La monstrueuse erreur de Louis Pasteur,
l’anti-vie, la pasteurisation.
En 2023 le pasteurisme continue ses ravages,
au nom du fric/flic et de ses ”biens”,
telle la ”situation d’urgence” inventée
par le Pour-Voir.
Pasteurisation, Covidisme et ARNm-transhumanisme = même catastrophe provoquée par le profit-loi de succion de l’ego.
NOUS SOMMES EN D’ANGER E-vident : Nous voyons maintenant le E, cette ex-pression du I Axe, soit les 2 aspects du TOUT, permettant ainsi de se ré-tablir dans l’Origine trinaire, l’Unité tri-phasée du Soi avec la Trinité de tant de spiritualités et religions.
TOUT est symbole : tant de noms-les-formes Nous re-vèlent (donc Nous voilent de nouveau comme d’Anger : issu de l’Ange afin d’attirer nostre attention sur) l’utilité du sens de L’AMBIGUÏTÉ COMPARABLE AU « N’EST PAS X ».
La Génération Spontanée ne peut
qu’être la SEULE APPELÉE « VIE ».
En DEHORS, dans la racine du mal la
dualité Dedans-Dehors, on tombe dans
la théorie de l’évolutionnisme ET
NÉCESSAIREMENT THÉORIE DE L’UTILITARISME,
de la pasteurisation, du big bangisme,
du CAUSISME modèle inconscient collectif
à la C.G. Jung :
« l’Ancêtre commun », le conventionnel
parfaitement sécurisé, même logique
utilitaire que le Big bang :
un causisme apparu ”il y a plus de
trois milliards d’années”, bien-sûr
dans le concept du temps, c’est-à-dire
à l’état de veille !!!
Comment tout cela peut-il se
prendre au sérieux ?
D’une « matière inerte » à une
« matière vivante », un spontané inversé !!!
Allons, allons, vous vous prenez une
fois encore pour des WINNERS au gros ego
et vous Nous prenez pour des imbéciles !
Décrire les « origines de la vie »
est une IMBÉCILITÉ PARFAITEMENT HUMAINE.
COMME UN MENTAL DEVANT SE CONTRÔLER LUI-MÊME
« à l’instar d’un voleur se transformant en
policier pour procéder à sa propre arrestation.
De cette manière, le mental continue à subsister,
mais échappe à lui-même », explique
Ramana Maharshi à l’entretien 43 du 28-3-1935.
DÉCRIRE LES « ORIGINES DE LA VIE » = STUPIDITÉ
DE STUPIDITÉ HUMAINE RÊVANT DE ”SORTIR” DE
L’UNIVERS POUR L’ÉTUDIER ET BIEN-SÛR EN
TIRER PROFIT, SELON LA LOI DE SUCCION :
La connaissance par l’Homme de sa nature humaine
ne peut être une science puisque toute science
naît de la dualité sujet-objet à con-naître, et
que l’Humain étant ontologiquement le Tout, le
Soi, il est de ce fait dans l’impossibilité de
se poser comme sujet étudiant d’un ”Big bang”
ou d'une ”origine de la vie” qui lui serait
AU-DEHORS, comme s’il ”sortait”
de l’Univers pour observer sa naissance.
Là encore, citation du mental à la fois
policier et voleur devant procéder à sa propre
arrestation = AMPLIFICATION DU WINNERISME
DU MENTAL.
S’IL Y A UNE ORIGINE DE LA VIE, IL Y A
NÉCESSAIREMENT UNE « ORIGINE DE LA MORT »,
ET PAR CONSÉQUENCE UNE CROYANCE À LA
NAISSANCE DE QUELQUE CHOSE, COMME UNE
« GÉNÉRATION SPONTANÉE » (histoire de fous) !
« Le mauna [silence] est, dit-il, l’état qui
se manifeste spontanément après
l’annihilation de l’ego. Cet état est
au-delà de la lumière et de l’obscurité,
mais est encore appelé lumière parce que
aucun autre mot approprié n’a pu être trouvé ».
(Ramana Maharshi 122).
(Cet état est bien-sûr au-delà du ”Big bang”
et de l’invention d’une naissance, d’une cause !)
SPONTANÉ devrait signifier : LA RÉALITÉ,
LA PERTE DE L’EGO :
«
La Réalité, c’est simplement la perte de l’ego. Détruisez l’ego en cherchant son identité. Parce que l’ego n’est pas une entité, il disparaîtra automatiquement et la Réalité resplendira spontanément d’elle-même. C’est la méthode directe. Tandis que dans toutes les autres méthodes l’ego subsiste.
Celles-ci soulèvent quantités de doutes et à la fin la vraie question reste en suspens. Dans cette méthode-ci, par contre, la question finale est la seule qui existe, et elle est posée dès le début.
Aucune
sâdhanâ (discipline) n’est nécessaire pour s’engager dans cette quête.
Il n’y a pas de plus grand mystère que celui-ci : nous cherchons à atteindre la Réalité alors que nous sommes la Réalité. Nous pensons que quelque chose nous cache notre Réalité et qu’il faut le détruire avant d’obtenir cette même Réalité. C’est ridicule. Un jour viendra où vous rirez vous-même de tous les efforts passés. Et ce qui sera le jour où vous rirez est déjà ici et maintenant.
- Q. : Alors, c’est un grand jeu du « faire semblant » ? [le ”COMME SI”]
- M. : Oui.
Dans le
Yoga-Vasistha il est écrit : « Ce qui est réel nous est caché, mais ce qui est faux se révèle à nous comme vrai [la Vrai devient faux dès qu’il est vu, ou possédé] ». En fait, la seule chose dont nous faisons l’expérience, c’est la Réalité ;
pourtant nous ne le savons pas. N’est-ce pas la merveille des merveilles ?
[Mais le capitalisme transhumaniste messianique veut SA propre merveille…]
La recherche « Qui suis-je ? » est le glaive qui sert à trancher l’ego.
(Ramana Maharshi, entretien 146 du 26-1-1936).
- M. : Le guru est nécessaire aussi longtemps qu’il y a laghu (un jeu de mots : guru = lourd,
laghu = léger). La cause de
laghu est le fait d’imposer à soi-même la fausse limitation du Soi.
Lorsque Dieu est adoré, Il accorde la stabilité dans la dévotion qui conduit à l’abandon de soi.
Lorsque l’adorateur s’abandonne complètement, Dieu lui prouve Sa miséricorde en Se manifestant comme guru. Le guru, c’est-à-dire Dieu, guide l’homme pieux en lui disant que Dieu est en lui et qu’il est le Soi. Cela provoque l’introversion mentale et finalement la Réalisation.
L’effort est nécessaire jusqu’au stade de la Réalisation. Alors le Soi doit spontanément se révéler. Sinon le bonheur ne sera pas complet. C’est donc jusqu’à ce stade de spontanéité que, sous une forme ou sous une autre, des efforts doivent être fournis.
- Q. : Mais notre activité quotidienne n’est pas compatible avec de tels efforts.
- M. : Pourquoi pensez-vous que vous êtes actif ? Prenez l’exemple concret de votre arrivée ici.
Vous avez quitté votre maison dans une charrette, pris le train, êtes descendu à la gare, remonté dans une charrette et vous vous êtes retrouvé dans cet ashram. Quand on vous a demandé ce que vous avez fait, vous avez dit que vous avez voyagé depuis votre ville jusqu’ici, n’est-ce pas ?
Le fait n’est-il pas plutôt que vous n’avez jamais bougé et que ce sont les divers moyens de locomotion qui vous ont transporté tout le long de votre route ? De même que vous confondez ces mouvements avec les vôtres, vous faites ainsi pour les autres activités. Mais ce ne sont pas les vôtres. Ce sont les activités de Dieu.
(Ramana Maharshi, entretien 78 du 29-9-1935).
Pour inventer la génération spontanée il faut d’abords inventer le concept de
« MATIÈRE INORGANIQUE », qui là encore découle d’une tentative de
« sortir » de l’Univers pour savoir comment c’est fait, ou comme le mental à la fois policier et voleur devant procéder à sa propre arrestation et à donc à la suppression de son propre état de nuire !!!
Idem en politisme : cette technologie de la gestion des sociétés se fabrique selon l’opinion qu’on se fait de l’humain (sens générique), en conséquence, le politisme implique, de la part de ceux qui prétendent exercer un pouvoir politique, la connaissances des essences de l’être humain, de son ontologie.
Connaissance qui ne peut s’acquérir à partir des accidents du spatio-temporel et donc du big bangisme et de la théorie pasteurienne à la mode depuis Pasteur et son DEHORS.
Louis Pasteur se pose en DÉMIURGE QUI PRÉTEND DÉFINIR UN CENTRE ANSOLU GÉOMÉTRIQUEMENT VRAI, AVEC UNE ÉQUERRE À CENTRER (les éprouvettes, la ”preuve” de l’expérience], laquelle ne peut pas définir un centre absolu, donc possédé, parce que :
« Le discours logique qui cherche les essences au travers des accidents [du spatio-temporel, dont les microbes] opère à la façon de l'équerre à centrer qui ne peut tenir compte de toutes les lignes AB possibles pour la simple raison qu'elles sont en nombre inépuisable, in-défini (ce qu'on appelle à tort l'infini). Pas plus que l'équerre à centrer, il ne peut tenir compte de tous les accidents existants ou possibles dans le spatio-temporel, et en conséquence aucun discours logique (tous les philosophismes sont des discours logiques) ne peut atteindre à la vision de l'Absolu. Il est toujours couillonné. L'Homme ne peut atteindre l'Absolu que si l'Esprit vient lui-même le chercher pour le placer au centre, c'est-à-dire en LUI ». (Jean Coulonval Synthèse et Temps Nouveaux).
OÙ EST LE VIRUS ?
« Il y a une génération spontanée des maladies — même et surtout de la rage ;
je dis génération spontanée des maladies à microbes, et, à fortiori, des maladies sans microbes.
Voyons d'abord la tuberculose : le bacille de Koch n'y est qu'un « produit morbide » et non un « facteur morbifique ». Nous le voyons naître au sein des tissus malades, aussi bien spontanément dans la tumeur blanche des scrofuleux arrivée à un certain degré de son évolution que, expérimentalement, dans la granulation engendrée après six inoculations successives de zooglées [étym. 1889, latin
zoogloea (1878), de
zoo et du grec
glotos, glu : voile mucilagineux à la surface d’un liquide constitué par des bactéries agglutinées] sans bacilles : ainsi cinq fois de suite la tuberculose zoogléique sans bacille de
Malassez et Vignal, inoculée à des animaux y fait naître des granulations sans bacille ; et, à la sixième génération, cette granulation sans bacille, issue d'une zooglée sans bacille, donne enfin naissance à des granulations avec bacille. Vit-on jamais plus bel exemple d'une génération spontanée, et preuve plus éclatante de cette vérité,
à savoir que le bacille est un effet et non pas une cause, un produit et non pas un facteur !
Même démonstration, par les faits cliniques, de la génération spontanée du bacille aussi bien pour le choléra infantile que pour le choléra indien, les bacilles virgule manquant absolument ou ne se trouvant qu'en nombre dérisoirement infime dans les cas foudroyants où, s'ils étaient cause, ils devraient être en quantité proportionnelle à l'effet ; et où parce qu'ils sont effet ils manquent ou sont peu nombreux, la vie du cholérique ayant été fauchée en peu d'heures et le temps ayant manqué pour la genèse du bacille.
[…]
Les bactéries de la putréfaction se trouvent dans l'intérieur des végétaux sans fissure d'introduction, ainsi que l'a démontré Bécbamp à la suite de la congélation, pour les cactus à l'épiderme intact et imperméable ; ainsi que vient de le démontrer un ingénieur civil, Leune, dans la simple et jolie expérience que voici :
Il prend une belle pêche, mûre et absolument saine ; il la comprime légèrement avec son pouce, préalablement et soigneusement lavé à l'alcool, puis il enduit la pèche d'un vernis stérilisé, et, au bout de quelques jours, celle-ci se pourrit au niveau du point comprimé ; à ce niveau se trouvent les bactéries de la putréfaction. Elles s'y sont évidemment formées de toutes pièces, comme se forme de toutes pièces et par génération spontanée le streptocoque de la suppuration au contre des tissus mous dans le cas de contusion sans lésion de l'épiderme, et dans la profondeur de l'os, dans le cas d'ostéomyélite sans lésion non plus des parties molles qui recouvrent et protègent l'os ; comme se forment de toutes pièces et le pneumocoque de la pneumonie au premier et au second degré, et le streptocoque de la suppuration au troisième degré de la phlegmasie pulmonaire. Ils se forment dans le poumon comme s'y forment les alcaloïdes toxiques de la respiration, découverts par
Brown-Séquard et
d'Arsonval.
Ainsi partout, toujours, dans le microcosme vivant se voit la génération spontanée d'alcaloïdes et de corpuscules microbiens :ceux-ci empruntant leur virulence à ceux-là suivant les circonstances du milieu ».
(
Du Transformisme et de la GÉNÉRATION SPONTANÉE - Étude scientifique et philosophique, 1890, par Ch. A. Rohaut, ouvrage précédé d’une préface du Dr. Michel Peter, Professeur de clinique à la Faculté de médecine de Paris, Membre de l’Académie de médecine. Ici il s’agit de la PRÉFACE du Dr. Michel Peter (1824-1893)).
« En général, la solution organique que l'on observe, et dans laquelle on ne distingue rien d'animé, se couvre, au bout d'un certain temps, d'une pellicule.
Cette membrane est formée de petites cellules qui bientôt se disposent bout à bout, par deux, par trois, etc., pour constituer des Bactéries, petits êtres primitifs, qui, sous le microscope, s'agitent et se croisent en tous sens.
Pendant quelques jours, cette production augmente considérablement, puis elle s'arrête, et, de ses débris, se forme une nouvelle membrane à cellules qui se transforment bientôt en Monades et en Kolpodes, organismes encore très simples, mais un peu supérieurs aux Bactéries qui les précèdent toujours.
Évidemment, ces métamorphoses de la matière organique sont limitées. Elles n'ont pas la puissance de produire des organismes complexes; mais il n'est pas moins admirable de voir la cellule manifester sa vie individuelle plus clairement peut-être dans les organismes simples que dans les organismes composés, dont elle procède et auxquels fatalement elle doit retourner tôt ou tard.
C'est là ce qu'on nomme génération spontanée ou plus justement hétérogénie.
Les adversaires de cette théorie prétendent que toutes ces productions viennent des germes disséminés dans l'air et dans l'eau
[pour l’air, en 2020 le covidisme en est le scénario…].
En admettant l'existence de ces germes invisibles, il faut admettre aussi qu'ils peuvent être, sinon détruits, du moins rendus inefficaces par les hautes températures. Il n'en est rien. Les expériences les plus rigoureuses, faites dans ce sens, ne parviennent pas à empêcher le développement des microzoaires [plus tard les
”Microzimas” de Béchamp] dans les solutions organiques.
Leur génèse peut être diminuée, ralentie, mais elle persiste toujours, pourvu que les conditions nécessaires ne manquent pas, c'est-à-dire, pourvu qu'il y ait assez d'humidité et d'air non altéré, et aussi assez de chaleur et de lumière.
D'ailleurs, ces prétendus germes n'ont jamais été démontrés, et on ignore complètement d'où ils pourraient provenir.
Dira-t-on que tous les êtres sont pourvus de sexes et ne peuvent se reproduire que par des œufs ou des germes fécondés ?
Longtemps on a supposé qu'il n'y avait pas d'autre mode de production. Il a pourtant bien fallu se rendre à l'évidence et reconnaître qu'il y a des espèces privées de sexe, même parmi des animaux très bien caractérisés ».
(
Considérations générales sur l’Hétérogénie ou Génération spontanée, par M. Lavocat, Professeur d’Anatomie et de Physiologie à l’École impériale Vétérinaire de Toulouse, Membre de l’Académie impériale des Sciences, etc., 1861)
« Il n’y a pas de départ, il n’y pas de retour » (Ramana Maharshi, entretien 189 du 19-5-1936).
« Quand cela [le vichâra : questionnement par le ”Qui suis-je ?”] devient spontané et naturel, c’est la Réalisation ». (Ramana Maharshi, entretien 390 du 6-4-1937).
« L’âtman [le Soi] agit à travers l’ego. Toute action est le résultat d’un effort.
L’enfant endormi est nourri par sa mère pendant son sommeil. Il n’en prend pas conscience, si bien qu’à son réveil il prétend n’avoir reçu aucune nourriture. Pourtant, la mère sait ce qui s’est passé. De même, le jnani [le sage, le Réalisé] agit sans s’en rendre compte. Les gens le voient agir, mais lui-même n’en a pas conscience. « C’est par crainte de Lui que le vent souffle », etc. Tel est l’ordre des choses. Il ordonne toute chose et l’Univers agit en conséquence, cependant Il n’en sait rien. C’est pourquoi Il est appelé le grand
« Faiseur » [le Centre est nulle part et la Circonférence est partout]. Tout être incarné (ahamkari) est lié par le
niyama (la loi) que même Brahmâ [une des 3 principales divinités de l’hindouisme incarnant la fonction de création] ne peut transgresser ». (Ramana Maharshi, entretien 467 du 7-3-1938).
Depuis quand un être humain qui ne se connaît pas, donc qui ne s’est pas réalisé au plus profond de son EST, peut-il inventer le concept
”origine de la vie” ? C’est comme s’il
”sortait” de l’Univers ou de son EST pour le voir et avancer :
« Là, il est né ! », ou
« Là, c’est le temps ».
« La vérité, pour l’Homme et pour chaque homme, c’est l’idée qu’il se fait de sa nature d’homme. Et il se trouve que, de même que l’équerre à centrer [ci-dessus] situe le centre d’une façon subjective, par approximation imaginative, aucune idée de l’Homme acquise par le discours logique [la
”dialectique historique” et son fond l’inconscient collectif], et qu’on appelle
« opinion », n’a de valeur scientifique, quoi qu’elle en prétende », écrit encore Jean Coulonval cité plus haut dans
Synthèse et Temps Nouveaux, dans sa lettre 49 à Louis Pauwels, le 12-4-1978.
«
Êtes-vous né actuellement ? Pourquoi pensez-vous à d’autres naissances ? Le fait est qu’il n’y a ni naissance ni mort. Laissez donc celui qui croit être né penser à la mort et à ses palliatifs ». (Ramana Maharshi, entretien 17 du 24-1-1935).
« Réfléchissez à ce qui doit être perdu. Y a-t-il quelque chose à perdre ? Ce qui importe vraiment, c’est seulement ce qui est naturel. Car c’est éternel et ne peut faire l’objet d’une expérience. Ce qui est né doit mourir. Ce qui est acquis doit être perdu.
Êtes-vous né ? Vous existez depuis toujours. Le Soi ne peut jamais être perdu ». (Ramana Maharshi, entretien 20 du 30-1-1935).
- Vasistha : Il n’y a rien dedans ou dehors, appelé objet de la
conscience, qui soit distinct de celle-ci. Un notion ou un mouvement
dans la conscience elle-même s’appelle objet de cette conscience même.
Tout comme on rêve à sa propre mort ou à un voyage qu’on fait à
l’étranger, de même la conscience se considère elle-même comme son
propre objet. Ce n’est que tant qu’on ne comprend pas cela que l’objet
semble doté de sa propre réalité, ce qui constitue le samsarâ [cycle des
naissances et des morts, monde phénoménal des noms-les-formes]. La
suppression de cette méprise est la Libération. Le contact avec les
”objets” et l’expérience qu’on en fait est souffrance : le non-contact,
tout en demeurant pleinement conscient et actif, favorise e bonheur. Ce
qui demeure, en l’absence d’expérience d’objets et de l’inertie, est
soi-même.
[…]
La pure conscience à l’intérieur du Cœur n’est pas corrompue par l’objet
de l’expérience ; par conséquent est libéré celui ui, en son for
intérieur, est libre de tout contact. Quand un homme qui a supprimé le
conditionnement mental ne nourrit pas de pensées d’objets mais demeure
établi dans la conscience pure, bien qu’intérieurement actif comme un
enfant idiot [telle l’image du Taoïste réalisé], il est débarrassé de la
tristesse et de l’expérience en tant qu’objet. Bien qu’engagé dans
l’action, il n’est pas pollué. Il est Félicité.
[…]
Qui a atteint l’état de pur être ne connaît plus la souffrance. C’est la
cause de tout, mais il n’a lui-même aucune cause. C’est l’essence de
tout ; en dehors de cela, il n’y a pas du tout d’essence. En cela tout
se reflète, tout comme les objets se reflètent dans un miroir. Cet état
est le pur état
(1). En lui le mental parvient à la Paix suprême. Accède
à cet état et sois libre de la peur.
[…]
Quand on perd de vue sa propre Nature
inconditionnée, il y a conscience de « l’autre » [le social, le monde,
le Dehors] ; cela est illusion et rien d’autre. Ainsi le mental passe
d’un objet à un autre [principe du réseau et des réseaux
”sociaux”],
tandis que la véritable intelligence ou intelligence inconditionnée se
situe entre ”ceci” et ”cela”. L’état inconditionné est celui dans lequel
il y a absence de tout concept et où la conscience reste aussi immobile
qu’un roc, mais sans lourdeur d’esprit ni inertie. Dans cet état cesse
la notion de ‘je’ ainsi que la vision de la division.
(
Yoga Vasistha, dans
Le Laghu Yoga Vasistha, traduction de Swami Venkatesananda [1921-1982]).
D’ANGER = CONSCIENCE DE ”L’AUTRE”, PASSAGE D’UNE BIOLOGIE SPONTANÉE,
NATURELLE, À UNE BIOLOGIE PASTEURISÉE, TRANSHUMANISTÉE, TECHNOLOGISÉE,
SYNTHÉTIQUE (aussi appelée ”évolution dirigée” du DEHORS, qui ne peut qu’entrer
dans le cadre de ce monde Prométhéen où toute évolution vers les Mondes
libres sera interrompue et il sera procréé une évolution statique,
artificielle dans le Minéral, le Végétal, et l’Humain. EN RÉSUMÉ, ON SE
DIRIGE VERS LA SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE À ROBOTS HUMAINS, bien dociles en
leur « zéro-défaut » d’éprouvettes…
IL Y AURA NÉCESSAIREMENT AMPLIFICATION
DE LA RACINE DU MAL : LE DEHORS AUGMENTÉ : LES HUMAINS PROGRAMMÉS PAR LE
DEHORS SELON LA LOGIQUE DE PASTEUR : LES MICROBES AU DEHORS, LES
TERRORISTES, LES ÉTRANGERS, LES MIGRANTS TOUS À FAIRE COULER…..
Note.
1. MIROIR : Le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant, le jnanî, est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair ou sans tain] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur
akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (
ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur). Les
shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938)