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Enfer égalitariste socialo judéo-maçonnique Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 08-02-2013 23:21

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Enfer égalitariste socialo judéo-maçonnique

ÉGALITÉ = ENVIES et FRUSTRATIONS
La Fraternité n’a pas ici-bas de pire ennemi que l’égalité.
(Gustave Thibon)

Page dédiée à Gustave Thibon
 
 
 
Le cancer égalitaire est un des plus graves maux qui rongent notre époque. Il métastase tous les domaines de l’humanité.
Avoué ou déguisé, l’égalitarisme fait se guerroyer entre eux les individus, les classes sociales, les nations.
 
 
En effet, comme déjà écrit nombre de fois sur le site, au risque de passer pour un fou ou un idiot, quand j’écrivais que l’égalité était une tyrannie de plus, au même titre d’ailleurs que la monstruosité de la liberté absolue, j’ai trouvé un ami en Gustave Thibon (connu à travers le livre de Jean Coulonval : Synthèse et Temps Nouveaux).

Il parle dans son livre, véritable Bible des désordres depuis 1789 : Diagnostics (écrit en 1937), de la Trinité du Moyen-Âge : les Oratores (le spirituel), les Laboreores (le travail, paysans artisans), les Bellatores (les militaires et les aristocrates et le gouvernement, la justice). « Dans de telles formations politiques, chacun, en raison même de la stabilité, de la « fatalité » [ou ordre naturel] de sa situation, est entièrement disponible pour travailler au bien de l’ensemble. Les classes d’en haut ont les mains libres pour donner et celles d’en bas pour recevoir, et les échanges sont d’autant plus profonds que le fossé entre les divers milieux sociaux est plus difficile à franchir.
La mystique démocratique a gâté tout cela [c’est moi qui souligne].
Comment de vrais échanges pourraient-ils subsister à l’intérieur de la hiérarchie quand l’existence même de cette hiérarchie est mise en question ? » écrit Thibon.
Comme nombre de personnes, je crois que le Moyen-Âge fut en Occident une civilisation qui s’est le plus rapprochée de la structure essentielle de l’ordre social : AIDE MUTUELLE parce que les pouvoirs et les besoins sont DIFFÉRENTS, et qu’il n’y avait pas encore d’étatisme à partir de Louis IX (1226-1270) ou début de totalitarisme et du capitalisme. Chacun recherchait la protection, et donc dépendait de quelqu’un, comme aujourd’hui on dépend des chaînes du confort et de l’enfer de la consommation et du profit, et de la dette.
Labours de clerc est Dieu prier
Et justice de chevalier.
Pain lor trueven li laborier.
Chil paist, chil prie, et chil défent.
Au camp, a le vile, au moustier
S’entreaident de lor mestier
Chil troi par bel ordonnement.

(Exemple trinitaire de Circulus ou Circumincession)
Avec l’égalitarisme, le looser ou inférieur, dégoûté de son milieu, de sa position et de lui-même, n’a plus rien à recevoir d’en haut (puisque la laïcité est devenu LA religion), et ne vise qu’à s’égaler à celui d’en haut et à l’expulser, puisque nous sommes en « démocratie » et dans la « liberté » du chacun pour soi. Et celui d’en haut, le supérieur, au lieu de bien gouverner pour le bien de tous, tend seulement à défendre sa position menacée. Ainsi l’ENVIE et la PEUR tarissent tous les échanges et mouvements vitaux.
Les échanges naturels ne sont possibles que dans la Trinité du Moyen-Âge, lorsque le destin des individus est lié étroitement à la position qu’ils occupent, « où le passage d’un étage à l’autre de la hiérarchie exige une transformation, une ascension totales de celui qui s’élève, au lieu d’être livré aux hasards grotesques de la finance ou du suffrage universel », écrit superbement Thibon.

Ainsi l’échange social n’est pur et fécond que dans un monde où le dirigeant se sent en sécurité en haut, parce que le subordonné se sent à sa place en bas et vit l’Instant : « Je suis ce JE SUIS » comme la vit le dirigeant. Depuis 1789 s’est installé non seulement la lutte Droite et Gauche mais la stérile confusion et guerrière lutte des classes : il n’y a plus d’échange mais violence permanente.
Gustave Thibon cite un exemple extraordinaire où la soi-disant « barrière sociale » favorisant au contraire l’échange et la communion humaine ; un exemple de communion que l’on retrouve de façon assez spectaculaire et si juste dans l’excellente série télé britannique : Merlin, qui méritait mieux que cinq saisons ; on retrouve aussi cette vraie fraternité d’un Noble dans un fragment de Jacquou le Croquant de Eugène Le Roy : « Au début du siècle dernier [19è], dans nos villages provençaux non encore travaillés par la fièvre républicaine [modèle gréco-latine], une extrême familiarité régnait entre le seigneur du lieu et les paysans : on jouait aux boules ensemble après les vêpres, les demoiselles nobles dansaient avec les jeunes gens du village, etc. De tels courants de sympathie EFFECTIVE n’étaient possibles que dans la mesure où chaque classe [Laboreores, Oratores, Bellatores] restait liée à sa position, en dehors de toute contestation et de toute envie ». Par exemple, il faut regarder pour mieux le comprendre les deux derniers épisodes de la saison cinq de Merlin, avec l’échange puissant entre Merlin et le roi Arthur avant son voyage vers Avalon.

Dans les milieux où les différences sociales étaient acceptées et vécues comme d’indiscutables nécessité, la familiarité pouvait grandir, d’une classe à l’autre, sans danger de promiscuité : une fraternité profonde naissait de l’acceptation de l’inégalité ; et c’est cela qui est montré dans la série Merlin, et qui en fait justement son charme, et son succès.
La diablerie égalitaire en forme de messie juif apportant son « Royaume de Dieu sur terre » ou même soupe pour tous engendre au contraire dans le peuple, une ENVIE, donc une RÉVOLTE et la méfiance à l’égard de l’élite, et chez cette élite le souci de garder ses distances à l’égard du peuple : d’une part un réflexe d’agression et de l’autre un réflexe de défense, la guerre au lieu de la communion. Car quelle que soit l’habitude et le lavage de cerveaux imposé par la trinité franc-maçonnique gravée sur tous bâtiments d’État français, la fraternité ici-bas n’a pas pire ennemi que l’égalité.

Un Noble sous la monarchie pouvait, sans cesser d’être respecté et obéi, traiter ses serviteurs avec une extrême familiarité, et c’est ce qui est montré dans le Merlin de la BBC. Un parvenu moderne et républicain est obligé de compenser, par un autoritarisme mort, « l’absence d’autorité vivante et de marquer d’autant plus ses distances qu’elle n’existent pas en réalité. L’égalitarisme le plus malsain devient fatal dès que la hiérarchie sociale n’est plus fondée que sur des différences de fortune ». Ainsi, pour que le peuple respecte et suive spontanément ceux qui le gouvernent, il faut qu’il sente que ces derniers le dominent par autre chose que par l’argent. « D’où la nécessité de diminuer entre les hommes les écarts de fortune au profit des différences de caste, de tradition, de culture, etc. ou, au moins, d’asseoir les différences de fortune sur les différences humaines ».

Cette acceptation et respect réciproques des valeurs de chacun malgré les différences de castes s’apparente au RESPECT DE LA VIE, surtout des MICROBES et autres petits êtres considérés à tort par les humains comme « inférieurs ». De nos jours on chasse et on écrase les Microbes à coup de désinfectants et d’antibiotiques au lieu de les RESPECTER. Toute vie est respectable, il suffit simplement de vivre en osmose avec le Tout minéral végétal animal, et pour les microbes les plus virulent « leur dire d’aller se faire voir ailleurs ».

« Tant que la phobie de la bactérie, du virus, de « l’autre » n’est pas dépassée, on est dans des temps guerriers. Il faut passer à l’étape suivante, celle du dialogue avec le vivant, celle où le patient est véritablement sujet ». (Entretien avec Joël Sternheimer)

« Le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout », écrivait le médecin Claude Bernard.

RAPPEL : La classe est de la Terre, la caste est de l’Esprit. Le drame survient lorsque la caste, fait spirituel, tend toujours à se signifier dans le temporel par des privilèges économiques et à dégénérer en classe. L’ennemi, le microbe est donc le fric. C’est l’aventure qui est arrivée à l’ancienne noblesse de sang et la révolution de 1789 n’a fait que supprimer ce qui avait perdu la conscience de sa nature. 1789 n’a fait que couper du bois mort.
« Inversement, la classe la plus basse, opprimée et avilie, tend toujours pour guérir ses malheurs, à retrouver les sources de l’Esprit, et, partant, le sens de la caste : dignité d’homme en tant qu’être métaphysique et spirituel. Cette dialectique de la classe et de la caste est la cause profonde du communisme, bien plus que la dialectique marxiste qui n’a fait que dévier et défigurer la première dans un sens pervers », écrit Jean Coulonval.
La caste étant d’ordre spirituel, l’Église a ouverte à tous les degrés de sa hiérarchie, aux prolétaires, mais elle impose à ceux qui aspirent aux fonctions sacerdotale, un tel changement de vie et de tels sacrifices que le simple appât des privilèges et des honneurs et diplômes ne suffit pas (sauf dans les périodes de grandes décadence du clergé) à susciter beaucoup de fausses vocations.

NOBLE : son sens est perdu depuis 1789 et la folie franc-maçonnique de l’égalitarisme. Noble : qui est au-dessus du commun, dont les qualités morales sont grandes (courageux, généreux, magnanime, élevé), qui est hautement apprécié sur le plan moral, qui commande le respect et l’admiration par sa distinction, son autorité naturelle ; et encore : qui a de la majesté, une beauté grave, parfois un peu froide en apparence. Le contraire de Noble est le commun, le bourgeois, le roturier, le vilain (paysan dans le sens péjoratif, mais découle plutôt du mot villa et campagne)
NOBLESSE : qualité de ce qui est noble. NOBLESSE (d’après le Glossaire de Du Cange) : droit du seigneur, prérogative.
NOBLOIS : magnificence, pompe, grand appareil.
Un régime de type démocratique ne peut rester sain que dans la mesure où subsiste, chez ses dirigeants, un esprit d’immolation qui s’apparente à celui du sacerdoce et de la chevalerie. Par exemple chez les Celtes, le roi est frappé d’une foule d’interdits et d’obligations. Il ne peut les enfreindre sans encourir de graves dangers. Un roi déchu ou usurpateur, ou qui a usé et abusé du pouvoir finit toujours ses jours tragiquement ! Alors qu’un simple fonctionnaire républicain ou ministre, au pire ne risque qu’une mutation dans un autre poste...
La noblesse s’effondre facilement lorsque le peuple s’aperçoit que « le Roi est nu », et donc qu’il est comme tout le monde ! Mais si un cancer d’égalité se met à ronger le peuple, n’est-ce pas à cause des Grands qui l’ont allumée en descendant par leur conduite au rang de la plèbe ?
NOBLE possède aussi le sens de BEAUTÉ, donc de ce qui est rare : le vrai LUXE. Avec le libéralisme rongeant la civilisation comme la gangrène ronge un membre, le vrai Luxe a pratiquement disparu en même temps que la disparition des aristocrates. Il n’existe plus qu’une « aristocratie d’affaires et de réseaux économiques ».


Avec l’élite de psychopathes et de nantis qui nous gouverne, elle suscite dans l’âme du peuple non seulement le dégoût, mais aussi l’envie de parvenir aussi à ces richesses et facilités et confort : « Pourquoi pas moi ! ». En effet, puisque nous sommes en « démocratie » et dans le libéralisme et dans l’égalitarisme, tout le monde peut aspirer à être riche, car la conquête de l’argent est liée aux hasards les plus creux : « on n’aspire pas de la même façon aux ascensions qui nécessitent un changement profond de mœurs ou de culture, qui entraînent des responsabilités accrues et dont l’échec est fatalement sanctionné - moralement et matériellement - à brève échéance. Il n’est pas de meilleur frein à l’envie et à la révolte des masses que la présence d’une élite dirigeante dont l’autorité soit largement dépendante de l’argent », écrit Thibon, et c’est l’explosion sociale qui nous pend au nez depuis quelques temps en Occident.

La ploutocratie est inorganique, elle n’a pas de milieu spécifique : un riche est un riche partout (l’argent n’a pas d’odeur et est mondialiste) et le Nouvel Ordre Mondial est destiné à faciliter la totale fluidité de la circulation de l’argent ; la ploutocratie est étrangère à l’ordre vivant de la cité, elle ne peut être qu’un évolutionnisme en facteur de désordre et de parasitisme et de privation de liberté.
Le vrai sens du mot ÉLITE est perdu depuis longtemps : il découle d’élire, de choix : ensemble des personnes considérées comme les meilleures, les plus remarquables d’un groupe, d’une communauté. Donc comme l’écrit Gustave Thibon, on devrait inscrire sur une institution formant les futurs élites : « Ici, on entre en montant, et par vocation ».

La démocratie comme l’entendent tous pouvoirs depuis 1789 et 1917 en Russie fait croire que rien n’est au-dessus du peuple, pas même Dieu dans le cas de la religion de la laïcité ! Mais c’est laissé le peuple SEUL et inculte, donc avec une tendance à l’enlisement et à l’auto-destruction. « Car le peuple se suffit pour tomber, mais non pour marcher ! » Aussi il a besoin d’une élite, et dans le pire des cas, de meneurs (ce qui se passe actuellement, mais des meneurs eux-mêmes menés par les banques !)

Il faut aussi s’entendre su le sens du mot « démocratie » !
Dans une société de catholicité, le prolétaire sort du peuple transfiguré par la vocation de son âme. Dans la plupart des démocraties modernes, il en sort défiguré par les ambitions de son moi (exemple Sarkozy).
« Un régime fondé sur l’égalité juridique entre les hommes a besoin d’être incessamment racheté et purifié par un accroissement sévère des inégalités morales », écrit Thibon.
« Les instructions spirituelles différent selon les tempéraments des individus et leur maturité spirituelle. Il n’est pas possible d’instruire en masse ». (Ramana Maharshi, entretien 107).

Libéralisme et American way of life et démocratie égalitariste :
Les hasards du struggle for life (lutter pour la vie) se sont révélés plus désastreux encore que ceux de l’hérédité si critiquée par la franc-maçonnerie républicaine et son égalitrisme et son « suffrage universel ».

L’enfer égalitaire socialo judéo-franc-maçonnique c’est bien-sur la symbolique du slogan « United Colors of Benitton » : l’enfer qui sépare et groupe à jamais tous les habitants ; centraliser, posséder, anarchie de la centralisation portée à son expression suprême. On retrouve ça avec l’outil réseaux sociaux, l’outil téléphone portable et bien-sûr le tyrannique égalitarisme : jamais les humains n’avaient été aussi semblables et égalitaires (en Occident surtout), et aussi étrangers les uns des autres. Et jamais aussi ils n’avaient été enchaînés entre eux par des chaînes aussi fausses, virtuelles et artificielles et aussi inhumaines.

La mondialisation voulut par les puissances bancaires et la franc-maçonnerie se définit par l’UNIFORMISATION, et donc par les LIMITES : on ne peut pas diviser sans fin un corps indifférencié ! Ainsi on arrive au paradoxe qui fait croitre simultanément l’atomisation et l’uniformité superbement définies par le slogan de la marque Benetton.
La centralisation, le mondialisme ou gouvernance mondiale est le tombeau de l’unité et l’anarchie celui de l’originalité.

Les républicains dans leur confort ou progrès disent que jadis les hommes étaient des esclaves, et de l’Église et de la monarchie, mais ils n’étaient pas des PANTINS. Aujourd’hui, les chaînes de métal qui liaient jadis le corps de l’esclave sont devenues la ficelle qui meuvent, de l’intérieur, l’âme de la marionnette. Les écoles du franc-maçon Jules Ferry, les médias, Hollywood, s’acharnent à robotiser l’humain.

Le cancer égalitaire est une des plus grave mal qui ronge notre époque. Il métastase tous les domaines de l’humanité.
Avoué ou déguisé, l’égalitarisme fait se guerroyer entre eux les individus, les classes sociales, les nations. Moi aussi je veux le palace du philobotuliste Botul Henri-Lévy puisque nous sommes égaux d’après les francs-maçons !!! Moi aussi je veux du fric comme Pierre Bergé pour jouer aux mécènes, c’est rigolo et égoïste et ça permet de se payer et d'entretenir plein de beaux garçons dans la fraîcheur de l’âge... « Bite dans le cul ou pas, on veut l’égalité des droits » dit une pancarte tenue par un enfant d’environ 8-9 ans à la manifestation pour le mariage gay. Ainsi le taré psychologique, le malade mental a aussi le droit au mariage, ils ont aussi « droit à l’amour »... Tout cela ne renvoie qu’à un répugnant égoïsme. L’égalitarisme représente la caricature et la corruption du sens de l’harmonie et de l’unité sociales.

Tout de même ! Les humains naissent INÉGAUX en santé, en force physique, en « intelligence » ou rapidité d’adaptation, en amour, etc. Nul moyen d’y échapper ni d’y porter remède, même avec le transhumanisme (réservé aux plus fortunés qui pourront se faire remplacer leurs organes). À côté des inégalités naturelles entre les humains, on rencontre l’inégalité dans les fonctions et les privilèges inhérents à la hiérarchie et complexité sociales.

Le mythe de la liberté vendu par la franc-maçonnerie fait de ces gens des TUEURS : « rien n’a plus contribué que ce mythe de la liberté à détruire dans l’âme les masses, à détruire la vraie liberté et donc la vraie Paix » comme l’écrit Thibon.
Démocratie = souveraineté du peuple et son corollaire le suffrage universel, soit demander à un aveugle de choisir LIBREMENT des couleurs ! En d’autres mots/maux : on dit à l’agneau : tu es libre d’être ou de ne pas être herbivore. C’est la totale illusion qu’a fabriqué la franc-maçonnerie sous couvert des institutions qui lavent les cerveaux des humains pour leur faire avaler l’opinion qu’ils sont « souverains », égaux à quiconque, et de trancher par le bulletin de vote, les problèmes les plus étrangers à leur compétence !

Dès que les constructions de mains d’hommes atteignaient le point culminant de leur puissance et de leur gloire, le ferment de dissolution qu’elles portaient en elles les démolissait (d’après le Dr. A. Stocker : Folie et Santé du Monde).
 
 

Dernière mise à jour : 09-02-2013 00:29

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