Première peur, celle de mourir, donc
DE MANQUER.
Mais, Qui manque ? qui a peur ?
« Toute chose extérieure suppose un spectateur
intérieur. En le cherchant à l’intérieur, tout doute,
toute peur – non seulement la peur, mais toutes
les autres pensées centrées autour de l’ego
– disparaîtront en même temps que celui-ci ».
(Entretien 146 du 26-1-1936).
« Restez sans penser. Tant qu’il y aura pensée,
il y aura peur. (Entretien 202 du 15-6-1936)
Et « ne pas penser » = Sommeil Profond (le ”coma”
ou ”inconscience” qu’appelle la médecine actuelle)
Comment ne plus avoir peur ?
« Les pensées ne sont que des vâsanâ (prédispositions),
accumulées au cours d’innombrables vies antérieures.
Le but est de les annihiler. L’état libre de vâsanâ
est l’état originel et de pureté éternelle ».
La mafia et le principe de la peur : « Je mets
le feu à ta maison, et si tu ne veux pas que ça
recommence, je te protège si tu me paye
tous les mois ».
Protéger : créer la peur et le chaos, apporter
une solution par l’extérieur (comme l’injection
aux ARN), identifier par nouvelle carte d’identité :
le QR code, annuler la personnalité, supprimer
la propriété individuelle (le plan mafieux socialiste
de Klaus Schwab dans sa Tabula Rasa)
RAPPEL : L'américanisme (et ses
« alliés ») réduit la civilisation au seul aspect scientifique, technique et économique. Il ne nie pas officiellement l'Esprit mais le noie dans un flot de jouissances matérielles uniformément imposées à tous par l'
American way of life, et aboutit également à l'uniformité psychologique et à l'étouffement de l'Esprit », écrit Jean Coulonval en 1960 dans
Synthèse et Temps Nouveaux. Cette réduction À LA CROYANCE AU SENS :
« Je sens cela » ou « je ne sens pas cela ».
« Le principal obstacle consiste justement en cette croyance » dit Ramana Maharshi à l’entretien 317 du 6-1-1937.
OBSTACLE parce que le monde est, inventé, « appréhendé par les sens dans les états de veille et de rêve ; il est l’objet de perceptions et de pensées, les deux étant des activités mentales. Si l’activité mentale du rêve et de l’état de veille n’existait pas, il n’y aurait pas de perception du monde ni la conclusion qu’il existe.
Dans le sommeil profond, cette activité est absente ; donc les objets et le monde n’existent pas pour nous dans cet état.
En conséquence, la « réalité du monde » ne peut être créée que par l’ego,
par son émergence du sommeil ; et cette réalité est engloutie ou disparaît lorsque l’âme reprend sa propre nature dans le sommeil profond. […] Tant que le Soi ou l’Esprit suprême est non manifesté et sans activité, il n’y a pas de couples d’opposés, comme par exemple sujet et objet ou
drik et
drishya. Si l’on pousse la recherche jusqu’à la cause ultime de la manifestation du mental, l’on s’apercevra que le mental n’est pas autre chose que la manifestation de la Réalité qui est aussi appelée
âtman ou
brahman ». (Entretien 25 du 4-2-1935).
L’ennemi du Washingtonisme c’est l’émancipation de l’Europe envers ce Washingtonisme si présent depuis l’après 8 mai 1945. Ce n’est pas un hasard si le Washingtonisme annihile Berlin avant de radioactiver deux endroits du Japon Ainsi, depuis l’agent du Washingtonisme : Jean Monnet, la fabrication de l’Union européenne pouvait être effective dans la tradition du consommateur de l'
American way of life évoqué ci-dessus.
Le jeu du n’est pas de « protéger » l’Europe mais de la détruire.
Discours du général De Gaulle disant que
l’ennemi de la France c’était les États-Unis. Comment les anglo-saxons nombril du capitalisme en la City de Londres, et leurs
« États-Unis » unis en singerie de l’égalitariste judéo-maçonnique spéculative faisant fureur depuis 1789, peuvent-ils être
« des alliés » ???
Ainsi, le jeu du Washingtonisme n’est évidemment pas d’envoyer des bombes sur Paris, mais SOURNOISEMENT de faire disparaître imperceptiblement par l’usinage washingtonesque de l’Union européenne de ses tôles et boulons en décisions capitalistes de la Commission européenne ; laquelle a réduite l’Europe du christianisme de l’Église de Rome en un temple des marchands sous la tyrannie de l’
American way of life.
L’Empire USionistan et son capitalisme technico-financier et son complexe militaro-industriel (l’État profond) et commercial étant mourant, il cherche à survivre par tous les moyens. Alors il faut UTILISER, RENTABILISER, ce complexe dans le WINNERISME DE L’UTILITARISME ANGLO-SAXON, et
« démocratie » du néolibéralisme UTILISATEUR.
Mais la
« mort du capitalisme » prend évidemment la forme du WINNERISME du petit groupe de riches au SOMMET DE LA PYRAMIDE : les toujours plus riches par rapport aux toujours plus pauvres. Car le chaos, LA MERDE, au sens souffrance, c’est pour les pauvres ; et la MERDE, au sens de l’Or, c’est seulement pour les riches, comme l’écrivait Pétrone dans le
Satyricon :
« Que peuvent les lois, où l’argent est seul maître, et où la pauvreté ne peut avoir raison ?… ».
La province des USA à détruire : l’Europe, n’a aucun moyen de
« faire la guerre à la Russie » ! Alors, comme dans les écoles du judéo-maçon spéculatif Jules Ferry, l’Europe
« donne des sanctions ».
Les cancéreux du Pour-Voir étant acculé, voir la répression contre les Gilets Jaunes puis contre le « Convoi de la Liberté » au Canada, il est désormais évident que ce Pour-Voir se dirige vers un totalitarisme à la URSS avec son « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » nouvelle formule du socialisme issu de 1789 : « Enrichissez-vous ». Les Cancéreux ne voulant pas mourir feront tout pour détruire tout ce qui les menace.
Il ne semble pas trop imaginaire de croire que les élections présidentielles françaises soient reportées de quelques mois.
En MATIÈRE, FÉCALES, ET DU SENS-SENTIMENT ET APPEL DU VENTRE ET DU BAS VENTRE, ÇA RISQUE DE TANGUER PROCHAINEMENT, AVEC LA MONTÉE INEXORABLE DU PRIX DES ALIMENTS ET DE L’ÉNERGIE.
Le Sage dira : « Il y a », l’ignorant demandera : « Où ? »
« Les habitudes acquises depuis l’absence de commencement
Forment comme des reflets dans le miroir du mental.
Pour qui peut s’y regarder selon le Réel,
Les objets perdent toutes leurs caractéristiques.
De même que le sot regarde le doigt
Qui désigne la lune et non la lune [que le doigt montre] ;
De même ceux qui s’attachent à mes paroles
Ne voient pas ma Vraie Réalité.
La conscience [conceptualisante ou raison] est comparable à un grand danseur,
Le mental est son assistant et son maquilleur,
Les cinq consciences sensorielles les accompagnent,
Et dans la conscience mentale [la raison] s’incarnent les spectateurs.
(Lankâvatâra, chapitre L’instantanéité).
Note.
1. EXCRÉMENTS : force, réceptable des énergies ; en radiesthésie les excréments vibrent comme l’Or métal. L’interprétation traditionnelle voit dans l’excrément un concentré de forces biologiques propre à régénérer les êtres, ce que confirme le mot PUTRÉFACTION accompagné de FERMENTATION.
L’excrément considéré comme signe d’abondance et utilisé rituellement pour amener l’abondance, comme le
Serpent Arc-en-Ciel au Dahomey (dic. des symboles, de J. Chevalier et A. Gheerbrant).
L’excrément rejoint donc LA PANique : faire dans son froc, ou agir en catastrophe en faisant n’importe quoi, surtout des actions préjudiciables pour soi-même comme sont en train d’en réaliser le Washingtonisme et ses
« alliés ».
PANique : absence de temps ou absence d’un sujet percevant un objet (son objet) : il agit alors en catastrophe sans délais ou temps, ce qui interdit tout fonctionnement de la
« raison ». La représentation DANS L’INSTANT est ce qui constitue le Seul Réel, le Dieu PAN, le TOUT, le Soi ; le mental de l’humain étant tellement conditionné à faire volte-face, opération habituelle genre action-réaction ou à chaque problème chier une loi, HISTOIRE de faire face à quoi que ce soit.
La PANique sera donc la représentation SANS TEMPS, SANS CONSCIENCE QUI NE VIT QUE PAR LES OBJETS ET LES OBJETS QUI NE VIVENT QUE PAR LA CONSCIENCE.
REPRÉSENTATION = TEMPS.
REPRÉSENTATION = PARADOXE : « Toute chose extérieure suppose un spectateur intérieur. En le cherchant à l’intérieur, tout doute, toute peur – non seulement la peur, mais toutes les autres pensées centrées autour de l’ego – disparaîtront en même temps que celui-ci ». (Entretien 146 du 26-1-1936).
« On parle de connaissance immédiate (pratyaksha) quand les objets sont perçus par les sens, mais peut-il y avoir quelque chose d’aussi direct que le Soi, dont on fait l’expérience continuelle sans l’aide des sens ? Les perceptions sensorielles ne peuvent donner qu’une connaissance indirecte et non une connaissance directe. Seule notre propre conscience est connaissance directe : c’est l’expérience commune à tout le monde. Aucune aide n’est nécessaire pour connaître son propre Soi, c’est-à-dire pour être conscient [éveillé].
L’unique totalité, infinie et indivisible (le plenum), devient consciente d’elle-même en tant que ‘Je’. C’est son nom originel. Tous les autres noms, tels que OM, ne viennent qu’après. La Libération consiste uniquement à rester conscient du Soi ». (Entretien 92 du 7-11-1935).