le socialisme (par conséquence la république
et la démocratie, maintenant un socialisme
mondial ou un monothéisme unilatéral
républicain), la psychanalyse (Freud, l’Autriche),
l’américanisme (l’Empire et actuel ”Camp du
Bien”, avec l’implantation des loges
judéo-maçonniques à partir du début du 18è siècle,
mais surtout installation de Juifs qui calculent
et maîtres de la finance internationale et de
Wall Street], et enfin l’autre ”Camp du Bien” :
le sionisme et loi de succion colonialiste
vers la Palestine.
En 2023 Nous en sommes encore en Occident au
COMBAT DES JUIFS (Américains et ses ”alliés”)
CONTRE LE MÉCHANT TSAR (Vladimir Poutine),
de ces quelques Tsars qui au long du 19è siècle
voulaient « brider-brimer les Juifs » pour
raisons diverses.
Avec les Juifs, ÇA DOIT SERVIR À…..
Avec l’Occident anglo-américain, ÇA DOIT SERVIR À QUELQUE CHOSE.
Dans les deux visions, on tombe dans le « mieux », dans l’évolution et la réparation.
La Vraie Valeur
Ce qui « sert » à rien.
« Vous avez un grand Arbre et vous vous souciez de son inutilité. Pourquoi ne le plantez-vous pas dans le Pays du néant et de l’infini ? Tout le monde pourra se promener à loisir sous son ombrage et s’y coucher à son aise [description de l’énergie libre]. Il ne subira ni les coups de la hache, ni les attaques des autres êtres [insectes, champignons, etc.]. Ainsi, comment son inutilité [sa gratuité] peut-elle vous inspirer du soucie ? » (Tchouang-tseu, chapitre :
Liberté naturelle, trad. Liou Kia-hway).
La Vraie Valeur
Ce qui « sert » à rien.
LA NUIT OBSCURE (Jean de la Croix)
- Le Non-Agir domine l’identification.
- Le Non-Agir renforce les projets.
- Le Non-Agir facilité les tâches.
- Le Non-Agir guide l’intelligence.
Qui pénètre l’Infini, rejoint l’invisible, perfectionne les dons qu’il a reçu du Ciel, délaisse tout préjugé, icelui saisit l’humilité de l’homme parfait, se sert de son mental comme d’un miroir : il ne reconduit ni n’accueille personne ; il répond aux autres sans rien cacher ; il triomphe des êtres sans en être blessé.
(Tchouang-tseu, chapitre :
L’idéal du souverain et du roi. Trad. Liou Kia-hway).
La Vraie Valeur : CHERCHEZ EN VOUS-MÊME : Qui est celui qui a réalisé ou n’a pas réalisé ?
(Ramana Maharshi , entretien 164 du 24-2-1936).
LA VRAIE VALEUR N’EST PAS LA « PAIX », car ELLE EST RELATIVE PAR RAPPORT À SON CONTRAIRE LA GUERRE. PAIX-GUERRE coexistent toujours comme TOUT SYMBOLE EST DOUBLE, et en mouvement, Paix-Guerre sont la face et le revers de la médaille. Idem pour la bonté qui n’est qu’une conception relative. (Réf. à l’entretien 326 du 13-1-1937).
- Q. : Il y a des guerres en ce moment dans le monde. Si nous n’y pensons pas, les guerres cessent-elles ?
- M. : Pouvez-vous arrêter les guerres ? Celui qui a créé le monde s’en chargera.
- Q. : Dieu a créé le monde, mais Il n’est pas responsable de l’état actuel de celui-ci. C’est nous qui en sommes responsables.
- M. : Pouvez-vous arrêter les guerres ou refaire le monde ?
- Q. : Non.
- M. : Alors, pourquoi vous faire du souci pour des problèmes hors de votre portée ? Prenez soin de vous-même et laissez le monde se tirer d’affaire tout seul.
- Q. : Nous sommes des pacifistes. Nous voulons instaurer la paix.
- M. : La paix est toujours présente. Débarrassez-vous de ce qui la dérange. Cette paix est le Soi.
- Q. : Le monde doit bien avoir un avenir.
- M. : Savez-vous ce qu’il est dans le présent ? Le monde et toutes choses sont toujours les mêmes, maintenant aussi bien que dans le futur [pas de « mieux », ni de réparation ni d’évolution].
- Q. : Le monde a été créé par l’action de l’intelligence sur l’éther et les atomes.
- M. : Tous se réduisent à Ishvara [Être suprême] et Shakti [énergie]. Vous n’êtes pas séparée d’Eux. Eux et vous, vous êtes la manifestation de la même et seule Intelligence.
(Entretien 480, du 22-3-1938).
- Q. : En quoi consiste cette réalisation du Soi qui met un terme à l’insatisfaction ? Je suis dans le monde où il y a des guerres. La réalisation du Soi peut-elle y mettre un terme ?
- M. : Êtes-vous dans le monde ? Ou bien le monde est-il en vous ?
- Q. : Je ne comprends pas. Le monde est, sans aucun doute, autour de moi.
- M. : Vous parlez du monde et des événements qui s’y déroulent. Ils ne sont que des idées en vous. Ces idées sont dans le mental. Et le mental est en vous. Donc le monde est en vous.
- Q. : Je ne vous suis pas. Même si je ne pense pas au monde, il n’en existe pas moins.
- M. : Voulez-vous dire que le monde est séparé du mental et qu’il peut exister en l’absence de celui-ci ?
- Q. : Oui.
- M. : Le monde existe-t-il dans votre sommeil profond ?
- Q. : Il existe.
- M. : Le voyez-vous dans votre sommeil ?
- Q. : Non, pas moi. Mais les autres qui restent éveillés le voient.
- M. : Dans votre sommeil, en étiez-vous consciente ? Ou ne serait-ce pas plutôt maintenant que vous savez que les autres voient le monde ?
- Q. : Oui, dans mon état de veille.
- M. : Vous parlez donc de votre perception du monde à l’état de veille et non pas de votre expérience dans le sommeil. Vous admettez l’existence du monde dans les états de veille et de rêve parce qu’ils sont le produit du mental. Le mental se retire durant le sommeil profond et le monde se trouve dans la condition d’une graine. Au réveil, le monde se manifeste à nouveau. L’ego s’élance, s’identifie avec le corps et voit le monde. Ainsi, le monde est bien une création du mental.
- Q. : Comment cela se peut-il ?
- M. : Ne créez-vous pas un monde dans votre rêve ? L’état de veille est également un rêve, mais prolongé. Il faut qu’il y ait quelqu’un qui voie les expériences du rêve et du sommeil. Qui est-il ? Est-ce le corps ?
- Q. : Il ne peut pas l’être.
- M. : Est-ce le mental ?
- Q. : Ce doit être lui.
- M. : Mais vous existez aussi en l’absence du mental.
- Q. : Comment ça ?
- M. : Oui, en sommeil profond.
- Q. : Je ne sais pas si j’existe alors.
- M. : Si vous n’existiez pas, comment pourriez-vous vous souvenir de vos expériences d’hier ?
Est-il possible qu’il y ait eu une cassure dans la continuité du ‘je’ durant le sommeil ?
- Q. : C’est possible.
- M. : Si c’était le cas, un Johnson pourrait alors se réveiller comme un Benson. Comment l’identité de l’individu est-elle alors maintenue dans ces conditions ?
- Q. : Je n’en sais rien.
- M. : Si cet argument n’est pas clair, suivez alors un autre raisonnement. Vous admettez « J’ai bien dormi », « Je me sens reposé après un bon sommeil ». Vous avez donc fait l’expérience du sommeil. Celui qui a fait cette expérience s’identifie maintenant avec le ‘je’ de celui qui parle. Ce même ‘je’ doit avoir existé aussi durant le sommeil.
- Q. : Oui.
- M. : Donc le ‘je’ a existé durant le sommeil. Si le monde s’y trouvait aussi, vous a-t-il dit qu’il existait ?
- Q. : Non. Mais le monde me prouve maintenant qu’il existe. Même si je nie son existence, lorsque je me heurte à une pierre et blesse mon pied, la blessure me prouve l’existence de la pierre et donc celle du monde.
- M. : C’est cela. La pierre blesse le pied. Le pied dit-il qu’il y a une pierre ?
- Q. : Non, moi ‘je’ le dis.
- M. : Qui est ce ‘je’ ? Il ne peut être le corps, ni le mental, comme nous l’avons déjà vu. Ce ‘je’ est celui qui fait l’expérience des états de veille, de rêve et de sommeil profond. Ces trois états sont des changements qui n’affectent pas [l’identité de] l’individu. Les expériences sont comme des images qui défilent sur un écran de cinéma. L’apparition et la disparition des images n’affectent pas l’écran. Ainsi, les trois états alternent successivement laissant le Soi non affecté. Les états de veille et de rêve sont des créations du mental. Le Soi les englobe toutes. Savoir que le Soi demeure heureux dans sa perfection est la réalisation du Soi. C’est la réalisation de la Perfection et ainsi du Bonheur.
- Q. : Le bonheur de la réalisation du Soi peut-il être complet si l’on ne contribue pas au bonheur du monde ? Comment peut-on être heureux quand il y a une guerre en Espagne, une guerre en Chine, etc. ? N’est-ce pas de l’égoïsme que de rester dans l’état de Réalisation sans aider le monde ?
- M. : On vient de vous démontrer que le Soi englobe tout l’Univers et le transcende aussi. Le monde ne peut rester séparé du Soi. Si la réalisation d’un tel Soi est appelée égoïsme, cet égoïsme doit aussi englober le monde. Il n’y a là rien de méprisable.
- Q. : Les êtres réalisés ne continuent-ils pas à vivre comme les êtres non réalisés ?
- M. : Oui. Avec cette différence que l’être réalisé ne voit pas le monde comme séparé du Soi. Il possède la véritable connaissance et le bonheur intérieur d’un Être parfait. Tandis que l’être non réalisé voit le monde comme séparé, ressent son imperfection et en devient malheureux. Autrement, leur comportement extérieur est semblable.
- Q. : L’être réalisé sait donc, comme les autres, que des guerres font rage dans le monde.
- M. : Oui.
- Q. : Comment peut-il alors être heureux ?
- M. : L’écran de cinéma est-il affecté par des scènes d’incendie ou d’inondation ? Il en est de même avec le Soi.
L’idée « je suis le corps ou le mental » est si enracinée qu’il est difficile de s’en défaire, même quand on est convaincu du contraire. Quand on a fait un rêve, on sait au réveil qu’il était irréel ; et l’expérience de veille devient irréelle dans les autres états. Par conséquent, chaque état contredit les autres. Ils ne sont donc que des états changeants qui se déroulent dans la conscience de celui qui les perçoit. Ce sont des phénomènes apparaissant dans le Soi qui, lui, ne change pas et reste non affecté par eux.
Tout comme les états de veille, de rêve et de sommeil profond ne sont que des phénomènes, la naissance, la croissance et la mort ne sont, elles aussi, que des phénomènes dans le Soi, lequel continue à demeurer inchangé et non affecté. Naissance et mort ne sont que des idées. Elles relèvent du corps ou du mental. Le Soi existait avant la naissance de ce corps et demeurera après la mort de celui-ci. Il en est de même de tous les corps qui ont été pris successivement. Le Soi est immortel. Les phénomènes changent et sont mortels. La peur de la mort relève du corps, pas du Soi. Une telle peur est due à l’ignorance. Réalisation signifie vraie connaissance de la perfection et de l’immortalité du Soi. La mortalité n’est qu’une idée qui cause la souffrance. Vous pouvez vous en débarrasser en réalisant la nature immortelle du Soi.
(FONDAMENTAL entretien 487 le 2-5-1938 avec une jeune Anglaise).
« Il est évident que dans l’état de parfaite
ahimsâ [Non-violence], il ne peut y avoir de guerre » (Ramana Maharshi, entretien 508 du 24-8-1938).
La diversité étant le principe de la Nature, imposer le totalitarisme du mondialisme du monothéisme unilatéral républicain des Schwab-Harari et leur capitalisme est d’une imbécilité parfaite, et une claire tentative de destruction de l’humanité actuelle (la technologie mortifère informatique liée à l’industrie du capitalisme le prouve assez…).
DIVERSITÉ devrait signifier : ABSENCE D’ÉTAT, ABSENCE DE CHEFFERIE PAR LA RÉALISATION du Soi.
Dès qu’il y a État et chefferie, c’est l’ÉVOLUTIONNISME, LE
« MIEUX », LA RÉPARATION L’OUTRAGE DE LA NATURE, comme s’il fallait
« réparer » ce qui est naturelle,
COMME S’IL FALLAIT RÉPARER DIEU.
« Qui se sert du crochet, du cordeau, du compas et de l’équerre pour rectifier, offense la Nature ; qui se sert de la corde, de la ficelle, de la colle et de la laque pour consolider les choses va à l’encontre de leurs qualités propres. Qui plie les hommes par le rite et les rompt par la musique, qui les protège par la bonté et les relie par la justice, celui-là corrompt leur nature originelle. […] Comment la bonté et la justice censées unir les hommes comme la colle à la laque, la corde et le cordeau, pourraient-elles avoir quelque influence sur un monde régi par le Tao et la vertu ? Elles ne provoquent que des égarements ».
(Tchouang-tseu, chapitre 8,
Pieds palmés).
Description de L’ACTUEL MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN par Tchouang-tseu.
« Ainsi l’homme à l’ouïe fine n’entend pas l’autre (le social, le réseau, les infos) mais lui-même ; l’homme clairvoyant ne voit pas l’autre mais lui-même (pas de république-démocratie étatique). Celui qui ne voit pas lui-même mais voit l’autre, qui ne comprend pas lui-même mais comprend l’autre, icelui possède les qualités de l’autre et perd les siennes propres. Ainsi il réalise l’idéal d’un autre et abandonne donc le sien propre [Tchouang-tseu propose ici la Réalisation du Soi, mais non un « contrat social » en forme de monothéisme républicain QUI CONVIENNE À N’IMPORTE QUI : LES CONSOMMATEURS-OBJETS, L'INCLUSIVISME]. Pour avoir réalisé les idéaux des autres mais non les leurs propres, le sage Po-Yi et le brigand Tche se sont également fourvoyés.
Loin de pouvoir mériter le TAO et la Vertu, je n’ose pas cependant pratiquer les actes de bonté et de justice qui me distinguent ni pécher dans les agissements démesurés et monstrueux qui me dégradent [les ”valeurs” de la république du NOUVEL ORDRE MONDIAL ou NOUVEAU MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN) ».
(Tchouang-tseu, fin du chapitre 8, Pieds palmés).
Les ”valeurs” de la république du NOUVEL ORDRE MONDIAL ou NOUVEAU MONOTHÉISME RÉPUBLICAIN QUI ME DÉGRADENT :
La Vision de la ”Forme de Dieu” ou du ”CHRIST” le Soi, telle qu’elle peut être configurée par le RÉVE-IMAGINATION créatrice du Mystique et du RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE OU ÉTERNEL RETOUR, NE PEUT PLUS ÊTRE IMPOSÉ PAR UNE CROYANCE COLLECTIVE TELLE LE « VIVRE ENSEMBLE » DU RÉPUBLICANISME MONDIALISÉ, CAR LA VISION CHRISTIQUE ou du Soi EST CELLE QUI CORRESPOND À LA VRAIE NATURE DE L’ÊTRE.
C’est pour cela que le Pour-Voir du monothéisme républicain interdit et fait « soigner » tous les déviants et interdit les drogues naturelles permettant une modification de la conscience routinière PERMETTANT DE RE-TROUVER LE GRAND TEMPS, L’ÂGE D’OR ou Soi, qui existe toujours Ici et Maintenant : les expériences de drogues tels le LSD, la mescaline, l’ayahuasca, etc., de ce langage du Règne Végétal, nous montrent à l’évidence l’existence du Soi, de l’ÂGE D’OR OU GRAND TEMPS, L’ÂGE DE LA PIERRE, de même que les expériences pathologiques de schizophrénie, bouffées délirantes ou de syndromes confuso-oniriques.
La Réalisation ou RE-trouver le Grand Temps PEUT DÉFINIR LA VRAIE ÉTERNITÉ (sans l’éternalisme à la technologie transhumaniste) comme l’UNITÉ, LA VRAIE INDIVIDUALITÉ OU LE VRAI INDIVIDU : UNIQUE ET INFINI (Inné-Igné). LA VISION OU RÉALISATION N’EST PAS UNE SIMPLE CROYANCE COMME LE PRATIQUE TOUTE CE MONDE DE LAÏCITÉ D’ÉCONOMIE MATÉRIALISTE QUI CORRESPOND À LA « FORME DE DIEU » CRÉÉ DANS LES CROYANCES SELON LES NORMES DE L’INCONSCIENT COLLECTIF ADOUBÉ PAR L’ÉGRÉGORE MULTI-MILLÉNAIRES (nécessairement celui des Hébreux-Juifs et leur concept de ”peuple élu”).