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L’opinion de ”liberté” et de ”santé” Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 31-07-2023 21:37

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Conformité, Consommateur, Dehorscratie, Ego, Fascisme, Gate gate, Humain, Libération, Limite, Marxengelsisme, Or, Racine du mal, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Winner

 
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L’opinion de ”liberté” et de ”santé”
est la plus formidable source de Fric/Flic
du capitalisme et de son régime l’État.
S’il y avait la Liberté naturelle et la
santé naturelle, il leur faudrait inventer
des maladies et cesser de construire et
d’entretenir le business de la trinité
étatique du désordre : armée-police-justice.
C’est-à-dire que le rêve des gros
ego veut Nous entraîner DANS leur rêve,
car cette OPINION se passe évidemment à
l’état de VEILLE, c’est-à-dire de RÊVE !!!


MONDE DE 8 MILLIARDS D’HALLUCINÉS DANS LES MIRAGES
DU H DE HISTOIRE : Pour-Voir, SAISIR.
Il n’y a pas plus trompeur que les sens !
 
 
Bhagavan : L’idée que vous devez faire un effort pour vous débarrasser de ce rêve de l’état de veille et faire des efforts pour atteindre le jnana [Connaissance, sagesse], tout cela fait partie du rêve. Quand vous réalisez le jnana vous verrez qu’il n’existait ni rêve ni état de veille, mais seulement vous-même et votre état réel [le scribe de la page souligne]. […] Bhagavan dit que nous ne savons pas que le rêve est un rêve tant que nous ne sommes pas réveillés et que, pendant qu’il dure, il paraît parfaitement réel. De même l’état de veille ne nous paraît pas être un rêve tant que nous ne sommes pas éveillés au jnana. Toutefois, il me semble qu’en raison de la différence entre l’état de rêve et de veille, notre effort est indispensable.
(Ramana Maharshi au jour le jour, 8-9-1945 matin).

L’opinion d’évolutionnisme est un rêve.

« L’idée qu’il existe un but et une voie qui y mène est erronée. Nous sommes le but, nous sommes la paix, toujours. Nous devons seulement cesser de croire que nous ne le sommes pas [et ainsi certains gros ego vont inventer le ”liberté” et la dualité malade-sain] » (Ramana Maharshi au jour le jour, 16-9-1945 après-midi).

CE QUI VIENT DOIT S’EN ALLER. SEUL CE QUI EXISTE TOUJOURS DEMEURE (Ramana Maharshi).

« Dans l’état de veille ou de rêve, où tout apparaît, et en sommeil profond, où nous ne voyons rien, la lumière de la Conscience, le Soi, est toujours présente, tout comme la lampe dans le hall qui brûle continuellement. Ce qu’il faut donc faire, c’est se concentrer sur ”Celui qui perçoit” et non sur ”ce qui est perçu” (1), sur la Lumière qui rend visible les objets et non pas sur les objets eux-mêmes ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 16-9-1945 après-midi).

C’est le BIG-BANGISME OU LA SOI-DISANT « CRÉATION » QUI EMPRI-EMPOISONNE ET EMPÊCHE DE CON-NAÎTRE LA RÉALITÉ DE CE MONDE, car ce qui empêche de reconnaître la RÉALITÉ est le monde (la racine du mal la dualité Dedans-Dehors engendrant la saisie, laquelle dualité n’existe pas). (En référence à Bhagavan et à l’Hymne à Dakshinâmûrti, attribué à Adi Shankara).
NE PEUT ÊTRE RÉEL QUE CE QUI EST NON SEULEMENT AU MILIEU [l’Instant], MAIS AUSSI AU DÉBUT ET À LA FIN (Ramana Maharshi).

La Liberté ou la santé c’est comme les DOUTES et les OPINIONS : ils n’ont pas de fin et ont toujours faim, ce qui est tous bénéfices pour les Pour-Voir : « Tous les doutes ne cesseront qu’une fois trouvé celui qui doute et sa source. Il est inutile de dissiper les doutes. Si nous clarifions un doute, un autre s’élèvera et il aura des doutes sans fin. Mais si vous cherchez l’origine de celui qui doute et découvrez qu’il n’existe même pas (2), alors tous les doutes s’évanouiront ».

MALADIE = L’EGO : Parce que Nous nous identifions aux actions du corps et des sens, et ça s’appelle le FAIRE/FER QUI ROUILLE. Les malades parlent de « véhicule » qui les « amène » ici ou là… Ils disent alors : ”Je suis venu”, et ainsi ils fabriquent l’espace-temps par leur « aller quelque part ».

Étant donné que le Pour-Voir cherche à ROBOTISER LES HUMAINS, il est ”logique” que l’”ordre de médecins” de cette médecine industrielle de Big Pharma parte en guerre contre les médecines traditionnelles appelées faussement « médecines naturopathes » (ou naturelles) puisque TOUT EST À L’ENVERS, TOUT EST HALLUCINÉ ! (Naturopathie : méthode thérapeutique utilisant exclusivement des moyens naturels : massages, héliothérapie, phytothérapie, diététique, homéopathie, oligothérapie, lithothérapie, Yoga, Ayurveda, acupuncture chinoise par aiguilles et par la science et technique du moxa, etc., bref, LA MÉDECINE VIBRATOIRE…). Actuellement ou si peu de Terriens connaissent vraiment leur Vraie Nature, les 8 milliards de Terriens dont les médecins industriels connaissent la matière, eux-mêmes donc, par pur EMPIRISME, PAR PUR FAIRE/FER, ainsi ILS NE SAVENT PAS LA MATIÈRE ; LEUR CORPS PHYSIQUE ILS CROIENT LE SAVOIR PAR DES OBSERVATIONS À TRAVERS LEURS CINQ SENS ET DES INSTRUMENTS CONSTRUIS PAR LEURS MÊMES CINQ SENS ET LEUR PATIENTS, QUAND QUELQUE CHOSE NE TOURNE PAS ROND, ILS ONT RECOURS À DES MÉDECINS, ET LES MÉDECINS EUX-MÊMES NE « SAVENT » PAS PUISQU’ILS NE SONT PAS DES RÉALISÉS. LA TECHNOLOGUE MÉDICALE ACTUELLE INDUSTRIELLE (dite ”médecine moderne”) EST PUR PRAGMATISME DANS LA LOGIQUE DE LA RACINE DU MAL : LE DEDANS-DEHORS (le Dehors étant les drogues que leur prescrivent leur ”médecin”).

”L’ordre des médecins” français voudrait supprimer les médecines multi-millénaires de l’acupuncture, etc., EN LEUR ENLEVANT LE NOM DE « MÉDECINE ». On entre ainsi dans le totalitarisme modèle des débuts de l’URSS…
RAPPEL : la civilisation de l’après 1789 étant complètement ANTI-TRADITIONNELLE, il est normal que le symptôme soit pris pour la cause (et avec le produit chimique pour contrer cette fausse cause), comme dans le cas de cette médecine de « l’ordre » non traditionnelle, que même certains de ses adversaires affublent du qualificatif de ”traditionnelle”, alors qu’elle n’est que CONVENTIONNELLE DANS LA LOGIQUE ACTUELLE SOCIALISTE DU TOUT CONNECTÉ DANS LE « VIVRE ENSEMBLE » DE CETTE SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE, UTILITAIRE, MÉDECINE ÉTATIQUE OU OFFICIELLE DÉNATURÉE, CHIMIQUE, DÉRIVÉE ET INDUSTRIELLE, ne tenant aucun compte que l’être humain EST UNIQUE, QU’IL EST UNE PERSONNE, LE TOUT, le Soi.

La MÉDECINE UNIVERSELLE : « Dans la question ”Qui suis-je ?”, le ‘je’ désigne l’ego. En essayant de suivre sa trace et de trouver ainsi sa source, on s’aperçoit qu’il n’a pas d’existence séparée mais qu’il se fond dans le vrai ‘Je’ » (Ramana Maharshi au jour le jour, 2-1-1946 après-midi). Se ”fondre dans le vrai ‘Je’” est une bonne définition du SENTIMENT OCÉANIQUE : le Cela qui est, est…. ”Vous devez arriver au jnana, à l’Unité”.

”Parler” de ”réalité” c’est comme parler de ”liberté” et donc SAISIR, POSSÉDER, ET L’IMPOSER À TOUS EN SE CROYANT ”libéré” donc en CROYANT POSSÉDER LA LIBÉRATION. En conséquence on ne peut parler que d’ÉVEIL, authentique et parfait ; de plus, seul un Total peut connaître un Total, nécessairement le Pour-Voir qui dirige ou plutôt digère le monde N’EST PAS un Total, et pourtant, il prétend IMPOSER UN TOTAL aux 8 milliards de Terriens !!! Nous sommes réellement en D’Anger (de l’Ange qui garde et prévient du danger).

Notes.
1. Tel le doigt qui montre la lune : si on regarde le doigt qui montre, au lieu de regarder directement la lune, on  tombe dans la cause et effet (lune-doigt).

Le Sage dira : « Il y a », l’ignorant demandera :
« Où ? » (C’est le principe de la SAISIE, le principe du POUR-VOIR)
[l’ignorant veut des « preuves », des « faits »(a), il veut « voir » Dieu, c’est-à dire SORTIR de l’Univers Pour-Voir icelui, mais aussi ”sortir” de la Caverne, si Caverne il y a donc si dualité Dedans-Dehors est fabriqué].
« Les habitudes acquises depuis l’absence de commencement
Forment comme des reflets dans le miroir du mental.
Pour qui peut s’y regarder selon le Réel,
Les objets perdent toutes leurs caractéristiques.

De même que le sot regarde le doigt
Qui désigne la lune et non la lune [que le doigt montre] ;
De même ceux qui s’attachent à mes paroles
Ne voient pas ma Vraie Réalité [même principe en
Alchimie…].

La conscience [conceptualisante ou raison] est comparable à un grand danseur,
Le mental est son assistant et son maquilleur,
Les cinq consciences sensorielles les accompagnent,
Et dans la conscience mentale [la raison] s’incarnent les spectateurs.
(Lankâvatâra, chapitre L’instantanéité).

a. Les « faits » : la religion des VOYEURS, des conso-MATEURS telle la judéo-maçonnerie adonhiramite du Grand Orient de France d’un Armand Bédarride (les bouteilles [bout-œil], les ”Vas-y-voir”, surtout chez les autres) qui recrute des paroissiens dans toutes les professions, et leur seule religion ou seul lien, leur seule commodité qu’ils puissent avoir en commun est LA POLITIQUE ET L’UTILITARISME, LA MISE EN VALEUR DU TEMPS : récolter partout plein de petites vérités pour en former une grosse, comme de récolter partout les pièces d’un puzzle pour le reconstituer et que cela formera selon le rêve judéo-maçonnique « LE NOM PERDU DE DIEU », la sonorité de sa vraie prononciation. (Nostalgie, nostalgie…).
« Laissez Dieu de côté. Tenez fermement votre Soi », dit le Maharshi à l’entretien 241 du 29-8-1936.
« Laissez Dieu tranquille. Parlez pour vous-même. Vous ne connaissez pas Dieu. Il n’est que ce que vous pensez qu’il est. Est-Il séparé de vous ? Il est cette Conscience pure dans laquelle toutes les idées se forment. Vous êtes cette Conscience ». (Ramana Maharshi, entretien 453 du 8-2-1938).

À cet été 2023 le macron-rothschild veut « remettre de l’ordre », c’est-à-dire accélérer la robotisation des Terriens français. Ainsi la dérive du DÉSORDRE DES MÉDECINS n’est point étonnante ! Comme déjà écrit, LE FASCISME N’EST PLUS LOIN…

2. L’Art essentiel du Gate gate c’est la NON-PENSÉE ou SILENCE, LE SEUL VRAI LANGAGE QUI LIBÈRE DU FAIRE/FER ET DE SON SPEED.
SILENCE OU SAINT CHAOS FONTAINE DE JOUVENCE COMME PENSER DU FOND DU GATE GATE DE LA NON-PENSÉE.

PUTRÉFACTION et « GATE GATE PÂRAGATE… » :
Un paysan très pauvre vint trouver un ermite faisant retraite près d’une colline au sommet rocailleux.
- Maître Suève, on dit que tu es de bon conseil. Si c’est vrai, peut-être pourrais-tu m’aider à me sortir de la misère ?
- Dis toujours, répondit le Suève.
- Voilà : je suis pauvre, j’ai neuf enfants à nourrir, ma femme et ma belle-mère, très âgée, vivent tous avec moi. Cela fait douze personnes dans notre maison qui est très petite et délabrée, elle n’a qu’une seule pièce. Lorsqu’on fait la cuisine, plusieurs d’entre-nous doivent sortir pour faire la place à la cuisinière. Et pour dormir, nous devons nous allonger à tour de rôle sur nos nattes pendant quelques heures, puis nous relever pour faire place à la fournée suivante, si je puis dire. Enfin, si cela continue, nous risquons fort de nous entretuer, car cette situation de pauvreté et de promiscuité nous rend tous presque fous.

- Maître Suève, après avoir réfléchit un long moment : Tu es paysan, n’as-tu pas de bétail ?
- Hélas ! reprit le pauvre, je suis très pauvre et possède en tout une seule vache que j’attache le soir à un arbre près de la maison.
- Alors, la solution est simple, repartit le Maître Suève : fais entrer la vache dans la maison.
- Pardonne-moi, ai-je bien entendu ? dit le pauvre suffoqué, tu me conseilles d’ajouter encore à mon embarras ?
- Oui, c’est cela ! dit le Suève.
- Très bien, j’ai confiance en toi et je vais faire ainsi.

Huit jours plus tard, le Maître Suève en méditation près d’une source, vit venir à lui le paysan qui, littéralement, écumait de rage. Sans s’attarder aux formules de politesse, il brailla :
- J’ai fais ce que tu m'as dit. J’ai fais entrer la vache : la situation est maintenant cent fois pire qu’auparavant. La grand-mère vit dans l’évier. L’aîné des enfants a essayé d’étrangler son plus jeune frère pour avoir un peu de place, ma femme hurle du matin au soir, coincée qu’elle est contre le mur, la vache laisse des bouses sur les quelques vêtements qui me reste, bref, fous, nous sommes. Que dois-je faire maintenant ?
- Très simple, dit le Maître Suève : fais sortir la vache !

C’est exactement la même conclusion que Lovecraft dans : Démons et merveilles, première partie : Le témoignage de Randolph Carter.

Randolph Carter et son ami Warren Harley se rendent dans un cimetière, Warren part à l'exploration souterraine d'une tombe et reste en contact téléphonique filaire avec Randolph resté en surface. Au bout d'un temps la voix de Warren lui renvoie l'épouvante de son angoisse. Et finalement "à l'autre bout du fil" lorsque Randolph interroge très angoissé son ami, une voix lui répond une chose surprenante illustrant fort bien ce qu'il se passe dans notre monde actuel :
« ESPÈCE DE CRÉTIN, WARREN EST MORT ! »

Bref, la totale illusion, l'Enfer, la Chute, nous la créons nous-même comme nous avons créés Dieu et les Dieux comme le dit bien Ramana Maharshi à l'entretien 264. Cela rejoins ce même entretien où le Maharshi dit : Où est tout le monde ? Il n'y a pas non plus de libération. Elle pourrait exister seulement s'il y avait asservissement. Mais en réalité, il n'y a pas d'asservissement et, par conséquent, pas de libération non plus.
Lovecraft est mort le 15 mars 1937 et cet important entretien 264 de Ramana Maharshi date du 20 octobre 1936 !....

Bref, la fin du récit Le témoignage de Randolph Carter, résume à lui tout seul la fameuse Chute point clé de l'Ancien Testament du judaïsme : un fétu de paille, une petiote poussière qui coince tous les rouages du monde depuis des millénaires (depuis plus de 10.000 ans de cette voie de l'Agriculture).
LA CHUTE : UNE ILLUSION, UNE HALLUCINATION COLLECTIVE, parce que nous sommes TOUJOURS dans l'Instant ou Soi, il n'y a pas à l'atteindre ou à le libérer.
Il n'y a pas un instant où l'Instant-Soi n'est pas. Les pensées sont dues à l'identification du Soi avec le non-Soi ou ego.

Alors, les Talmudistes : votre messie, votre tiqoun, votre réparation, votre a-mélioration, votre Loi et vos commerces, vos banques, votre psychanalyse et votre république, votre américanisme, vous pouvez aller vous faire voir ailleurs !!! Car votre histoire de messie, C’EST POUR FAIRE VENDRE COMME LE PRINCIPE DU OPPENHEIMISME des frères Abraham et Simon Oppenheim qui déclaraient ceci en 1840 :

    « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un
    qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ;
    mais vendre une perle que vous n’avez pas à
    quelqu’un qui n’en veut pas,
    voilà ce qui s’appelle faire des affaires ».
    (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali,
    Les Juifs, le monde et l’argent).
    Et tout ce monde informatisé fonctionne comme
    cela : SUR DE L’ARTIFICE, DE LA F(R)ICTION
    QUI CHAUFFE, HURLE, CALCULE ET ROUILLE.

[En haut de page : aquarelle de Michel Roudakoff]
 
 

Dernière mise à jour : 31-07-2023 22:03

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