Accueil arrow News arrow Dernières news arrow La Fabian Society ou le communisme à l'usure
La Fabian Society ou le communisme à l'usure Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 10-07-2012 00:28

Pages vues : 8555    

Favoris : 33

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Volonté, Yokaï

 
Hebergeur d'image
 
 
La Fabian Society ou le communisme à l'usure

Pas de mondialisme sans religion mondiale établit.
La Fabian Society veut refaire le monde.
 
 
Le seul problème, c'est que le pouvoir est terrorisé à l'idée que le peuple prenne le contrôle de sa vie en main. Donc le pouvoir, Fabian Society ou autres systèmes démocratiques, fera tout pour empêcher en premier la réalisation du Soi : se connaître. C'est aussi simple que cela. L'idée que chacun puisse prendre en main sa destiné est intolérable pour le moindre pouvoir. (Voir l'encadré en fin de page)
 
 
La Fabian Society est l'ennemi des provinces, des paysages ou terroirs, et surtout des États-nations. Elle est une forme de communisme sous forme d'humanisme déguisé. Adolph Hitler était parfait socialiste, et nationaliste. La Fabian Society construit le Nouvel Ordre Mondial déjà en Angleterre au 19è siècle. Le but est toujours le même : les gens deviennent des patates ou marchandises, donc il faut pouvoir les contrôler, et quoi de plus facile lorsque tout est centralisé. C'est le principe du stalinisme où la décision de celui qui se prend pour l'État, comme le roi Louis 14, est prise par une seule personne, ou un groupe de personnes. Drame du POUVOIR.
Donc nous n'avançons pas d'un pouce et sommes toujours les prisonniers d'une tête d'œuf qui décide pour nous tous.

Qu'on ne se méprenne pas : le socialisme, c'est un autre nom pour désigner le communisme. Tout du moins depuis que ce mot de socialisme a été détourné par les bolcheviks et Lénine (voir la vidéo en fin de page). Effectivement, le propre d'un Vrai ÉTAT est de fermer sa gueule ! Il n'a JAMAIS son mot à dire, c'est au peuple de le dire.

Sur le fabianisme, voir aussi :
- Société Fabienne - Annie Besant
- Secte des capitalos-communistes
- Les DICTATEURS

La dictature d'État a commencé avec les rois importants au Moyen-Âge, comme par exemple Pépin le Bref, Charlemagne, Charles le Chauve, Philippe Auguste, Saint Louis, Philippe Le Bel ; tous ces Rois étant synonyme de "justice" car détenteurs du cancer du pouvoir. La dictature d'État s'exerce maintenant non seulement sur le corps des habitants du pays (vaccins, médecine de Big Pharma devenue inquisitrice et rejetant les médecines naturelles), mais aussi sur leurs esprits (éducation dans les écoles du franc-maçon Jules Ferry, lavage de cerveaux par les médias, psychiatrie à outrance et violente). L'État policier s'installe progressivement plus ou moins en douceur, plutôt sournoisement, selon la méthode de la Fabian Society, ajoutez à cela la diarrhée de lois plus ou moins liberticides ; tout cela est introduit très progressivement, et seulement une fois que les gens ont eut leur cervelle lavée et sont prêt à accepter ces privations de libertés, et même à les réclamer !

La bolchévisation de l'Occident est une fait acquis, surtout avec "l'Union européenne", et le socialisme est une escroquerie de plus, et si beaucoup de gens s'en aperçoivent, ils se tournent vers d'autres idéologies encore plus tordues que le socialisme : écologie, pénuries énergétique, etc., grâce auxquelles l'oligarchie au pouvoir renforcera encore plus l'esclavage. Le moindre de nos pets de travers sera comptabilisé sous couvert de protection de la "Terre-Mère".

Il existe bien des mouvements de révoltes, mais comme tout est récupéré, ce sont des "défouloirs de tension" autorisés par l'État pour éviter le pire. La lourdeur du système étatique et la propagande des médias détruisent à l'usure les plus téméraires des "indignés" en les transformant et en les rendant conforme selon la norme établie.

Il semble que l'Islam soit une forme de communisme, il suffit de voir ce qu'il se passe actuellement. De toute façon Islam et communisme sont une religion. Les bolcheviks luttaient contre les Couilles en Or aux États-Unis ; de nos jours l'Islam lutte contre les Couilles en Or aux États-Unis. C'est pourquoi nombre d'Occidentaux se convertissent à l'Islam pour trouver une base existentielle et idéologique solide et moins matérialiste.
Importants parallèles entre le communisme et l'Islam : tous deux refusent la Trinité. L'un la nie au nom de la Terre, l'autre au nom de Dieu. Ensuite le communisme est tout à la fois pouvoir religieux, pouvoir politique et pouvoir économique. il ne les distingue pas, et se présente comme l'envers de l'Islam, lequel bloque aussi les trois pouvoirs, mais pour soutenir l'unité du divin.
"La distinction conceptuelle des trois pouvoirs, incarnée dans les structures de faits de la société, entraîne ipso facto la constitution de castes, qui s'appelèrent dans l'Occident chrétien : Clergé, Noblesse, Tiers-État (Paysans). Après l'abolition du pouvoir politique du Roi et de la Noblesse, en 1789, la distinction s'est effacée entre le politique et l'économique. Au moins en apparence, car le caractère métaphysique du pouvoir politique s'est perpétué clandestinement dans les loges maçonniques ou s'enseigne une métaphysique.
Pour l'immense majorité de ceux qu'on appelle à "urner" [aux élections], le mot politique éveille seulement l'idée de gestion économique sur le plan national. Il n'y a de résonances métaphysiques que pour une très faible minorité des professionnels de la politique, et tout spécialement les francs-maçons", écrit Jean Coulonval.
Autre parallèle : pour garder l'absolu divin, l'Islam nie l'histoire : "pour faire de l'histoire un absolu, le socialisme soviétique nie Dieu, préparé en cela par le refus orthodoxe du "Filioque" qui nie de fait la circumincession. Car si le Fils procède du Père, ensuite l'Esprit du Fils, il n'y a pas de circulus. La Création est une émanation platonicienne, il n'y a pas de circulus historique Théologique-Métaphysique-Physique. Le soviétisme avait à choisir entre la Science et Dieu", écrit Coulonval. Il ajoute avec justesse que le communisme a été pensé et installé en Russie par des Juifs.

Ce que veut le socialisme à la Fabian Society c'est le système communiste : une participation communielle façon Sainte Messe au sein de la masse, soit posséder la connaissance définie dogmatiquement par le bureau du Parti comme par un Concile, et proclamée par le chef suprême du Parti, comme par un Pape (un Pope).
Ainsi il y a abolition de la personnalité, puisque c'est la masse, le quantitatif, et que l'Être social déifié pense pour la masse en agissant comme un médium, comme une sorte de gardien de la permanence du dogme dans la tradition (équerre et compas), ce qui est une caricature ou un envers de l'Église catholique (sens de universalité).
"Le catholicisme, lui aussi, demande le renoncement au jugement personnel. Lui aussi fait appel à un médium, à un gardien du dogme et de la tradition qui est le Pape. Lui aussi prêche la participation à un même corps de vérité universellement valable, mais il ne le fait que pour ce qui est au-dessus du temps, pour ce qui est véritablement immuable, pour les essences. Le communisme, au contraire, veut fixer l'infixable : le temps et l'histoire", écrit Jean Coulonval dans : Synthèse et Temps Nouveaux.

Ainsi, aussi bien chez les islamistes, que chez les socialistes, que chez les catholiques, il y a un désir d'un synthèse cosmique et humaine et à une fin eschatologique. "Même appel au renoncement à la volonté propre, à la soumission à la définition doctrinale du sommet hiérarchique. Même désir de relations communielles entre individus et groupes sociaux. Ces similitudes s'incarnent dans des institutions analogues.
Séminaires et écoles de doctrine - Confession et autocritique - Dogmes catholiques et dogmes marxistes. Pape et chef du Parti - De part et d'autre, même aptitude au sacrifice", écrit Coulonval.

La rédemption ou les religions du Salut ou à fins eschatologique sont en opposition par rapport à l'Instant : "La Réalisation [du Soi ou Instant] n'admet pas de progrès ; elle est toujours là même. Le Soi reste toujours en état de réalisation. Les obstacles sont les pensées. Le progrès se mesure d'après le degré de déblaiement des obstacles qui empêchent de comprendre que le Soi est toujours réalisé. Les pensées doivent être contrôlées en cherchant à qui elles apparaissent. De cette manière, vous allez à leur source, d'où elles ne s'élèvent plus" (Ramana Maharshi, entretien 618).

"Les progressistes voient bien que le capitalisme est un système social pervers dont les prolétaires sont victimes, mais ils ne voient pas que le communisme ne fait qu'en prendre le relais pour conduire la Révolution, commencée à la Renaissance, à ses ultimes conclusions dialectiques.
Si le communisme combat le capitalisme, il lui doit pourtant d'exister : c'est la Révolution qui se dévore elle-même. Pour l'instant, ils co-existent, on peut même dire qu'ils se conditionnent l'un l'autre. Et si l'on pouvait fouiller assez profond dans les instances occultes qui mènent le monde, on trouverait certainement des hommes qui influencent à la fois la Russie et les États-Unis", écrit Coulonval.

En conclusion : Rien a attendre d'aucune démocratie, surtout actuelle. Rien à attendre du catholicisme actuel. Et surtout rien à attendre du socialisme.

L'Islam s'apparente au socialisme ou au stalinisme, et au républicanisme : "À mort les ennemis de la liberté " ! ou tout musulman qui ne se soumet pas à la religion du livre : le Coran, est un infidèle et finira en enfer pour ne pas avoir reconnu la toute-puissance d'Allah. Au Moyen-Âge, l'infidèle pour les chrétiens ce sont les musulmans, l'ennemi élu avec qui il ne peut être question de pactiser ! Mahomet est un des pires diables de la chrétienté médiévale. Un manuscrit de 1162 représente le Prophète sous la forme d'un monstre ! C'est d'une dualité totale, donc du domaine de l'EGO. Comme tout "citoyen" de 1789 qui ne se soumet pas à la nation et à la république aura la tête tranchée.

Par contre dans ces trois options on retrouve la carotte et le bâton : tout militant tant communiste qu'islamique qui œuvre pour la bonne cause sera au Paradis d'Allah, ou à celui de l'Être suprême ou Grand Architecte. Et cela quels que soient les actes de barbarie qu'il peut par ailleurs commettre ! (Voir les atrocités dans les guerres de Vendée entre 1792 et 1794). La seule observance des dogmes de sa religion suffit à le pardonner.

Islam, socialisme, républicanisme franc-maçonnique = établissement du paradis sur Terre : le "Royaume de Dieu" à l'extérieur au lieu de l'avoir à l'intérieur, soit une variante du thème de la religion de l'homme. Et tous les stratagèmes sont bons pour y parvenir. Le paroissien de ces religions peut tout détruire, tout raser (1453, 1789, 1917, etc.), et il le fera tant que cela n'est pas conforme à l'équerre et au compas établit par la tête d'œuf pensante de l'oligarchie. Le catholicisme au Moyen-Âge n'échappe pas à la règle : le vandalisme de la chrétienté a détruit une grande partie des monuments de l'antiquité, soit par bêtise, soit pour détruire le paganisme, soit pour utiliser les pierres. L'égalitarisme, dans le marxisme comme dans l'Islam, implique à la fois un modèle de solidarité, mais une injonction à ne pas se différencier. Aussi les associaux ou opposants politiques sont-ils traités dans des asiles de fous comme dans l'ex URSS.

Il n'aura échappé à personne que depuis environ 30 ans l'Islam se répand à grande vitesse en France, devenue "territoire de l'Islam".

La révolution française de 1789 vendant au monde sa "liberté", cela ne concernait qu'une oligarchie fière de se débarrasser de l'ancienne noblesse.


HUMUS-HUMAIN


Deux choses fondamentales liés au PAYS : le TERROIR, et son détachement : L'INSTANT.

En effet, la Terre ça colle aux pieds, et le terroir ça peut déboucher sur le racisme, le chauvinisme, et les guerres sans fin.
Mais tout terroir possède une "attraction", que les anciens devaient appeler "Vouivre". Les trois règnes possèdent une "couleur" liée à leur terroir ou territoire. Territoire ou PAYSAGE caractérisé par son relief, son climat, sa luminosité, c'est-à-dire la Vouivre du lieu. Les continents déterminent les grandes diversités humaines : Noir (Afrique), Rouge (Amérique), Jaune (Asie), Blanc (Europe). Ensuite vient la diversité des langues, dialectes, patois représentant la couleur du Paysage. C'est pour cela qu'il existe des langues propres à un Pays, lorsque qu'un État dictatorial n'impose pas de force une langue unique, histoire de favoriser le business, car tout se résume à cela depuis au moins 4000 ans.

Le terroir, la Province, le Paysage c'est le LIT de naissance, avec sa culture. Le Terroir, le Paysage de délimite NATURELLEMENT, et non arbitrairement avec des compas et des équerres !

La province, le paysage peuvent attirer tellement, la terre du terroir tellement coller aux pieds, que s'installe alors le chauvinisme, le racisme et le délit de sale gueule ou de l'étranger à la province, de "celui qui n'est pas de la paroisse". C'est ainsi que commence les guerres pour un territoire. Seule échappatoire : L'Instant.



Les gens disent : Les smriti [traditions, écritures] déclarent telle ou telle chose, mais maintenant ce n'est plus approprié. Je vais donc réformer le monde et récrire les smriti. C'est avec ces propos que les hommes, depuis des temps immémoriaux, défont et refont le monde. De tels réformateurs sont apparus et ont disparu ; mais les anciennes smriti sont toujours là. Pourquoi perdre son temps avec de telles questions ?
Que chacun s'occupe de ce qui le concerne. Et tout ira bien.
(Ramana Maharshi, entretien 161).

Et à propos de réformes sociales (en réponse à la Fabian Society).
La réforme de soi entraîne automatiquement la réforme sociale. Limitez-vous à votre propre réforme. La réforme sociale pendra soin d'elle-même.
(Ramana Maharshi, entretien 282).


Établir une synthèse signifie engager le mental [ego] dans d'autres poursuites [ergoteries]. Ce n'est pas la voie vers la Réalisation [du Soi ou Instant] (Ramana Maharshi, entretien 427).



Partie 1   Partie 2
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 10-07-2012 00:56

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >