La religion d’Israël invente le TEMPS
et l’HISTOIRE, mais le temps n’existe que
s’il y a une personne pour le regarder,
pour lui donner une valeur La religion d’Israël et de ses Prophètes inventent
LA HAINE
C'est la Terre qui pardonne pour empêcher le souvenir.
L'individu doit trouver un soutien en lui-même s'il ne veut pas devenir le jouet des divers intérêts et idéologies. Pour qui veut vivre sans dépression ni addictions de toutes sortes : Big Pharma légal ou illégal, manipulations médiatiques et politiques et de « l’instruction scolaire », il demeure nécessaire de trouver son soutien dans le vrai Soi, celui qui est NATUREL, c’est-à-dire dans l’accès à ses propres besoins et sentiments réels, et la possibilité de le exprimer clairement, de les vivre dans la transparence.
Chacun sait que la religion d’Israël est par excellence la NORME, le compas-équerre : la religion du LIVRE.
Ces Yahvistes ou Juifs inventent aussi un Dieu fou : Yahvé, avec la « Chute » qui ne pouvait fonctionner que dans une religion fondée sur le CANCER DU POUVOIR doublé de métastases de jalousie, donc un Dieu rongé par le cancer ! Je répète, le Dieu des Juifs est un Dieu rongé par le cancer du pouvoir.
Les Yahvistes qui copyright tout et bannissent l’idolâtrie ont volé la symbolique de l’Arc-en-Ciel : l’Arche de Noé et l’Arche d’Alliance, et en ont fait des idoles ; et de ce fait ont inventé l’HISTOIRE.
Les Juifs et le judaïsme inventent le TEMPS, la CHRONOLOGIE TUEUSE.
HISTOIRE : début du 12è siècle, du latin historia, du mot grec qui avait le sens de « information », connaissance, puis de chronologie ou RÉCIT se déroulant selon l’idéation du mental ou progression dans le spatio-temporel. On dit bien 'racontes-moi une histoire'.
Histoire, connaissance, informations : notre époque est étouffé par les informations. L’histoire est donc du thème de l’ÉVOLUTION, du DÉROULEMENT.
Le progrès... grâce au fric
notamment pour la technologie basée
sur la thermodynamique qui ne peut se passer de fric.
Le « progrès » de l’humanité en 1803 après la Bible des « Droits de l’Homme » : donner des Nègres à manger aux chiens. L’autre « progrès » fut celui de Napoléon Bonaparte, qui entre mars 1802 et novembre 1803 perdit environ 60.000 hommes pour tenter de rétablir le colonialisme et l’esclavage. Il y parvint en Guadeloupe, mais connut à Saint-Domingue sa plus grande défaite militaire et politique. Le « progrès » de Bonaparte fut d’assassiner méthodiquement la révolution des droits de l’homme et du « citoyen ».
La vérité est la politique
La politique est le « Connais-toi »
POLITIQUE : implique que celui qui exerce une telle responsabilité sache ce qu’est l’être humain, ce qui est d’abord la connaissance de lui-même, et ensuite des autres ; ce qui est Connaissance d’essence, et donc de l'ordre du qualitatif.
Peuple élu ou peuple de la VENGEANCE
soit les sionistes et le judaïsme en général
Le judaïsme expert en châtiment collectif selon son Dieu Yahvé.
La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, cette nouvelle Arche d’Alliance ou nouvelle idolâtrie.
Ce que le peuple élu ne connaît pas :
C’est la Terre qui pardonne pour empêcher le souvenir, et que ne se développe les histoires ou la chronologie (croissance) à n’en plus finir.
Virus talmudique contaminant ce monde
Les talmudistes ces ennemis de la Nature et des humains : « Quand se réalisera la promesse du Talmud, lorsque le temps du Messie sera venu, les Juifs tiendront sous leurs chefs les biens de tous les peuples du monde » (lettre de Baruch Levi, ami des Rothschild et d’Adophe Crémieux).
Ces virus comportent dans l’humanité en générale sept HONTES : l’orgueil, l’ambition, l’envie, le mensonge, le crime, l’ingratitude, l’ignorance (d’après les Maya ki-tché).
Voici un exemple des sept Hontes avec le talmudiste Anascharsis Cloots, un des principaux propagandiste de la guerre de conquête en 1792, et un des semeurs de la graine du Nouvel Ordre Mondial bien dans le thème des mutilés du sexe ou « communauté organisée », et qui définit par là même la diabolique religion mondiale :
Ce peuple élu qui crache à la face du Ciel
Ces « droits de l’homme » qui crachent à la face de l’homme
Dieu ou l’homme se sert de l’homme comme MIROIR (reflet)
MIROIR : En haut dans le Ciel comme en bas sur Terre, et l’inverse dit l’Alchimie. Miroir, étymologie de MERVEILLE (mirer, se mirer dans l’eau, on parle aussi de psyché ou miroir ou mental...) ; speculum et ice (iag en gaulois, de ieg (froid), anglo-saxon gicel qui donne en anglais ice : la glace). Spéculer ou observer : Pour-Voir ; et faire des spéculations financières et commerciales (boursicoter).
Spéculer à l’origine était observer le Ciel et les mouvements relatifs des étoiles, donc un travail du mental : spéculer est typiquement du travail du chapeau s’enracinant dans l’étude des astres ou d’une Kabbale quelconque.
Que reflète le miroir, sinon, en principe, la Vérité, LA TRANSPARENCE (sens de Vraie Télépathie). Le Miroir échappe à la Cause-Effet. Le Miroir est symbole de Sagesse et de Connaissance. Ainsi, comme Dieu ou l’homme se sert de l’homme comme MIROIR, le divin se reflète donc en réfléchissant la manifestation ou monde des accidents, créant cette manifestation À SON IMAGE. Ainsi cette Identité et la Différence ou ego dans le Miroir est la Chute luciférienne. Cependant chez les Taoïstes Dieu ou le Reflet renvoie le Ciel et la Terre.
IMPORTANT : suivant l’angle, ou l’orientation, l’humain en tant que Miroir reflète la beauté ou la laideur. L’âme pure devenue Miroir par transformation renvoie naturellement une « auréole » bienfaisante.
Citation du jour
"La France n’est pas de tradition spirituelle chrétienne mais DE TRADITION DU PALÉOLITHIQUE : LE DOMAINE DES PAGANS : provinciaux des districts. Paganisme devrait bien signifier : ANCIENS CULTES DE DIVERS GROUPES DE POPULATION. Sa spiritualité sera celle du CULTE DE LA TERRE-MÈRE ou MÈRE DIVINE (Vierge Noire, Isis la Noire : l’Eau de Vie). Cette Tradition Paléolithique appartient au Christ-Soi".
La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties.