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Merci d’être. Et restez ce que vous êtes Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 12-05-2019 00:21

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Apocalypse, Apparence, Banques, Capitalisme, Carotte, Catastrophe, Chimère, Christ, Confort, Contrat, Corps, Démocratie, Dépendance, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Étoile, Gnostiques, Gratuit, Héros, Histoire, Humain, Idolâtrie, Information, Innocence, Instant, Intérêt, Jardin, Juif, Langage, Liberté, Lucifer, Maux, Méditation, Mental, Miroir, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pierre, Plume, Porte, Ptah, Race, République, Réseaux, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Sophisme, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Tore, Vérité, Vide, Vieux, Viol, washingtonisme, Yokaï

 
 
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Merci d’être. Et restez ce que vous êtes
AH LA MÊME HORREUR d’idée reçue  que les fixistes des
« Plus jamais ça » et des « Si c’était votre enfant ».
Cette même coagulation des « Surtout ne changez rien ».
Horreur du merci impliquant la dualité sujet-objet :
ÊTRE À LA MERCI DE… ou chaîne sans fin de causes-effets
être à la merci du social !
Et bien NON !
TOUT CHANGE EN PERMANENCE, RIEN N’EST PAREIL
D’UN INSTANT À L’AUTRE :
« Allé, allé, allé au-delà, allé complètement
au-delà, l’Éveil est ainsi », dit le
Soûtra du Cœur de la Connaissance
transcendante.

ALLÉ, ALLÉ, DÉPLOYER, car la vie n’est pas
la carotte du DÉSIR de la « fin des temps » en
attente-atteinte d’un point donné et après
c’est circulez ya plus rien à voir.
Ne rien changer est creuser sa tombe et est
ANTI-SPONTANÉ, ANTI-ZÉRO INDIEN (Motrice Créateur-Créature).

Pas de « fin des temps » : L’UNIVERS EST SANS AILLEURS.
Le Corps de la Vierge Noire est PAN, TOUT,
aucun complément en miroir.
Le seul « miroir » possible est la PIERRE ou
LE CRÉATEUR ET SA CRÉATURE, L’UNION DES CONTRAIRES.
 
 
« Merci d’être » : comme si cela devait être le but !
Il n’y a pas à remercier pour un acte qui est naturel, sans causisme, sans OFFRANDISME (dès qu’il y a offrande c’est pour s’acheter quelque chose). L’offrandisme se transformant en SACRIFICE, en ÉCHANGE-TROC prémisse de Wall Street. Sacrifier sa vie mortelle pour témoigner d’une vie supérieure est DÉJÀ la carotte avec au bout « l’unité divine » ou « fin des temps ». Comment un Dieu peut-il « demander un sacrifice » ? Pourquoi « sacrifice » évoquerait-il une « victoire intérieure », un winnerisme narcissique, un truc forcé ??
L’opinion de sacrifice est DUALITÉ et MERCANTILISME : un mal pour un bien, une violence destinée à acheter la « paix », comme le pratiquent les Hébreux-Juifs avec leur argent-sang (voir plus bas ce qu’en explique Jacques Attali).
 
Pourquoi un sacrifice ? Car ce n’est pas l’officiant qui procède au FAIRE/FER (sacrifice), mais Dieu, comme l’énonce un verset qorânique : « Ce n’est pas toi qui lances le trait lorsque tu le lances, c’est Dieu qui le lance » (8/17). La Bhagavad-Gîtâ, chapitre 18, vers 17 : « Celui qui est délivré de la notion de l’ego, dont l’intellect n’est pas conditionné, celui-là, même s’il détruit tous les mondes, ne tue pas, pas plus qu’il n’est enchaîné par les conséquences de ses actions [il n’est plus dans la cause-effet ou action-réaction] ».
Ce vers 17 de la BG se retrouve chez un des disciples d’Ibn’Arabi : Abd al-Karîm Jîlî, en une formule très dense : « Sache que lorsque l’Imagination active configure une forme dans la pensée, cette configuration et cette imagination sont créées. Or, le créateur est existant dans chaque création. Cette imagination et cette figure existent en toi, et tu es le créateur par rapport à leur existence en toi. Il faut donc que l’opération imaginative concernant Dieu, t’appartienne à toi, mais simultanément Dieu existe en elle. Sur ce point je t’éveille à un secret sublime, duquel on peut apprendre nombre de secrets divins, par exemple le secret de la destinée et le secret de la connaissance divine, le fait que ce soit là une seule et même science par laquelle sont connus et le Créateur et la Créature » (Le livre de l’Homme parfait, I, 31, cité par Henry Corbin dans : L’Imagination créative dans le soufisme d’Ibn’Arabi.

Bref, ce n’est pas toi qui crées, alors ta Création ne peut qu’être VRAIE. Elle est Vraie parce que chaque créature a une double dimension (Involution-Évolution) : Créateur-Créature ou Mariage des « Contraires » : SYNCHRONE, NON-LOCALISATION : IL N’Y A PLUS DE TEMPS MAIS SEULEMENT THÉOPHANIE (manifestation en dehors du mental ou de la raison de l’humain) ; et comme telle est est Imagination. L’Imagination créatrice ne peut qu’être Imagination théophanique, ce que j’appelle « Zéro indien », et le Créateur est conjoint à la Créature (en symbiose totale) imaginante, PARCE QUE CHAQUE IMAGINATION EST UNE THÉOPHANIE, UNE ICI ET MAINTENANT OU INSTANT. La psychologie ne sépare pas de la cosmologie, bien qu’icelle soit aussi de l’Imagination. C’est ainsi qu’en ayant cette pensée au mental, qu’il convient de s’interroger sur ce qu’est le mental de l’humain, ses sens, ses transferts et transmutations de toutes choses en symboles, puisqu’un définitive TOUT EST SYMBOLES.

Les Hébreux-Juifs ont inventés ce monde matérialiste qui n’est pas un monde où l’on obtient ce qu’on désire, MAIS UN MONDE OÙ ON DÉSIRE QUELQUE CHOSE (2). C’EST LE PRINCIPE DE LA CAROTTE AVEC AU BOUT LA « FIN DES TEMPS » QUI NE DOIT JAMAIS SURVENIR, sinon la carotte-moteur et tiroir-caisse est cassé. L’aladindisme et sa lanterne procède du principe de la Carotte.
Héraclite dans Fragment 110 écrivait : « Il n’en vaudrait pas mieux pour les hommes qu’arrivât ce qu’il désirent ». Effectivement grâce aux Juifs ça va devenir le « Pouvoir d’Achat »….
Cela va surtout donner l’évolutionnisme, la catastrophe écologique, la surpopulation de la Terre, à cause de cette FAIM SANS FIN NI FAIM puisqu’aucun nourriture réelle ne saurait apaiser cette faim-fin là. L’humanité est condamné à mort s’il elle ne parvient pas un jour à une relative et stable SATIÉTÉ. La Vraie Paix ne passera jamais par un miraculeux accomplissement des désirs humains, PUISQUE ICEUX FONT DÉFAUT. ALORS CERTAINS VONT INVENTER CETTE CAROTTE-MOTRICE-VALEUR.
CAROTTE-MOTRICE QUI DEVRA AVOIR OBLIGATOIRE UNE CAUSE, SINON, CE SERA LE BÛCHER POUR BLASPHÈME D’ABSENCE DE CAUSE (1) !



DÉTOURNEMENT DE L’IMAGINATION CRÉATRICE À DES FINS MATÉRIELLES ET MERCANTILES.


Dans l’opinion hébraïque l’âme possède un support matériel qui est le sang (voir la circoncision au huitième jour de naissance) ; « on retrouve à mille et une reprises ce lien entre l’argent et le sang, lancinant avertissement lancé par Dieu aux Hébreux et, à travers eux [sic] à tous les hommes : l’argent est d’abord un moyen d’éviter la violence [sic, sic, sic]. En s’imposant à lui-même le remplacement du sacrifice par l’offrande, le peuple juif [sic] annonce son destin : il utilisera l’argent comme un moyen de réparer des dommages [ils sont essentiellement des « réparateurs »] et d’arrêter l’engrenage des représailles. L’argent va devenir pour lui un moyen de négocier au lieu de combattre, de faire la paix [sic]. Par l’argent, le peuple juif va dire sa haine de la violence [sic]. Jusqu’à ce que la violence de l’argent se retourne contre lui… », écrit Jacques Attali, page 22, dans : Les Juifs, le monde et l’argent. Le bébé naturellement Félicité doit-il se sacrifier pour l’obtenir une nouvelle fois ? Pourquoi y aurai-il une « victoire » (sur soi-même), alors que cette victoire NOUS EST NATURELLE ?

Dans sacrifice il y a sacré et saint, or ça implique la notion artificielle de VALEUR, laquelle renvoie à Crédit-Crédo-Croyance et aux banquiers qui naguère se nommaient « Marchands de confiance ». Tout repose donc sur la valeur, le sacré, or rien de plus ambigüe que le sacré : le saint est l’ombre du sorcier et le sorcier celle du saint ; devant un saint cherchez le Diable.
On dit qu’il suffit de deux Anglais pour faire un match de foot, de trois pour faire un Empire. Ainsi il suffit de deux humains de même opinion qui soit suffisamment forte pour fabriquer ce qu’ils vont appeler « réalité ». C’est dire la fragilité extrême de la seule base de l’humain en ce qui concerne sa réalité chérie !
Reverdy disait que « L’homme est mauvais conducteur de la réalité ». Certain que le langage parlé, puis écrit, ne reflète nullement la « réalité »   parler, et pire, écrire le réel, c’est fabriquer le temps qui coule et manquer ce réel, cet Ici et Maintenant !

Je ne vois aucun « sacrifice » dans le Ici et Maintenant, vu que le sacrifice implique la dualité sujet-objet et donc le temps.

Le Vatican étant de construction humaine, il est aussi fragile que l’Empire des deux ou trois Anglais cité plus haut.

BRÛLÉ EN SACRIFICE (les bûchers de l’Inquisition et les « bûchers » modernes des réseaux sociaux et autres médias liés au pouvoir de l’argent et de la tyrannie de l’opinion.

Notre-Dame de Paris et ses bois presque millénaires qui n’auraient pas dû brûler, ce qui peu facilement renvoyer au vrai Sacrifice : PUTRÉFACTION ou RENONCEMENT, ŒUVRE AU NOIRE, AUX VIERGES NOIRES. Le cas de ND de Paris est très politique et lié au capitalisme (pompe à touristes, hôtellerie et restauration, etc.). Voir l’exemple de l’URSS qui imposa sa religion inversée qui est à la fois pouvoir politique, pouvoir religieux, pouvoir économique.

Ces Vierges Noires qui à travers le temps qui coule ont suscité autant de fascination que de haine et de violence quand par exemple au XVIème siècle, la Réforme voulut imposer un ordre moral ou plus tard quand la révolution de 1789 instaura une contre-religion rationaliste, scientiste et mécaniste.
Les Vierges Noires réapparaissent pendant les premiers siècles du deuxième millénaire, on les voit un peu partout notamment en Europe et surtout en Auvergne et dans la France Méditerranéenne.
La France est désormais à l’abri des grandes invasions. L’économie entre résolument dans une phase d’expansion, le développement des surfaces cultivées permet de nourrir une population toujours croissante. Le commerce est prospère, l’Eglise joue dans cet épanouissement un grand rôle spirituel mais aussi temporel. Partout foisonnent des églises, des cathédrales, des monastères…

Le culte marial va surtout s’inscrire dans l’art Roman. On trouve ces Vierges noires de l’Ile de Pâques jusqu’à nous (Vierge de Sous-Terre de Chartres, disparue à la révolution de 89), en passant par l’Asie Mineure, la Grèce, la Crète, les grottes de Ténériffe, la terre est truffée de ces statuettes extraites peu à peu de leur gangue souterraine au cours des âges. Elles paraissent être le fruit d’un éternel retour cyclique et rythmé d’un temps qui avance, qui sépare et fait se rejoindre avant de séparer à nouveau.
Mort et Renaissance à l’infini, telle est la loi de la nature terrestre.

Mais pourquoi des Vierges Noires, quand des siècles de tradition et d’iconographie chrétiennes nous ont programmé pour voir une Marie blanche et blonde ?
Pourquoi Isis en Egypte, Déméter dans la Grèce Antique, Kali en Inde sont-elles noires ?
Simple : NOIR = SAINT CHAOS, EAU PRIMORDIALE, PUTRÉFACTION OU RENONCIATION (Œuvre au Noir). Au début de chaque aube la Lumière éternelle est le Noir. Je puis le certifier car j’en ai pris conscience vers l’âge de 8 ans dans l’étroite cour de l’école primaire de la rue Ampère à Paris 17è, avant que nous entrions dans la classe bondée (période du « babyboom » de 1945) : en attendant d’entrer dans la classe, je « visualisais » le noir avant ma naissance ici sur cette Terre.
Ce Noir, la Materia Prima. Chez les Anciens, chaque Dieu avait son bois sacré où il recevait les hommages et les prières. C’était un centre de vie, une réserve de fraîcheur, d’eau et de chaleur associés comme dans une matrice. Une vignette des textes des sarcophages montre une Isis Hator faisant corps avec un sycomore ; la vierge noire de Foggia en Italie est assise au milieu d’un arbre. « L’arbre, précise Mircea Eliade, présuppose que la source de vie se trouve concentrée dans ce végétal, donc que la modalité humaine se trouve là, à l’état virtuel, sous formes de germes et de semences ». Le bois devient alors un matériau sacré qui franchira la limite du manifesté pour pénétrer dans le réfléchi et y introduire l’inspiré (Imagination créatrice). Ce fameux bois qui a flambé en la charpente de ND de Paris le 15 avril 2019, alors qu’il n’aurait jamais dû flamber…

Le Noire de la Vierge renvoie à l’Eau Primordiale, à l’IDIOTÈS, LA SINGULARITÉ, LE VIERGE : aucun reflet dans le miroir, pas de dualité, qui est le sort de toute Réalité qui ne peut pas se dupliquer, se dédoubler sans, dans l’Instant, devenir AUTRE, NON VIERGE : L’IMAGE OFFERTE PAR LE MIROIR N’EST PAS SUPERPOSABLE À LA RÉALITÉ QU’ELLE SUGGÈRE PAR CE DOUBLON.
Aucun miroir ne peut saisir le reflet de l’Univers, comme aucun œil ne peut saisir le corps de la Vierge Noire qui absorbe toute la lumière, TOUTE LES COULEURS QUI N’APPARTIENNENT PAS À LA MATIÈRE mais sont le résultat du traitement que subit la Lumière. Ainsi PANique sera la Douleur Absolue ou Connaissance absolue, Conscience infinie surgissant DANS L’INSTANT. Ainsi l’Univers est sans Ailleurs comme le corps de la Vierge Noire : le monde est l’enfant que tient la Vierge Noire sur ses genoux manquent à jamais de leur complément en miroir : ILS SONT À JAMAIS IDIOTS.

Bien-sûr la Vierge Noire renvoie à la Déesse-Mère des « temps préhistoriques ». La Vierge Noire de Chartres passait au Moyen-Âge pour la plus ancienne statue du royaume. Brûlée pendant la révolution de 1789, elle a été remplacée par une copie au siècle suivant. Mais bien avant, on connaissait la légende de la Virgo Paritura déjà honorée par les Druides comme en témoigne un manuscrit de 1027 à la Bibliothèque de Chartres.
La tradition celtique a sans doute encore plus de réalité au Puy en Velais. La vierge d’origine, brûlée aussi à la révolution était en bois de cèdre avec un visage typiquement byzantin presque abyssin. Le premier culte, gaulois, a laissé place à un temple romain, puis au cinquième siècle à une église primitive qui recelait la pierre des fièvres et où s’accomplissaient des miracles au cours de pèlerinages qui existent encore de nos jours.
Sources, puits, fontaines, sont toujours près des Vierges Noires, évoquant une transmutation de l’être. À l’Origine tout était EAU : LE SAINT CHAOS, L’ABÎME-MÈRE OU GOUFFRE DE LA SAINTE CHIMÈRE.

Quant à l’enfant, qui le plus souvent est assis sur les genoux de sa mère la Vierge Noire, il nous rappelle que nous sommes dans une symbolique d’innocence, de pureté, de liberté originelle, de spontanéité, de Ici et Maintenant et de Félicité. Nous avons à entrer dans une sorte d’état édénique, antérieur à la faute (le mental qui calcule, analyse, donc l’ego), un état préalable, qui seul pourra nous amener à la Connaissance : le Connaître toi-même par toi-même.

Comme déjà écrit plus haut, le Noire de la Vierge est l’image de ce qui n’est pas manifesté, de ce qui reste caché, image du Soi. C’est la Mahadevi de l’Inde.

Aux 10è et 12è siècles s’installe une grande restauration de la tradition celtique greffée sur le christianisme dans le domaine social, politique, intellectuel et spirituel. Ce furent autour de l’an 1000 l’installation d’une tradition sacrée universelle, notamment à travers le jaillissement des Vierges Noires exhumées peu à peu, quand l’humanité commença enfin à découvrir EN CHAQUE ÊTRE HUMAIN SON IDIOTÈS, SA SINGULARITÉ, SA VOCATION DE VIERGE NOIRE. Car si la divinité absolue qui n’a pas de Nom-la Forme, demeure inaccessible en soi, ce même absolu, engendrant dans la Mère Universelle toutes les forces et toutes les formes, pénètre par elles sa manifestation, coexistant avec elles jusqu’à son revêtement le plus grossier, y compris la matière la plus dense.

RAPPEL : C’est seulement à la fin du 12è siècle que le Purgatoire fut inventé, de là va s’amplifier la croyance à l’immortalité et en la résurrection ; c’est le « nouveau » commercial… Alors que l’hindouisme croyant en de perpétuelles réincarnations, à la métempsycose, exclue donc un Purgatoire. Purgatoire = Jugement, donc encore dualité… en plus de double jugements : le premier au moment de la mort, le second à la fameuse « fin des temps ».
Comme avant le Purgatoire l’égrégore principal était la PEUR DE L’ENFER, le Purgatoire va apporter un confort essentiel : L’ESPOIR D’ÉCHAPPER À L’ENFER GRÂCE AU PURGATOIRE, ce nouveau confort psychologique va permettre à l’usurier (juif) de faire faire un bond à l’économie de la société du 13è siècle (Saint Louis, les Croisades, etc.) et d’annoncer le prochain CAPITALISME JUIF. En passant par le Purgatoire on était certain en finale de rentrer obligatoirement au paradis : double confort, richesse et paradis, et en route vers le capitalisme. Argent et Purgatoire = la CAROTTE-ESPOIR et le futur pouvoir d’achat conformément à ce qu’énonçait Héraclite cité plus haut, à savoir la carotte nommé DÉSIR, donc toujours entretenir un désir insatiable afin de maintenir le tiroir-caisse en évolutionnisme permanent, et par là-même de permettre la destruction de la planète.

Dans les grottes, dans les cryptes ou ailleurs dans la Nature, les Vierges Noires continueront à jouer leur rôle de Mère Initiatrice. Car, c’est en nous interpellant qu’elles nous introduisent à l’intelligence des mystères, mystère du monde, mystère de la nature, mystère de la vie, mystère de la profondeur de l’être, mais aussi mystère de l’infinitude d’où tout est sorti et où tout doit retourner ; mystère qui s’appelle ÉVEIL : « Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil est ainsi » dit le Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante. Allé, allé, Sentier, Chemin, Sentios, Sentinus en gaulois, du vieil irlandais sét, pluriel séotu, de sentu (chemin, voie), etc. Et marcher : Thème kengh- (marcher). Voir cingues (guerrier) et cingid en vieil irlandais : il avance, il marche en avant. Allé, allé : matéo (fouler), Mantoue (en Italie)…


Notes.
1. En URSS, punition pour absence de cause : « Jamais nous n’arrêtons un homme qui n’est pas coupable. Et même si vous n’étiez pas coupable, nous ne pourrions vous relâcher, parce que les gens raconteraient qu’on rafle des innocents », dit un enquêteur du NKVD (cité par Anne Applebaum dans : Goulag, une histoire). Ainsi en religion, on peut aller jusqu’à sacrifier la cause de l’absence de cause !!!
 
2. Le Désir ou l’Amant et son Aimé et du Choix dirigé est donné par les frères Abraham et Simon Oppenheim, qui en 1840 disaient   « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà qui s’appelle faire des affaires ». Citation fondamentale et extraordinaire ou devise capitaliste, mentionnée dans le livre de Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent
 
 

Dernière mise à jour : 12-05-2019 02:05

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