Illumillusion et Illumillusioniste

L’école de Weishaupt fait triompher la raison, les « lumières ». Ce sont des

travailleurs du chapeau qui ne chient que de la vertu.

 

 

 

 

 

Normalement ou naturellement l’univers naît enfle et meurt. L’univers du monde spatio-temporel se désintègre, ses matériaux s’évaporent, seules les « ténèbres » ou Vide couvre une fois de plus « l’Abîme » : une expiration ou force centrifuge produit le monde, et une inspiration ou force centripète le fait disparaître. Dieu brasse bien dans les deux sens. L’infini réside dans la création d’univers sans commencement et sans fin. On peut aussi parler de « Multivers » ou « univers parallèles » à l’infini. On a donc un infini en « séquence » et en « parallèle » avec un INSTANT POUR TOUS : la SYNCHRONISATION ou le VIDE. Synchronisation parce qu’il n’y a ni avant, ni après : naissance, vie et mort des univers sont comme « synchrones » (impossible à écrire en mots), en tous cas il n’y a pas de « big bang ».

Voir le « catéchisme occulte » : « Qu’est-ce qui est toujours ? » - « l’espace, l’éternel, le sans parents » - « Qu’est-ce qui fut toujours ? » - « le germe dans la racine ».
« Qu’est-ce qui, sans cesse, va et vient ? » - « le grand Souffle ».
« Il y a donc trois Éternels ? » - « Non, les trois sont un. Ce qui est toujours est un, ce qui fut toujours est un, ce qui est et devient sans cesse est un aussi : et c’est l’Espace ».........
(La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, Préface)

Maintenant ceux qui voulaient s’allumer aux alentours de 1770 ne passaient pas encore par l’école du franc-maçon Jules Ferry, mais passaient par un autre genre d’école franc-maçonnique : les Illumillusions de Bavière. Une institution qui durera moins de 10 ans mais qui continue de faire des ravages de nos jours, ne serais ce que la trinité laïque « fraternité-liberté-égalité ».
Grâce à ses nouveaux maçons et à leurs illuminations, et grâce au mesmérisme et au renouveau de l’occultisme, nous entrions dans l’ère de la « Fée électricité » et de sa modernité.
Les élèves illumillusionistes apprenaient surtout des trucs à contenu symbolique (très imagés), et bien-sûr tout ce qu’ils pouvaient avaler en philosophistes en tous genres, mais surtout du côté des ergoteurs grecs. Ils étudient beaucoup la « morale » afin de faire « culture supérieure », afin d’être autonome et travailler du chapeau par eux-mêmes. Bref, ils développent leurs opinions et leurs absence de spontanéité.
Ainsi, le novice illumillusioniste qui a avaler sa culture générale et son dessert humaniste, devient, sous le nom de Minerva, étudiant en université illumillusioniste libre où il prépare une licence scientifique ou littéraire. C’est là-dedans qu’on fournit équerres et compas indispensables. C’est la-dedans qu’on travaille véritablement du chapeau pour soi-disant apporter plus tard le « bonheur » à l’humanité !
MODERNITÉ = BONHEUR DE L’HUMANITÉ et c’est étrangement intemporel : de tous temps les humains ont tentés d’apporter ce bonheur à leurs semblables ! À coups de guerres ! Et c’est toujours pour « un but suprême » bien dans la tradition évolutionniste.

« Je cherche, dit Weishaupt à Zwack, à cultiver les sciences qui ont de l’influence sur notre bonheur en général... et à écarter de notre route les sciences contraires » : celles qui détournent l’esprit de l’homme des problèmes de la vie pratique en l’égarant dans les régions nuageuses de la métaphysique ou en l’enlisant dans l’étude stérile des codes, des coutumes barbares et contradictoires, aussi le Minerval est-il averti que l’Ordre ne s’occupe pas de théologie et de jurisprudence dans le sens ordinaire du mot.
Par contre les sciences utiles sont celles qui ont une portée immédiate et peuvent avoir de l’influence sur les conditions d’existence de la race humaine ou qui s’occupent des rapports existant entre les hommes vivant en société. Les sciences les plus recommandées sont donc la chimie et le commerce, et l’Ordre donnera une attention particulière aux finances, à la police et à l’économie politique.

EXTRAORDINAIRE ! Tout est dit dans ces quelques lignes issues de l’énorme documentation se trouvant dans le livre de Le Forestier : Les Illuminés de Bavière et la Franc-Maçonnerie allemande. Les mots « politiques, commerce, chimie » donneront un peu plus tard à n’en pas douter la Fabian Society. Donc il n’y avait rien de spirituel comme enseignement dans cette université illumillusioniste !

Cette université de Bavière semble ne jurer que par la morale, ce qui ne m’étonne guère vu ce qu’en dit Le franc-maçon Armand Bédarride (1864-1935) : « Si vous voulez un livre qui soit à la mesure de notre temple, faites-le avec ce qu’il y a de plus sage, de plus pur, de plus saint, de plus héroïque, de plus noble, de plus culturel, de plus beau, dans tous les livres qui servent de guide à la vie de l’Esprit, dans ceux qui ont servi et servent encore de flambeaux aux consciences dans leur marche vers la perfection toujours fuyante ; adressez-vous à tous les pasteurs d’âmes, qu’ils se soient donnés comme représentants de la Divinité ou de la Raison... Des profondeurs des ténèbres primitives la pensée humaine a marché peu à peu vers une lumière toujours plus grande : en des langages divers l’Esprit a tracé les annales de son progrès... N’ayez pas peur de les rapprocher, de les confronter, de les exalter les unes par les autres ; au contraire, vous avancerez ainsi dans la direction de la « Parole Perdue ». (Référence et citation dans Synthèse et Temps Nouveaux, de Jean Coulonval).

Et ce qu’écrit le maçon C.W. Leadbeater dans son livre : Rites et Mystiques Antiques : une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, pourtant un maçon initié au 33è degré. Il compare les mystères d’Égypte à une forme pyramidale, si décrié de nos jours à cause du Nouvel Ordre Mondial qui se met en place progressivement (mondialisme, mot issu de 1949), et à l’édification du temple du roi Salomon, « les deux structures devant être représentatives des processus de construction à l’œuvre dans la nature (sic) »... Sa conception du mot ‘moral’ me paraît fausse : « Les cérémonies des mystères étaient également destinées à représenter l’évolution supérieure de l’homme, son retour vers l’origine divine dont il procéda, grâce au développement de sa partie naturelle supérieure (sic) - laquelle ne résulte pas uniquement de pratiques méditatives et cérémoniales, mais plus encore d’une vie respectant les préceptes moraux qui furent enseignés. Beaucoup de contemporains s’imaginent que nous connaissons les vérités morales sans qu’elle aient été enseignées - mais il n’en est pas ainsi. Si elle nous sembles à présent tout à fait naturelles, il s’agissait à une époque reculée de découvertes ou de révélations similaire aux progrès successifs des sciences et des inventions matérielles ».

L’atmosphère Illuminés de Bavière se retrouve bien là-dedans, mais pour la « modernité » et vu la situation actuelle, ils repasseront !!! Par contre l’enseignement des Illumillusions de Bavière lave le cerveau de ses élèves en leur faisant l’opinion de « l’égalité naturelle » en leur racontant que le rang et la fortune sont injustes, « qu’ayant tous besoin les uns des autres ils doivent se prêter mutuellement aide et assistance, sacrifier une part de leur indépendance et borner leurs désirs dans l’intérêt commun, qu’en un mot, pour jouir d’un bonheur durable et général, ils doivent considérer l’égalité comme un fait et la fraternité comme un devoir. « Vous devez travailler non pour vous, mais pour le monde, pour les hommes, parce que travailler au bonheur des autres est le seul moyen infaillible de faire son propre bonheur », dit un mandement des Supérieurs Suprêmes », rapporte Le Forestier.
Nous avons bien là la graine du communisme, de l’égoïsme telle que l’explique Ramana Maharshi dans l’entretien 272 dont voici un court extrait :
- Question : Beaucoup de grands hommes travaillent pour l’intérêt public mais ne peuvent résoudre le problème de la misère du monde.
- Maharshi : Ils sont égocentriques, d’où leur incapacité. S’ils demeuraient dans le Soi, ils seraient différents.
 
Ainsi les illuminés de Bavière et tous les franc-maçons sortis de 1717 travaillent-ils en égocentriques, et donc en DANGEROSITÉ comme le dit Ramana Maharshi ! Ils travaillent tous du chapeau en bandes organisées !
Voici ce qu’apprend le grade du Minerval illuminati :
« Je suis persuadé, doit déclarer le récipiendaire au cours de l'initiation au grade Minerval, que l'indépendance absolue ne peut être que nuisible à l'homme, qu'il est nécessaire que ses désirs reçoivent une direction, que sans le secours des autres je ne suis et ne puis rien...
Je reconnais mon impuissance et ma faiblesse naturelles et j'avoue n'être au fond rien de plus qu'un homme, malgré le rang, les dignités et le titre auxquels je puis prétendre dans la société civile. J'avoue que je dois tous les avantages dont je jouis et quel qu'en soit le nombre, au concours de mes semblables, et que, de même que je les ai acquis grâce à eux, il dépend aussi d'eux que je les perde, que par suite leur affection et leur estime me sont indispensables. Je promets de chercher à les mériter autant qu'il me sera possible et de ne jamais abuser aux dépens du bien général du pouvoir et du crédit dont je dispose actuellement ou pourrai disposer à l’avenir ».
La suite de la déclaration semble ressembler aux vœux de pauvreté et d’humilité des moines de la chrétienté, ou de toutes autres religions avec des moines, des FRÈRES.

Oui, naturellement nous sommes solidaires, je répète NATURELLEMENT ; s’il y actuellement dégradation de cette solidarité, du manque de compassion, le business (commerce avec les hommes) des Illuminés de Bavière n’a fait qu’ajouter de l’huile sur le feu ! Et le Grand Orient de France ou autres obédiences d’importance sont aussi inutiles, et surtout néfaste à cause du cancer du pouvoir et de ses métastases sous forme de volonté. Et ça c’est terrible tant ça éloigne de l’Instant.
La franc-maçonnerie spéculative de 1717 est une inutilité, une dangerosité puisqu’elle prétend en plus : « enseigner à ses membres « l'art de réaliser le bien sans trouver d'opposition, de corriger leurs défauts, d'écarter les obstacles, d'attaquer le mal à la racine, de faire en un mot ce que jusqu'à présent l'éducation, l’enseignement de la morale, les lois civiles et la religion même ont été incapables d’accomplir », leur apprendre « à soumettre leurs désirs au contrôle de la raison », tel est donc en dernière analyse ce que l'Ordre considère comme sa fin suprême ».
Société d’enseignement par les occupations qu’il impose à ses adeptes, il est essentiellement, par le but qu'il se propose, un institut d'éducation sociale » écrit Le Forestier.

Ce sont bien des TRAVAILLEURS DU CHAPEAU, des ergoteurs en tous genres, des gens totalement éloignés de l’Instant, du Soi. Ce sont bien des malfaiteurs en bandes organisées qui ont la prétention de façonner l’homme nouveau « que la Nature et la société actuelle » lui livre !
L’école de Weishaupt tombée chez les Grecs ergoteurs pratique le verbiage appelé : maïeutique (art de faire accoucher) : mot daté de 1867 ! du grec maieutikê (art de faire accoucher). « Méthode par laquelle Socrate, fils de sage-femme, disait accoucher les esprits des pensées qu'ils contiennent sans le savoir. Didact. Méthode pédagogique suscitant la réflexion intellectuelle » (dict. Le Robert). Donc c’est en partie le contraire de l’enseignement de Ramana Maharshi qui, comme les Taoistes, pratiquaient l’inverse : LE SILENCE. Les Taoistes et Ramana Maharshi transformaient les gens par leur force de leur présence silencieuse. « Pour ceux qui ne pouvaient entendre ce saint Silence et capter la grâce qui émanait de lui, le Maharshi quittait ses conversations avec l’infini et répondait avec soin aux questions qui lui étaient posées », est-il écrit dans la présentation des entretiens de R. Maharshi. Bien-sûr en parlant, Ramana Maharshi pratiquant aussi l’accouchement des esprits à la manière de Socrate !

L’école de Weishaupt enseignement l’observation, et dans le moindre détail, comme le pratique les Occidentaux oubliant totalement de voir l’ensemble !
Observer, c’est aussi s’espionner entre frères ! Ce que pratiqueront plus tard tous les communistes s’espionnant les uns les autres... On appelle ça SÉCURITÉ. « La surveillance incessante exercée par les adeptes [de Weishaupt] sur les actes, les pensées et les intentions de leurs frères, devait nécessairement, d'après lui, rendre inutile et par suite faire disparaitre l'hypocrisie qui règne dans les relations mondaines. En application de cette théorie le Novice ne connaissait pas d'autre frère « afin qu'il ne pût pas dissimuler » et il était prévenu que les membres de la classe supérieure avaient l’œil sur lui et rendaient compte de sa conduite à leurs chefs. Ainsi le Novice était amené à soupçonner dans tous ceux qui l'entouraient ou avec lesquels il entrait en relations un de ces surveillants occultes ».

Comme déjà écrit, cette méthode d’espionnage et de suspicion institutionnalisée sera appliqué chez les communiste soviétiques et dans tout système à pouvoir en phase terminale.
Ainsi à l’école Weishaupt « Quelle sincérité et quelle confiance pouvaient exister dans les rapports entre frères au sein d'une réunion où chaque membre ignorait si son interlocuteur n'était pas un membre d'un grade supérieur qui ne se faisait pas connaître de lui « pour mieux l’observer » ou même un égal « qui pouvait le dénoncer ». Délation et espionnage réciproques, tel était le cours normal des relations entre membres de l’Ordre, situation dont Weishaupt ne prenait même pas conscience !!! Il écrira même : « Dans le deuxième grade je fais de chacun l'espion de tous les autres ». La règle trinitaire de Weishaupt était : dissimuler, observer, espionner les autres. Weishaupt qui ne saura même pas tirer parti de l’outil maïeutique dont il attendait des effets merveilleux. La morale concernant Weishaupt est parfaitement résumé dans les deux extraits cités plus haut : du verbiage en étalage d’opinions.

L’élève, pardon, l’adepte, à son grade Minerval, pourra déjà pratiquer la manipulation de ses semblables et surtout des non initiés, d’autant plus que ce sont des profanes et que l’adepte en est caché.
« Le Minerval Illuminé étudie surtout l'art de diriger les hommes, et reçoit à cet effet une Instruction spéciale très détaillée. En second lieu, et c'est là son utilité la plus grande, I"étude de l'homme amène l'Illuminé à se connaître lui-même », CQFD ! Mais surtout l’art de manipuler les autres car comme l’explique Ramana Maharshi, la réalisation du Soi ou Instant fait NATURELLEMENT que les autres changent ; l’école Weishaupt ne pratique que le CANCER DU POUVOIR ! Même s’il est écrit les « bonnes intentions » suivantes : « Entraîné à surprendre chez les autres les pensées les plus secrètes, les instincts mauvais, les passions égoïstes, les préjugés néfastes, les sentiments inavoués tapis dans les replis les plus obscurs de la conscience, il finit par les découvrir chez lui et « la connaissance de ses semblables apprend à l'homme à se surveiller lui-même et à devenir meilleur ».
On sent là un début ou graine de freudisme et de la psychanalyse ! L’illuminé de Bavière « comme preuve des progrès qu'il fait dans cette purification morale [sic] l’llluminé doit remettre à son Supérieur [son psychanalyste], à la fin de chaque mois, un pli cacheté dans lequel il indique : ce qu'il regarde comme des préjugés ; les personnes chez lesquelles il les a constatés ; quels préjugés il a découverts chez lui-même ; quels sont chez lui les préjugés dominants et quel en est le nombre ; quels préjugés il a déjà affaiblis ou extirpés.

La course au DORG ou Demain On Rase Gratis est ouverte.

En résumé, l’école de Weishaupt est une dangereuse usine à fabriquer les âmes.

« Pour s'emparer plus sûrement de l'esprit du futur candidat il [Weishaupt] a eu soin de ne pas heurter de front ses préjugés et ses désirs les plus déraisonnables, il a paru d'abord entrer dans ses vues. Avec l’autorisation de l’Ordre, bien plus, sur son invitation expresse, il lui a conté les fables les plus extravagantes sur la toute puissance de l'Ordre et sur les secrets dont il est dépositaire. L'excuse de cette manœuvre c'est que l'Insinué [apprenti initié] est trompé dans son intérêt et que, lorsque l'enseignement moral de la Société aura fait son œuvre, il apercevra le néant des faux biens autrefois convoités par lui, aussi Weishaupt prétend-il que l'Illuminé pardonnera la ruse innocente dont il fut autrefois victime quand il pourra apprécier le service qu'on lui a rendu en le poussant par ce moyen à entrer dans l'école de la sagesse et de la vertu. Il est permis de penser au contraire que le jour où l'Illuminé voyait clairement à quel point on avait abusé de sa crédulité, il devait se sentir trop profondément blessé dans son amour-propre, pour ne pas en garder quelque rancune contre ceux qui l’avaient si complètement dupé. Il était fondé à dire que le contrat initial passé tacitement entre le néophyte et l'Ordre reposait sur un malentendu voulu par l'Ordre et exploité par lui et cet artifice, si avantageux au point de vue du recrutement, présentait de sérieux inconvénients quand on se trouvait en présence d'un homme à l'esprit droit et au cœur fier.
D'ailleurs l'Ordre avait si bien conscience de cette difficulté qu'il se gardait soigneusement d'ouvrir lui-même les yeux aux Minervaux, fussent-ils Illuminés, sur ce mensonge pieux et leur laissait le soin de le découvrir eux-mêmes ».

Non vraiment on ne peut pas parler de « psychanalyse », ni « d’éveille des consciences » mais bien d'Illumillusion. Il paraît que la correspondance de Weishaupt comporte maint passage prouvant qu’il avait une tendance regrettable à confondre l’utile avec l’honnête ! Dans le genre : « Ne pas se faire un cas de conscience de nous remettre ces papiers [d’archives], car seul ce qui cause un dommage est un péché, et quand le profit est plus grand que le dommage,  cela devient même un acte vertueux. Chez nous ils rendront certainement plus de services que s'ils restent enfermés cent ans à leur place primitive ».
Encore une graine de « démocratie » et de libre pensée où tout est devenu à l’envers, faux, on transforme une supercherie au service de la vertu.
La politique de la carotte et du bâton marchait en plein dans l’école de Weishaupt : le EYES CANDY ou intérêt de la curiosité dans le genre moderne « Nouveau vu à la télé ! », ou « Le nouvel iPad », ou « Le nouvel hOMO lave en profondeur ». Ça marche toujours comme le papier tue-mouche.

Conclusion : c’est toujours et encore et encore le fric qui mène le monde, plus exactement L’OR MÉTAL.

[En haut de page : insigne d’Illumillusioniste ou Illuminé de Bavière. La lettre G symbolise la gorge humaine où sort le verbe, et aussi la « pupille de l’œil de Dieu ». G comme la note de musique Sol et Ground...]