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Le Libéré vivant REMONTE Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 06-04-2024 21:24

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Conditionnement, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Marxengelsisme, Nation, Or, Penser, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Sionisme, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
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Le Libéré vivant REMONTE
alors que le Citoyen qui se
croit libéré dans sa république DESCEND.
Se réaliser est l’expérience régressive
par laquelle le Libéré vivant REMONTE
du monde empirique ou monde des accidents
(le spatio-temporel) lequel est toujours
brouillé avec la Lumière ontologique (1)


Page dédiée à Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus,
victime d’holocauste à l’Amour miséricordieux du Bon Dieu.
 
 
”Qui sait par le repos passer peu à peu du
trouble au clair [Remonter, Retourner la
Lumière] et par le mouvement du calme à
l’activité”, le Libéré vivant DESCEND de
son sécuritaire ontologique pour régénérer
ou nourrir le monde empirique ou monde des
accidents.
Quiconque préserve en lui une telle expérience
ne désir pas être plein.
N’étant pas plein, il peut subir l’usage
et se renouveler (le mouvement dans le vide
forcément indifférencié tel le Saint Chaos
ou Univers de l’indétermination ontologique)”.
(En réf. au Verset 15 du Tao-tö king,
trad. Liou Kia-hway)

L’industrie soumise au mental engendre
forcément la valeur et le profit,
ce sera alors la naissance des voleurs
et des assassins : l’État criminel « légal »
qui fait la guerre.

La Connaissance et la « morale » sont
LE MASQUE des masses ; idem pour la
bonté et la justice tueurs de la piété
naturelle et de l’amour naturelle :
étreindre le simple, le naturel,
contenir son égoïsme artificiel.

Sous le ciel, vrai et faux
Ne sont jamais déterminés une fois pour toutes.
De par le monde, chacun décrète vrai ce qu’il tient pour vrai
Et faux ce qu’il tient pour faux.
Ce qui est appelé vrai et faux est différent pour chacun ;
Et tous, sûrs d’être dans le vrai, de réfuter les autres.

On peut donc en inférer que
Ce que j’agrée en mon fort intérieur
L’est avant même d’avoir été trouvé vrai
Et que ce qui rebute mon cœur
Le fait avant même d’avoir été trouvé faux.

La recherche du vrai
N’est donc pas recherche des principes naturels du Tao
Mais recherche de ce qui m’agrée en mon for intérieur,
Et rejeter le faux
N’est pas empêcher le mal de se propager,
Mais rejeter ce qui rebute le cœur.

Ce qui me rebute,
Est-ce pour autant que d’autres ne l’agréent pas ;
Et ce qui m’agrée à moi,
Peut être tenu, communément, pour faux.

Le caractère vrai inhérent à la vérité Suprême
Fait qu’elle n’a rien de faux ;
Et le caractère faux inhérent à la fausseté Suprême
Fait qu’elle n’a rien de vrai :
C’est là le vrai et le faux authentique.

Si donc ce qui est vrai pour les uns est faux pour les autres
Et que ce qui est faux pour les premiers est vrai pour les seconds,
On dira que c’est vrai d’un côté et faux de l’autre.
Cela c’est le vrai et le faux pour un recoin de l’Univers.
à un autre niveau, il y a le vrai et le faux
Pour l’immensité des Espaces et des Temps.

Nous avons tendance à choisir ce que nous jugeons vrai
Pour nous y tenir,
Ou bien à prendre ce que nous jugeons faux
Pour le rejeter.
Mais nous ignorons ce que notre siècle appelle vrai et faux
Comment savoir qui est dans le vrai, qui est dans le faux.

(Les grands traités du Huainan zi, époque des Han,
206 av. J.C. - 220 ap. J.C.)

Ce monde empirique ou monde des accidents
(le spatio-temporel) est toujours
brouillé avec la Lumière ontologique (1)


L’être humain a voulu se faire exister par lui-même, et ce lui-même ne peut évidemment être que ses opinions, sa ”raison”. C'est la révolution de 1789 suite à la mode des ”lumières” qui a établi le culte de l'opinion comme critère de vérité politique. Le peuple le croit mais les vrais politiques, les humains contaminés de pouvoir ne sont pas nécessairement ceux dont on publie les noms, ils ne sont pas dupes parce qu'ils ont pouvoir de fabriquer des opinions à leur convenance (si facilement de nos jours par la technologie du tout connecté de l’industrie capitaliste informatique]. (Pour réf. à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).

L’humain a voulu se faire exister par lui-même, résultats :
- Invention de la bonté et de la justice.
- Développement du mental qui engendre le Grand Artifice actuel.
- La discorde dans la tribu (père et fils, frère ainé et frère cadet, mari et femme) engendre la piété filiale et l’amour paternel égoïste.
- L’invention de l’État et l’organisation provoque le désordre, le conventionnel, la loyauté, la bonne foi et le bon sens.

Une définition du Soi ou Conscience infinie dans le Verset 21 du Tao-tö king, trad. Liou Kia-hway :
”La caractéristique d’une grande vertu
réside dans son adhésion exclusive au Tao [ou le Soi].
Le Tao est quelque chose de fuyant et d’insaisissable [le Gate Gate].
Fuyant et insaisissable, il présente cependant quelque image,
insaisissable et fuyant, il est cependant quelque chose.
Profond et obscur, il contient une sorte d’Essence.
Cette sorte d’Essence est très vraie
et comporte l’efficience (l’efficacité, l’énergie)
Depuis l’antiquité
son Essence n’a pas varié.
Pour le comprendre
il suffit d’observer le germe [le EST) de tout être.
Comment puis-je connaître le germe de tout être ?
Par tout ce que je viens de dire”.

Le Libéré vivant REMONTE : IL EST « JE-SUIS » : ce qui EST existe toujours.
« Si l’ego meurt, CELA, la Réalité, continue à exister comme Elle a toujours existé. […] Ce qui existe est ”JE-SUIS”, aham ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 12-11-1945 matin).

ce qui EST existe toujours = l’AINSITÉ : Iti désigne l’ainsité (ainsi), le Soi, la Seule Réalité, le « JE-SUIS », tathata en sanskrit, shinyo en japonais (‘Je’ et ‘je’ et devient ku : au-delà de l’ego et de ses différences sur-mortelles par leur vulgaire loi de succion et du C(T)OUCHER.

AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE-SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

L’œil ne peut fonctionner qu’en utilisant la lumière émanée du soleil, sans cela l’œil est inutile. De même, le jiva ou individu ne peut fonctionner qu’en utilisant la Conscience [le Sel…] qui émane du Soi. Également, de même que l’œil ne peut fonctionner que dans la lumière réfléchie du monde des  Essences. S’il l’œil se tourne pour regarder le Soi, il sera entièrement effacé et se fondra dans le Soi avec lequel il ne fera plus qu’un, comme le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source. C’est le EST, le « Je suis ce JE-SUIS » ; on ne remonte ni ne descend.

L’Ainsité dans le Verset 25 du Tao-tö king, trad. Liou Kia-hway :
Il y avait quelque chose d’indéterminé
avant la naissance de l’Univers.
Ce quelque chose est muet et vide.
Il est indépendant et inaltérable.
Il circule partout [le Centre est nulle part et la Circonférence est partout] sans jamais se lasser jamais.
Il doit être la Mère de l’Univers.

Ne connaissant pas son Nom,
Je le dénomme « Tao ».
Je m’efforce de l’appeler « grandeur ».
La grandeur implique l’extension.
L’extension implique l’éloignement.
L’éloignement exige le retour.

Le TAO est grand.
Le Ciel est grand.
La Terre est grande.
L’Homme est grand.
C’est pourquoi l’Homme est l’un des quatre Grands du monde.

L’Homme imite la Terre.
La Terre imite le Ciel.
Le Ciel imite le TAO.
Le TAO n’a d’autre modèle que soi—même [singularité, Vierge Noire].

Le TAO : le ’N’EST PAS X’ SERA INNOMMABLE, TERRORISTE, car insaisissable, le X étant l’inconnu, la SUR-PRISE.
Le Seul Réel insaisissable sera SALE, FLÉAU, innommable, non-identifiable, car NOUS SOMMES SOUS SA DÉPENDANCE EN TANT QUE REFLET : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent co-exister », Saint Bonaventure. On n’atteint pas le TAO, on n’atteint pas Dieu, Itinéraire ne veut pas dire itérer : Tradition du : Savoir, Pouvoir, Oser, SE TAIRE ; le dernier terme étant l’Essence-Ciel.

Matériellement le TAO peut être comparable à la POUSSIÈRE, l’Ancien Testament dit à Genèse 1,24, que la Terre produise des êtres vivants : en premier des « bestioles », ensuite : l’humain modelé à partir de la glaise [poussière du sol] (Gen 2,7), prémices d’un ADN que l’on retrouvera chez Piccolpassi Durantoys : Les trois Livres de l’Art du Potier (l’ARGILE ADN comme catalyseur pour les processus de combinaison des acides nucléiques : ADN, ARN… L’ARGILE ADN…) : « Grandes vertus gisant es chouses petiotes créées par Dieu », dit une note de bas de page.
POUSSIÈRE = VASE-VALLÉE, LES CENDRES, LE SEL, LE RÉSULTAT, LE SCEAU (signe) ; poussière = pollen des fleurs, la SEMENCE. À Genèse 28,4 « Ta descendance deviendra nombreuse comme la poussière du sol….. ». Chez les Anciens Égyptiens la poussière devient signe de dépression : ils s’envoyaient de la poussière sur la tête en signe de désespoir, de grande détresse, allusion au corps qui redevient poussière. Comme le PIED, en sanskrit : Padam, signifie l’Être véritable, le Soi ; secouer la poussière de ses sandales représente l’ÉTERNEL RETOUR, ou RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE (2).
En haut de page l’idéogramme chinois CHEN : poussière (composition de "haut et bas" : en haut, on retrouve le caractère 小 [xiǎo] petit ; et en bas, on retrouve le caractère 土 [tǔ] terre. Il est l'association de "petit" et "terre" pour donner l'image d'un "tout petit terre", donc la "poussière”).

POUSSIÈRE-VASE-VALLÉE = FRAGILITÉ = SPIRITUALITÉ = INSAISISSABLE, NON RÉALISABLE, NON PENSABLE. ”Qui tente de façonner le monde le détruira, Qui le tient le perdra”, dit le Verset 29 du Tao-tö king. Le Vase peut casser à tout moment comme la Vallée peut être envahie (transformée) à tout moment tant elle est composée de forces contraires prêtes à s’unir par AMOUR-GRATUITÉ, tant elle est le lieu, comme le Vase, (l’Athanor) de transformations. C’est par une Vallée que passe le Sentier de Yahvé (Isaïe 40, 3-5). Il en est de même de l’ENCLOS-JARDIN et du symbolique TAPIS VOLANT.
L’idéogramme CHEN représente donc l’IMPRÉVISIBLE, comme la poussière, comme le spirituel, comme PANique : l’insaisissable, l’imprévisible, la raison devient inutile, mais ne signifie pas pour autant devenir à l’état de « légume », « inconscient », ou d’animal !
C’est donc la fameuse Mysterium tremendum du MYSTÈRE, de l’INSAISISSABLE qui fait frissonner : LA FRAYEUR PANique (deima panicon des Grecs). C’est encore la « frayeur de Dieu » chez les Yahvistes et leur Yahvé ; bref, c’est la TERREUR SACRÉ que CHEN peut représenter. Pour les Anciens Grecs, la maladie mentale était maladie sacrée (hiera nosos) envoyée par les Dieux, la transe et l’extase spirituelle étaient à l’origine de toute « folie ». LA TERREUR  NUMINEUSE ÉTAIT À L’ORIGINE DE TOUTES SPIRITUALITÉ PUIS RELIGIONS PRIMITIVES.

Le « sentiment numineux » constitue l’évolution de la terreur originelle démoniaque primitive vers des noms-les-formes de plus en plus évolués, purifiés, affinés, valorisés positivement, mais sans jamais cesser de casser les liens primitifs vers le démoniaque, le sinistre, le primitif : IL S’AGIT EN RÉSUMÉ D’ENFERMEMENT IMPOSSIBLE DE L’OBJET NUMINEUX PRIMITIF. D’où l’utilisation par certains en politique de « la Colère de Yahvé »…. Colère hautement imprévisible qui s’enflamme COMME UN CAPRICE DE GOSSE DE RICHES, COMME UN COUP DE TONNERRE DANS UN CIEL SEREIN ; AUCUN RATIONNEL LÀ-DEDANS ; TOUT EST CHEN, POUSSIÈRE-ÉPHÉMÈRE.

ELLE EST MAGIE : Quand une magie parle toutes les magies parlent, et quand une se tait, toutes se taisent. Elle est, cette Colère l' ÉNERGIE, le TREMENDUM par excellence. Tous les Dieux créés par l’humain et inversement, en tant qu’objets numineux, sont l’AMBIGUÏTÉ-AMBIVALENCE.
À l’horreur indicible du Tremendum, il ne faut pas oublier la splendeur du FASCINANS ou STUPÉFIANT qui attache telle la loi de succion, la pesanteur du PLOMB nécessaire pour réaliser la COÏNCIDENCE DES CONTRAIRES. Le STUPÉFIANT ou FASCINANS  correspond au formes enivrantes du SACRÉ, à l’extase dionysiaque, au hiéro-gamos (union sexuelle sacrée métamorphosante). En pathologie mentale ce sera la saturnale maniaque (psychose maniaque…).
Le nom-la-forme du numineux est une « centrale nucléaire » à lui seul, ça s’appelle aussi le « feu sacré » de l’Amour divin que connue Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus :


« Afin de vivre dans un acte de parfait Amour, je m’offre comme Victime d’holocauste à Votre Amour miséricordieux, vous suppliant de me consumer sans cesse, laissant déborder en mon âme, les flots de tendresse infinie qui sont renfermés en Vous, et qu’ainsi je devienne martyre de Votre Amour, ô mon Dieu !… ».
Le FEU PHILOSOPHIQUE EST PAR ESSENCE ANTI-SOCIAL, DONC LE CONTRAIRE DU FEU VULGAIRE QUI RASSEMBLE AUTOUR DE LUI. Le Saint se met en marge du social : IL TRANSGRESSE, VERS LE CENTRUM CENTRI, LA BARRIÈRE OU LE MASQUE DU CERCLE PROFANE. ON LE VERRA DÈS LORS TENIR LE RÔLE DE RAYONNEMENT PROTECTEUR, MAIS AUSSI DE PERSÉCUTÉ ET PARFOIS DEVENIR MARTYR.

AINSI, LE MONDE, VASE SPIRITUELLE, comme l’exprime le début du Verset  29 du Tao tö king, ne peut être façonné ; le transhumanisme et ses investisseurs de la finance internationale de la City de Londres le détruiront.



Notes.
1. La NORME JUIVE de leur dualité winners-losers (élus/non-élus et Dedans-Dehors) résumée page 18 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent : « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus trinitaire, Ouroboros trinitaire] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, l’opinion, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent et du salariat, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [et inventer la liberté et donc produire les contraintes à n’en plus finir]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur ”Jour du jugement dernier”…] ».
« Elle fait de l’Alliance avec Dieu ». LEQUEL ? S’il s’agissait du Soi, l’état actuel du monde serait autre et l’asservissement sous toutes ses formes n’existerait pas !!!
Leur « Dieu » et son sel d’Arche d’Alliance n’est qu’une mouture de socialisme politico-étatique tribal et forme primitive de république, avec ses commandements copiés sur les sagesses égyptiennes : genres littéraires de l’Orient ancien, y compris l’Ancien Testament ; recueils de préceptes pratiques et moraux énoncés par une personne pourvue d’une longue expérience à l’usage d’un jeune homme, visant à lui faire connaître les « normes » de conduites dans la vie sociale.…

2. « Lorsqu’on utilise cette technique pour la première fois, on a l’impression d’un non-être dans l’être. Mais une fois le travail achevé, quand on a un corps au-delà du corps, on a l’impression d’un être dans le non-être [le « sentiment océanique » de Jean Coulonval] ».
« Ce n’est qu’au bout de cent jours de travail concentré que la lumière est réel, qu’elle est le feu du mental. Car au bout de cent jours, la lumière jaillit spontanément : de même que le rapport entre une femme et un homme forme l’embryon, soudain, d’un point d’authentique énergie positive, surgit une perle. Il convient de l’observer, calmement, tranquillement. Le retournement de la lumière est le processus de « mise à feu ». […] La Lumière n’est ni en soi ni en dehors de soi. Les montagnes, les rivières, le soleil, la lune et toute la Terre participent aussi de cette Lumière qui ne se trouve pas seulement en soi. Toutes les opérations de l’intelligence, la connaissance et la sagesse, participent également de cette Lumière qui ne se trouve donc pas en dehors de soi. De même que la Lumière du ciel et de la terre emplit l’univers, la Lumière d’un seul Être s’étend naturellement aux cieux et embrasse la Terre. Voilà pourquoi si l’on retourne la Lumière, le monde entier se retourne également », dit si clairement le Secret de la Fleur d’Or. Centrum Centri, se concentrer là-dessus « pour passer la Porte [Stargate] », pour vivre le Point Focal…
Riplée (Ripley) définit la Putréfaction, la mort des corps et division de la Matière, comme la conduisant à la division, donc au démontage, soit LA CORRUPTION SUIVIT DE LA GÉNÉRATION (voir plus bas la recomposition de la Barque du Passeur (a)) : « la Putréfaction est l’effet de la chaleur des corps entretenue continuellement, et non d’une chaleur appliquée manuellement. Il faut donc se donner garde de pousser la chaleur excitante et extérieur au-delà d’un degré tempéré : la matière se réduirait en cendre sèche et rouge, au lieu du noir, et tout périrait », dit fort à propos Dom Antoine-Joseph Pernety à l’article Putréfaction dans son Dictionnaire Mytho-Hermétique.

a. La MAIN VIVE EST DU THÈME DU PASSEUR, DU PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT, CELUI QUI OUVRE, comme l’Égyptien ancien qui arrivé à un cours d’eau aurait besoin de le traverser, il appellerait alors un passeur et lui demanderait de lui amener la barque et de le faire traverser, comme le Pontife, comme la Main vive ou la Main Ouverte (rien à cacher).
 
 

Dernière mise à jour : 06-04-2024 22:01

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