe 38 de Ulladu Narpadu Anubandham,
de Ramana Maharshi)(2)



SPERME-SPHINX = ZÉRO INDIEN (sperme), OMNISCIENCE (sperme).
Le Sphinx solidement accroupis exprime ce SPERME, ce ZÉRO INDIEN : LA VRAIE PAIX DE LA VRAIE COAGULATION APRÈS LE VOLATIL (avant l’état solidement accroupis). Les Sphinx ne coagulent pas des infos un peu partout comme l’industrie capitaliste de l’informatique, non, les Sphinx sont en POSITION DE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE (1) ET POSITION DE SANS DUALITÉ = AUCUN SUJET-OBJET : IL Y A FUSION EN FORME DE GATE GATE : « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). Cela signifie LE SENTIER, LE SOLIDE OU COAGULÉ ACCROUPISSEMENT DU SPHINX en forme de la devise alchimique : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore ». Le contraire de ce monde numérique qui veut tout numériser, tout identifier et donc tout posséder. Parce que le Sphinx se présente comme le GATE GATE : Destinée ou Sentier et Gate ou Mystère. Tel est le symbolisme des Sphinx-Sperme solidement accroupis : COMME À LA MASSE (au sens avoir les pieds sur terre, au sens ÊTRE DANS SON LIT, DANS SON JUS, son Soi dans sa Vraie Nature, tel est le SPHINX À LA MASSE).
Dans les S de Sphinx et Sperme on peut facilement y ajouter la SPIRALE, dans le sens INVOLUTION-ÉVOLUTION (schéma en haut de page)

SPHINX-SPERME : le Point-Trou du Point sur le I, qui en devient un trait vertical, telle une PIERRE LEVÉE, LA LINGA : « Le linga est manifesté, depuis les origines jusqu’à nos jours, sous la forme d’Arunāchala ». (Ramana Maharshi, entretien 218 du 30-6-1936).

« Écoutez ce qui est arrivé une fois, il y a bien longtemps. Vivait alors un saint du nom de Nâmdev. Il pouvait voir Vithoba [Vishnou adoré sous ce nom à Pandhapur], lui parler et jouer avec lui, comme nous le faisons entre nous. Il passait ainsi le plus clair de son temps dans le temple à jouer avec Vithoba.
Un jour, il y eut une assemblée de saints, parmi lesquels se trouvait Jnandev, saint éminent et renommé. Jnandev demanda à Gora Kumbhar, un des saints, qui était potier, d’utiliser son art, dans lequel il était passé maître, de tester la qualité des « pots » et de trouver lequel de tous les saints réunis était fait de l’argile la mieux cuite. Gora Kumbhar prit alors son bâton et se mit, en guise de plaisanterie, à frapper doucement la tête de chacun, comme s’il les testait. Quand il arriva à la hauteur de Nâmdev, celui-ci protesta avec vivacité. Tout le monde se mit à rire et à le conspuer.
Nâmdev, furieux, alla dans le temple chercher refuge auprès de Vithoba. Vithoba lui dit que les saints savaient mieux que quiconque ce qu’ils faisaient. Cette réponse inattendue désarçonna davantage Namdev qui lui répondit : « Tu es Dieu. Je converse et je joue avec Toi. Qu’est-ce que l’homme peut espérer de plus ? »

Vithoba persistait : « Les saints savent mieux que quiconque. »
Nâmdev répliqua : « Dis-moi s’il existe quelque chose de plus réel que Toi. »
Vithoba : « Nous avons été si proches l’un de l’autre, que mon avis ne produira pas l’effet désiré sur toi. Va voir le saint-mendiant dans la forêt et apprends la vérité. »
Nâmdev fit comme Vithoba le lui conseillait et alla trouver le saint en question. Il ne fut nullement impressionné par la sainteté du personnage, car celui-ci était nu, sale, et couché à même le sol, ses pieds reposant sur un linga 59. Nāmdev se demanda comment un tel homme pouvait être un saint. Celui-ci, cependant, lui sourit et dit : « Est-ce Vithoba qui t’a envoyé ici ? » La question surprit Nâmdev et elle l’incita à croire que son interlocuteur n’était pas n’importe qui. Il lui demanda : « On dit que vous êtes un saint, pourquoi profanez-vous alors le linga ? » Le saint lui répondit : « À vrai dire, je suis devenu trop vieux et trop faible pour faire ce qu’il convient. Aide-moi à lever mes pieds et à les placer là où il n’y a pas de linga. » Nâmdev déplaça alors les pieds du saint et les déposa ailleurs. Mais, ô stupeur, un autre linga surgit aussitôt dessous. Il les déplaça encore et un autre linga apparut de nouveau. Quel que fût l’endroit où le saint posait ses pieds, un linga apparaissait.
Nâmdev prit alors les pieds du saint, les posa sur lui-même et fut transformé en linga. Nâmdev comprit enfin que Dieu était immanent. Ayant compris la Vérité, il quitta le saint, rentra chez lui et ne se rendit plus au temple pendant plusieurs jours. Vithoba vint alors le trouver et lui demanda pourquoi il ne se rendait plus au temple pour voir Dieu. Nâmdev lui répondit : « Existe-t-il un seul endroit où Il n’est pas ? »
Le sens de l’histoire est claire : les visions de Dieu ont leur place au-dessous du plan de la réalisation du Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 389 du 6-4-1937).
(Pour les shivaïtes, le linga est le symbole par excellence de Shiva. Sa forme en un cylindre vertical, le haut arrondi, sortant d’une base. Cette « absence de forme » [donc de SPHINX, d’insaisissable tel un mystère], symbolise l’Absolu, ce qui personne ne peut posséder).

POINT-TROU, LE « N’EST PAS X », va créer la première figure fermée, la Trinité ou Triangle Unifié comme la Pyrite de Fer ci-dessous.

pyrite4_460.jpg
 
I ou d’I-fuse : SPERME : il fait des petits, il fait le monde ou manifestation, magie.
I-fuse : se divise en TROIS, et produit le SENTIER (trajet, trait ou ligne droite ou sinueuse), le JET, l’ex-istant, l’Être (sur le Sentier ou Ex-I-Stence, EX-I), et JETS, SPERME, pulsion de vie, se condensent en O(n)b-Jets : devant, contre ; ob-jecter ou opinioner donc obstruer.

SPERME, LINGA OU PHALLUS (à ne pas confondre avec l’érotisme, PURE POSSESSIVITÉ [pédopornographie, cybersexe, vulgarités divers ou simples consommations marchandes des jours de soldes], et pure loi de succion vulgaire : LE PLOMB, LA PESANTEUR, attraction des besoins [pulsions sexuelles animales, les jours de soldes ”Black Friday” sont des pulsions animales]).
Le linga EST SHIVA, EST ARUNACHALA, IL EST LE SPHINX : L’INFORMEL, LE MYSTÈRE, LE NON POUR-VOIR. Mystère qui sera dévoilé par l’organe génital féminin (la matrice) permettant de passer du principe à la re-présentation.
ŒUF-LINGA ou POINT SUR LE I = NOMBRILS DU MONDE (des Alephs).
En Chine le Linga est une pièce de Jade en forme de Triangle allongé, Linga qui se retrouve fréquemment au centre des temples, aux carrefours, aux sommets, RAPPELANT LES MYSTÈRES DE LA VIE, DU GRAIN DE POUSSIÈRE À LA MONTAGNE EN PASSANT PAR TOUS LES AUTRES NOMS-LES-FORMES ; pièce de Jade symbolisant L’UNITÉ, la NON-DUALITÉ.

Notes.
1. « Lorsqu’on utilise cette technique pour la première fois, on a l’impression d’un non-être dans l’être. Mais une fois le travail achevé, quand on a un corps au-delà du corps, on a l’impression d’un être dans le non-être [le « sentiment océanique » de Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux] ».
« Ce n’est qu’au bout de cent jours de travail concentré que la lumière est réel, qu’elle est le feu du mental. Car au bout de cent jours, la lumière jaillit spontanément : de même que le rapport entre une femme et un homme forme l’embryon, soudain, d’un point d’authentique énergie positive, surgit une perle. Il convient de l’observer, calmement, tranquillement. Le retournement de la lumière est le processus de « mise à feu ». […] La Lumière n’est ni en soi ni en dehors de soi. Les montagnes, les rivières, le soleil, la lune et toute la Terre participent aussi de cette Lumière qui ne se trouve pas seulement en soi. Toutes les opérations de l’intelligence, la connaissance et la sagesse, participent également de cette Lumière qui ne se trouve donc pas en dehors de soi. De même que la Lumière du ciel et de la terre emplit l’univers, la Lumière d’un seul Être s’étend naturellement aux cieux et embrasse la Terre. Voilà pourquoi si l’on retourne la Lumière, le monde entier se retourne également », dit si clairement le Secret de la Fleur d’Or. Centrum Centri, se concentrer là-dessus « pour passer la Porte [Stargate] », pour vivre le Point Focal…
Riplée (Ripley) définit la Putréfaction, la mort des corps et division de la Matière, comme la conduisant à la division, donc au démontage, soit LA CORRUPTION SUIVIT DE LA GÉNÉRATION (voir plus bas la recomposition de la Barque du Passeur (a)) : « la Putréfaction est l’effet de la chaleur des corps entretenue continuellement, et non d’une chaleur appliquée manuellement. Il faut donc se donner garde de pousser la chaleur excitante et extérieur au-delà d’un degré tempéré : la matière se réduirait en cendre sèche et rouge, au lieu du noir, et tout périrait », dit fort à propos Dom Antoine-Joseph Pernety à l’article Putréfaction dans son Dictionnaire Mytho-Hermétique.

a. La MAIN VIVE EST DU THÈME DU PASSEUR, DU PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT, CELUI QUI OUVRE, comme l’Égyptien ancien qui arrivé à un cours d’eau aurait besoin de le traverser, il appellerait alors un passeur et lui demanderait de lui amener la barque et de le faire traverser, comme le Pontife, comme la Main vive ou la Main Ouverte (rien à cacher).

2. « Le sens de l'action récolte les fruits de l’action (karma) : le karma prend fin lorsque l'auteur réalise sa vraie nature ».
« Tant qu'un homme se sent acteur [ou possessif], il récolte les fruits de ses actions. Mais dès qu'il réalise par enquête qui est l'acteur [le possédant], le sens ou l'action disparaît et le triple karma arrive a sa fin. C'est la Libération finale ».
 
 

Dernière mise à jour : 06-12-2023 16:01

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