« Ukraine. De l'autre côté de sa frontière orientale se trouve la Russie et à l'ouest de l'Europe. Pendant des siècles, elle a été au centre d'un bras de fer entre des puissances cherchant à contrôler ses riches terres et l'accès à la mer Noire. Le massacre de Maidan en 2014 a déclenché un soulèvement sanglant qui a renversé le président Viktor Ianoukovitch et dépeint la Russie comme l'auteur par les médias occidentaux. Mais était-ce ? "L'Ukraine en feu" d'Igor Lopatonok offre une perspective historique des profondes divisions dans la région qui ont conduit à la révolution orange de 2004, aux soulèvements de 2014 et au renversement violent de Ianoukovitch, élu démocratiquement. Couvert par les médias occidentaux comme une révolution populaire, il s'agissait en fait d'un coup d'État scénarisé et mis en scène par des groupes nationalistes et le Département d'État américain. Le journaliste d'investigation Robert Parry révèle comment les ONG politiques et les sociétés de médias financées par les États-Unis ont émergé depuis les années 80 en remplaçant la CIA dans la promotion de l'agenda géopolitique américain à l'étranger ».
(Présentation du film d’Oliver Stone : Ukraine on fire)
QUI A DEMANDÉ À CETTE OLIGARCHIE JUIVO CAPITALISTE RÉPUBLICAINE DE S’OCCUPER DES AUTRES PARTOUT DANS LE MONDE ?
« En admettant l’existence du monde, je dois admettre quelqu’un qui le voit et qui n’est autre que moi-même. Laissez-moi trouver
“moi-même” de manière à ce que je connaisse la relation entre le monde et celui qui le voit. Mais quand je cherche le Soi et demeure comme le Soi, il n’y a plus de monde à voir. Quelle est alors la Réalité ?
Seul celui qui voit est réel, et certainement pas le monde.
Ceci étant la vérité, l’homme n’en continue pas moins de discuter en se basant sur la réalité du monde. Qui donc lui a demandé de plaider la cause du monde ?
Le
Yoga-Vasishtha définit clairement la Libération comme étant l’abandon du faux pour demeurer en tant qu’Être ». (
Ramana Maharshi, entretien 442 du 8-1-1938).
« Si chacun s’occupait de ses propres affaires, il n’y aurait pas de querelles ». (Ramana Maharshi, entretien 479 du 22-3-1938).
Même entretien :
- Question : Au réveil, je vois le monde et je ne suis pas transformé par le sommeil.
- Maharshi : Mais cela vous ne le saviez pas dans le sommeil. Que ce soit maintenant ou alors, vous restez toujours le même. Qui devrait avoir changé au réveil ? Est-ce dans votre nature de changer ou de rester inchangé ?
- Question : Quelle en est la preuve ?
- Maharshi : Votre Être propre demande-t-il une preuve ? Il suffit que vous restiez conscient de votre propre Soi et vous connaîtrez tout le reste.
Les Juifs et leur
« mise en valeur du temps » veulent rendre la matière
« éternelle », certainement pour POUR-VOIR continuer
« éternellement » à FAIRE DES AFFAIRES
(2), comme prochainement un de leur grand prêtre Zuckermetav du Metavers veut interrompre par sa réalité augmentée toute évolution vers les Mondes Libres où sera rendue
« metavers » (ou numérique) le règne Minéral, Végétal Animal et Humain (c’est la mode, on fout tout en chiffres, comme si c’était une preuve de la
« réalité », mais ces gens foutent-ils tout en chiffres dans leur sommeil profond ?.
Le régime mondialiste de la démocratie et du capitalo-républicanisme devenu adulte à partir du 1789 français consiste à exiger l’impossible, c’est-à-dire l’Infini dans le fini et l’illimité dans cette démocratie condamnée à la limitation par son fonctionnement sur les conflits d’intérêts, exiger le bonheur dans les contradictions de la vie mortelle, exiger le spirituel dans la matière et la consommation d’objets et de choses, exiger le divin dans le corps et l’ego. Exactement ce même impossible que la Grâce Nous DONNE, LE GRATUIT, L’AMOUR : « Le Royaume des Cieux est en Vous ». Car « ce qui est impossible aux êtres humains est possible au Soi, ou à Dieu [et c’est la définition du Zéro Indien] ».
ZÉRO INDIEN : PUTRÉFACTION OU RENONCEMENT [RENOIERIE]/DIGESTION/ABANDON : Faire acte de renoncement à l’opinion, au Dehors de la racine du mal de la dualité Dedans-Dehors, à son intelligence. Laisser un grand repos à son mental qui calcul ; LAISSER DIGÉRER :
ŒUVRE AU NOIR DE LA NUIT OBSCURE, le sens Annonciation ou suspendre un temps et sa loi de succion ou attraction
« universelle »,
la Putréfaction est comme un SILENCE,
C’est une sorte de SEPT (des couleurs de l’Arc-en-Ciel).
Le SEPT ou Silence (le fameux
« jour de repos » des sociétés chrétiennes), mais précisément le RENOIERIE ou Nuit Obscure : là où n’existe aucun Dehors et donc aucun
« enseignement » à recevoir par loi de succion.
C’est ALORS SEULEMENT QUE TOUT EST POSSIBLE : nul besoin de pétrole car nul obstacle ne se présente, tout est devenu FLUIDE, TRANSPARENT ET SANS FIN, les monts enneigés de l’Himalaya recèlent des palanquées inépuisables de fleurs et plantes médicinales, les activités artistiques n’ont pas de fin… La loi de succion n’existant plus, les êtres peuvent se déplacer
« dans les airs » assis en tailleur et voler comme un oiseau, comme les êtres peuvent marcher sur l’eau comme ils marchent sur la terre. Tout cela sans la technologie actuelle mortifère découlant de la mortifère explosive thermodynamique et de la pesanteur de loi de succion…
Comment faire la Pierre ? Réponse : Putréfie !
(D’après la Clef du Secret des secrets, de Nicolas Valois)
[Ci-dessous : schéma d’après
Senior Zadith.
Mais les paroissiens de Jacques Attali vont INVENTER LE TEMPS QUI COULE DANS UN SEUL SENS ET CE QUI VA AVEC DONT L’HISTOIRE-OPINION :
La NORME JUIVE de leur dualité winners-losers (élus/non-élus et Dedans-Dehors) résumé page 18 du livre de Jacques Attali,
Les Juifs, le monde et l’argent : « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus trinitaire, Ouroboros trinitaire] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, l’opinion, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent et du salariat, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [
et inventer la liberté]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre :
mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur
”Jour du jugement dernier”…] ».
« Mettre en valeur »…. Là est le problème !!! ]
Si c’est
« la première fois », c’est aussi la dernière : « Ce qui est doit perdurer à jamais. Ce qui apparaît nouvellement doit aussi disparaître. Comparez l’état de veille et le sommeil profond. Le corps apparaît dans un état, mais pas dans l’autre. C’est pourquoi le corps doit périr. La conscience, étant préexistante, survivra au corps. En fait, il n’est personne qui ne puisse dire : « Je suis ». La cause de tous les malheurs est la fausse croyance : « Je suis le corps » [base du Marxengelsisme]. Cette fausse croyance doit disparaître.
C’est cela la Réalisation. La Réalisation n’est pas l’acquisition de quelque chose de nouveau et ce n’est pas non plus une faculté nouvelle. C’est simplement la suppression de tout camouflage ». (Ramana Maharshi, entretien 96 du 13-11-1935). ET À CE HUI NOUS SOMMES DANS UNE CI-VILE-ISATION DU CAMOUFLAGE, DU MASQUE, DE L’ARTIFICE
”réalité augmentée”]
Notes.
1. Elvis Presley avait un caractère de Réalisé, de christique : il était semblable à un miroir : « quoi que vous cherchiez, vous le trouviez en lui. Il n’était pas du genre à mentir ou à dire des méchancetés.
Il avait la complexité des gens simples […] Il représentait l’INNOCENCE qui avait rendu la country si formidable, cette alliance des ”éléments de la terre, du ciel, de l’eau, même du vent, des nuits calmes, des gens qui vivaient sur les plantations, perpétuellement endettés, jamais sûrs de leur pitance, des lumières en haut du fleuve. On décrivait ainsi Memphis dans le temps. Elvis Presley concentrait tous ces éléments. Peut-être, était-il capable de le formuler, mais, bon sang, il n’était certainement pas crétin. Nom de Dieu, il était même très intuitif. Il savait foutrement bien saisir la totalité spirituelle de l’existence humaine. Simplement, cette expression ne lui serait jamais venue à l’esprit. C’était ce qui comptait pour lui ». C’était le signe distinctif d’Elvis : il véhiculait une dimension spirituelle sans être capable ou sans éprouver le besoin de l’exprimer. Or, tous ces adultes, avec leurs vies, leurs rêves, leurs passions et leurs espoirs compliqués, se cherchaient eux-mêmes dans sa simplicité ». On ne pouvait pas faire mieux que
Peter Guralnick résumant en quelques lignes l’aspect spirituel natif d’Elvis Presley, dans son livre :
Last Train to Memphis, volume 1 :
Le temps de l’innocence (1935-1958).
Elvis Presley devait avoir conscience qu’il n’était pas comme les autres (du monde de l’entertainment). Il avait une sorte de pouvoir sur les gens, il les transformait. Il ne cherchait pas spécialement à se faire remarquer, mais il provoquait naturellement et immanquablement cette réaction : qu’ils soient les pires durs ou qu’ils feignent ou non de s’intéresser, c’était sans importance, dès qu’il chantait, les gens étaient captivés, écrit Peter Guralnick, page 96.
2. En 1840 les frères Abraham et Simon Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali,
Les Juifs, le monde et l’argent).