Staline était un grand prêtre qui a soumis par le meurtre les « mécréants » pour enfer, pour en faire des disciples de sa paroisse. En 1789 la république juive-franc-maçonnique a soumis les « brigands » Vendéens et le reste de la France en chassant les « bons chrétiens » afin d’imposer sa Sainte Bible juive-franc-maçonnique des Droits de l’Homme, créant de ce fait la Religion de l’Homme et de Saint Fric, dont une paroisse est l’OTAN. Autour des siècles 300 jusqu’à Charlemagne, c’était les « bons chrétiens » qui faisaient la chasse aux « mécréants » pratiquant l’Ancienne religion, par exemple ici en Occident celle des Celtes avec les Druides qui furent assassinés.

De nos jours, non seulement nous sommes dans la religion laïque, mais dans la tête des francs-maçons et surtout d’Aristote. Tout l’Occident et même jusqu’au Japon est dans la tête d’Aristote. Par exemple il suffit simplement de voir comment son construit presque tous les scénarios d’Hollywood. Aristote gangrène jusqu’au Goulag de Dubaï.

« Et nous dessinons cet Aristote  précisément parce que c’est lui qui a inventé notre réalité, avec les Mercedes 600 et où toi, Maria, tu veux t’insérer » (Viktor Pelevine, La mitrailleuse d’argile)

« Le monde où nous vivons est simplement une visualisation collective que l’on nous apprend dès la naissance. A proprement parler, c’est la seuls chose qu’une génération transmet à l’autre. Lorsqu’une quantité suffisante d’individus voient cette steppe, cette herbe et ce soir d’été, cela nous donne la possibilité de les voir avec eux. Mais quelles que soient les formes que le passé nous a prescrites, en réalité, chacun ne voit dans la vie que le reflet de son propre esprit », écrit Pelevine. Il décrit le « Chacun voit midi à sa fenêtre ».

Sous le ciel, vrai et faux
Ne sont jamais déterminés une fois pour toutes.
De par le monde, chacun décrète vrai ce qu’il tient pour vrai
Et faux ce qu’il tient pour faux.
Ce qui est appelé vrai et faux est différent pour chacun ;
Et tous, sûrs d’être dans le vrai, de réfuter les autres.

On peut donc en inférer que
Ce que j’agrée en mon fort intérieur
L’est avant même d’avoir été trouvé vrai
Et que ce qui rebute mon cœur
Le fait avant même d’avoir été trouvé faux.

La recherche du vrai
N’est donc pas recherche des principes naturels du Tao
Mais recherche de ce qui m’agrée en mon for intérieur,
Et rejeter le faux
N’est pas empêcher le mal de se propager,
Mais rejeter ce qui rebute le cœur.

Ce qui me rebute,
Est-ce pour autant que d’autres ne l’agréent pas ;
Et ce qui m’agrée à moi,
Peut être tenu, communément, pour faux.

Le caractère vrai inhérent à la vérité Suprême
Fait qu’elle n’a rien de faux ;
Et le caractère faux inhérent à la fausseté Suprême
Fait qu’elle n’a rien de vrai :
C’est là le vrai et le faux authentique.

Si donc ce qui est vrai pour les uns est faux pour les autres
Et que ce qui est faux pour les premiers est vrai pour les seconds,
On dira que c’est vrai d’un côté et faux de l’autre.
Cela c’est le vrai et le faux pour un recoin de l’Univers.
à un autre niveau, il y a le vrai et le faux
Pour l’immensité des Espaces et des Temps.

Nous avons tendance à choisir ce que nous jugeons vrai
Pour nous y tenir,
Ou bien à prendre ce que nous jugeons faux
Pour le rejeter.
Mais nous ignorons ce que notre siècle appelle vrai et faux
Comment savoir qui est dans le vrai, qui est dans le faux.

(Les grands traités du Huainan zi, époque des Han, 206 av. J.C. - 220 ap. J.C.)

Tenir les gens par la peur ou les faire marcher par la carotte et le bâton, voilà le principe démocratique : « Et il aime qu’on ait peur de lui. Qu’on le craigne et qu’on se sente un merde. Et lui, il a une auréole grand format, des ailes en éventail, des gardiens et tout le bazar. Et il te regarde de hait en bas : alors, ça va, p’tite merde ? T’as tout pigé ?
...
Selon la religion, après la mort, c’est comme sous Staline. Imagine un peu, comment c’était. Tout le monde savait qu’une fenêtre restait allumée toute la nuit, au Kremlin. Et derrière la fenêtre, c’était Lui. il t’aimait comme on aime un être proche et toi, tu avais de lui une trouille à chier, mais tu devais tout de même l’aimer de tout ton cœur. C’est comme dans la religion. [Pelevin dit exactement comme Jean Coulonval]. Pourquoi je me suis souvenu de Staline ? Parce que j’ai commencé à me demander comment on pouvait avoir peur de quelqu’un à en chier et, en même temps, l’aimer de tout son cœur.
- Et si tu n’as pas peur ? demanda Chourik.
- Alors tu n’as pas peur de Dieu. Et pour cela, tu vas au cachot ».
(Viktor Pelevine).


Faisons le point :
Aristote ratisse large car il influence toujours de nos jours.
L’ancienne religion des Celtes est détruite par la religion chrétienne.
La religion de l’homme et du Dieu Fric détruit, ou tente de détruire la religion chrétienne.
Les Juifs bolcheviks tentent de détruire la religion orthodoxe de la Saint Russie et d’imposer le mondialisme ou socialisme ou hégélianisme, ils y réussissent de 1917 à 1991 (chute de l’URSS). Mondialisme moderne qui peut être déguisé en « Gouvernance mondiale », ou « humanité unie ». Ce sera de la DICTATURE PURE car jouxté avec de la technologie hautement plus sophistiqué que sous Staline. Un politique a dit qu’une bonne gouvernance mondiale ne pouvait se maintenir et être efficace qu’en étant anti-démocratique. Évidemment, cela semble parfaitement logique ! Au moins, cela a le mérite d’être claire, alors que le mot « démocratie » ne veut plus rien dire. J’insiste, le DORG (Demain On Rase Gratis) est la dictature résumé simplement. Parce que seul ce déguisement du DORG permettra de gouverner le peuple, car s’il se met à acquérir une connaissance et un éveil amenant au Soi et à la libération, la population deviendra ingouvernable... pour un État, mais ce sera à chacun, selon ses affinités, de se grouper en petites sociétés et d’être des millions et des millions d’auto-gouvernances, ou de groupes politiques dans le vrai sens de ce mot, qui amèneront un Accord.
Maintenant le mondialisme tente de s’installer partout, avec le pouvoir anglo-américain ayant engendré Israël après la seconde guerre mondiale. On peut désormais l’appeler l’Empire, car avec la technologie et les réseaux, sa construction devient matérielle et n’est plus un simple plan déjà multi-millénaire.

Guerres de religions = le Sabre (Goulag) et l’eau bénite (le Petit-Père-des-Peuples)

Soumission par les Droits de l’Homme chassant les « Bons Chrétiens » ou évangéliser les mécréants. Ça marche dans tous les sens.

L’inquisition ou le stalinisme, puisque tout est cyclique, a commencé vers le deuxième siècle de notre ère, quand les « Bons Chrétiens » ne se sentant plus voulurent faire avaler leur vérité aux Druides ; et comme Staline, ils les massacrèrent afin de christianiser l’Île de Bretagne, et par la suite l’Armorique. La ville de Nantes serait christianisé dans le courant du quatrième siècle de notre ère, cela grâce aux évêques et aux moines, presque tous venus de Galles et d’Irlande, et accompagnant aux 5è et 6è siècles les émigrés bretons, dont les princes et leurs guerriers soumirent souvent par l’épée les anciens Armoricains. De plus il ne faut pas oublier qu’à ce début de l’ère chrétienne les Druides et les premiers Chrétiens avaient à lutter contre un ennemi commun : la religion des Romains. Une fois éliminé le péril romain et leur religion bien installée, les « Bons Chrétiens » s’empressèrent d’éliminer les Druides, comme essayèrent de la faire leurs maîtres : les Romains. C’est toujours au nom de la bonté transformée en « liberté » en 1789 que l’on coupait des têtes de façon industrielle. Même refrain avec Staline, et même refrain à venir, ne pas s’inquiéter pour cela ! Mais avant, nous en arrivons aux Saint assassins.


Les Saints assassins.

C’est pratique de faire dire n’import quoi, n’importe quelle opinion, par l’intermédiaire de Dieu. Ainsi le Dragon a bon dos, avec ses écailles, et on le chasse en le prenant pour une créature de l’enfer, en faire ou en Fer. Pourtant le Dragon rythme la Vie, et par là il est symbole de vrai Empereur, mais pas un empereur maoïste héritier chinois du stalinisme !

Voici quelques Saint assassins :
Saint Armel (un terroriste œuvrant en forêt de Brocéliande), Saint Hervé, Saint Ronan, Saint Gwénolé, Saint Malo (ou Maclou), Saibt Tugdual, Saint Meen, Saint Samson, Saint lunaire, Saint Gonery, Saint Brieuzy, Sainte Marthe, Saint Radegonde, Sainte Marguerite Saint Clément, Saint Romain, Saint Georges, Saint Michel, tous destructeurs de l’Ancienne Religion, les deux derniers Saints étant de la région de Gargan.

Saint Martin fut un grand terroriste devant l’Éternelle : ex-officier  de la cavalerie romaine, il sévira en Gaule au 4è siècle, et partout où il passera, le peuple subira le zèle fanatique de ce romain, qui pour assurer le nouveau culte chrétien, fait siennes les méthodes du colonialisme du mode d’emploi appelé : Deutéronome, chapitre 12, 2, Le lieu de culte : « Vous abolirez tous les lieux où les peuples que vous dépossédez auront choisit leurs dieux, sur les hautes montagnes, sur les collines, sous tout arbre verdoyant. Vous démolirez leurs autels, briserez leurs stèles ; leurs pieux sacrés, vous les brûlerez, les images sculptées de leurs dieux, vous les abattrez, et vous abolirez leur nom en ce lieu ».

1789 et sa Sainte République fit la même chose !

« Sur le chemin de l’Évolution, les humains ont besoin de génies tutélaire pour aider à la compréhension de l’organisation des Forces Naturelles.
Les Dieux et les Déesses du Panthéon celtique sont ces supports derrière lesquels se cachent les différents modes vibratoires de l’Énergie Une et Unique, source de toute Vie dans l’Univers », écrit superbement Arzh Bro Naoned dans : Pierres et Eaux - Pratiques cultuelles antiques.

Quelques inquisiteurs ou Inquisitions :
- Charlemagne, en 789 et 800 : promulgue des édits et ordonne la destruction de toutes ces pierres, auxquelles les populations continuent de rendre un culte.

- En 554, le roi Chilpéric 1er (511-558) renouvelle l’ordre de détruire les idoles et les mégalithes.

- Conciles de Tolède en 681 et 682 : condamne ceux qui vénèrent les pierres (veneratores Lapidum).

- Concile d’Orléans en 533 : Canon 22 : « Quelques-uns continuant les anciens errements [sic] fêtent le 1er janvier, d’autres portent à manger aux morts [comme au Japon] pour la fête du siège de Pierre et mangent des légumes offerts au démon [sic], d’autres vénèrent certains rochers ou des arbres ou des sources. Les prêtres doivent détruire ces superstitions ».

Etc., etc. car il y a beaucoup d’autres chartes et conciles voulant faire comme le stalinisme et le léninisme ! et plus lointain, comme le siècle des perruques poudrées et mitées avec les sauvages de 1789, qui ont voulus se débarrasser du théandrique Christ pour en faire un a eux : le théandrique républicain franc-maçonnique qui va donner le communisme ou mondialisme en une mystique à l’envers, avec le renoncement volontaire de l'homme à sa liberté propre puisqu’enchaîné au Dieu Fric. Voilà le totalitarisme ou mondialisme que dénonçait Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, dans un texte d’il y a plus de 50 ans.

« Ce sont des ennemis du pouvoir soviétique. Les ennemis du pouvoir soviétique n’ont pas leur place en URSS car, comme l’a dit le camarade Staline, nous devons éliminer impitoyablement les ennemis du pouvoir soviétique et détruire les koulaks et l’hydre bourgeoise de la contre-révolution ! ». (Un secrétaire du Komsomol soviétique, membre des ‘bâtisseurs du socialisme’, cité dans : Aux origines du Goulag, de S. Malsagov et N. Kisselev-Gromov).

Il est vrai que les écoles de « morale » se trouvent dans les machins en « isme » : dogmatisme, catholicisme, catéchisme, liturgie, foi (fausse), destiné à contrôler la société (socialisme). Donc « faire comme les autres », esprit du grégarisme. Alors que la morale ne repose sur aucune base solide et là encore, dépend de « chacun voit midi à sa fenêtre ». Aussi les francs-maçons peuvent aller se faire voir ailleurs avec leur morale communiste. Les « valeurs morales » c’est comme les tableaux ou les sculptures dans les musées, ça plait à certains et d’autres trouvent cela horribles... Pareil pour la musique !... Alors on ne peut pas imposer au monde entier la Sainte Bible des Droits de l’Homme et de son Dieu Fric.

Le socialisme comme tous les ismes est une idéologies è système, et donc matérialiste : c’est l’action qui crée l’idéologie, et non le contraire. Dans notre siècle des réseaux informatique, c’est l’affirmation simple et péremptoire qui compte. L’être humain recherche principalement le bonheur (plaisir), et donc le matérialisme : bonjour Monsieur Jean-Paul Sartre !

Il y a trop de bouches à nourrir sur Terre ? Qu’à cela ne tienne, le socialisme est là pour résoudre la crise :
« Pourquoi exécuter les contre-révolutionnaires, les popes, les NEPmen, les moines et toute cette engeance alors qu’ils pourraient nous être utiles ? Qu’ils travaillent un peu pour les Soviets d’abord ! » Ainsi est né le SLON, laboratoire du Goulag. Les popes, les contre-révolutionnaire et les autres « nuisibles » y seront progressivement éliminés, mais pas avant d’avoir travaillé au-delà de leurs forces [les fameuses valeurs économiques] ; ils disparaissaient (Qu’ils crèvent doucement, comme disaient la police politique, mais laissent derrière eux du bois prêt à être exporté). La police politique s’est appelée pendant un moment et à sa création en 1917 : la Tchéka, essentiellement composée d’alcooliques, de cocaïnomanes, de dépravés sexuels, de malades mentaux, de brutes et d’imbéciles.

Dieudonné - Rendez-nous Jésus. Un chef d’œuvre. Dieudonné, un grand Monsieur.