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DICTATURE du plaisir Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-02-2016 23:42

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
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DICTATURE du plaisir
et opium du peuple
ou stratégie de survie sous
packaging judéo-maçonnique spéculatif :
« liberté-égalité-fraternité »

Le tout sécuritaire engendre naturellement LA PEUR.
 
 
Pages précédentes :
- Transhumanisme = peur de la mort
- Démocratie, Liberté QUE de consommer, brûler
- Éducation = évolutionnisme et robotisation de tous
- Le Social/Société fabrique la Psychose
- Société privatisée ou culte de l’ego
- Démocratie = Vendre, Vendre, Vendre

Dans une civilisation fondée sur l’illusion renforcée par le cancer technologie et sa « réalité virtuelle », il n’y a pas d’avenir, contrairement à ce que vendent les transhumanistes.

Dans cette civilisation au culte de l’ego : le mental observant le mental comme dans un miroir, et en croissance à l’indéfinie, ce mental tue le Soi-Instant, il tue le spontané.
Dans cette civilisation atteinte de la fièvre du social et de l’égalitarisme, et de la culture de masse, les individus sont malades de la routine, de la banalité, d’où le succès des drogues comme celles de l’entertainment, du speed, des messes du sport, et des drogues légales et illégales de la finance internationale. C’est tout bon pour éviter les protestations ou éviter d’apporter des améliorations dans « le social », ou éviter la révolution.
 
Cette civilisation de la routine, du repliement sur l’ego, rendant les gens autistes, est comme Andy Warhol se regardant dans un miroir et n’y voyant RIEN !…
Notre civilisation à peur du VIDE, donc de la MORT (l’après-vie est une conception du mentale). Alors elle comble par un « vagabondage incessant » qui est le propre du mental : ERRER, NOMADISER COMME LE PEUPLE ÉLU ou le monde-hôtel ou monde-nomade de Jacques Attali ; ce monde bureaucratisé tant sa complexité est devenu grande, donc tout bénéfice pour les bouffeurs de relations sociales et de raison et les transhumanistes des Google & Cie.

Les cancéreux du pouvoir sous leur package publicitaire « démocratie » aiment à vendre leur social, leur « plaisir » (liberté), et ne recourrons que rarement aux lois liberticides (ce qui devient de moins en moins vrai en « liberté d’expression » et mode du terrorisme). C’est cette « gauche » qui sous prétexte de « social » ou « vivre ensemble » fout le chaos partout : Narcisse divise à qui mieux-mieux : Winners contre Losers (les riches contre les pauvres ou troupeaux), parce que les cancéreux ont peur de tomber dans le camp des Losers, le troupeau. Ils veulent des héros, des « gagneurs » comme aux jeux de la Française des Jeux. Ces cancéreux sont en permanence à la recherche de « bravos », il suffit d’entendre un Manuel Valls sortir à tout bout de phrase sa litanie théâtrale : « les valeurs de la république », pour avoir la preuve de son parfait narcissisme : IL CHERCHE MALADIVEMENT LA RECONNAISSANCE !!! Le Super Héros de Manuel Valls c’est le régime républicain, c’est son lit douillet, son nid, son cocon. Donc il n’est pas lui-même.
Avec la mode des jeux olympiques et les messes de sports pendant les fins de semaine nous sommes en pleines civilisation narcissique : cancéreux du pouvoir d’un côté et le public servant de miroir pour les retour (les bravos, ou leurs contraires les huées). La vie publique est devenu de l’entertainment à la Hollywood. Mais nous en arrivons à être blasé grâce à cette civilisation de l’abondance et du TOUT ET TOUT DE SUITE, ce qui est une preuve de l’exaltation de l’ego.

Dans le Nouvel Ordre Mondial la « Raison » est devenu un BUREAU, FAÇON GADLU (de certains judéo-maçons et leur Grand Architecte De L’Univers). Donc RAISON = TRAVAIL DU CHAPEAU ET TYRANNIE DE L'OPINION. C’est la maladie contemporaine, d’où le succès des DMS I-V en psychiatrie. D’où le succès aussi de la mode des « réseaux sociaux » du socialisme galopant : société du spectacle où chacun a un rôle à jouer dans la représentation de son ego mise en scène dans la vie quotidienne ou monde des accidents. Pour ce nouvel ego, la seule réalité sera son aptitude à bouffer de l’information tout azimut dans le Big Datas de cette culture de masse.
Bouffer de l’info pour combler cette peur du Vide, cette peur de la mort qui sera le Diable pour le plus crétin des transhumanistes.

Cette peur de la mort très bien symbolisée par la Sorcière de Blanche-Neige se contemplant dans son miroir pour surveiller si elle ne vieillit pas, et surtout pour surveiller s’il est est une Winner en domaine de la beauté ! Il n’y a pas longtemps une brochure publicitaire pour vendre sa daube de produits de beauté montrait une femme nue avec ces mots : « Votre chef-d’œuvre : C’EST VOUS » (on mettait donc en vente le Soi).
En fièvre de l’égalité : homme et femme doivent se masturber le nombril pour être le Super Héros que le Grégarisme attend d’eux. De nos jours la puissance du travail c’est le SMILE, LE EYES CANDY, ce que vous renvoyez à la gueule des autres, d’où la mode des réseaux sociaux. Homme et femme doivent donner une image de eyes candy d’eux-mêmes et devenir à la fois acteur et connaisseur avertis de leur prestation.
Au 18è siècle la mode était sur le caractère commun à toute la race humaine. Au 20è siècle on commence à voir l’ego, le ‘je’, comme expression unique et particulière de chacun (bonjour la tautologie corporifiée). Ainsi l’extérieur devait refléter l’intérieur, ce qui était aussi tout bon pour la psychanalyse de Freud, qui contrairement aux apparences ne procédait pas de l’intérieur vers l’ extérieur, mais bien de l’inverse ! D’ailleurs selon le principe marxiste ou de Sartre et des existentialistes !!

Peur du vide ou de mourir, et surtout maintenant du tout sécuritaire : peur de se trahir comme la Sorcière de Blanche-Neige !


LA ROUTINE SOCIALE

Routine social ou mécontentement au travail ! Idem pour la culture de masse et sa « liberté d’expression » condamnant à renforcer la routine et paralysant la volonté de vrai changement de société !
L’exacerbation de l’ego, ou l’ego observant l’ego détruit l’Instant, la spontanéité ; ça intensifie l’oubli du QUI SUIS-JE ? la Vraie Personnalité : ‘Je’ avec le J majuscule.
Dans notre civilisation fondée sur l’illusion : arts, religions, « ismes », et maintenant la technologie de « réalité virtuelle » (ou plutôt renforcement de l’illusion !), c’est NO FUTUR (tout est devenu à l’envers). Cette routine et banalité vont notamment nous donner la Messe du Sport.

DICTATURE DU PLAISIR.

De nos jours, on pourrait croire encore que le jeu, le sport, est sans danger par rapport à l'alcool, mais maintenant ce n’est plus vrai puisque LES SPORTIFS PROS SE DROGUENT, selon le principe du Winner et du narcissisme.
Le vrai jeu c’est celui de l’innocence, de l’enfance, LA FRAÎCHEUR, celle que l’on retrouve en dégustant des contes de fées. Le jeu recréé la liberté ou perfection de l’origine, de l’enfance, de l’ÂGE D’OR, ainsi il se démarque de l’illusion du monde des accidents ou spatio-temporel. LE VRAI JEU EST GRATUIT : AUCUNE MÉDAILLE, PAS DE BRAVO OU RECONNAISSANCE INSTITUTIONNELLE ; IL DOIT RESTER LE GRAAL DE L’INUTILITÉ (Pierre Philosophale). Il ne doit pas contribuer à la richesse de l’humain, comme par exemple les jeux-impôts cachés de la Française des Jeux, ni au confort ou sécuritaire, ni même à la survie physique. LE VRAI JEU C’EST LA GRATUITÉ.
SEUL LE VIDE, L’INUTILE À UN POUVOIR ATTRACTIF, IL EST ÉNERGIE LIBRE, IL EST LE CONTRAIRE DE LA THERMODYNAMIQUE CHÈRE AU NOUVEL ORDRE MONDIAL. Le Vrai Jeu n’est pas un but à atteindre, il n’est pas non plus moralisateur car il tomberait sous l’opinion, sous le formatage éducationnel, ou sous le « progrès social ».
LE VRAI JEU C’EST L’ÂGE D’OR. UN JEU « ORGANISÉ » N’EST PAS UN JEU (il y a court-circuit). UN JEU QUI SE PREND AU SÉRIEUX N’EST PAS UN JEU. UN JEU BANALISÉ N’EST PAS UN JEU. Donner de l’importance au jeu c’est le tuer.
Dans le vrai jeu il y a des règles naturelles, et si l’humain y introduit son opinion, le jeu meurt. Briser les règles originelles, et le jeu meurt, le merveilleux meurt.


La civilisation industrielle produit du quantitatif donc de la routine, ce qui nécessite du DIVERTISSEMENT OU ENTERTAINMENT, « du pain du vin, des jeux » comme disait le pouvoir de l’Empire Romain. Les gens cherchent alors dans le sport et les jeux d’argent les énergies, les exigences qu’ils ne trouveront plus dans l’esclavage du monde capitaliste. Quand le travail perd son caractère de réalité, toucher la matière, avoir le contact avec la matière, donc avec une forme de spiritualité, alors il devient impersonnel et abstrait, artificiel.
Le risque, la spontanéité, l’audace ou la singularité n’ont pas de place dans cette civilisation industrielle où il faut produire à tous prix, et par conséquence contrôler l’avenir et éliminer tout risque. Alors le jeu actuel comme le sport va prendre une place considérable et sans précédent par rapport à l’avant 1789, et même par rapport à l’Ancienne Grèce où une grande partie de la vie sociale tournait autour des compétitions : se DONNER à fond.

Comme de tout maintenant, le sport c’est de l’entertainment, donc du business de capitalisme ou production de masse. Le sport c’est comme fabriquer des lessives en quantité et vendre des compétences athlétiques à une vaste clientèle (les clubs sportifs et le public).

ESPRIT D’ÉQUIPE = SOCIAL ET CAPITALISME ET HUMANISME SENTIMENTAL.

Un BIG symbole du Nouvel Ordre Mondial et du capitalisme ce sont les Jeux Olympiques, emblème de la bourgeoisie montante à l’après 1789, comme l’était la Couille en Or Pierre de Coubertin admirateur de l’oligarchie anglo-américaine. Pierre de Couvertin est né au mieux dans l’âge d’or des Self-made men (robber barons : de rober : voler et Couilles en Or depuis les pillages du pétrole et de l’or entre les massacres des Amérindiens et jusqu’à la juiverie financière internationale genre les frères Warburg, ou les frères Pereire en France sous Napoléon III).

De Coubertin qui remis au goût du jour les jeux olympiques des Grecs admirait l’empire anglais et donc le principe du Winner, et se demandait si c’était applicable à la France encore très païenne (paysanne). Ainsi démarre cette nouvelle religion du sport développé dans la classe moyennes républicaine, en opposition avec la classe aristocratique et la tradition populaire du monde paysan ; bref, la division ancienne entre Païens et Chrétiens devenus des « citoyens ». La bourgeoisie montante venait d’utiliser le sport selon le règne de l’opinion : morale, respectabilité, patriotisme (époque « sabre-goupillon ») et machisme ou règne en force de l’hétérosexuel (la théorie du genre n’était pas encore inventée).
Le jeu moderne retransmis aux messes de fin de semaine reflète bien la routine, la banalité, le système, le culte du winner avec esprit militaire du « C’est moi le plus fort » en bastion du machisme (on peut un peu comprendre les féministes, sauf les extrémistes). Bref, LE JEU MODERNE EST DEVENU PROFANE, LAÏCITÉ JUDÉO-MAÇONNIQUE OBLIGE ! Ce jeu profane, laïc, est devenu de l’entertainment banale et du sensationnalisme primaire. Au lieu de s’engager dans la liberté et la fraîcheur de l’origine, le jeu moderne joue avec cette dualité d’adolescence et de barbarie ou vulgarité. Nouvel Ordre Mondial oblige, le jeu moderne évite maintenant l’exaltation du patriotisme.

MORALE = CLASSE DIRIGEANTE ET JUDÉO-MAÇONNISÉE.

Pierre de Coubertin avait compris que SPORT = EMPIRE ANGLO-AMÉRICAIN, donc soumission à la vie de citoyen ou habitant des cités ou villes. Le bourgeois de l’après son coup d’État de 1789 voulait fourguer sa morale judéo-maçonnique spéculative : sobriété, suppression des sports et fêtes populaires (dehors les pays et paysans et place aux citoyens). Les fêtes et bals de village, la course de taureaux, les combats de coqs, les jeux de balles ou boules scandalisaient les nouveaux maîtres bourgeois. De plus ces réjouissances encombraient le « sociale » mais surtout freinaient les affaires en distrayant les populations et encourageant l’oisiveté (ne pas oublier que le 19è siècle fut l’apogée du règne des bagnes pour petits et grands, religion de l’argent oblige).
Au nom du « progrès » ou évolutionnisme à la mode Darwin, les bourgeois exhortèrent les travailleurs (les nouveaux ouvriers) à renoncer aux sports de villages et aux fêtes traditionnelles, au profit de la naissance du confort ou sécuritaire : LA DOUCEUR DU FOYER avec la famille devenant le winner de l’époque (le « travail-famille-patrie » du début des années 1940).

J’ai déjà évoqué le récit de Gustave Thibon dans la Provence du début du 19è siècle non encore contaminé par le parasitisme républicain : où nobles et paysans faisaient bon mariage en respectant l’autre et ainsi en se préservant de la fière de l’égalitarisme. Ce petit monde libéré du totalitarisme républicain n’était pas contaminé par la piété évangélique de l’Église de Rome, ni par l’esprit d’entreprise du capitalisme montant, ni par un humanisme sentimental et faux qui allait fourguer la mode du socialisme tout au long du 19è siècle.
Aux États-Unis sévissait la campagne populaire : contre les distractions populaires, contre l’alcoolisme, et protestantisme oblige, pour demander une stricte observance du repos dominical (1). Il s’en suivit la division entre : la classe populaire des immigrés et des catholiques (les démocrates US) défendant ses droits de boire et de jouer aux jeux d’argent, la classe bourgeoise et sa « respectabilité » (ce sont les gens « de bien », ou plutôt des biens… ). À cette seconde division, les bourgeois furent souvent associé aux sports, qui va évidemment avec « l’esprit d’entreprise » (le moderne « vivre ensemble » des actuels capitalo-socialistes).

Autrefois on conseillait au jeune winner de se mettre jeune dans les affaires et d’y apprendre tous les rouages (voyez comme tel ou tel magnat juif du cinéma commença) ; de nos jours on dit à ce même jeune ambitieux que la « réussite » se trouve sur le « terrain de jeu », EN COMPÉTITION GUERRIÈRE ( merci Mr. de Coubertin !), mais évidemment on n’est pas des « sauvages », on se sert la main (sauf chez Al Capone !)

SPORT = ÊTRE COMPÉTITIF EN AFFAIRE. IMPÉRIALISME = COMPÉTITION SPORTIVE COMME BASE DE L’EMPIRE. TENIR OU PÉRIR, COMME L’ARMÉE FACE À L’ENNEMI, pour « cueillir les fleurs de la victoire ». RÉSULTAT : RACISME GALOPANT DE L’IMPÉRIALISME US ! SOUS PACKAGING DE MORALE (de nos jours sous packaging de « démocratie »).
Depuis Pierre de Coubertin ce n’est plus la religion qui est l’opium du peuple, C’EST LE SPORT. Pensez-donc, il enseigne : le militarisme, l’autoritarisme et la virilité, le racisme et le sexisme, la haine du camp opposé, la vulgarité et la bêtise, etc. Le sport permet surtout au régime républicain d’éviter toute révolution ; il est comme pour empêcher en milieu fermé les adolescents de se masturber où il faut les faire crever dans des exercices physiques. Mais la compétition comme tout maintenant doit être tournée vers le plaisir.

Le capitalisme a peu à peu remplacé les moyens directes de domination par le fameux « marché libre » (libéralisme). Ainsi les citoyens du monde passe de l’état de serfs (les ouvriers du 19è siècle) à l’état de travailleurs émancipés (on est en démocratie). Ajoutez à ça le COLONIALISME lié au capitalisme-socialisme et fleurissant tout au long du 19è siècle : au lieu d’imposer un régime militaire aux colonies, les nations industrielles gouvernent par l’intermédiaire du système mercantile États-Clients, quasiment souverain, qui font régner l’ordre à leur place. Moyen astucieux de réduire le racisme et de fermer la gueule à l’aristocratie militaire héritière de celle de l’avant 1789 (et qui ne plaisaient pas du tout à cette judéo-maçonnerie spéculative style GODF).

La morale c’est comme le sport ou l’entertainment : TOUT DANS LES APPARENCES, PUISQUE TOUT DANS L’EGO, TOUT DANS L’OPINION. Le social et sa morale nous interdit le cannibalisme et l’inceste, puis l’adultère (n’est plus vrai aujourd’hui avec la mode de l’échangisme en monde-hôtel et du « mariage pour tous », GPA etc.), mais elle ne s’inquiète pas du pourquoi, seul le superficiel, l’apparence, le résultat l’intéresse. Ainsi elle ne tient aucun compte de la pureté ou de l’impureté des eaux, pourvu qu’elles empruntent les canaux qu’elle a tracé par son opinion, par ses lois, et comme elle est incapable de changer le mal en bien, elle fait dans le quantitatif : le mal par le mal (voyez en France notre « état d’urgence » de 2015-16).
La morale spirituelle repose sur l’intérieur : « le Royaume des Cieux est en vous », donc le Soi-Instant ou Christ. Au-dessus de l’épouvantable dualité « bien-mal » procédant de la même source polluée, là où roulent les mêmes souillures, il existe le Soi éternel et sans dualité, alors il s’agit seulement de purifier la source, et non de construire des digues ou des lois à n’en plus finir, ou des canaux autour d’un fleuve impur !


Note.
1. Voir l’époque des « Lois Bleues » (Blue laws) qui interdisaient les activités laïques ou séculières le dimanche : commerce, entertainment, voyages, sports, etc. Les premières instructions étaient imprimées sur du papier bleu dans le Connecticut. Ces lois contraignaient au secret et à la dissidence un grand nombre de distractions populaires devenues illégales ! Témoignage de l’échec de l’alliance entre le sport et l’opinion. Ça montre surtout que la mentalité des bourgeois de l’après 1789 était tout à fait opposé au jeu, car le jeu ne contribuait en rien à faire du fric ! Il pouvait être jeu d’argent et encourager des dépenses inconsidérées, toutes pertes pour les bourgeois ! Qui dit bourgeois dit perruques poudrées du siècle des lumières, donc DES GENS RATIONNELS FIÈRES DE LEUR « RAISON », et les jeux c’étaient des trucs de sorciers, de magiciens, de saltimbanques (métier de jongleur, acrobate danseur, bateleur, etc.), des trucs d’illusions, irrationnels, des trucs de magie ; et rebelote la lutte Païens contre Judéo-Chrétiens-Protestants.

À suivre…
 
 

Dernière mise à jour : 02-03-2016 00:18

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