La BOUTEILLE c’est encore L’I-VRAIe de l’I-Vresse
car ce I bouffé par le V de Vraie ne peut donner
qu’un rai E qui ne saurait être le I du Point sur le I
ou du « Un Point c’est Tout », la Stargate.
Cet I-vraie qui sonne comme Ivre et « vrai » à certains
moments très imbibés (voir la pièce de théâtre
”Maître Puntila et son valet Matti”).
Comme quoi il est salvateur d’appliquer la Loi
des Croisements… la clé de voûte ou Révolution :
circulus ou mouvement en courbe fermée.
Pareil avec le Diable boiteux de A.R. Lesage
qui sort, comme la vision du Réel de l’ivrogne,
d’une bouteille, le Diable qui dévoile, ou
voile pour mieux dévoiler, c’est selon, et sans
la dualité chrétienne bien-mal, ou la dualité
mammifère pur-impur, tant qu’elle s’observe chez
certains mammifères, surtout de race humaine !
Ici le Diable pourrait facilement être à lui
seul le transhumanisme doublé de la république.
La Divine bouteille de l’Alcoolique qui VOIT LE
SEUL RÉEL : AUCUNE DUALITÉ, malgré l’occasionnel
dédoublement des images dans sa vision d’ivrogne
qui ne sera qu’un effet de surface.
C’est ce qu’il se passe avec le valet Matti et son
Maître qui devient NORMAL, c’est-à-dire lui-même
seulement lorsqu’il boit. Quand il ne boit pas
IL NE VOIT RIEN, COMME TOUT LE MONDE ”NORMAL”
IL VOIT DOUBLE : en dualité sujet-objet : le
contact dans la seule mise en valeur du temps,
le contact dans le ”COMME SI”, dans le
”ON FAIT SEMBLANT”.
ATTENTION, cela ne veut pas dire qu’il faut
devenir ivrogne pour Réaliser son Soi et se
délivrer de la dualité sujet-objet !
Le Génie dans la bouteille, l’Hostie dans l’ostensoir avec le NOIR (Melanosis), BLANC (Leukosis), puis ROUGE (Iosis ou Pourpre ; avec en Alchimie occidentale l’intermédiaire entre Blanc et Pourpre :
la Citrinité : XANTHOSIS. ÉLOHIM veut dire
”la puissance du jour” (mais derrière l’AURORE et son
« OR ROSE »…), l’Or, le Jaune du
”Xanthos”, le jaune du fauve ou du blond. Le nom JÉHOVAH se compose de deux rythmes du verbe ÊTRE (ou vivre) en hébreu :
”Éheiéh”, il vivra ; et
”havah” : il a vécu. Quand au MARIAGE ou SYNCHRONISME entre les deux rythmes tel les Points noir et blanc ou deux Pôles du
Taiji, il reste LATENT, sous entendu tel le Soi, tel L’OR ROSE….
Chaque ”Voyage” du Noir au Blanc et des Enfers au Ciel amplifie l’Osiris découpé et qui ressuscite par ce que l’Alchimie nomme MULTIPLICATIONS.
Bref, le jaune de l’Or métal et du Soleil feu tout aussi vulgaire sera ADORÉ au lieu d’être SIMPLEMENT honoré !!!
L’Élohim qui parle à Moïse et non Jéhovah, ou plutôt le Vrai Jéhovah au sein du BUISSON ARDENT lorsqu’Il se définit Lui-même :
« Éheiéh ashèr Eheiéh » (Je serai celui qui sera), ce que la version des Septante transforme en
”Je suis celui qui suis” ou ”
Je suis ce JE SUIS”. CAR FIXER L’ICI ET MAINTENANT EST L’EXACTE MÊME IMPOSSIBILITÉ DE
”SORTIR” DE L’UNIVERS POUR
« L’AMÉLIORER », ET DONC
« S’AMÉLIORER SOI-MÊME », C’EST-À-DIRE JOUER AU COMPLEXE DE PROMÉTHÉE !
Il dérobe des allumettes ou plus tard construit des Tchernobyl.
La
”désobéissance artistique” et social sera le DÉVERGONDÉ, DIONYSOS, L’ÉCOLE BUISSONNIÈRE. L’enfant urbanisé et bétonisé ne connaît pas le foyer qui fait cuire entre 6 pierres des petits gâteaux dans un semblant de four à feu de bois. Et C’EST EXTRA-ORDINAIRE, PARCE QU’À CE MOMENT LÀ LE
« CUISINIER » NATUREL ÉCHAPPE AU COMPLEXE DE PROMÉTHÉE, ET COMPLEXE ACTUEL DES TRANSITIONS MACHINS TRUCS : le
« ISME », LE SYSTÈME, LES PROTHÈSES, LE DEHORS, LES INJECTIONS.
FEU VULGAIRE ACTUEL = PRINCIPE SURTOUT ANGLO-AMÉRICAIN DE L’UTILITARISME, DOUBLÉ DU
”SAVOIR” DES
”LUMIÈRES” DU 18È SIÈCLE DES RICHES PERRUQUES POUDRÉES FRANÇAISES QUI N’ONT JAMAIS TENU UNE PIERRE OU UNE PELLE DANS LEUS MAINS PROPRES ET DOUCES.
COMPLEXE DE PROMÉTHÉE = ÉVOLUTIONNISME DES JUIFS : METTRE EN VALEUR LE TEMPS OU ÊTRE DIEU À LA PLACE DE DIEU, TEL LE MESSIANISME DU TRANSHUMANISME. Le transhumanisme est le complexe de Prométhée. Et comme l’écrit G. Bachelard, si l’intellectualisme pur est exceptionnel, il est aussi dans la trame de l’évolutionnisme transhumaniste : UNE SPÉCIFICITÉ DE L’HUMAIN DE L’APRÈS DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE. « Le complexe de Prométhée est le complexe d’Œdipe de la vie intellectuelle », écrit si bien G. Bachelard dénonçant le criminel mental, la
”raison”.
Concernant ŒDIPE, son père
Laïos fit percer les chevilles de son fils à sa naissance et les attacha d’une courroie. Bref, en sanskrit PADAM : PIEDS, est synonyme du Soi, l’être véritable. Œdipe est comme le Diable boiteux de Lesage : une énergie fausse et chancelante comme la thermodynamique issue du feu vulgaire qui ne peut qu’être dangereuse et poussive. Très bref, œdipe est un modèle de parfait LOSER qui par son SURFEU (acceptation de la Mort) deviendra un WINNER, un LIBÉRÉ.
FEU = SOCIAL ET MONDE : LE DEHORS DE LA RACINE DU MAL CONTENUE DANS LE
« POIDS » OU ATTRACTION D’UNE CERVELLE.
Nous subissons jusqu’à ce hui les conséquences de la découverte du feu vulgaire, de son adoration et de sa thermodynamique dangereuse, et au moins pire : ridicule…
Le feu vulgaire a conduit à la métallurgie et à la fabrication de monnaies digne du Complexe de Prométhée :
L’argent détruit absolument tout : dès qu’un nouveau créneau s’ouvre, comme l’ordinateur réduit à la portion du consommateur (qui fera la fortune d’un Jeff Bezos), ou le créneau issu de la CRÉATION D’UN BESOIN, le besoin est immédiatement exploité par une foule de marchands, d’opportunistes dont le seul but dans leur vie est de profiter de ce nouveau besoin, quelle que soient les conséquences sur le bien général, ou individuel ; c’est très bien rendu dans le film :
Le gouffre aux chimères, idem dans le film
Contact à l’annonce d’un signal
« extraterrestre » : les humains déjà aliénés par le PLOMB, LA LOURDEUR DE LA LOI DE SUCCION VULGAIRE, construisent la copie conforme à celle du film
Le gouffre aux chimères….
INNÉ-IGNÉ.
« Pour une raison ou une autre, nous nous sommes incarnés. Bon ou mauvais, ce qui a été ordonné se produira certainement. Cela ne manquera pas de se produire. Il n’existe qu’un seul moyen pour être libre de la souffrance. C’est de diriger le mental vers le Dedans. […] Le seul libre-arbitre que vous ayez, c’est celui de diriger votre mental vers le Dedans et de renoncer aux activités là-même… […] Ce qui est censé vous arrivera automatiquement. Ce qui ne l’est pas ne vous arrivera pas. (Par conséquent) restez dans votre état naturel de Félicité » (
Ramana Maharshi, dans
Padamalai, de Muruganar (1870-1973), l’un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi).
LA RACINE DU MAL : LE DEHORS, LE MONDE, LE SOCIALISME, LA RÉPUBLIQUE et son TOUT CONNECTÉ.
« Le bateau peut flotter sur l’eau, mais une voie d’eau le mènera à une grande catastrophe. (De même), l’homme peut vivre dans le monde, qui est entouré d’océans, mais si le monde pénètre l’homme [et de nos jours par transhumanisme ARNm], sa vie entière es misérable ». (Cité dans
Padamalai).
RACINE DU MAL = CE MONDE SUR-PROTÉGÉ SI ÉGOÏSTEMENT, SI POSSESSIVEMENT, QUI S’ACCROCHE À SA MISÉRABLE VIE DE CONSOMMATEUR-CONSUMER-CONSOMMÉ EN THERMODYNAMIQUE !
L’humain refuse PANique, L’HUMAIN REFUSE LE TOUT. VOILÀ LA DIFFÉRENCE PROFONDE ENTRE LE MONDE ANCIEN ET LE MONDE DES DERNIERS 10.000 ans.
Cette immense différence provient de la découverte du FEU VULGAIRE qui va engendrer : L’A-doration du Soleil, pour aboutir à la COTATION, LE CALCUL ET LE VOYAGE D’OFFRANDES « VERS LES DIEUX » au lieu de rendre Hommage aux Dieux, au Soleil, ici sous la Variation de Rudra :
Nous te rendons hommage, ô Rudra,
à toi qui as mille yeux [rayonnement], ô immortel.
Ô père des Marut, que ta faveur vienne à nous,
ne nous interdis pas le regard du soleil,
Que le Héros sur son coursier nous épargne !
(Rig-véda n,32)
En rendant Hommage à Rudra IL se change en Grâce :
Tu es par le prestige des êtres, le plus fort d’entre les forts :
conduis-nous avec bonheur sur l’autre rive de l’angoisse,
repousse toutes les agression de la malfaisance !
Grâce aux remèdes donnés par toi, ô Rudra,
très salutaires, puissé-je atteindre cent hivers!
Je sais que tu es le médecin entre les médecin.
Où est ta main compatissante, remède et baume, ô Rudra ?
A bon droit tu portes les flèches et l'arc,
à bon droit la parure admirable aux aspects infinis [énergie],
à bon droit tu prends part à tout ce qui est mystères :
Nul, ô Rudra, n’est plus puissant que Toi !
(Rig-veda n,32).
Mais en A-dorant le Soleil au lieu de lui rendre Hommage, les Humains produisirent LE COMMERCE DU SACRIFICE, LE COMMERCE DE L’OBLATION…..
Rudra est aussi le
« Dieu qui vainc la mort », tel le Christ-Jésus, puisqu’Il détient la puissance de destruction, de COMBUSTION.
COMME LE FEU DU SOLEIL, IL PEUT PEUT ÊTRE BIENFAISANT OU DESTRUCTEUR.
RUDRA REPRÉSENTE CE QUI APPARAÎT COMME UN ANÉANTISSEMENT, MAIS EN RÉALITÉ IL EST CE QUI TRANSCENDE LA MORT, IL CONFÈRE LA LIBÉRATION ET LA VIE ÉTERNELLE.
ET ÇA, C’EST INTERDIT DANS LE MONDE TRANSHUMANISTE DES ARN MESSAGER ET DE L’INFORM-ATIQUE : IL EST INTERDIT DE MOURIR !
RUDRA = LES DEUX PLEUREUSES ISIS-NEPHTYS : EAU DE VIE (Thot et passivité agissante), EAU DE MORT-COLLE (corbeau, noir, passivité négative qui corrompt pour donner vie tel LE NOIR DU RENONCEMENT-PUTRÉFACTION, D’OÙ LE SENS DE LA FLEUR NOIRE DE DIONYSOS. C’est aussi Vénus en parallèle à Sirius).
INNÉ-IGNÉ : le Feu vulgaire est autant bienfaisant (le foyer au sens maison, et au sens de cuire), et destructeur. Mais INNÉ-IGNÉ = PRINCIPE DE VIE.
Si les EAUX PRIMORDIALES ET PRINCIPIELLES SONT DITES MÈRES (
mâtarah) ou GÉNITRICES (
janitrîh) c’est parce qu’Elles recèlent en Elles un principe de vie (
asu) qui est libéré en même temps qu’Elles dans le mythe cosmogonique :
« Lorsque vinrent les Hautes Eaux portant l’Univers en germe, donnant naissance à Agni [dont le mot signifie NAISSANCE, NATURE, INNÉ et IGNÉ], icelui en émana, unique Principe de vie des Dieux [Rig-veda x,121,7). Le Feu cosmique est donc appelé
« FILS DES EAUX » ou
« DE LA RACE DES EAUX » (
apâm napât) puisqu’Elles sont libérées par le Démiurge ou Germe (l’embryon, l’œuf) qui pouvait éclore, mais en même temps et par un paradoxe symbolique se produisait LE TAUREAU DIVIN (Voir Ptah et Van
(2)).
Rudra est fréquemment comparé à un Taureau, qui est son symbole du règne animal, et qui dans la mythologie classique devient sa monture :
Vers le Taureau roux et blanc
j’élève puissamment la louange puissante.
Incline son Hommage devant Rudra le Flamboyant.
(Rig-veda n,32).
Dans le Rayonnement cosmogonique le Feu, Principe de Vie, se répand partout dans l’Univers en formation. Il est comme une TEINTURE qui teinte partout : la Teinture Agni et les Eaux deviennent
« enceintes » lorsqu’elles s’écoulent… Évidemment Agni est aussi le feu vulgaire produit par le frottement de deux bouts de bois sec, mais ce feu vulgaire, visible, n’est qu’un utilitaire, une assurance, un confort, dont le culte n’existe que par le foyer où brille la flamme (qui deviendra l’électricité actuelle).
IL Y A TEINTURE ET TEINTURE : le monde entier est plus subtile que de se diviser en loi de succion vulgaire tels LES MANGEURS ET LES MANGÉS formant la thermodynamique = la combustion-digestion ! Avec cette dualité on aboutit au Néolithique et aux Vendeurs-Clients et à la fabrication artificielle des besoins POUR FAIRE VENDRE…..
LE MONDE ACTUEL EST EN PERDITION parce qu’à travers SON BIG CONFORT NÉCESSAIREMENT ÉGOÏSTE, IL REFUSE DE VOIR LA MORT EN FACE, IL L’A
« CACHE SOUS LE TAPIS » (du
Rivotril en 2020...).
Et justement la seule chance de SALUT est de prendre REFUGE, ou se SOUMETTRE en Celui même qui est le Maître de la Mort et donc le Dispensateur de la Délivrance.
Mais à cause de la loi de succion vulgaire, les humains et actuellement TOUS les noms-le-formes (ils sont tous CONTAMINÉS) DÉSIRENT NE PAS VOULOIR VOIR LA MORT, NE PAS LA RECONNAÎTRE COMME UNE FONCTION COSMIQUE ET SACRÉE DE LA DIVINITÉ SUPRÊME.
Les mythes racontent comment Rudra est oublié, Il n’est pas invité au sacrifice, car Il est redouté. Étant le Dieu chargé de la dissolution de l’Univers et présidant à la Mort, Il est représenté comme un intrus, imprévisible, dangereux, un chasseur venant de la montagne, surgissant de la forêt, donc venant tel un TERRORISTE ACTUEL du Dehors du monde
« civilisé » ou
« démocratique ».
Rudra ou l’objet sacré quel qu’il soit est investi d’une force prodigieuse, tel le
mana des Polynésiens. Autant icelle peut être bénéfique dans son versant Divin, autant et proportionnellement elle peut d’une seconde à l’autre devenir mortelle,
CORRESPONDANT À L’AMBIVALENCE FONDAMENTALE DE LA NATURE HUMAINE, À L’ORIGINE DE LA CONSCIENCE DE L’HUMAIN ÉMERGEANT DE L’INCONSCIENT ANIMAL DANS LE SPATIO-TEMPOREL DE L’HOMO RELIGIOSUS…
Le Dieu découpé en morceaux pour donner naissance à l’Univers multiple,
sa passion, ses larmes, laissent intact sa COLÈRE divine dont la
fonction est de RECOLLER SES MORCEAUX pour RE-trouver l’Être originel,
soit abolir les divisions par lesquelles les êtres individuels CROIENT
POSSÉDER UNE IDENTITÉ SÉPARÉE (si concrétisé par la fameuse ”Carte
d’identité” et la numérisation informatique du monde), et de
RE-constituer l’Unité Primordiale des Eaux.
Et abolir les divisions n’est nullement la fonction de la fabrication de
l’État, monarchique, républicain ou autres, comme actuellement cette
république, notamment en France, qui est devenue UN MONOTHÉISME
UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN VOULANT « AMENER À LA SAINTÉ » (à la Grâce) DE
SAINTE LAÏCITÉ DE VIVRE ENSEMBLE TOUS SES CITOYENS-PAROISSIENS.
Lé démence de 1789 jusqu’à ce hui consiste à exiger l’impossible :
l’infini dans le fini du spatio-temporel, le bonheur dans les
contradiction de la vie dans la croyance au corps-mental, et le divin
dans l’humain à partir, en France, de la laïcité. Exactement ce même
impossible que la Grâce Nous DONNE, puisque NOUS SOMMES LA FÉLICITÉ.
Aucune projection n’est nécessaire.
Ce monothéisme républicain qui PROJETTE, qui fait dans le messianisme
juif et qui se projette sans arrêt dans SA COURSE EN AVANT : SES
« PROJETS » (dans la croyance au futur), COMME S’ILS SE CROYAIENT, DANS LEUR
CROYANCE AU CORPS-MATIÈRE, À UN ÉTERNALISME ICI-BAS EN CONTRADICTION
AVEC LA FONCTION DU SPATIO-TEMPOREL = « Je fais, je ferais ceci ou
cela », la fameuse A-MÉLIORATION (cuire, rendre plus tendre, plus
digeste), comme s’ils avaient une durée illimitée devant eux. Ils ne
tiennent pas compte de l’impermanence du principe de vie, du fait que
D’INSTANT EN INSTANT ils peuvent être surpris pas la Mort. Mais le
transhumanisme et ses injections ARN messager est là pour les sauver
sous la ”saine” (sanitaire) protection de leur Démiurge République Grand Architecte de
l’Unité !
Notes.
1. Imagination Créatrice pas au sens de nostre époque des images du numérique et de la perception par les sens du mental, donc par la croyance au corps et de son monde empirique à la John Locke. Imagination Créatrice qui n’est pas encore le monde de la pure Intuition du sans limite. Monde entre-deux, FLÉAU et médiateur ; Fléau sans lequel tous le événements de l’Histoire sacrale et prophétique deviennent de l’irréel,
PARCE QUE C’EST DANS CE MONDE LÀ QUE LES ÉVÉNEMENTS ONT LIEU : DANS CET INTER-MONDE.
« À son tour Ibn’Arabi déploie ce que nous pouvons appeler une métaphysique de l’Imagination active et du mundus imaginalis », écrit page 18 Henry Corbin, dans
L’Imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn’Arabi.
Et page 28 : ”On s’efforcera de montrer en quel sens cette Imagination est ”créatrice” : parce qu’elle est essentiellement Imagination active [au sens par exemple du Tour du Potier], et que cette activité la qualifie essentiellement comme Imagination théophanique. Elle assume une fonction hors de paire, si imprévue par rapport à ce que le plus souvent nous attachons d’inoffensif et de péjoratif au mot imagination, que nous aurions préféré recourir à un néologisme pour la désigner, et qu’il nous est arrivé d’employer le terme Imaginatrice. N’est-ce pas le lieu de prévenir un doute : la spiritualité, l’expérience mystique, ne tendent-elles pas à un dépouillement des images, au renoncement [putréfaction] à toutes représentations de formes et de figures ? Certes, il est même des maîtres qui ont exclu farouchement et implacablement toute représentation imaginative, toute intervention des images. En revanche, ce qui se proposera ici, c’est une valorisation extraordinaire de l’image et de l’Imagination pour l’expérience spirituelle”.
La pensée des Anciens est essentiellement MÉTAPHORIQUE. Par exemple le corps est comparable à un Vaisseau, à une Maison, et des plantes seront des invités de marque ; la diète sera un grand ménage de printemps.
Les éléments métaphoriques constituent une structure imaginative d’accueil pour les ”esprits” (Yokai) des plantes. Les esprits des plantes se manifestent dans les rêves.
Imagination créatrice = aussi la réception des esprits du Règne Minéral et Végétal ne peut que s’appuyer sur une logique métaphorique (totalement absente de ce mondialisme numérisé par l’informatique issu de la ”numérisation”…. par la raison…).
C’EST POURQUOI : QUI CONSTRUIT LA RÉALITÉ ?
DES HUMAINS AUX GROS COMPTES EN BANQUES ET GROSSES INDUSTRIES INFORMATIQUES ? SHIVA ? CERTAINES PLANÈTES PROCHES ET LOINTAINES OU CERTAINES GALAXIES ? Cette dernière hypothèse étant la plus admissible par l’Imagination créatrice :
seul L’I-RÉEL est le Seul Réel puisqu’Il est une manifestation à partir de choses terrestres : En Haut comme en Bas, et l’inverse. Shakespeare écrivait :
”Les choses sont faites de la même substance que les rêves”.
2. VAN définition.
Le VAN : Dans la Vallée souffle le Vent, le Vent d’Hermès, au sens du VAN. Vent ou Van trouve son homonyme en FAN (paraître, le CELA), mis en Fêmi dont la forme enclitique signifie : rendre visible, se manifester. Le latin
vanna (van) trouve dans
FANOS (Phanos ou Lanterne) la signification de lumineux, brillant, que le sens figuré affirme par « manifeste », « évident », le CELA ; c’est aussi proprement le Flambeau, que le second sens de Phanos ou Fanos désigne par Lanterne (la « Lanterne » ou Lumière d’Hermès, cette Pierre nécessairement volatil revivifiant le mort et donnant la vie au Soleil et à la Lune, au
« mari et à la femme »…).
FAN : paraître, avec le F de Figure, Feu, Fléau, Fantôme, Finalité, Forme, Fond, Fin, Fleuve :
« Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (Jean Coulonval, dans
Synthèse et Temps Nouveaux). Le F de Feu comme du Fléau qui détruit tout et qui donne cependant au Fer après liquéfaction, la Forme ou la Figure-Fin. Ainsi est la définition du mot VAN : LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, au sens du
Secret de la Fleur d’Or, manuel classique de méditation permettant l’accès à l’Être intérieur ; manuel incorporant la quintessence du bouddhisme et de la taoïcité. L’Or signifie la Lumière, celle de l’intellect qui
« pointe » (AIGUILLE) ; la fleur signifie l’épanouissement, le jaillissement de la lumière du Soi. Ainsi, le nom même de cette technique désigne l’Éveil fondamental et inconcevable du Vrai Soi et de son potentiel caché, le
« Zéro indien », appelé en Occident d’une façon utilitariste : «
énergie libre »…
Les énergies spirituelles sont symbolisées par la LUMIÈRE, mais aussi par le VENT : Il souffle dans la Vacuité de la Fontaine de Jouvence…..
RAPPEL : « Pour manifester des siddhi (pouvoirs surnaturels), il faut qu’il y ait d’autres personnes pour les reconnaître (sens de la dualité : pour et voir, ou sujet et objet, Dedans et Dehors). Ce qui veut dire que celui qui manifeste de tels pouvoirs est dénué de
jnana [Connaissance, sagesse].
C’est pourquoi les siddhi ne valent pas la moindre pensée. Seul le jnana mérite d’être recherché et obtenu ». (Ramana Maharshi, entretien 57a du 24-6-1935). Ah, c’est RADICAL, et le RADICALISÉ ne plait pas au Pour-Voir, ni aux faux radicalisés ou fanatiques du pouvoir…..