RE-PRÉSENTATION : ce qui saisit (le spectateur) et fixe, coagule (par les mots/maux et les images et leur virtuel). Or le Seul Réel ne se laisse pas identifier, donc pas re-présenter. Le Seul Réel ne peut qu’être Ici et Maintenant, dans l’Instant, sans événement ou HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule).
« La vérité est ailleurs » comme dit une devise de la série
X-Files : Aux frontière du réel. En effet, le Réel est toujours dans l’Instant, mais n’apparaît qu’ailleurs ! Ainsi, regarder ailleurs si l’on veut l’apercevoir, donc ne pas suivre le troupeau du social…
Utiliser des bits informatique (
binary digit) ou copier C’EST RECOURIR À L’EXTÉRIEUR ET TOMBER DANS LA DUALITÉ, dans ce que certains appellent
« l’objectivité ».
Nous ne sommes pas à l’intérieur ou à l’extérieur de l’Univers, donc du Soi, il est à l’intérieur de nous, simplement parce qu’il est NOUS ET NOUS SOMMES LUI. Toute copie ou
« avancée » (projection yahviste) transhumaniste ou
« d’intelligence artificielle » ne sera que copie et DÉFORMATION DE L’ORIGINAL. La copie digitalisée ou non ne sera JAMAIS identique à l’Original parce que cela rejoint le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI et que rien ne peut existe en dehors du Soi.
Le Seul Réel n’est pas copiable parce QU’IMPOSSIBLE À IDENTIFIER : IL EST
SINGULARITÉ. Ce que vous ne pouvez pas identifier vous ne pouvez pas le copier !!! Seul ce monde de la quantité et donc de l’ignorance peut être copiable et divisable.
La copie est identique à ce qu’énonçait Heisenberg dans la relation d’incertitude : l’intervention de l’observateur, donc de la dualité sujet-objet, va modifier de manière décisive la nature de ce qui est observé.
La copie est identique au LANGAGE ET SES MOTS/MAUX QUI SONT UN OUTRAGE AU SEUL RÉEL, ET L’ÊTRE HUMAIN PAR SON LANGAGE-OPINION SERA UN KILLER DU SEUL RÉEL.
La copie veut son indépendance, comme le montre le courant transhumaniste et son intelligence artificielle : tout vers l’extérieur et par conséquence COUPURE DES RACINES. Par exemple en médecine quantitatiste ou du capitalisme (médecine industrielle), le médecin délaisse totalement la ca(u)se pour ne s’occuper que de l’effet : RENTABILITÉ CAPITALISTE OBLIGE, ET TOUT MESURER OBLIGE AUSSI (principe du Big Brother déjà amorcé à l’époque de la Renaissance avec Galilée et l’imprimerie…). En médecine capitaliste il n’y aura plus aucun médecin pour reconnaître l’origine ou cause des symptômes-effets. Selon le principe du tout mesurer ou du POUR-VOIR (Big Brother), les machines ou informaticiens (selon la mode des
« spécialistes ») feront de la jonglerie de big data informatique et sortiront une prescription de traitement, conformément à la robotisation de l’humain aussi commencée à la Renaissance (comme l’avait bien vu Jean Coulonval dans :
Synthèse et Temps Nouveaux).
MÉDECINS = ILLUSIONS comme toutes les illusions de cette non-création : conséquence, le médecin comme l’ignorant qui ne croit que son corps NE SAIT PAS.
LA MÉDECINE EST PURE PRAGMATISME (le tout mesurer, le tout Pour-Voir et au Diable la source des symptômes pourvu que la culture du narcissisme continue à fonctionner !).
Big Data = culte du narcissisme : la médecine d’avant les « rayons x » faisait partie du règne du SILENCE DES ORGANES (signe de bonne santé), mais avec cette culture du narcissisme ON LEUR DONNE LA PAROLE : EGO, EGO, EGO AUSSI DES ORGANES ! Eux aussi doivent être sur Youtube ! C’est la médecine-narcisse qui confond la bonne santé avec le NARCISSISME-BIG-BROTHER (être sans arrêt connecté et sous auto-surveillance, laquelle se retrouve aussi dans l’opinion ou chacun ne doit pas sortir du troupeau et utiliser la « bonne » liberté d’expression ou auto-censure : MONDE D’ORWELL DE 1984.
C’est le monde de l’URSS et de L’AUTOCENSURE (hypocondrie sous le Thème santé) : principe de l’INQUISITION et de la Tchéka (police politique de l'URSS) qui copie l’Inquisition. Car en URSS comme en république il s’agit de défendre un DOGME, appelé aussi ‘Valeur’, c’est-à-dire une position du mental qui, pour l’accusation ou le pouvoir, est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme la laïcité ou les « valeurs républicaines », comme un centre dont on ne doit pas s’écarter sous peine de raisonnement faux.
Aussi, si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Tout accusé qui se reconnaît lié à la foi d’une religion (par exemple c’était le cas de Galilée, et c’est le cas de tous membres d’un parti, surtout communiste ou socialiste ou d’une république) est supposé avoir parfaitement conscience d’avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental. Il est donc normal que le tribunal lui demande : « Sais-tu pourquoi tu es là ? » S’il le sait, il se condamne lui-même par auto-critique (auto-surveillance aussi médicale) et ne subit qu’une peine légère ou ne subit pas une condamnation imposée. S’il ne sait pas pourquoi on lui reproche quelque chose, c’est qu’il est fou, et pour ce cas là le post-stalinisme des années 1960-1970 a institué des hôpitaux psychiatriques spéciaux. L’inquisition brûlait ses opposants comme possédés de Satan, c’était moins barbare que n’importe quel hôpital psychiatrique moderne. Inquisition et Tchéka ont la même configuration mentale ; on peut y ajouter maintenant toute la clique des cancéreux du pouvoir de cette démocratie mondiale (Nouvel Ordre Mondial).
DÉMOCRATIE = CONFLITS PERMANENTS ET STRATÉGIE PERMANENTE DE RÉPARATION.
Le robot humain fonctionne donc désormais selon une mode, une logique : « métabolisme » (effets) PROGRAMMABLE : tout devient traduisible, COPIABLE, sous dictature des fameux ALGORITHMES QUI SONT SI EMPLOYÉS PAR LA JUIVERIE FINANCIÈRE INTERNATIONALE. Dans ce monde illusoire de la copie tout peut être mise en algorithmes, c’est ce que certains appellent
« intelligence artificielle », et C’EST BIEN UN ARTIFICE DE CHEZ PRESTIDIGITALISATEUR !!!
Les géants de Big Pharma et de Big en gros et bio-banques de chez City de Londres et sa juiverie financière internationale, se battent déjà pour savoir qui sera le winner pour s’en foutre plein les comptes en banques, voyez la mode du
« tout connecté » qui parasite aussi la médecine
« connectée » (ou
« télémédecine » et
« e-santé », terminé le contact humain pourtant vendu par son
"vivre ensemble”, Non, c'est narcisse et chacun pour soi : le votre ceci, votre cela, votre santé, etc...) ; L’INFORMATIQUE EST PIRE QUE LE VIRUS DE LA LÈPRE OU DE LA GRIPPE. L’être humain est possédé par son mental devenu LE Diable, UN ROBOT FROID COMME SES TÔLES-BOULONS QUE L’ON RETROUVE ABSOLUMENT DANS
TOUS SES FILMS DE SCIENCE-FICTION (cela en devient même comique !).
Dans ce monde de la copie ET DU CAPITALISME IL FAUT ÊTRE RENTABLE ET COMPÉTITIF, DONC ON RÉDUIT L’HUMAIN AUSSI À ÇA :
ON LE SIMPLIFIE À L’EXTRÊME (les transhumanismes voudraient le réduire à un truc de nano…).
La frontière entre ce qu’il reste de l’humain, de l’animal et du végétal va devenir de plus en plus floue ET STATIQUE, conformément au dogme Luciférien de la City de Londres où toute évolution vers la VRAIE LIBERTÉ sera interrompue, et sera remplacée par une ÉVOLUTION STATIQUE ET ARTIFICIELLE à la fois dans le végétal, le minéral et l’animal et humain. Nous allons vers une horrible et monstrueuse DIVISION :
- Ou la victoire du monde Luciférien ayant naissance et obligatoirement mort (mais qui pourrait entre les deux durer des millénaires),
- Ou la victoire du monde du Soi ou Monde Divin éternel.
Dans un cas comme dans l’autre le mot « Bien » disparaît car on sera arrivé à une non-dualité : soit DIGITALISÉE (et donc fausse comme le fétiche), soit à LA Non-Dualité du Soi. Il n’existera plus aucune alternative, mais un fort risque de guerre cosmique genre Apocalypse 12, 7 : combat de Michel et ses Anges contre le Dragon (le Diable ou le Satam Grand Administrateur Séducteur) et ses Anges.
Comment les Big trucs de la City de Londres et de ses industries pourraient parasiter le monde alors qu’icelui n’existe pas ??? Pas d’Univers, pas de distance, pas d’obstacle, donc pas de bobo !!!
Seul existe le
« Royaume des Cieux qui est en Vous » : Conscience infinie
(2) où nous tous ne cessons de naître et de renaître et, par la force de notre propre pensée, de revenir à un état de Félicité ; ce qui ressemble beaucoup à un jeu d’enfant donc à l’Alchimie… (En réf. à
Yoga Vasistha III, 29-30).
La médecine des
e-santé ou
e-connecté des transhumanistes et autre
« raison artificielle » se considérant comme des CORPS, ne peuvent pas entrer par le chas d’une aiguille ou d’un conduit encore plus subtil. Seul l’opinion
« je suis le corps » a besoin de cette future médecine car ce corps est entravé dans ses mouvements, corps qui n’est même qu’une entrave à lui tout seul ce que voudrait résoudre les
« raisons artificielles ». Mais quand cette opinion n’existe pas, l’entrave ou la maladie n’existe pas. « De même que l’eau demeure de l’eau qui s’écoule vers le bas [ici sur Terre], et que le feu n’abandonne pas sa nature qui le fait monter, la conscience demeure à jamais conscience », dit le condensé du YV.
Celui qui sait que le corps est subtil ne voit aucune entrave existante.
« En vérité, le corps de chacun en tout lieu est pure conscience ; mais, du fait d’une idée qui point dans le cœur, tout ce va-et-vient donne l’impression d’avoir lieu. Car c’est la même conscience infinie qui est la conscience individuelle (le mental) et l’espace cosmique (matériel). Le corps subtil peut donc pénétrer à l’intérieur de toute chose où qu’elle se trouve [cas de la clairvoyance], et il va là où le conduit le souhait du corps », dit le condensé du YV.
Le condensé du YV dit aussi : « De même que l’être cosmique crée l’Univers après la dissolution cosmique, l’individu crée son propre monde après sa mort [chose rendue impossible avec l’
intelligence artificielle et les transhumanistes…]. Toutefois, des Divinités comme Brahma, Visnu, Shiva et les grands Sages en état de sainteté parviennent à la libération ultime pendant la dissolution cosmique et, pour eux, la création du cycle suivant ne dépend en rien de leurs souvenirs [plutôt de leurs tendances
(3)]. Dans le cas des autres êtres, la nouvelle création qui succède à la mort qui clôt un cycle dépend de leurs souvenirs [tendances]. Elle est conditionnée par les impressions que les divers expériences faites au cours de cette existence-là ont laissées dans le mental ».
« Immédiatement après la mort (l’état où l’on peut dire que nous ne sommes ni ici ni là), quand la conscience, pour ainsi dire, entrouvre les yeux bien qu’elle ne paraisse pas le faire - cet état porte le nom de
pradhâna ou état de conscience inerte
(3). Il est aussi appelé nature subtile, nature non-manifeste, et considéré tout à la fois comme doué de sensation et dénué de sensation. C’est lui qui est responsable de la prochaine naissance.
Une fois cette nature subtile éveillé et quand, dans sa conscience, le sentiment de l’ego se manifeste, il donne naissance aux cinq éléments (terre,eau, feu, air et éther), au continuum espace-temps et à toutes les substances indispensables à la naissance et à l’existence dans le plan physique. Celle-ci se condensent alors en leurs doubles matériels. Au cours des état de rêve et de veille, ceux-ci génèrent le sentiment d’un corps physique. Mais, en fait, tout cela constitue le corps subtil du
jiva [être vivant, âme individuelle]. Quand l’idée
« Je suis le corps » est vraiment implantée, ce corps subtil éthérique développe les caractéristiques physiques d’un corps tangible - comme les yeux, etc. - bien que tout cela ne se produise que comme des vibrations ou des mouvements de l’air. Même si tous ces éléments ont l’air réels, ils sont tout aussi (ir)réels que l’expérience du plaisir sexuel qu’on peut connaître dans un rêve ».
Le mental individuel est une « forêt » de noms-les-formes : « C’est ainsi qu’une multitude de mondes nés dans la conscience des
jivas individuels a fini par disparaître. De la même manière ont disparu des Brahma, des Rudra, des Visnu, des soleils sans nombre. Ainsi,
la perception illusoire de la création a eu lieu un nombre incalculable de fois, a lieu maintenant même et aura lieu également à l’avenir [c’est moi qui souligne]. Car tout cela ne diffère en rien du mouvement de la pensée, lequel n’est pas non plus indépendant de l’infinie conscience. En réalité, qu’est-ce que l’activité mentale sinon la conscience, et cette conscience est la Vérité suprême », dit le condensé du YV.
À suivre…
[Voyage en cette dimension en compagnie de Vasistha (ou Vasishtha), un des grands Sages de l’ère du
manvantara. Énorme merci à son traducteur le Swami Venkatesananda (1921-1982). Hymnes composés par Vasishtha dédiés à Agni (Igné-Inné…)]
Notes.
1. Fétiche : ce qui est fabriqué, imitation de l’original : Fétiche : dérive du latin
facere et passe au portugais
feitiço et à l’espagnol
hechizo (signifiant à la fois doublure et sorcellerie). Le fétiche est un total artifice, un
ficticium, une FICTION COMME L’HOTC, il est l’artifice à la place du modèle, le mirage ensorceleur à la place de la Seule Réalité.
Bref, il est, par définition, LE TROMPE-L’ŒIL, LE FAUX, le eyes candy et c’est ce monde là que nous prépare et nous construit le monde Luciférien de la City de Londres.
Par rapport à l’informatique qui permet des copies ne différent pas d’un original, comment dans ces conditions pourrait-il y avoir des « fétiches authentiques », ou des « fétiches originaux », qui ne contreferaient aucun modèle ? Il ne peut pas exister de
« premier fétiche » genre
« premier Adam » (
contradictio in terminis…). C’est même raconté dans le, presque, prophétique Hergé et son
« L’Oreille cassée », où les héros sont en quête du
« fétiche original », c’est-à-dire quasiment une
« copie du Graal ». Le Seul Réel étant sans double il semble perpétuellement « AILLEURS ». On peut facilement écrire que ce monde et sa Super Carotte de
« fin des temps » est un SUPER FÉTICHISTE. L’actuelle psychiatrie définit le sort du
« fétichiste » au désir que quelque chose qui se trouve toujours ailleurs : tout voir SAUF ce que l’on cherche à voir ; donc une FROIDEUR devant la chose elle-même, avec REFUS du Soi-Instant.
Mais quoi chercher, y compris la
« liberté » ? puisqu’on n’y trouvera jamais rien d’autre que ce qu’on y cherchait réellement dans l’Instant : RIEN, comme l’explique en moult refrains le Yoga Vasistha.
2. « Tout cela n’a pas pris de temps pour se produire, de même qu’au cours d’un rêve se déroule la trame d’une vie hors du temps. En réalité, tu ne nais pas plus que tu ne meurs.
”Tu vois tout cela alors que, pour ainsi dire, tu ne vois pas ; car, tout cela n’étant rien d’autre que la conscience infinie, qui voit quoi ?” », dit le Yoga Vasistha III, 41 ; qui ajoute que les pensées « je suis » ou « ils ou elles sont » sont toutes absentes.
3. Passage dans la mort : Si le champ énergétique ou
Ka est maîtrisé comme le compagnon du devoir maîtrise son œuvre, le passage de la mort sera parfait et la mémoire du trépassé intact. (
Ka : Point d’appui pour toutes manifestations, Principe réalisateur de la Création continue). Voir la page sur la mort de la Mère de Ramana Maharshi :
Fuite en avant yahviste = DORG et CHUTE, à la note du compilateur des entretiens du Maharshi (entretien 247, du 8 septembre 1936).
Cette pratique du meilleur passage de la mort se retrouve chez les Mayas, et semble universel chez nos Anciens. Le
Ka purifié est donc l’annihilation des tendances innées. Il y a une « disposition » pour mieux assurer le PASSAGE inverse de celui de la naissance, les deux étant identiques et pouvant être illustrés par l’Ouroboros où le commencement est identique à la fin, donc la chronologie genre
« jeunesse » ou
« vieillesse » n’a rien à voir la-dedans puisque le corps n’est qu’illusion. Naissance et mort ne sont qu’une même chose.
Donc qui contrôle son cœur, son
Ka, contrôle logiquement son ADN et ne le laisse par faire par aucune force militaro-industrielle de la City de Londres !!! Le
Ka ADN comme émetteur récepteur fait que l’ensemble de la conscience de l’humanité se modifie actuellement : nombre de gens se réveillent ; et ce n’est certainement pas le
« En Marche » français du républicanisme capitaliste !