Réintégrer les Dieux prochainement, oui, mais uniquement pour, comme autrefois il y a plus de 10.000 ans, échapper à l’utilitaire et intérêt galopant de cet après 1789, et même de celui des Anciens Égyptiens : « Les Dieux étaient vénérés lorsqu’ils se montraient efficaces, et méprisés lorsqu’ils ne l’étaient pas » (Hermès l’Égyptien, Garth Fowden).
RETOUR DES DIEUX = GRATUITÉ…
Tout étant dans Tout, si vous tuez la moindre forme de vie, vous tuez Dieu !
Le temps est venu de dépasser la dualité croire ou ne pas croire !!! Soit sortir de la dualité sujet-objet que d’autres nomment «
tiers exclu » depuis les ergoteries grecques.
Désormais il faut sortir de la prison de la « raison » et de sa « rationalité », sa logique et réthorique, pour enfin avoir une ouverture sur les formes de vie extraterrestre, ou intraterrestre.
LA CROYANCE C’EST DÉPASSÉ, CAR SEULEMENT OPINION.
RETROUVER LA FIDÉLITÉ ET LE RESPECT, ÊTRE UN SACHANT, RETROUVER LA VRAIE FOI.
FOI définition : Connaissance qui ne se cultive pas et ne s’approfondie pas (ce n’est pas de l’évolutionnisme ou éducation, apprentissage). Foi ou Soi, ou Christ est la globalité de l’EST (Je suis ce JE SUIS, le Christ-Al) et de l’ex-istant (Création et Es : ESter, EStre : être,
esse en latin, soit se tenir debout) ; c’est tout, ou ce n’est pas (voir ci-dessus l’entretien 264). On le sait ou on ne le sait pas. Parler d’un
« approfondissement de la foi » ne peut que signifier un travail du chapeau, une masturbation de l’opinion, du sentiment, de l'évolutionnisme.
La Foi c’est la Déesse égyptienne Maât : ce qui est DIRECT, donc voir le temporel à partir du Soi, et le retravailler dans l’optique de TOUT EST ALORS POSSIBLE. On le sait ou on ne le sait pas.
Aucun argument de l’athée est maintenant recevable quant à l’existence ou non d’un Dieu, l’athée étant l’
Homo Religiosus par excellence : il accepte bien son
« libre arbitre » ou
« liberté d’expression », mais quand il se retrouve devant le « Miroir Dieu » ça coince, car il n’est plus dans son confort !
Tout étant Mouvement, le spirituel aussi, et donc au-delà de l’au-delà. Immanence, Soi, MAIS EN MOUVEMENT (
Panenthéisme). Il n’y a pas de dogme ou de machin religieux fixe, le confort. La Taoïcité est Panenthéiste.
Le monde est divin parce qu’il y a un ordre supérieur inaccessible dans les trois règnes : minéral, végétal, animal, donc aussi dans l’humain, étant une ensemble des trois règnes. Tout est lié et délié : Un est le Tout... et en mouvement.
SACHANT : celui qui sait que le refus, ou plutôt l’oublie du Soi ou Dieu, l’oublie de l’Un qui est l’unité de Trois, a condamné les trois (parts trinitaires) à des conflits perpétuels de suprématie (ère du Winner et de l'opinion et de la possession de sa petite vérité). La Chute est la rupture de l’ordre trinitaire en toutes choses créées (voir la Pyrite de Fer montrant sa création à partir du Triangle équilatéral). « Le désordre qui est en tout mon être, du poil jusqu’au cerveau, se nourrit du désordre qui est autour de moi. Et le désordre qui est en moi, nourrit le désordre autour de moi. Le Christ [Soi] seul, transcende ce conflit de l’individuel et du collectif » (réf. Jean Coulonval,
Synthèse et Temps Nouveaux).
Aristote était un super travailleur du chapeau, qui alla jusqu’à imaginer (à la place de Dieu) qu’I-Celui se pensant Lui-même n’était même pas au courant qu’il avait créé quelque chose ! Évidemment puisqu’Il avait abandonné la dualité sujet-objet !!!
Alors, Dieu est-Il dans le monde ? Ou à l’extérieur du monde ? la Lumière de l’Essence (du chan) est-elle dans le monde ? Qui est lui-même dans le cerveau ?
Certains travailleurs du chapeau imaginèrent que Dieu mourait et devenait le monde 3D lui-même.
EN RÉSUMÉ : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous les deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés », comme l’énonce Ramana Maharshi ! Et c’est bien illustré par l’Ouroboros qui se bouffe la queue…
R. Maharshi dit bien-sûr que toute pensée est incompatible avec la Réalisation du Soi, donc « exclure toute pensée de nous-mêmes et toute autre pensée. La pensée est une chose et la Réalisation en est une autre » (entretien 30).
D’ailleurs, cette notion de Dieu renvoie à la Vraie Télépathie : Dieu ne peut pas exister sans quelqu’un qui l’invente… ou le perçoive… et la clairvoyance sans quelqu’un qui voit.
« Ce qui est dans le monde est dans le corps ; et ce qui est dans le corps est également dans le monde » (R.M. entretien 18).
« Si chacun s’occupait de ses propres affaires, il n’y aurait pas de querelles » (Ramana Maharshi, entretien 479)
Alors comme nous sommes à l’ère de la tyrannie de l’opinion, il est Aristote (logique) que le triomphe de l’ego amène l’individu à exploiter l’organisation, et les autres, à son propre avantage, société marchande oblige !
La CROISSANCE c’est maintenant la rivalité winner-loser et l’agression sans frein, voyez la mode du terrorisme ; ainsi la compétition sportive va prochainement dériver vers le meurtre ; car la compétition sera associé au désir de détruire l’adversaire comme le saint tuant le Dragon au lieu de se le mettre dans la poche, pour dompter son ego !
Le vrai sportif se DONNE À FOND, IL FAIT DANS LA GRATUITÉ, donc il ne tombe pas dans le sport aux dépens de lui-même ou des autres. On ne doit pas tomber dans cette infecte et meurtrière dualité winner-loser. Ne pas oublier que nous sommes dans une civilisation de LA SURVIE (et pas de la Vie). Désormais il faut se vendre !
RAPPEL : la désacralisation du sport commence avec le Sabre et le Goupillon : patriotisme et « formation du caractère » genre
« Tu seras un homme mon fils » (la théorie du genre n’était pas encore inventée). Ainsi l’activité devient un objet de consommation de masse comme regarder un match à la télé. D’où d’ailleurs à la fin du 19è siècle de la prolifération des universités américaines dotées d’espaces sportifs des plus sophistiqués, pépinières de winners et fabriques de diplômes oblige, évidemment pour s’en foutre plein les poches ensuite dans le monde du travail.
C’est comme ça que la mode du social prend de l’ampleur, et ce fut très utile dans l’industrialisation de la société : travail d’équipe ou le
« vivre ensemble » des capitalo-socialistes. À mesure que se développait la mécanisation des gens et de la civilisation, il fallait donner une orientation plus « scientifique » (entendre : technique).
C’est dans cette continuité de winner qu’apparaissent la presse Hearst et
Pulitzer, entretenant méchamment cette tyrannie de l’opinion et de la consommation de masse !
La nouvelle judéo-maçonnerie uniquement spéculative et née en 1717 à Londres essaye de façonner les peuples à travers l’éducation de masse, donc industrielle comme tout ce qui se faisait après 1789. Le résultat et évidemment l’EFFONDREMENT DU SYSTÈME ÉDUCATIF, CAR L’ÉDUCATION DE MASSE NE PEUT QU’ALLER AVEC LIBÉRALISME ET FOLLE ÉCONOMIE MONDIALE.
La croyance dans le pouvoir du bourrage de crânes (Big Data) est une grande composante de l’évolutionnisme.
Pourtant, malgré ces judéo-maçons, dont Jules Ferry, la « démocratisation » de l’éducation est un échec. L’éducation de masse et des masses n’a ni permise de mieux comprendre notre civilisation « moderne », ni amélioré la qualité de la culture populaire (même avec Internet et ses « réseaux sociaux »). Cette « nouvelle éducation » a contribué au déclin du niveau intellectuel et de la pensée critique (en dehors du règne de l’opinion comme par exemple le pratiquèrent les Rabelais,
Jonathan Swift & Cie). Cette nouvelle éducation n’a pas réduit le gigantesque écart entre riches et pauvres, il s’est même augmenté.
Dans cette civilisation industrielle, l’école forme les gens à être de futurs esclaves modernes : « Le seul espoir de la race nègre, et la solution de ce problème résident dans une éducation appropriée, presque exclusivement orientée de manière à faire des Noirs des citoyens utiles, en leur donnant une formation à vocation industrielle », citation qui peut s’attribuer au choix à Jules Ferry ou à George Eastman (elle est d’
Eastman), tant elle reflète cette dégueulasse mentalité de colonisation du Blanc « supérieur » sur le « sauvage ».
Cette civilisation industrielle ne forma pas des gens à la culture, mais a fait exactement le contraire : former des peuples d’abrutis, résignés à effectuer un travail sans intérêt, de mauvaise qualité (production dans le quantitatif et avec date d’obsolescence programmée), et disposés à ne chercher satisfaction que dans leurs heures consacrés aux loisirs (les messes du sport des fins de semaines, les vacances sacrées, courir les magasins, aller au cinéma, aux musées, etc.)
Évidemment la première source d’abrutissement ce sont les médias, l’entertainment et les politiques ! L’éducation nationale ça vient en second.
L’éducation judéo-maçonnique de masse qui se promettait de démocratiser la culture, jadis réservée aux classes privilégiés, a fini par abrutir les nouveaux privilégiés, et anciens en même temps !
La société moderne a réussit à créer un niveau sans précédent d’éducation normalisée compas-équerre, et a également produit à la brouette de nouvelles formes d’ignorance (l’Internet n’y change rien, et il faut disposer d’un ordinateur).
Pour nombre de jeunes, et adultes, il devient difficile de manier leur langue avec aisance et précision, et de se rappeler les faits essentiels de l’histoire de leur pays, ou de comprendre des textes écrits autrement que de façon rudimentaire.
Les traditions populaires d’autonomie, comme le Jardinier proche de sa terre, ont fait place à des connaissances virtualisées car gérées par les fameux « spécialistes » en ceci ou cela, avec diplômes encadrés derrière leur bureau. Ainsi, comment ne pas croire, dès lors, qu’une compétence suffisante, une autonomie dans quelque domaine que ce soit, donc surtout l’art de se gouverner soi-même, serait de nos jours hors de portée de l’humain ordinaire ? Où est alors la fameuse « démocratie » ?
Américains comme Européens, peu de gens connaissent leurs propres droits de citoyens, pardon, de Terriens.
L’éducation nationale de cette judéo-maçonnerie spéculative comme le GODF et son Jules Ferry, loin de créer une communauté de Terriens qui se gouverneraient eux-mêmes, donc qui se passeraient de toute chefferie ou étatisme, a plus que tout autre contribué à la propagande et manipulation conduisant à l’abrutissement mental, et la passivité politique ; ce qui est normal puisque celle-ci est trafiqué en sous mains par ce même GODF, dont nombre de ses membres sont dans le gouvernement française depuis de longues dates, et dans de nombreuses de ses institutions comme la police, la justice, etc.
L’origine de cette civilisation industrielle comme à la Renaissance avec l’opinion : L’ÉDUCATION POUR TOUS, afin de fournir à l’étatisme et à ses amis industriels des « citoyens éclairés » comme les perruques poudrées du siècle « des lumières ». Soit fournir aux industries à venir des esclaves efficaces, rentables. Au siècle des perruques poudrées l’opinion politique domina, les réformes de l’éducation allèrent de pair avec l’extension du droit de vote, puis après la séparation de l’Église de Rome et de l’État, puis des institutions du régime républicain.
L’école communale vient de la « démocratie », qui est censé fonder un être atteint de l’égalitarisme aigüe (tous dans le même moule), y compris devant la loi, avec gouvernement aux pouvoirs limités (évidemment c’est très différent dans la « réalité »).
Pour former le citoyen moderne ou habitants des cités, il fallait le faire sortir de son état de sauvage, de paysan, en le faisant venir à la ville, pour l’éduquer, mais surtout pour l’enrichir, L’ENGRAISSER POUR MIEUX L’EXPLOITER.
Pour le républicanisme il était très important d’avoir une nation de petits propriétaires, puisque désormais l’ego triomphait et que chacun avait droit à SA PETITE VÉRITÉ BIEN À LUI, donc le citoyen devenait un bourgeois, ce qui revient au même ! Pour ce régime de fièvre égalitariste, il fallait « répartir les richesses aussi équitablement que possible ».
Pour un
Thomas Jefferson, le but de l’éducation était, comme de nos jours, la diffusion de masse des informations, donc de l’informe ! Ce sera repris par un Phineas Taylor Barnum dans l’entertainment. Tout ça découlant des perruques poudrées et de leur Encyclopédie se résumant à :
« les connaissances utiles » (tout dans l’utilitaire, donc dans le matérialisme, l’intérêt, le calcul).
PERRUQUE S’OPPOSE À PAYSAN, un paysan ne porte pas de perruque qui le gênerait dans son travail DIRECT ; alors que les perruques poudrées ne travaillent que du chapeau. Ainsi les Paysans c’étaient des « sauvages » attachés à leurs traditions et chevillés aux superstitions, des Nègres qui faisaient obstacle au « progrès », comme autrefois les Païens face au « progrès » (spirituel) des Hébreux-Juifs.
L’époque de la Renaissance est bien le départ de cette tyrannie de l’opinion, je ne le répéterais jamais assez, car ça commence avec « les grandes découvertes » Galilée, l’imprimerie, etc., qui commençaient à mettre « la culture » à porté de presque tous. Les « sauvages » ou Païens qui restaient attachés à la terre, aux fontaines, sources, bois et aux Pierres levées représentaient l’ignorance aux yeux des perruques poudrées ou Occidentaux.
L’ÉDUCATION NATIONALE C’EST BIG BROTHER AVANT TOUT. L’objectif du républicanisme et de sa démocratie consiste à donner aux masse un accès à la culture, ce qui se traduit par UNE FORME DE CONTRÔLE SOCIAL (voyez ce qu’il se passe avec l’Internet qui fait peur à tout pouvoir étatique !).
Dans les années 1830, l’école communale se présentait, en partie, comme un moyen de décourager sournoisement les masses à aspirer à la « culture » (c’était réservé aux bourgeois des villes).
Pour la bourgeoisie montante du 19è siècle, il était du plus grand intérêt pour leur société d’organiser un système de scolarité obligatoire et « universel », qui isolerait l’élève (le futur citoyen) des autres influences (le Païen ou Paysan) et le soumettrait à un régime codifié ; il fallait que le système fût géré par une bureaucratie professionnelle centralisée.
Il s’agissait aussi pour ces bourgeois du républicanisme déjà rêvant du Nouvel Ordre Mondial, premièrement d’unifier la nation en éliminant les Provinces et leurs diversités linguistiques : français obligatoire pour tous, business oblige afin de faire avaler au jeune citoyen un sens patriotique, et faire naître chez lui une « loyauté envers les valeurs de la république » (modèle 1789, et 1776 chez les Zaméricains façonnés par les deux révolutions anglaises).
Cette à cette époque du 19è siècle que la bourgeoisie commence à mélanger pouvoir économique et pouvoir politique, car la formation professionnelle pour être esclave dans l’industrie était un complément à fourguer au futur citoyen de la république.
Futur citoyen gobant les
« valeurs de la république » (judéo-maçonnique) : autonomie, respect de soi-même, ouverture d’esprit, etc. Bref, la pitance républicaine était
« une discipline industrielle » (fini les perruques poudrées, on passait au costume-cravate).
UTILITAIRE D’ABORD, CULTURE LE WEEK END ET AUX VACANCES ou DANS LE SPORT.
LA VALEUR DE LA RÉPUBLIQUE C’EST TOUT SIMPLEMENT LA FABRICATION DU CITOYEN OU HABITANT DES CITÉS, DES VILLES. Vous pouvez d’ailleurs remplacer le sens de cette « valeur » par : « l’initiation politique » (la propagande).
ÉDUCATION = COULAGE DANS UN MOULE, modèle première guerre mondiale : « AJUSTER L’HOMME AU POSTE ».
Depuis un moment il n’aura échappé à personne, surtout depuis la mode du « mariage gay », que les minorités, les ethnies, ont le vent en poupe ou bénéficient d’une opinion favorable. Et contaminées par le cancer du pouvoir, elles en profite !
L’éducation nationale industrielle veut formater l’enfant DANS SON ENTIER, donc remplacer l’éducation que pouvait naturellement lui donner ses parents, et ainsi le formater « républicain ».
L’école judéo-maçonnique importa le travail de la famille à l’école, dans le rêve de faire de celle-ci un instrument non seulement d’éducation, mais selon la mode du moment un instrument de socialisation.
Aux USA suite à la guerre de Corée en 1951, leur chefferie vota la réactivation du
Selective Service Act pour le service militaire obligatoire pour tous….. sauf pour les étudiants ! Évidemment nombre de jeunes des classes moyennes s’inscrivirent en masse dans des universités afin d’échapper au service militaire.
Ici ou en Amérique, avec cette mode du winner, les écoles du secondaire (lycées) se consacraient de plus en plus à identifier les élèves doués, et à décourager les losers !
RAPPEL : l’éducation nationale engendre l’ego-égoïsme : compétition pour devenir un winner, aux dépens bien-sûr de la coopération. L’éducation nationale apprend
le monde-hôtel de Jacques Attali, là où tout le monde est de PASSAGE, NOMADE.
« Comment pouvez-vous connaître l’existence des choses, plutôt que votre propre existence ? » (R. Maharshi, entretien 380).
CONCLUSION : « Si chacun s’occupait de ses propres affaires, il n’y aurait pas de querelles » (Ramana Maharshi, entretien 479).
SAVOIR - VOULOIR - OSER - SE TAIRE, dit la Tradition. Le plus important étant SE TAIRE.
Comme disait Alan Watts, « De même qu’il est parfois nécessaire de se taire pour entendre ce que les autres ont à dire, la pensée elle-même doit faire silence pour pouvoir penser à autre chose qu’à elle-même ». Ce qui rejoint « Un mental vide et qui ne pense pas à sa vacuité, voilà ce qu’on appelle la Véritable Vacuité ».
À suivre…