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Centrum Centri Nature véritable Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-04-2024 21:39

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Conditionnement, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Marxengelsisme, Nation, Or, Penser, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Sionisme, Soleil, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
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Centrum Centri Nature véritable
Dans votre Nature véritable, vous seul
existez sans aucune seconde entité.
C’est l’Idiotès ou Singularité :
l’Univers est un être unilatéral sans
aucun complément en miroir. Aucun œil
ne peut saisir le corps de la
Vierge Noire. L’Univers est sans ailleurs.
 
 
Le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant, le jnanî, est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair ou sans tain] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur, idiotès). Les shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938)

Donc la Réalité est non-duelle et est nostre Nature véritable, elle est incompatible avec la conscience relativiste, la raison qui calcul ou objective, laquelle s’est scindée en deux.
Au Centrum Centri de la Connaissance véritable (jnana), il ne se produit jamais la moindre opposition opinionesque à une chose qui lui serait autre.

Maharshi (dans Padamalai) : « Chaque fois que quelque chose doit être contrôlé, qu’un obstacle doit être retiré ou qu’un changement s’avère nécessaire, l’utilisation de l’énergie [shakti] est requise. Toutefois, dans l’expérience suprême du Soi [Atman] ou dans l’état d’être établi dans la sagesse [sthita prajna], ou encore l’état au-delà des qualités mentales [guna], la seule expérience qui soit est celle de la non-dualité. Cet état ne comporte aucun principe déployé en opposition. Pour un Connaissant [jnanî] établi dans le Soi, aucun opposé ne se fait sentir [libération de l’emprise de l’opinion]. Il ne lui est donc pas nécessaire de venir à bout de choses au-dehors, parce qu’il ne subsiste en Lui rien qui soit séparé ou distinct (de Lui. En aquarelle, on fait Un avec le paysage ou le motif que l’on transmute sur le papier). Si l’omniprésence du Soi devient tout ce qui EST, le monde physique est entièrement absent [confirmation du scribe de cette page par la pratique de l’aquarelle sur paysage ou sur motif telle une vieille tour près de Volvic en Auvergne].
En conséquence, même si l’énergie [shakti] réside au sein du Soi [Atman], son utilisation est superflue. Si, par contre, on est dans un état où l’on ressent une opposition, alors l’utilisation du Soi [Atman shakti] est requise pour la résoudre ».

Maharshi (dans Padamalai) : « Le pur Être est la Réalité. Tout le reste n’est qu’associations [la quantité, le chiffre]. L’Être pur ne saurait être autre que Conscience. Sinon vous ne pourriez même pas dire que vous existez. En conséquence, la Conscience est la Réalité. Quand cette Conscience est associée aux adjonctions [upadhi](1), vous parlez de conscience de soi, d’inconscience, de subconscience, de supra-conscience, de conscience humaine, de conscience du chien, de conscience d’arbre et ainsi de suite. Le facteur immuable est commun à tous est la Conscience ».

Svarupa peut indiquer : ”forme véritable”n ”vraie Nature”, ”nostre propre forme”, ou ”Nature propre”. Ce mot est utilisé en tant que synonyme du Soi, pour indiquer que la Nature ultime de la Réalité n’est pas une expérience étrangère ou une expérience qui serait vécue à travers quelque intermédiaire, mais plutôt nostre état véritable et intrinsèque.

La Connaissance [jnana] véritable n’est pas quelque chose que l’on ”atteint” [du a privatif et teindre : ne pas teindre]. Elle existe en tant que nostre Nature propre [svarupa]. Le svarupa, qui brille en tant que Conscience, le suprême, est le substrat de tout ce qui est présent partout.
Décrire la Nature du Soi [svarupa] en mots c’est comme tenter de traverser la mer avec un brin de paille pour radeau.

Le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu : « Il est impossible de penser à la saveur de la Réalité [svarupa rasa], dont la délectation dépasse et transcende tout concept, et de déclarer (ensuite) que sa nature est comme ci comme ça ».
Dans cette svarupa, on ne peut que demeurer en tant que CELA [le Sans Pourquoi]. Cet état ne laisse aucune place à la pensée [la raison, le calcul, l’opinion].
La certitude qui vient de nostre vraie Nature que rien n’interrompt [svarupa] est l’Essence impérissable, l’ambroisie qui octroi l’immortalité.

L’OPINION (définition) : « Tout ce qui demeure, hormis le Réel, est une construction mentale qui ne possède aucune finalité définitive et incontestable.

« Le jnana svarupa, nostre vraie Nature qui est en droit de recevoir votre Amour, jamais ne souffre, ni ne doute, pas plus qu’Elle ne se détériore ».
« La source de toutes les fautes et erreurs est de ne pas exister en tant que nostre Nature véritable. C’est une erreur fondamentale. C’est la chose à savoir en premier.
Examinez et rendez-vous compte que dès le début, vous possédez comme Nature propre la svarupa vers laquelle vous tendez.
La raison pour laquelle la Conscience perd de sa clarté et se précipite vers le monde [le dehors], c’est qu’elle délaisse le Soi, la Réalité ».

« Ne laissez pas votre mental s’attarder sur quoi que ce soit d’autre que vote Nature [svarupa], car en dehors d’Elle, il n’existe aucune autre vérité ». (« Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna (contemplation).
« Seule la Nature véritable [svarupa] qui anéantit et rend le non-Soi inexistant, est appelée Vacuité [nirvana : au-delà de la souffrance ; le contraire du samsâra : cycle des naissances et des morts et monde phénoménal des noms-les-formes].

Maharshi (dans Padamalai) : « Le nirvana est perfection. Il n’y a, au sein de l’état parfait, ni sujet ni objet, rien qui puisse être vu, rien à ressentir, rien à savoir. Voir et savoir sont des fonctions du mental [un ”voir et savoir” si omniprésent actuellement par le tout connecté des industries informatiques du capitalisme]. Le nirvana ne comporte rien en dehors de la pure Conscience de Félicité « Je-suis ».

« Ceux qui désirent intensément le Soi, le simple état d’Être qui transcende tous les concepts [et opinions], ne désirent rien d’autre ».

L’ignorance n’existe que dans l’opinion des autres (qui se croient être autre que le Soi). Pour la Lumière de splendeur, la Nature du Soi, l’obstacle qu’est l’oubli du Soi [pramada] n’existe jamais.
Par l’oubli, l’infâme mental rejettera le Soi ou ce qui EST, puis il deviendra agité [par l’idéation, le calcul, la raison] ».

VRAIE NATURE dans le spatio-temporel = LE MOUJIK, LE PAYSAN ou CLOWN en anglais, l’HOMME ou l’INDIGÈNE, l’AUTOCHTONE, le BOY, le BOYAR, l’OUVRIER, le PIERROT et son costume de « Brayaud », ou « Braccatus » arvernes de la fin du 16è siècle. Ses couleurs sont celles de Gannat ou Ganelon, des braies bleues, très bouffantes, blouse ou casaque blanche. La Blouse, comme la « chemise russe », en vieux français ”bliau, bliaude” sera introduite, de même que les larges braies, par les Polignac qui les ont apportés avec eux de l’Asie Mineure…..

Nature véritable : trouver chaussure à son PIED (PADAM en sanskrit et synonyme du Soi, l’Être véritable).


[En référence à : Padamalai, enseignements de Ramana Maharshi, recueillis par Muruganar [1890-1973) un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi]

Note.
1. Dans le sens philosophique les upadhis sont ce qui fait émerger les défauts, l’ego et tout ce qui naît de lui, surtout l’opinion. Le corps est l’upadhi du jiva l’âme individuelle et l’univers est celui de Dieu. Lorsqu’ils sont connus pour ce qu’ils sont, c’est-à-dire des apparences au sein du Soi, ils ne sont pas nécessairement des défauts (telle la Chute ou le tikkounisme des Juifs messianiques et leur ”flèche du temps”).
 
 

Dernière mise à jour : 13-04-2024 21:51

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