Démocratie moderne = Surveillance mondiale
Comme on contrôle des patates ou des marchandises à l’aide de codes-barres
Nous sommes devenus des patates à codes-barres :
mon voisin porte le numéro 2, etc.,
nous sommes fichés par carte d’identité, de sécurité sociale, bancaire, etc., dans cette société du binaire ou numérique.
Tout est sous contrôle de Big Brother aux ordres de la City de Londres.

République démocratique = Despotisme (totalitarisme)

 

 

Depuis l’époque de la Renaissance la libre pensée triomphe, notamment grâce à l’invention de l’imprimerie, grâce à la Réforme, grâce aux génocides des peuples du Soleil produits par les conquistadors au nom de leur Dieu, et grâce au businessman Galilée qui savait vendre, et peu importe les faits il fallait faire du fric (Galilée était un copyrighté qui s’appropriait les idées des autres et les faisaient siennes ; il fut le savant le mieux payé de son époque. Les soi-disants « libres-penseurs » de toutes époques et de toutes écoles n’ont pas manqué de se servir de la condamnation de Galilée pour opposer l’Église de Rome à la Science comme son ennemie de 2000 ans. Les ignorants se sont émus en faveur du « malheureux savant » que ses découvertes rendirent victime de l’Inquisition, et qui fut contraint de « renier la vérité » entrevue par son opinion : « et pourtant elle tourne... ».
Résultat : progressivement en passant par le triomphe du mental ou « raison » au siècle des perruques poudrées et jusqu’à 1789, la libre pensée est morte, parce que désormais pour aucun gouvernement il ne sera possible d’accorder à chacun le droit de ne pas être d’accord. Donc le principe de la démocratie moderne ou république est la manipulation, l’endoctrinement pour obtenir du consentement des électeurs, ce qu’à bien compris le franc-maçon Jules Ferry et ses écoles obligatoires. Donc le principe de la démocratie est la manipulation ou propagande en finalisant l’opinion ou mental (notamment le subconscient) par la désinformation et l’erreur systématique des électeurs et des consommateurs sur de larges secteurs de la vie collective, privée, politique et économique. Pour les pouvoirs il s’agit de guider les peuples, à l’intérieur d’une fausse représentant du monde spatio-temporel, que l’on construira avec l’aide des médias, de manière à les porter où l’on veut. Pour manipuler il faut surveiller... Avec 7 milliards de terriens et la folie technologie, le pouvoir est contraint à la surveillance généralisée. Pour y échapper, il faudrait sortir de l’étatisme devenu mondialisme. Et comment y échapper  ? en s’attaquant à la source : la City de Londres. Parce que tout part de là... S’attaquer à la source veut-dire SE CONNAÎTRE SOI-MÊME, et le parasite City de Londres tombera de lui-même. Et ce temps là n’est pas si lointain.

 

La démocratie moderne consiste non pas en un gouvernement qui fait ce que la majorité veut, mais un gouvernement qui convainc les peuples à accepter ce que le gouvernement veut. J’appelle ça de l’étatisme. Ainsi les meneurs (oligarchie) républicanistes sont des manipulateurs et se mettant au-dessus des peuples moutons.
Il n’y a pas plus conformiste que les sociétés modernes dites « démocratiques », ou sociétés non totalitaires ; ces sociétés sont des automatismes (notamment par l’égalité), des machines robotisées, dans le sens que ce sont des systèmes socio-politiques qui fonctionnent sur la base d’une conformité (normes), ou du moins d’une variabilité limité, notamment par l’action sournoise de cette franc-maçonnerie spéculative cancérisée par le pouvoir et singeant la franc-maçonnerie ou compagnons bâtisseurs de cathédrales, et bâtit sur une hétéro-détermination hiérarchisée des besoins, des valeurs, des connaissances, des interprétations, des comportements.
D’autre part, pub commerciale et propagande politique sont identiques, les plus riches s’offrent la meilleure pub et les meilleurs experts et alors remportent la campagne commerciale ou politique.

Nous sommes passés d’une société basée sur le sens du mot « Noble » : le devoir, la responsabilité, le sacrifice ; à une société basée sur la « raison » ou triomphe du mental ou ego : le fameux « droit » (issu du langage écrit) brandit à tout bout de champs, la folie de la consommation, le plaisir immédiat (d’où la dette et le crédit : la croyance, donc une religion), l’immédiateté qu’on retrouve dans le « mariage gay » et la maladie de l’égalité, donc une société sans engagement : la société du jetable ou de l’obsolescence programmée.
Nous sommes passé d’une société orientée vers le bonheur spirituel vers une société matérialiste à la morale hédoniste orientée vers le fric et son plaisir matériel : consommer ; donc la femme est légalement l’égale de l’homme, elle n’est plus dans l’obligation de se marier, elle peut chevaucher les hommes qu’elles veut et subvenir à ses besoins financiers, divorcer, avorter, etc. Question de mode, et donc d’opinion !
Religions, étatisme, sciences, philosophies, sont les mêmes totalitarismes de l’opinion.

Nous avons perdu beaucoup en passant au langage écrit, il y a plus de 5000 ans. Ainsi, la science, la religion, la philosophie, la politique, la culture sont fondamentalement des artefacts qui procèdent de l’écrit. C’est grâce à ces artifices ou illusions que nous nous représentons nous-mêmes, et que nous nous représentons l’ensemble du monde, donc une production uniquement du mental ou ego. En somme, nous n’habitons pas vraiment ce monde, mais celui que notre mental construit. En fait nous remplissons le VIDE.

Avec l’arrivée du langage écrit arrive les lois et normes : pour faire de la sauce sociale il faut une norme commune (acceptée automatiquement et inconsciemment, donc non négociée, non démocratique) ; norme de croyances, de valeurs (indémontrables puisque le mot est proche de ‘voleur’), de convictions (indépendamment de la réalité de celles-ci qui ne sont qu’opinions). Donc contrairement à ce qu’affirment toutes les perruques poudrées du siècle des lumières avec leur « raison », les humains sont obligés d’être irrationnels et acritiques (ou qu’ils soient critiques et rationnels de façon marginale, ceux que les pouvoirs nomment « dévergondés », ceux qui savent se libérer de la masse et de ses normes).

La norme groupale ou grégarisme n’a pas à être véridique, ce qui est si pratique pour la démocratie ou Nouvel Ordre Mondial, elle n’a d’autre fonction que celle de sauvegarder la cohésion du groupe et de ses membres, donc d’être une RELIGION : « Votre attention s’il-vous-plait » évangélise l’annonce du Supermarché ou de la SNCF. Il s’agit bien d’une nouvelle religion : les litanies publicitaires si chargées du point de vue émotionnel mais sémantiquement indéterminées, vagues, ambiguës, de mots comme : justice, socialisme, solidarité, marché, démocratie, Dieu, patrie (mot interdit aujourd’hui), etc. Bref, c’est une vaste illusion digne des meilleurs prestidigitateurs, parce que situant dans l’évolutionnisme des Yahvistes et religions du salut : on est toujours éloigné de l’Instant parce qu’on ne concrétise jamais, on n’évalue jamais au moment de faire le bilan, parce que l’évolutionnisme est de nature à renvoyer à la « fin des temps » ou futur. On fuit en permanence l'Instant.
Donc la religion de la démocratie ne sert qu’à faire accepter le système puisqu’elle canalise le mécontentement hors de l’Instant, elle le renvoie au lendemain ou prochaines élections, et que par ailleurs, elle se dérobe à toute justification.

L’imprécision sémantique ajoutée à la Novlangue et le politiquement correct rend toutes opinions difficiles à contester dialectiquement, mais efficace pour noyer le poisson, faire prendre des lanternes pour des vessies afin d’obtenir l’adhésion de tous, parce que chacun associe à chaque opinion le contenu spécifique qui lui convient. Ainsi pour certains, « justice » veut dire ‘vengeance’, pour d’autres ‘équité’, etc. Bref, la manipulation de l’étatisme va privilégier ce qu’il y a en dessous de la ceinture : l’émotionnel et le sentiment sur l’effet pragmatique-critique.
Ainsi nous sommes sous la dictature de celui qui se prend pour Dieu et fabrique les âmes des individus selon l’opinion-phare du démiurge, aussi l’individu est devenu une marchandise, un vulgaire produit qui sera digne d’être sacrifié, jeté aux ordures, si celui-ci conteste l’opinion-phare du démiurge.
Ne jamais oublier que notre société occidentale est fondée sur la logique à la Aristote, donc plein pot dans l’évolutionnisme en idéation ou « raison » sur laquelle se base cette logique renvoyant des déductions distinctes, caractéristiques, donc qui divisent et empêchent de voir l’ensemble, qui empêchent la Vraie Connaissance (qui n’est pas analyse). La logique ou raison n’est pas la Vraie Connaissance, puisque une idéation ou raisonnement suit les règles ou normes de la logique, donc un bidouillage du mental, que dans la mesure où elles aboutissent à des conclusions qui charment l’ego ! Donc c’est encore et toujours le piège de l’opinion, il faut remplir...

Le Nouvel Ordre Mondial c’est l’extrémisme dominateur voulant créer une société nouvelle, un homme nouveau genre « religion de l’homme » et autres normes droits de l’hommistes, en transformant ceux qu’il a en son pouvoir (voir l’actuelle théorie du genre...).

 

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