Humanisme ou débilité humaine
Civilisation diabolique anti-humaine

VIOLENCE ET TERRORISME ÉTATIQUE.
HUMANISME INVERSÉ OU DRESSAGE HUMAIN (merci Pavlov)

 

 

 

Les Juifs Bolcheviks tortionnaires sont remplacés de nos jours par les « démocraties » tortionnaires (les Américains et leur Goulag, les Français ont également un bonne école de bourreaux).

 

Voir aussi la page : Siècle des lumières = ENFER

 

Violence étatique moderne :
- Coloniser de force.
- Sécuriser de force.
- Obtenir des « renseignements ».

Grande méthode encore plus violente que la traditionnelle torture, supplice, où le bourreau tenaille les chaires du condamné : la méthode moderne héritière du freudisme, et avant Freud du béhaviorisme grâce surtout à Pavlov, bourreau outil des Juifs Bolcheviks sans l’avoir voulu : institution du DRESSAGE HUMAIN :
« Si l’on veut briser quelqu’un, ce qu’il faut, c’est le rendre débile, dépendant et apeuré ». C’est le principe des méthodes du communismes des Juifs Bolcheviks.

- Rendre débile ou faire régresser mentalement, ou détruire la volonté : provoquer le stress par privation sensorielle ou modification de l’environnement perceptif. Ainsi le torturé demande de l’aide à son bourreau. C'est également appliqué dans certaines entreprises... où le taux de suicide est important.
Il s’agit de rendre réceptif à la « suggestion » ou plutôt à la manipulation mentale. C’est encore plus diabolique, PLUS CRUEL que les tortures sanguinolentes d’autrefois, justement parce que ça ne laisse pas de trace... tout au moins sur le corps, mais ça détruit un être humain en tant qu’être.

- En fait la torture moderne se résume au psychologique, ça fait plus "raison", plus "démocratique", et en 13 points de base :
1) l’isolement ; 2) la débilitation psychologique ; 3) la désorientation spatiale ; 4) la désorientation temporelle ; 5) la désorientation sensorielle ; 6) la privation sensorielle ; 7) le désespoir provoqué ; 8) l’assaut sensoriel (par exemple par sur-stimulation, comme dans le cas de la torture par son) ; 9) les menaces (dont les simulacres d’exécution) ; 10) les traitements bestiaux (où le sujet est ramené au rang d’animal) ; 11) les humiliations sexuelles et les viols ; 12) les profanations (forcer les victimes à assister ou à accomplir des actes de dégradation de ce qu’elles considèrent comme sacré) ; 13) la manipulation pharmacologique. (En référence à l’article de la page des éditions Zones).

- Ainsi la torture moderne de notre « civilisation » est la rencontre du Goulag et de la « psychologie » américaine mâtinée de béhaviorisme. On ne détruit plus le corps comme autrefois pour faire cracher les noms des complices du torturé, on lui détruit l’esprit ; il y a comme une inversion : perte du corps mais conservation de l’esprit ; perte de l’esprit mais conservation du corps, ce qui dans ce dernier cas est proprement diabolique comme cela ne l’avait jamais été auparavant : par exemple : coups, pendaison, supplice de l’eau, viol, simulacre d’exécution, et depuis l’utilisation de l’électricité : électrocution sans provoquer de mort. Cela se résume à : douleur physique. Avec ce système remontant à l’antiquité : sous la douleur physique on fait dire n’importe quoi ! Aussi les juges qui n’étaient pas des idiots, sous l’Ancien régime, ne faisait torturer le condamné que pour lui faire dire le nom de ses complices.

Violence étatique moderne :
- Coloniser de force.
- Sécuriser de force.
- Obtenir des « renseignements ».
Autrefois il fallait obtenir la culpabilité : AVOUEZ !
De nos jours, on projette vers l’avenir : conjurer les menaces. C’est encore plus diabolique et en inverse par rapport à l’Esprit. De la même manière, comme projection, on menace : c’est la crainte de la douleur qui compte, plus que la douleur elle-même. C’est typique du réflexe pavlovien et du chien qui salive à la vue de son repas.

On retrouve une technique pavlovienne sous la forme du condamné debout sur une poutre en bois haute perchée et la corde au coup. Ainsi, s’il fatigue ou s’il perd l’équilibre il se pend ou se condamne à mort lui même (un peu comme la position acrobatique de la photo du haut prise à la prison d’Abou Ghraib). Une variante est le supplice Indien du cordon de cuir passé au coup du condamné : le cuir est mouillé, le condamné exposé au soleil, et en séchant le cuir étrangle le type.
Les juifs Bolcheviks forçaient les prisonniers à rester debout, ou assis sur un petit tabouret étroit, pendant des jours et des nuits. Comme pour le pendu en équilibre sur sa poutre, le prisonnier des Juifs Bolcheviks devait « tenir le coup », mais au fur et à mesure que le temps passe la douleur et la fatigue s’installe, il se développe alors un conflit dans le prisonnier : résister ou continuer à souffrir ? comme une punition infligée à lui-même. C’est justement ce conflit interne qui rend ce genre de torture soviétique si efficace. Déjà isolé, le prisonnier s’enferme dans un combat autodestructeur avec lui-même, devenant son propre bourreau, comme le pendu ne pouvant plus tenir en équilibre sur sa poutre et qui se laisse pendre de lui-même.

Donc dans ces exemples la source de la douleur est la victime elle-même, ce n’est plus le bourreau ! Lequel est tout de même responsable de la situation du pendu, ou de la contrainte à faire rester assis ou debout le prisonnier pendant des jours.

La torture physique semble « naturelle », alors que la torture « moderne » est diabolique, car la personne n’est plus confronté directement à son bourreau, aussi elle se demande ce qu’il lui arrive. Détruire le corps comme autrefois, ou détruire le psychisme comme aujourd’hui, le résultat est le même : violence et, ou mort. Il n’existera jamais de « torture light ».

Torturer c’est rendre intenable (voir plus haut les 13 points formant l’Alpha et Oméga de la torture actuelle). Mais Big Pharma est là pour rendre « tenable »...

« Nous avons les moyens de vous faire parler ».
« Nous avons les moyens de vous faire oublier ».

Mais enfin ! Comment peut-on associer La vérité et la torture ! C’est une absurdité totale ! En fait il s’agit d’arracher par n’importe quelle violence UN OPINION, et donc UNE SOUMISSION. Ainsi le but de la torture est de BRISER LA POPULATION ENTIÈRE par l'exemple ou la propagande, comme autrefois le peuple se rendait en place de Grève pour voir rouer de coups un condamné (le dernier en France en 1781, soit seulement depuis 231 ans).

Selon la psychothérapeute Françoise Sironi (référence à l’article des éditions Zones) : « Contrairement aux idées reçues, le but réel de la torture mise en œuvre par le bourreau n’est assurément pas de faire parler, contrairement à ce qu’il peut prétendre, lui aussi. En fait, si l’on torture c’est pour faire taire. » C’est cela le secret des tortionnaires, le mieux gardé de leurs secrets. Il concerne non pas leurs moyens, mais leurs fins. Pour énoncer le véritable mot d’ordre de la torture, il faut en renverser diamétralement la maxime de façade : ce n’est pas « Nous avons les moyens de vous faire parler », mais bien plutôt : « Nous avons les moyens de vous faire taire. » Ne croyez pas qu’ils veulent votre vérité ; ils veulent votre destruction ».