Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Genrisme urbain-béton
Genrisme urbain-béton Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-11-2017 00:49

Pages vues : 9656    

Favoris : 81

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Appareil, Banques, Brighton, Capitalisme, Chimère, Chrétien, Christ, Civilisation, Diable, Dualité, Eau, Ego, Empire, Évolution, Fractale, Gentil, Goulag, Gratuit, Guerres, Histoire, Huile, Instant, Juif, Laïcité, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Mahométan, Médecine, Mental, Microbes, Multiculturalisme, Musiques, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Pierre, Peste, Porc, Porte, Radicalisme, Raison, Réalité, Religions, République, Réseaux, Sacrifice, Satan, Seuil, Simple, Socialisme, Société, Sommeil, Spiritualité, Technique, Templiers, Terrorisme, Transhumanisme, Universel, Valeur, Vaisseau, Vérité, Vin, Winner

 
babouchka_urss.jpg
 
 
Genrisme urbain-béton
ou
bétonisation de la planète :
aucune tête ne doit dépasser,
place au genre standard, unique
modèle URSS ou plus aucune « classe » n’existe,
la laïcité continue ses ravages de
par le monde occidental.


Bienvenue dans le MYSTIQUE MESSIANISME ÉGALITAIRE DE 1789.
 
 
Avec les Hébreux-Juifs inventeurs du patriarcat abrahamiste, maintenant on déboulonne le patriarcat du yahvisme et du Dieu à longue barbe blanche. Naturellement l’enfant vient de la mère, c’est elle qui le porte et non le père (jusqu’à nos jours, parce qu’on nous présente parfois aux ”infos” des « pères enceints »)

Singerie du Soi ou non-dualité : tout ce que touche la finance internationale
et ce monde matérialiste est destructeur, jamais constructif.
 
 
LIBÉRALISME = LE : « POURQUOI PAS MOI ? ».
« L’instinct égalitaire [y compris dans l’égalitarisme homme-femme] a les mêmes sources que l’instinct hédoniste, il est la marque de la même décadence », écrit Gustave Thibon.

Ce nouveau isme du genrisme prenant racine en 1789 est un paradoxe humain de plus : fourguer la diversité et son libéralisme où les humains sont livrés aux hasards grotesques de la finance de la City de Londres et du suffrage « universel » (tout individu dans ce monde du libéralisme peut aspirer à être riche, car la conquête de l’argent est liée aux hasards les plus creux). À ajouter que City de Londres = aussi PÉTROLE-ÉNERGIE, et NOURRITURE POUR LES HUMAINS maintenant liée à la finance internationale.
Paradoxe de l’égalitarisme parce qu’en haut, chez les Couilles en Or et cancéreux du pouvoir, il s’agit de défendre et SE défendre à coups de FRIC/FLIC, alors qu’en bas il s’agit de conquérir ! Nous avons bien la nouvelle « lutte des classes » (à ajouter à celle des partis politiques entre eux).
L’actuelle ploutocratie est typiquement le chaos humain, l’anti Véritable Égalité, elle n’a pas de milieu spécifique, pas de patrie : un riche est riche partout l’argent n’ayant pas d’odeur puisqu’il est la merveille dans ce monde, il est cosmopolite par essence ; étrangère à l’ordre vivant des pays, la ploutocratie ne peut être qu’un facteur de chaos et de parasitisme.

En référence à Gustave Thibon (Diagnostics) : « La fraternité n’a pas ici-bas de pire ennemi que l’égalité ».
C’est-à-dire que la fraternité IMPOSÉE à coups de lois est pire. Nous sommes entré dans un messianisme égalitaire qui engendre la révolte et la méfiance à l’égard de la chefferie du régime républicain. Car cette chefferie fera tout pour conserver son pouvoir et gardera sa distance à l’égard du peuple (voir le cas Macron) ; nous aurons alors la guerre de tous contre tous et jamais l’authentique « vivre ensemble », là où la Vraie Communion ne peut aller sans la différence : les feuilles d’un Arbre sont toutes identiques et étrangères les unes aux autre.

Gustave Thibon cite un exemple parfait de Vraie Fraternité déjà souvent cité sur le site :
« Au début du siècle dernier [un peu plus d’une décennie après 1789], dans nos villages provençaux non encore travaillés par la fièvre républicaine, une extrême familiarité régnait entre le seigneur du lieu et les paysans : on jouait aux boules ensemble après les vêpres, les demoiselles nobles dansaient avec les jeunes gens du village, etc. De tels courants de sympathie EFFECTIVE n’étaient possibles que dans la mesure où chaque classe restait liée à sa position [sa signature], en dehors de toute contestation et de toute envie [éloignement de l’Instant ou Soi et désir de prendre la place de l’autre]. Dans ces milieux, où les différences sociales étaient acceptées et vécues comme d’indiscutables nécessités, la familiarité pouvait grandir, d’une classe à l’autre, sans danger de promiscuité [ce que je nomme Super Grégarisme ou égrégore actuel] : UNE FRATERNITÉ PROFONDE NAISSAIT DE L’ACCEPTATION DE L’INÉGALITÉ [ce n’était pas encore le culte du narcissisme et du selfie à toutes heures] ».
« Comparez deux amants unis et deux automobiles du même type : là, la communion dans la différence ; ici, la séparation dans l’identité. Rien de ce qui est complémentaire (c’est-à-dire fait pour l’unité) n’est interchangeable et tout ce qui est interchangeable est nécessairement séparé », écrit Thibon, définissant ainsi notre actuelle civilisation occidentale où chaque ego ère séparément l’un de l’autre parce qu’il est réduit à l’état de MARCHANDISE CONSOMMANTE : l’individu séparé et interchangeable quand sa « date de péremption » est arrivée (ou qu’il n’est plus rentable ou productif). Un nivellement universel qui tue les différences entre êtres humains et qui ainsi tue la Vraie Unité sociale, et crée du même coup, étant donné que la mort est infiniment plus docile et plus malléable que la vie, mille possibilités d’unité artificielle, rapide et transformable selon l’ego du pouvoir en place : unité artificielle imposée à des êtres humains vidés de leur âme et de leur liberté, par une propagande brutale et permanente sur toutes les ondes ou circuits possibles.

Thibon écrit encore : « Il y a démocratie et démocratie : dans une société comme l’Église, le prolétaire sort du peuple transfiguré par la vocation de son âme, dans la plupart des démocraties modernes, il en sort défiguré par les ambitions de son moi (actuelle culture du narcissisme] ».

« Si une fièvre malsaine d’égalité consume la plèbe, n’est-ce pas les grands qui l’ont allumée en descendant par leur conduite au rang de la plèbe ?
Tu n’avais pas le droit de me ressembler, peut dire l’homme d’en bas à l’homme d’en haut. Tu as exaspéré et déchaîné ma bassesse en me révélant la tienne. L’envie qui me dévore aujourd’hui n’est que le cadavre de ma vénération d’hier. Tu as tué en moi le vivant de la hiérarchie, la douceur et la noblesse de l’obéissance [douceur comme au Japon]. […] Tu as fini par me prouver que tu me ressemblais. Eh bien ! je veux maintenant que nous nous ressemblions tout à fait (cette volonté s’appelle révolution, égalitarisme, communisme…). - Pressens-tu le mal que tu m’as fait ? Tu m’as amputé de la meilleure partie de moi-même : ma confiance en toi, et en tout l’ordre humain et divin que tu représentais [l’être humain est un Homo Religiosus]. car tu étais aussi pour le peuple le support et le messager du ciel, et l’image de Dieu s’est pourrie en moi avec ton image ["avec ta laïcité”, pourrais-je aussi écrire]. Par ta faute, je me suis senti seul et orphelin, j’ai perdu ce sentiment d’une grande réalité supérieure à moi et qui me portait, me gardait et nourrissait dans mon cœur une résignation sans amertume et une espérance sans fièvre ; j’ai cessé de me sentir dépassé, je n’ai plus rien vu au-dessus de moi-même - au  dessus de ma platitude et de ma faiblesse, si ce n’est que le mensonge. Comprends-tu maintenant que j’essaie de recréer le monde à ma misérable image ? ».
« Soit dans l’ordre économique, soit dans l’ordre social, le libéralisme ABSOLU est une monstruosité » (Gustave Thibon).

Cette Sottesotiété déduit tout au format des compas-équerres de cette judéo-maçonnerie genre Grand Orient de France et Loges à Pour-Voir Spéculum : « On a voulu tout simplifier, tout égaliser [maintenant, presque, tout digitaliser], on a rêvé de réduire le corps social à une figure de géométrie plane (actuelle « ingénierie sociale »].
Résultat : à la complexité organique de la Nature, à la complexité vivante, féconde, fille et servante de l’unité, on a substitué une complexité mécanique, artificielle et parasite », écrit Thibon.
L’hérésie égalitaire : « Elle cherche un remède à son aberration, à la fatalité dissolvante qui niche au creux de ses entrailles dans un fonctionnarisme [un jacobinisme] amorphe et démesuré. Mais ce remède exténue ; mais ce remède empoisonne ! Le fonctionnarisme [et de la chefferie et du consommateur], c’est l’égalitarisme qui se tue lui-même en se défendant contre lui-même ».

Il faut reconnaître que le marxisme et le freudisme, et à ce hui par exemple un Harvey Weinstein (a nice Jewish boy), ont eut le mérite d’avoir posé, dans toute sa force et sa douloureuse acuité, le problème des CHOSES D’EN BAS (le pur matérialisme).
PROBLÈME : la Vraie Liberté ne vient nullement d’en bas. La « délivrance » marxiste ou freudienne se résout en chaos humain et en déchéance. Vouloir uniquement « chercher le haut » c’est comme faire du freudisme inversé en oubliant toujours un pôle du courant !!!
Freudisme et marxisme nous rappellent simplement que les choses d’en bas, le ‘je’ ou ego, supportent également les choses d’en haut.

Gustave Thibon a raison d’écrire que les hasards du « Struggle for life » se sont révélés plus désastreux encore que ceux de l’hérédité (qui existe encore dans les grandes familles de Couille en Or et « capitaines d’industries »).

L’ego fait ses ravages en faisant que l’humain recherche les privilèges sans les risques ni les charges. Dans cette culture du narcissisme,on veut s’élever, non pas comme il serait naturel, pour mieux se donner, exercer sa GRATUITÉ, ÊTRE DISPONIBLE, mais pour mieux SE DÉGAGER, pour mieux TIRER SON ÉPINGLE DU JEU, qui là encore est un symptôme de ce culte du narcissisme. Ainsi, on combine paradoxalement la soif de monter et le désir d’être au chaud à l’abri : on veut être d’autant plus en sécurité qu’on est plus haut (voir les grandes fortunes cachées ou dans des « paradis fiscaux »).

Monsieur Micron, il ne sert à rien de « lutter » contre « l’inégalité homme-femme », tant que l’inégalité des fortunes - qui s’accentue de jour en jour - sera la norme compas-équerre de ce monde capitaliste.
CAPITALISME = MORT : société fondée sur la différence des fortunes mortes, au détriment de la différence vivante des fonctions organiques. Symptôme ou stigmate indélébile de ce monde capitaliste.
Fortune morte, aussi bien en société capitaliste qu’en société étatique : un fonctionnaire ou « serviteur de l’État » grassement payé et sans vraies responsabilité jouit de privilèges tout aussi artificiels qu’un propriétaire de capitaux anonymes d’une grosse multi nationale.

Gustave Thibon a raison d’écrire que pour qu’une inégalité sociale soit légitime, « il n’est pas nécessaire qu’elle soit calquée sur une différence de valeur personnelle (l’idéal du right man in the right place se présente comme une asymptote…), il suffit que chacun exerce une fonction organique et serve de son mieux, dans un ordre, le bien collectif ».

« Ce n’est pas d’ailleurs l’effet du hasard si les époques où le primat social est dévolu à l’argent sont aussi celles où sévit la pire fièvre égalitariste ».
(Gustave Thibon).

Loi naturelle fatale :
« Les hommes qui se détournent de l’amour commun sont voués à la haine réciproque » (Gustave Thibon), soit la guerre de tous contre tous ou libéralisme capitaliste.
« L’égalitarisme athée [laïcité par essence] est malsain parce qu’il n’a pas d’autre ressource que de rogner jusqu’au néant les différences humaines. Mais l’égalitarisme chrétien est sain parce qu’il est fondé sur le DÉPASSEMENT et non sur l’EXTINCTION de ces différences : il les prolonge jusqu’à leur origine et leur fin communes, qui est l’amour éternel [le Soi]. Et c’est ainsi que s’accomplit, dans l’unité de cet amour, la synthèse de l’égalité et de l’inégalité », écrit Thibon ; synthèse égalité-inégalité identique au vieux dilemme Individualisme-Collectivisme non encore résolu mondialement à ce hui.

Enfin, vouloir « l’égalité homme-femme » c’est comme chercher à prouver que « la Terre est plate » (et pourquoi pas cubique puisque tout est dans le mental !). Voilà où est en l’état de conscience des êtres humains occidentaux !

Ce qui blesse l’essence humaine ou sa Lumière de l’Essence ne peut aucunement servir le « progrès » humain » ; et les transhumanistes blessent la Lumière de l’Essence par leur ego démesuré. Tout comme la destruction révolutionnaire de 1789 en France ou celle de 1917 en Russie, en croyant nier le passé et faire un guerre contre lui, elles nient en réalité la misère, les besoins éternels de l’être humain.
Là où ça a bougé un peu, c’était il y après de 2000 ans ! Alors que le révolutionnaire de 1789, qui, « délivré de Dieu » (laïcité), prétend renouveler les défis de Dieu à la Nature ! Bref, il se prend pour Dieu et veut « organiser la Nature » alors qu’il n’est même pas capable d’organiser et de nettoyer son ego !
 
 

Dernière mise à jour : 26-11-2017 01:10

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >