Quelle est la preuve du ”mo(n)de” des planètes,
etc. ? Vous les voyez ou vous les mesurez
avec des instruments construits par vous.
Tout cela peut-il exister indépendamment de
celui qui perçoit et construit ?
La planète Mars vient-elle vous dire :
« J’existe » ?
Quelle est la preuve de son existence à
part le fait de vos mesures, de vos télescopes
et votre opinion assurant que cette planète
existe ?
Bref, on fait ”COMME SI” la planète Mars
existait, puisque certains s’en occupe !
(En réf. à Ramana Maharshi au jour le
jour, 15 juin 1946). Où il est dit dans cet
entretien : ”Le ‘Je’ existe dans le sommeil
quand tout ce qui est changeant n’existe pas.
Il existe dans le rêve et à l’état de veille.
Dans tous ces états le ‘Je’ reste immuable,
alors que les autres choses vont et viennent
[la fameuse ”diversité” qui plait tant au
mercantilisme et aux LGBT…]
”Les autres choses vont et viennent”, comme
le spatio-temporel…….
Il est certain que le PÉCHÉ, ou la CHUTE a commencé quand certains ego se sont occupés des affaires des autres, particulièrement les Hébreux-Juifs
(1); c’est À CE MOMENT là que commence
l’INIQUITÉ FAITE HOMME.
Tout était EAUX PRIMORDIALES ou COMMUNION UNIVERSELLE, tout était ZÉRO INDIEN (sens de création infinie) :
’Toi’ et ‘moi sont transcendés dans le ‘Je’ du Soi qui les harmonise par triangulation :
Je
Moi Toi
C’est dans ce ‘Je’ que se réalise le sentiment océanique
(2) ou les Eaux Primordiales, le BLANC de l’Instant, le non-différencié, la non-dualité, la non-pluralité.
Le ZÉRO INDIEN de tous les possibles dans les Eaux Primordiales N’ÉTAIT PAS ENCORE CANCÉRISÉ PAR LE POUR-VOIR, car il pouvait agir dans son Moi-Individuel et son Moi-Collectif qui ne formait pas encore cette dualité, tout en étant en osmose avec le Soi [le TAO, le Père-Mère, la Vérité, la Foi, le Centrum Centri, etc.].
Dans ces Eaux Primordiales était compris le fameux
”libre arbitre”. L’Enfant du Soi devenait le Soi. Aucun Dedans-Dehors n’existait. C’est alors que survient une ONDE STATIONNAIRE QUI VA DONNER LA RACINE DU MAL : LE DEDANS-DEHORS ou POUR-VOIR : LA SAISIE.
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou
Eucharistie (dans son sens en la
croyance au corps ou attraction
”universelle”, la
”valeur d’échange”,
la
”baisse du taux de profit”].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme,
du Désir, du Sans-Forme, jusqu’à la
gloutonnerie spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(
Soûtra de la Liberté inconcevable,
chapitre V, 14)
Ils sont introuvables pour la raison naturelle
que Nous sommes l’Univers et que la racine du
mal fait SORTIR de l’Univers comme pour l’examiner
et POUR-VOIR comment il fonctionne : ON SORT DU TROU
POUR EXAMINER LE TROU, et comme dans un Trou il
n’y a rien d’autre que le Trou : pas de Trou à voir.
POUR-VOIR OU POUVOIR SIGNIFIERA ALORS :
D’É-couvrir : augmentation de l’ego par l’opinion
ou le recouvrement de toutes choses par le MASQUE
LE RIDEAU DE SON EGO, CE SERA LA CHUTE :
SORTIR, DEHORS, SAISIR… ET TENTER D’AMÉLIORER
LA CONDITION HUMAINE…
TOUT EST FAIT POUR QUE LES MASSES S’ATTACHENT UNIQUEMENT À LA LETTRE OU À L’UTILITAIRE, À LA RAISON, CONFORMÉMENT À CE MONDE EN TRAIN DE SE DIGITALISER, DE SE NUMÉRISER.
C’EST CE MONDE DU SÉCURITAIRE TOTALITAIRE QUE VEULENT FABRIQUER LES CANCÉREUX DU POUVOIR, DONC INSTITUER CE MONDE D’ESCLAVES COMME BIEN ANNONCÉ DÉJÀ PAR LE
MATHNAWÎ.
LOI DE SUCCION DANS
LE MATHNAWÎ, LIVRE CINQUIÈME 719-752 : « Un petit oiseau chassait un ver : un chat saisit cette occasion et s’en empara. L’oiseau était dévorant et chose dévorée, et, absorbé dans sa chasse, ne savait pas qu’il y avait un autre chasseur.
Bien que le voleur chasse des objets, cependant le chef de la police avec les ennemis du voleur sont sur ses traces.
Son mental est occupé avec les biens, les verrous, la porte : il est inconscient du préfet et du tumulte qui s’élève à l’aube. Il est absorbé par sa passion pour le gain qu’il ne prend pas garde à ceux qui le recherchent et le poursuivent.
Si l’herbage boit l’eau pure, ensuite l’estomac d’un animal s’en nourrira.
Cette herbe est dévorante et décorée : il en va ainsi pour toute chose qui existe, excepté Dieu. Étant donné qu’Il est Celui (dont il est dit) : Il vous nourrit et n’est pas nourri, Dieu n’est pas dévorant et dévoré, comme la chair et la peau.
Comment ce qui est dévorant et dévoré serait-il en sûreté contre ce qui dévore et qui réside dans une cachette ?
La sécurité de ceux qui sont susceptibles d’être dévorés traîne le deuil à sa suite ; va vers le Portail [le
« Gate gate pâragate… »] de Celui qui n’est pas nourri.
Chaque imagination dévore une autre imagination [surtout dans cette tyrannie de l’opinion] : une pensée se nourrit d’une autre pensée. Tu ne peux être libéré de toute imagination ni t’endormir de façon à t’évader complètement. Tes pensées sont comme les frelons, et ton sommeil comme l’eau (dans laquelle tu es plongé) : quand tu t’éveilles, les frelons reviennent.
Et maintes imaginations pareilles à des frelons volent et t’emportent tantôt ici, tantôt là.
Cette imagination est la moindre de ceux qui dévorent : le Tout-Puissant connaît les autres [Zéro indien…]
Écoute, enfuis-toi loin de la troupe de tous ceux qui dévorent, vers Celui qui a dit : « Je suis ton protecteur » [équivalent de la Parole du Christ : « Qui perd sa vie la gagne »].
Ou vers celui qui a acquis ce pouvoir de protection, si tu ne peux te hâter vers le Protecteur Lui-même. […] Tu as pris pour guide ta raison qui est devenue infantile, étant voilée par le voisinage de l’âme charnelle [la tyrannie de l’opinion, l’égrégore du moment, surtout celui de la folie du sanitaire en 2020-X, celui du réchauffisme allant avec l’aliénation de l’économie tout azimut consommateur sous prétexte et à la suite du covidisme et du réchauffisme se poursuivant avec la
”guerre en Ukraine”].
[…]
L’avidité pour la chasse fait oublier qu’on est soi-même une proie [le citoyen la proie de l’autre, la proie des élections et des virus, du politisme, de l’inflation économique fabriquée et des banques et de la SAISIE OU LOI DE SUCCION] : le chasseur s’efforce de gagner des cœurs [du consensus], alors qu’il a perdu le sien ».
ТЕМА : КОРЕНЬ ЗЛА, ЗАХВАТ ИЗНУТРИ-СНАРУЖИ.
- Так в чем же корень зла ?
- «владение» [закон всасывания или
Евхаристия (в ее значении в
вера или влечение к телу
«универсальная», «меновая стоимость»,
«падающая норма прибыли».
- захват чего ?
- Захват тройственного мира [Формы,
Желания, Бесформенного,
идти к духовному обжорству].
- Как остановить этот припадок ?
- Прибегая к неотслеживаемому, потому что в
не найдено нет изъятия.
- Что такое неуловимое ?
- Конец двойственности.
- Что такое дуализм ?
- Видение внутреннего и внешнего,
который не может быть найден.
(Сутра непостижимой свободы, глава V, 14)
Их нельзя найти по той естественной причине, что Мы есть Вселенная и что корень зла делает ВНЕ Вселенной, как бы для того, чтобы исследовать ее и УВИДЕТЬ, как она работает : Дыра есть не что иное, как Дыра : следовательно, никакой Дыры не видно.
ВИДЕТЬ ИЛИ СИЛА БУДЕТ ЗНАЧАТЬ ТОГДА :
К Э-покрытию: увеличение эго мнением или прикрытие всех вещей МАСКОЙ ЗАНАВЕС ЕГО ЭГО, ЭТО БУДЕТ ПАДЕНИЕМ :
ВЫЙДИТЕ НА СНАРУЖУ, ХВАТИТЕ… И ПОПЫТАЙТЕСЬ УЛУЧШИТЬ СОСТОЯНИЕ ЧЕЛОВЕКА, ПОПЫТАЙТЕСЬ « РЕФОРМИРОВАТЬ »
POUR-VOIR = POUVOIR OU CONSCIENCE RELATIVISME, CONCEPTUALISANTE, LA RAISON DU MOI-INDIVIDUEL, laquelle N’EST PAS LA LUMIÈRE DE L’ESSENCE. Donc distinguer la Lumière de l’Essence de la lumière de la conscience appelée
”raison”.
Lorsque le mental forme une pensée, cette pensée est le mental dans l’Instant, c’est la Lumière, le remède. Lorsqu’on regarde des objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’essence pareille à un miroir qui reflète tout sans intention de le faire.
Mais il suffit d’un instant, d’une forme d’onde parasite POUR QUE CELA DEVIENNE LA LUMIÈRE DE LA CONSCIENCE OU RAISON. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus réflexion d’autres images. Lorsque la conscience occupe l’espace de la Lumière, quelle lumière reste-t-il ?
« Lorsque j’emprunte les choses pour me les attribuer, je découvre en fin de compte que
”ce n’est pas à moi”. Et quand il s’agit de déterminer le
”ce n’est pas à moi”,
QUI DÉCIDE DE SON ATTRIBUTION, SINON VOUS ? […]
« L’essence qui voit est la seule chose qu’on ne puisse attribuer à rien » dit
Le Secret de la Fleur d’Or. « Mais, lorsqu’on voit le voir, si ce voir n’est pas le voir, l’essence qui voit est alors aussi attribuable à quelque chose. Cela renvoie à l’essence qui voit, telle qu’elle s’exerce dans la continuité répétitive de la conscience habituelle - ce que les Écritures bouddhiques évoquent en ces termes :
« Faire usage de la conscience habituelle et répétitive [la raison], c’est faire erreur ». (Réf.
Le Secret de la Fleur d’Or, trad. Thomas Cleary).
Et quand il s’agit de déterminer le ”ce n’est pas à moi”, QUI DÉCIDE DE SON ATTRIBUTION, SINON VOUS ?
Le mental perçoit des objets et fait des expériences, puis trouve un vide du genre
”Ce n’est pas à moi” quand il cesse de percevoir ou de faire des expériences.
MAIS CE N’EST PAS VOUS, dit Ramana Maharshi le 21 juillet 1946 : « Vous êtes la lumière permanente qui illumine non seulement les expériences mais aussi le vide. C’est comme la lumière du théâtre qui permet de voir la scène, les acteurs et le déroulement de la pièce, mais qui reste allumée quand la pièce est terminée, permettant ainsi de savoir qu’il n’y a plus de représentation. Voici un autre exemple : nous voyons des objets autour de nous ; dans l’obscurité totale nous ne sommes plus en mesure de les voir : nous disons alors
”Je ne vois rien” ; pourtant, les yeux sont là pour dire qu’ils ne voient rien. Pareillement, vous êtes toujours présent dans le vide dont vous parlez [le fait que la personne qui médite se retrouve en état de vide et ne sait pas comment
”poursuivre” à partir de là].
Vous êtes le témoin des trois corps : grossier, subtil et causal ; des trois états : veille, rêve et sommeil profond ; des trois temps : passé, présent et futur, ainsi que de la vacuité. Dans l’histoire du dixième homme, chacun compte le nombre d’hommes présents, mais comme chacun oublie de se compter soi-même, ils pensent qu’ils ne sont que neuf et qu’il manque un homme, mais ils ne savent pas qui. C’est pareil avec le vide. Nous sommes si habitués à l’idée que tout ce que nous voyons autour de nous est permanent et que nous sommes le corps, que quand tout cela cesse d’exister, nous nous imaginons ne plus exister nous-mêmes, et nous avons peur ».
Bhagavân cita alors les vers 212 et 213 du
Vivekachûdâmani dans lesquels le disciple dit : ”Après avoir éliminé les cinq enveloppes en tant que non-Soi, je me rends compte qu’il ne reste plus rien”. Le guru répond : ”Le Soi, ou Cela par lequel sont perçues toutes les modifications (y compris l’ego et ses créations) ainsi que leur absence (le vide), est là en permanence”.
Ensuite Bhagavân poursuit sur ce sujet : « La nature du Soi, ou ‘Je’, doit être la Lumière [telle la Lumière de l’Essence citée plus haut dans le
Secret de la Fleur d’Or]. Vous percevez toutes les modifications et leur absence. Comment ? Dire que vous recevez la lumière d’un autre amènerait à se demander d’où il l’a reçue lui-même et il n’y aurait pas de fin à cette chaîne de raisonnements [qui forme exactement le mondialisme actuel et ce rêve du Nouvel Ordre Mondial en SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE].
VOUS ÊTES VOUS-MÊME LA LUMIÈRE [le scribe de la page souligne].
L’exemple courant à ce propos est le suivant : vous préparez avec divers ingrédients toutes sortes de sucreries aux formes diverses. Elles ont toute un goût sucré car elles contiennent du sucre et la saveur sucrée et la nature même du sucre. De même, toutes les expériences, comme aussi leur absence, contiennent la lumière qui est la nature même du Soi. Sans le Soi, ces expériences n’existeraient pas, tout comme sans sucre aucun des plats que vous préparez ne peut avoir une saveur sucrée.
[…]
D’abord on voit le Soi comme objets, ensuite comme vide et puis comme le Soi. C’est seulement dans cette dernière étape qu’il n’y a pas de
”voir” car voir, c’est ÊTRE ».
La Lumière de l’Essence : « Le mental ne peut rien par lui-même. Il n’émerge qu’avec la Lumière et sans elle il ne saurait accomplir aucune action, bonne ou mauvaise. Bien que la Lumière soit toujours présenta et rende le mental capable d’agir en bien ou en mal, elle ne ressent pas le plaisir ni la douleur qui en résulte, tout comme, en martelant une barre de fer incandescente, ce n’est pas le feu qui reçoit les coups mais le fer ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 28 juin 1946).
PÉCHÉ-CHUTE = INCAPACITÉ DU MENTAL HUMAIN ACTUEL À VIVRE DANS L’INSTANT, donc TOMBER DANS LE TEMPS, DANS LE SPATIO-TEMPOREL EN TOURNANT LE MENTAL VERS LE DEHORS, VERS LES OBJETS.
SANS PÉCHÉ = LA NON-DUALITÉ : ON RE-TROUVE UN MENTAL QUI N’EXISTE PAS PARCE QU’IL SE FOND DANS L’UNITÉ QUI SEULE EXISTE.
PÉCHÉ = DUALITÉ : deux créatueurs (pas de faute), car depuis, chacun est limité par ce qui le différencie de l’autre et de nos jours, l’humain avec sa quincaille tôles et boulons et puces + secousses électriques veut se faire PLUS GROS QUE LE DÉMIURGE en CROYANT qu’il sera alors
”infini”, et qu’il aura accès à Tout comme un enfant qui a trouvé la clé du garde-manger.
Depuis les deux Démiurges, le cancer du Pour-Voir était inévitable en s’orientant vers la lumière de la conscience ou raison, qui va faire que ce Démiurge humain VA DEVOIR CONNAÎTRE LES ÉNORMES DIFFICULTÉS DE SA CRÉATION (notamment celle de l’intelligence artificielle….) !
C’est à ce moment là que surgissent dans la
”Galaxie de la zone Soleil” la souffrance, le malheur, la mort, la PANique, le mal et parfois le Bien (depuis l’invention du cinématographe nombre de scenarii décrivent un monde postapocalyptique).
C’est à ce moment là que l’opinion d’évolution qui était la suite temporelle de l’Involution qui l’a précédée se trouve PERDUE dans ce monde qui vient de se créer et dont le rythme est hautement anti-Créationnelle (ne serait-ce que par la découverte du feu vulgaire donnant la thermodynamique, les armes de la métallurgie, et inévitablement les guerres et le politisme étatique qui va avec).
« C’est à ce moment là que surgissent dans la ”Galaxie de la zone Soleil” la souffrance, le malheur, la mort, la PANique, le Mal et parfois le Bien » :
- ou les événements de tous ordres seront faibles et ne perturberont pas trop la ”civilisation’ humaine, même si moult difficultés surviennent, il sera toujours possible de s’appuyer sur son environnement habituel,
- ou bien les événements seront de grande ampleur, et la civilisation devient AUTRE TOTALEMENT, DANS LA SOUFFRANCE et l’absence complète de confort, avec totale perte de repères anciens ; c’est pourquoi dès ce jour il est salutaire de bien savoir sur quel SENTIER on se trouve, RECONNAÎTRE SON VRAI SENTIER, PAR LE « QUI SUIS-JE ? », LE SEUL REPÈRE POSSIBLE, car dans ce second cas LES FORMES-PENSÉES, LES NOMS-LES-FORMES SERONT MAUVAIS, depuis les plus petits jusqu’aux plus effrayants (le Pour-Voir est hautement dangereux lorsqu’il s’exprime dans la manifestation de la fausse liberté sous le Moi-Individuel qui engendre la JOUISSANCE, LA LOI DE SUCCION DE L’ŒUVRE CRÉATIONNELLE DANS LE COUPLE MÂLE-FEMELLE (loi de succion ou saisie, autrement dit : croquer la pomme, récolter le fruit…. donc jouir par l’ego….).
Il est certain que l’oligarchie du CAC40 et autre chefferie du régime sont au courant de cela ET NE PEUVENT QUE CACHER LA VÉRITÉ POUR ÉVITER LA PANique (par exemple la ridicule PANique au début du covidisme quand, dans les supermarchés, les gens achetaient plein de papier hygiénique pour le stocker chez eux….. Le prigoginisme de fin juin 2023 sera du pipi de chat, du ”COMME SI”….).
Dans le cas d’événements de grande ampleur, surtout au niveau naturel (tremblements de terre, cyclones, froid, etc.), IL FAUDRA BOUGER : LE TÔLE-BOULONS-BÉTON-ACIER-VERRE CE SERA TERMINÉ !
Ce processus d’évolutionnisme NE PEUT QU’ÊTRE PROCHAINEMENT REMPLACÉ PAR LE PLAN DE SAUVETAGE DE LA TERRE, où désormais, c’est assez sensible, il se construit un travail constant contre l’œuvre anti-créationnelle et tout ce qui en découle :
- La dualité, du fait même des deux Démiurges qui n’auraient dû faire qu’Un, et avec tous les effets que Nous subissons.
- Le Mal et sont contraire le Bien.
- Les états illusoires et leurs effets en eyes candy.
- Les états possessif et égocentriques, ainsi qu’un monstrueux winnerisme amplifié par l’ego.
- Toutes les émanations de l’ego qui sont créées par le ”vouloir mauvais” qui sont souvent cachées par ”fau(i)tes de votre mieux”, ou le ”prenez soin de vous et de vos proches”, équivalant du ”Vous allez bien ?” ou du ”bon jour”, alors qu’on n’en a rien à foutre ! Tout cela rentre dans le winnerisme de l’amélioration ou du ”rendre meilleur” dans l’évolutionniste boulimique de l’ego.
- Enfin, toute la hiérarchie des Anges-Égrégores ralliés au CAC40 du socialisme en ”Vivre ensemble” et tout confort anesthésiant. IMPORTANT…..
IL FAUT VEILLER ! (Car si l’eau déborde, elle éteint le feu (3)).
Notes.
1. SOCIALISME OU « ALTRUISME RABBINO-PROTESTANT » :
« Rien n’est bon pour les Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les entourent », une définition possible de la république, du social-démocratie et de sa trinité judéo-maçonnique spéculative
”liberté-égalité-fraternité”, pages 166, 340, 359, 365 du livre de Jacques Attali,
Les Juifs, le monde et l’argent, de ces
« bons citoyens qui ne veulent rien d’autre qu’apporter leurs fruits [leur aide] à ceux qui les entourent….. ». Effectivement : beaucoup de banquiers et de psychiatres juifs !!!
Mais qui a demandé à ces gens là de s’occuper des affaires des autres ?
Leur
« CRÉATION » C’EST TOUT BÉNÉFICE OU TOUTE LOI DE SUCCION À N’EN PLUS FINIR, SUIVANT LA MODE DE PROMÉTHÉE (la raison, le calcul, l’intellectualisme AU SENS DE L’UTILITARISME qui ne pouvait qu’engendrer l’I.A.)…
SOCIALISME ÉVIDEMMENT EN CONTRADICTION DE LA DISTANCIATION PHYSIQUE OMSanitaire.
2. Le « sentiment océanique » par Ramana Maharshi dans l’entretien 92 du 7-11-1935 : « Le ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle
jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. Dans l’ignorance de cette vérité simple, d’innombrables méthodes, sous différentes dénominations, telles que yoga, bhakti [dévotion], karma, etc., ont été enseignées. Chacune apportant de nombreuses modifications, elles ont été enseignées avec beaucoup d’habileté et des détails compliqués seulement pour séduire les chercheurs et semer la confusion dans leurs esprits. Il en va de même pour les religions, les sectes et les dogmes. À quoi servent-ils ? Uniquement à faire connaître le Soi. Ce sont des aides et des pratiques dont on a besoin pour connaître le Soi ».
3. Si on laisse l’eau bouillir un temps trop long, elle se répand dans l’air, et le feu attaquera alors la casserole. Donc bien ressentir les Contraires.