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Aucun Dedans-Dehors n’existe Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 20-09-2023 07:53

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Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Celtes, Conformité, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Guillotine, Homéopathie, Horticulture, Humain, Judéo-maçonnerie, Libération, Limite, Marxengelsisme, Or, Païens, Paysage, Paysans, Penser, Racine du mal, Réel, République, Religion, Réseau, Robot, Saisie, Simplicité, Tiahuanaco, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke

 
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Aucun Dedans-Dehors n’existe
Où est le « social », et sa « république » ?
 
 
”Ce Shivam [le Soi] ne se connait pas plus Lui-même (1) qu’il ne connaît quoi que ce soit en DEHORS de Lui-même (2). S’il était doué de pensée, ce serait l’absence de pensée, l’oubli. [Il ne possède donc pas de pensée, Il n’a pas d’opinion]. Pour Lui, pas de naissance ni de mort. Les cinq opérations divines ont lieu en sa simple présence (3). la bienheureuse voix des Vedas et des Agamas ne donne qu’un infime aperçu de sa Nature”. (La résorption dans le Soi - Ozhivil Odukkam, de Kannudaiya Vallalar, chapitre 1, Verset 24).


Notes.
1. Le PARADOXE de la Réalisation du Soi, par la nature même de la Conscience et parce que Nous sommes l’Univers, pour le ”Connaître”, il faudrait pouvoir en sortir, or c’est géométriquement impossible. Le Soi ne peut qu’être Lui-même : « Je suis ce JE SUIS ». Strophe 33 de Ulladu Narpadu, de Ramana Maharshi : « Dire ”Je ne me connais pas” ou ”Je me suis connu” est franchement ridicule. Pourquoi cela ? Peut-il exister deux soi, l’un [le sujet] faisant de l’autre son objet, quand chacun sait par expérience qu’ils sont un ? ».

2. Dans le même Thème, parce que Shivam ou le Soi transcende et contient Tout, Il est l’Univers contenant Tout ce qui est ou pourrait jamais être, il ne peut rien exister qu’il puisse connaître en DEHORS de lui-même : C’EST LA VIERGE NOIRE ET SON ENFANT :
Ulladu Narpadu, Strophe 12 : « Puisqu’Il brille sans rien connaître d’autre que Lui-même, ou rien d’autre qui le connaisse, le Soi est [authentique] Connaissance [d’où l’enfant de la Vierge noire] ». Shivam ou le Soi est cet Univers dont le complément en objet ou en miroir n’existe pas. Aucun organe du mental humain ne peut SAISIR le reflet de la Vierge Noire : l’Univers est sans ailleurs, le ”corps” de la Vierge noire et son enfant est le Tout de la Con-templation : le monde et son contenu manquent à jamais de leur complément en miroir : on ne sort pas de l’Univers, TOUT reste IDIOTÈS (Singularité).

3. Les cinq opérations de la Divinité : la création, le maintien, la destruction, la mise en place d’un voile, l’octroi de la Grâce. Le ”Monde”, l’Univers, c’est NOUS-MÊMES. Mais les matérialistes, surtout occidentaux, ceux qui de nomment « le camp ou l’axe du bien », voient leur monde comme DEHORS, comme s’ils « sortaient de l’Univers » devenu univers-objet à explorer avec des machines volantes.
Shiva [Shivam] en présidant à la création, à la préservation et à la destruction DE TOUS LES MONDES PAR L’INTERMÉDIAIRE DE LA MAYA [illusion, pouvoir par lequel se manifeste le monde], la Divinité est comparable au SOLEIL qui, en vertu de sa simple présence, DONNE NAISSANCE À TOUTES LES ACTIVITÉS TOUT EN SE DÉTACHANT D’ELLES.

FONDAMENTAL, car C’EST DE LÀ que se sont trompés nos Ancêtres qui A-dorèrent le Soleil au lieu de l’HONORER DE SA SIMPLE PRÉSENCE DONNANT NAISSANCE À TOUTES LES ACTIVITÉS TOUT EN SE DÉTACHANT D’ELLES : NOS ANCÊTRES PAR LEUR « DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE » SE SONT ATTACHÉS, ou ONT SAISIS, POSSÉDÉS LES ACTIVITÉS DU SOLEIL, DONNANT NAISSANCE À L’UTILITARISME QUI DEVIENDRA ENSUITE LE COMMERCE, LE MERCANTILISME, LE PROFIT, D’OÙ ASSURÉMENT LA NAISSANCE DU MYTHE DE PROMÉTHÉE ; l’adoration du Soleil ne fut plus la recherche du Soleil ou du Soi POUR LUI-MÊME, SUR LA VOIE OU TAO, SUR LA VOIE DE LA SAGESSE OU CONNAISSANCE DE SOI-MÊME, MAIS C’EST TOMBER DANS LE MENTAL QUI VA COMMENCER À CALCULER POUR SAISIR, POUR TOMBER PLUS BAS DANS L’UTILITARISME À DES FINS PERSONNELLES [naissance du Moi-Individuel] ; TEL EST LE SENS DE LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE QUI DONNERA NAISSANCE À LA MÉTALLURGIE (épée, flèche, armure, boulet, canon, bombe, tank, avion, navire, chimie productiviste, etc., jusqu’à l’électromagnétisme), QUI DONNERA NAISSANCE AU COMMERCE. Prométhée = évolutionnisme ou « MISE EN VALEUR DU TEMPS ».

FEU VULGAIRE = SALUT, MESSIANISME : DONNER DE L’ESPOIR : METTRE EN VALEUR LE TEMPS.

FERMENTATION/PUTRÉFACTION = CHALEUR :
où l’œil ne va pas, où la main n’entre pas, la thermodynamique par la chaleur s’insinue, c’est la racine du mal : la dualité DEDANS-DEHORS, LA SAISIE : LA CHALEUR EST UNE POSSESSION, ”Il faut la garder jalousement et n’en faire don qu’à un être élu qui mérite une communion, une fusion réciproque”, écrit Gaston Bachelard dans La psychanalyse du feu, chapitre : Le complexe de Novalis. Viol, pénétration, aller DEDANS, SODOMIE-CACA-BOURSE, à l’INTÉRIEUR des êtres = SÉDUCTION, LOI DE SUCCION. D’ailleurs à rapprocher de la MINE, de la CAVERNE de Platon où les ”caverneux” n’ont aucun intérêt à SORTIR, ”COMME SI” leur Caverne était LEUR MATRICE, LEUR SEIN MATERNEL, LE VENTRE DE LEUR MÈRE.

Comme l’écrit G. Bachelard, le feu est avant tout un être social (par exemple la ”veillée au coin du feu” (de la cheminée quand le 220 volts n’existait pas) ce qui éloigne le feu d’un Être naturel, CELUI D’UN RÉALISÉ VIVANT.
Bachelard précise que le ”respect du feu” est social : ENSEIGNÉ, selon que le groupe humain se « civilise » (s’évolutionne). En effet, le respect du feu concerne la DOULEUR DONC LA CROYANCE AU CORPS-MENTAL : le réflexe qui Nous fait retirer le doigt de la flamme de la bougie ne joue pour ainsi dire aucun rôle à l’état de veille concernant le Soi. Cet état de sécurité est TOTALEMENT ARTIFICIEL : une connaissance DANS LA SENSATION LA PLUS BRUTALE ; ET NOSTRE ÉPOQUE DES IMAGES ET DU TOUT CONNECTÉ EST L’AMPLIFICATION DE LA SENSATION ET DU SENSATIONNEL, conformément au EYES CANDY de nostre époque mondialisé par le transistor et les puces de l’industrie.
« EN RÉALITÉ, LES INTERDICTIONS SOCIALES SONT LES PREMIÈRES [avec l’inceste et le cannibalisme], l’expérience naturelle ne vient qu’en second lieu pour apporter UNE PREUVE MATÉRIELLE inopinée, donc trop obscure pour fonder une connaissance objective. La brûlure, c’est-à-dire l’inhibition naturelle, en confirmant les interdictions sociales ne fait que donner, aux yeux de l’enfant, plus de valeur à l’intelligence paternelle. Il y a donc,  la base de la connaissance enfantine du feu, une interférence du naturel et du social où le social est presque toujours DOMINANT », écrit G. Backelard, qui alors avance la comparaison PIQÛRE-BRÛLURE. Elles donnent l’une et l’autre lieu à des réflexes. Mais, pourquoi les POINTES (spike...) ne sont-elles pas, comme le feu, objet de respect et de crainte ?
« C’est précisément parce que les interdictions sociales concernant les pointes sont de beaucoup plus faibles que les interdictions concernant le feu », écrit Bachelard, et il n’existe pas des ”pompiers des pointes” : ON NE PEUT PAS ”ÉTEINDRE” DES POINTES AVEC DES POMPES ET DE L’EAU !

Le feu frappe sans avoir besoin de brûler : FEU, COULEUR ROUGE, SONT INITIALEMENT LE SYMBOLE D’UNE INTERDICTION GÉNÉRALE, d’où conclue Bachelard : L’INTERDICTION SOCIALE EST NOTRE PREMIÈRE CONNAISSANCE GÉNÉRALE SUR LE FEU. L’inconscient collectif connaît d’abord du feu qu’on ne doit pas le toucher, C’EST LE DÉBUT DE LA NORMALISATION DU MENTAL DE L’HUMAIN AU NIVEAU DE SA CROYANCE AU CORP-MENTAL ET DONC AU NOUVEAU DE L’OPINION GÉNÉRALE. Ainsi dés la découverte du feu vulgaire, le phénomène naturel est rapidement impliqué dans l’inconscient collectif des connaissances sociales, chaotiques, confuses, qui ne laissent aucune place pour une connaissance SINGULIÈRE, MAÂT, VIERGE.
Et Bachelard d’écrire : « Dès lors, puisque les inhibitions sont de prime abord des interdictions sociales [sans oublier inceste et cannibalisme], le problème de la connaissance personnelle est le problème de la ”désobéissance adroite” [sur le SENTIER de la Réalisation du Soi…]. L’enfant veut faire comme son père, loin de son père, et de même qu’un petit Prométhée il dérobe des allumettes. Il court dans les champs et, au creux d’un ravin, aidé de ses compagnons, il fonde le foyer de l’école buissonnière [un premier embryon de la Réalisation du Soi….] ».
L’enfant urbanisé ne connaît pas ce feu de bois qui flambe sous six briques constituant un minuscule four posé au sol pour cuir de petits gâteaux. L’enfant des campagnes peut alors échapper au ”complexe de Prométhée” (complexe résumé par le mot ”raison” si à la mode depuis le 18è siècle français et de l’encyclopédie des Diderot et Cie., DUALITÉ RATIONNEL CONTRE IRRATIONNEL, QUI VA FOURBIR L’ACTUEL MONDE TECHNOLOGISÉ, NUMÉRISÉ, CONTRÔLÉ, DIRIGÉ/DIGÉRÉ, PROGRAMMÉ… Complexe de Prométhée = le complexe d’Œdipe de la vie intellectuel, selon G. Bachelard).


LE VRAI SOLEIL.
Dans le même sens de LINGA, SHIVAM, CHRIST, PIERRE-SOLEIL :
Dieu n'est pas un ex-istant : « Je suis celui qui suis ». Cette rencontre avec le centre de tout existant, en tant qu'événement vécu et senti, ne peut en aucune façon être confondue avec le sentiment des psychologues et des romanciers. Votre expression « sentiment océanique », qu'elle soit de vous ou empruntée à Freud, me convient parfaitement. C'est le vertige de l'in-fini, du tout de l'existant virtuellement connaissable en son tout. C'est une connaissance inépuisable parce qu'elle se réalise par la projection d'un rayon qui joint le Tout-Rien (Je suis celui qui suis) à la circonférence de l'existant, comme le rayon d'un projecteur qui explore l'horizon. Dieu seul peut voir en simultanéité tout l'horizon du créé sans avoir besoin de faire succéder dans sa vision chaque point du temps et chaque point de l'espace, l'un après l'autre. Sa connaissance n'est pas celle d'un projecteur tournant mais celle d'un soleil qui éclaire en toutes directions dans l'intantanéité, hors du temps [symbolisé par l’ostensoir]. Le mystique, le « perdu en Dieu », ne peut incarner dans l'expression verbale que ce que voit le projecteur tournant, instant après instant. Il n'est pas Dieu mais il participe de son infaillibilité. Le dogme de l'infaillibilité du Pape ne signifie pas autre chose. La prétention à l’infaillibilité de tout parti politique, qui atteint son paroxysme démentiel dans le parti communiste n'est qu'une singerie de l'infaillibilité de l'Église. Ce sont des « ismes », des systèmes logiques clos sur eux-mêmes. Chacun se prétend l'incarnation dans le groupe d'une vision juste et correcte de l'Univers. alité des choses. Chacun prétend posséder J la clé de l'universalité qui est en tout homme. Toutes les idéologies politiques sont des masques pour le besoin d'absolu, de religion. L'ennui, c'est qu'il ne peut y avoir plusieurs universalités. et que la lutte entre les pseudo-universalités est cruelle, impitoyable, meurtrière et sanglante. Les ismes, quand ils s'emparent des foules, sont des folies collectives, y compris le catholicisme, la catholicité reste à faire, elle n'est jusqu'à présent qu'à l'état potentiel ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 34 à Arthur Koestler le 22-4-1975, et définition du Vrai sens du Soleil).

Le Soleil A-DORER par nos Ancêtres DONNA NAISSANCE non seulement à la métallurgie, mais avant tout à l’OR MÉTAL-MENTAL QUI RENDRA LES HUMAINS DÉMENTS-ZOMBIS avant l’heure de la technologie programmatrice des cerveaux.
Soleil = le CŒUR, Shivam ou Dieu. Ainsi nos Ancêtres dans leur terrible erreur, au lieu de se contenter naturellement d’honorer le Soleil sont allés jusqu’à l’a-dorer.
L’être humain doit donc RETOURNER LA LUMIÈRE parce qu’il est Lui-même cette Lumière [évidemment pas au sens de consommateur du feu vulgaire comme l’a engendré le siècle français des ”Lumières”].
La symbolique de L’OSTENSOIR ne s’y est pas trompé : l’ostensoir a la forme d’un soleil doré entouré de rayons d’inégales longueurs. Au centre de l’ostensoir se trouve une lunule ou petite boîte de cristal destinée à recevoir l’hostie consacrée.


[En haut de page : dessin symbolique d’un SILEX. Vers la fin de l’Âge de Bronze, le Silex ou l’obsidienne fut remplacée par le métal. La symbolique de cette Pierre se rattache à celui de la PIERRE À FEU. En Amérique centrale les couteaux en Silex avaient une valeur magique. Pour les Aztèques, le Silex ayant le pouvoir d’ouvrir la chair humaine, avait également le pouvoir de la refermer, d’où l’utilisation d’un baume contenant de la poudre d’obsidienne pour cicatriser une plaie]
 
 

Dernière mise à jour : 20-09-2023 08:34

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