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LA SAINTE ÉGLISE DU CAPITAL Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 01-04-2022 01:42

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Bimbo, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, HOTC, Images, Jardin, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, MIB, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Tore, Transhumanisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Yi King, Yokai

 
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LA SAINTE ÉGLISE DU CAPITAL
En 1789 après l’abolition du pouvoir politique
du Roi et de la noblesse, la distinction entre
politique et économique ne se fit plus.
Au moins en apparence, car le caractère métaphysique
ou de savoir comment vivre, continua à se
perpétuer clandestinement dans les loges
judéo-maçonniques crées en 1717 à Londres
telle la Grande Loge d’Angleterre,
et en France par l’apparition de Clermont et
Rites de Herodom en pratique privée, et
jusqu’à ce hui le Grand Orient de France
pépinière à membres du gouvernement français.
 
 
Le pouvoir politique est nécessairement lié à l’État : il suppose que la chefferie qui exerce le pouvoir dans cet État CONNAISSE ce qu’est l’ÊTRE. Or cette connaissance étant directement tributaire du « QUI SUIS-JE ? » (le Centre qui est nulle part), et vers lequel tend la volonté à l’état de veille, il ne peut qu’y avoir des liens directs, comme de théorème à corollaire, entre les concepts SPIRITUELS ou des ESSENCES et les concepts politiques de l’étatisme. En conséquence, il est absurde étatiquement de dire par exemple en laïcité à la française, que des prêtres, ou la relation du politique avec le Vatican, ou des rabbins, ou des imams, sont « libres de leurs opinions politiques ».

De nos jours de ce mélange économie et politique, ça se transforme en « science » modèle « MONADE » (Absolu, Unité, indivisible, comme se prétend le régime républicain). CE QUI REVIENT À PRÉTENDRE QUE L’HUMAIN EST AU SERVICE DE LA RÉPUBLIQUE, C’EST-À-DIRE AU SERVICE DU CAPITALISME OU ÉCONOMIE, ALORS QUE ÇA DEVRAIT ÊTRE LE CONTRAIRE : LA RÉPUBLIQUE ET L’ÉCONOMIE SONT AU SERVICE DE L’HUMAIN (ce qui n’est évidemment pas le cas !).

LE TEMPS N’EXISTE QUE S’IL Y A UNE CONSCIENCE POUR EN PRENDRE CONSCIENCE ET AINSI FABRIQUER LE TEMPS. Pour fabriquer le temps, c’est très simple : il faut une naissance, UN CORPS-MENTAL, et une mort, et le tour est joué !
« Les objets existent-ils indépendamment du ‘je’ ? Vous disent-ils « nous sommes » ? C’est vous qui les voyez. Vous êtes, et ainsi les objets sont vus aussi. « Sans moi, tous ces objets n’existent pas ». Cette connaissance est l’omniprésence. À cause de l’idée « Je suis le corps » et « il y a quelque chose en moi », les objets vous apparaissent comme étant extérieurs à vous. Sachez qu’ils sont tous à l’intérieur de vous-même. Le tissu est-il séparé du fil ? Les objets peuvent-ils subsister sans moi ? ». (Ramana Maharshi, entretien 478 du 22-3-1938).

CEPENDANT : « Quand je mange du pain, que je bois du vin, je sais bien que ce n'est pas mon intellect qui les a faits ce qu'ils sont. Il n'a besoin pour lui-même ni de pain ni de vin. Mais je sais que, en la totalité de ma nature d'homme, il y a essentiellement, ontologiquement, absolument tout ce qui constitue l'ensemble de la création [puisque l’Univers est DANS le mental]. Il y a en moi du minéral, du végétal, de l'animal et de l'homme. Évidemment, il n'y a en moi rien de ce qui fait que du silex est du silex et non pas du schiste ou du calcaire ; rien non plus des caractères accidentels qui font qu'une carotte est une carotte, ou un chien un chien. Mais il y a dans mon corps, mes os, mon sang, mes muscles, ma cervelle, des éléments qui vivent selon les lois du minéral, d'autres selon les lois du végétal, d'autres selon les lois animales, d'autres enfin selon les lois de l'homme. Et si je crois à la révélation, je dirai qu'il peut s'ajouter à toutes ces lois de la création qui régissent mon en-soi d'homme, une forme de vie, des lois de vie en Dieu.

L'homme est un résumé, un condensé de la création, en ses essences. Je ne connais guère le bon emploi du vocabulaire théologique. Cependant, je crois pouvoir remplacer ce ~ terme essence par substance. Alors je puis dire ceci :
Si je crois que le Christ est vraiment Dieu, le Verbe qui a fait toutes choses, en union trinitaire, je dois accorder logiquement qu'il dispose, non seulement des accidents, mais aussi des substances. Et que, en conséquence, rien ne s'oppose à ce qu'il puisse transformer la substance sous des accidents qui restent identiques [le Christ dans la Cène qui transforme des objets « pain » et « vin » qu’il avait devant Lui].

Le dilemme de Marcel Clément n'existe que si la connaissance est un enregistrement de la chose connue, comme des sons par une bande magnétique, un paysage par un appareil-photo. Mais, si l'on considère la co-naissance par co-naturalité, je perçois que je connais intellectuellement les minéraux par leurs accidents physiques, mais que je les aime par ce qu'il y a en moi de minéral; de même les végétaux par ce qu'il y a en moi de végétal ; les animaux par ce qu'il y a en moi d'animal ; les hommes par ce qu'il y a en moi d'humain. 
Ainsi, la connaissance n'est pas le fait d'un dialogue, mais d'un rapport entre trois termes :

Homme - Essence commune - Chose connue

En ce sens, la connaissance n'est pas simple enregistrement, elle est Amour, ou haine lorsque le péché a établi une distorsion entre l'essence et les accidents. L'essence étant le côté inviolable. Le mal n'a prise que sur les accidents ».
(Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 6 à Mgr. Combes, le 27-1-1969).

Depuis 1789, puis partout dans ce monde, vous avez le seul droit d’exister, mais pas d’ÊTRE ; vous existez uniquement parce que vous consommez, vous êtes seulement un « usager » (et vous vous usez…) !
LE SEULE LOI DE SUCCION POSSIBLE : LE DÉSIR D’ÊTRE (”Je suis ce JE SUIS”, au sens du Centre qui est nulle part, ne devant son être à personne).

Mais comme depuis 1789 l’humain est devenu un objet, pire que le « sujet » ou l’humble serviteur de sa « Gracieuse Majesté », la GOUVERNANCE MONDIALE qui tente de plus en plus de se réaliser, est LA DICTATURE D’UN SEUL (ou d’un petit groupe) qui « dit » la vérité du jour et ce que sera celle du lendemain, qui décide du dogme à tout instant remis en question. C’est Sisyphe qui pousse son rocher ou c’est un pape à l’envers, en creux. Ce sera donc le perpétuel qui prend le masque de l’éternel, le général celui de l’universel, le psychologique celui du spirituel. Et c’est logique, soit à l’envers de l’entretien cité plus haut du Maharshi qui dit : « Les objets existent-ils indépendamment du ‘je’ ? Vous disent-ils « nous sommes » ? C’est vous qui les voyez… », ce qui condamne ceux qui fonctionnent dans la racine du mal la dualité Dedans-Dehors et en conséquence la saisie, à ne concevoir comme mode de raison que l’opinion qui se construit uniquement dans le spatio-temporel, par idéation en forme d’évolutionnisme dialectique (historique), qui se déroule en géométrie euclidienne de la ligne droite que le mental peut reculer indéfiniment dans le passé, et un futur également indéfinie. C’est donc dans cette horizontalité de flèche du temps que doit se dérouler, selon la dialectique historico-machine, une transposition dans la fluidité continue façon « discours absolu » de Hegel dans l’Instant, comme pour fabriquer un DORG (Demain On Rase Gratis), soit LA QUANTITÉ OU LA SATISFACTION UTILITAIRE DE TOUS LES BESOINS ou tendances inscrits en l’humain, et donc aussi de tout l’existant ou monde, puisque l’humain est en son essence l’Univers.

Le socialisme républicain qui se veut « universel » (et indivisible) prétend être tout à la fois une physique, une métaphysique, un TOUT et une religion au sens de relier ou d’harmoniser les gens entre eux, évidemment il ne peut le faire QU’AVEC DES MASQUES, SI RI-VI-SIBLES DEPUIS DÉBUT 2020 ET SE POURSUIVANT AVEC LA VARIATION DE L’UKRAINISME.

Le « vivre ensemble » républicain est un grégarisme formé d’autant d’opinions qu’il y a de citoyenisés sur le territoire français, ce qui réduit une communauté humaine construite sur le culte de l’opinion, tel le fait de voter à une élection à n’être qu’un agrégat d’individus isolés singeant un Moi-Collectif se croyant reliés les uns aux autres telle le sens de la religion catholique. L’opinion est une construction mentale qui s’élabore suivant la « mise en valeur du temps », toujours instable, en perpétuelle évolution en fonction des circonstances et des accidents dans le spatio-temporel et le temps historique, et un certain état des choses matérielles et sociale que chaque citoyenisé trouve à son entrée dans la vie, toujours particulier à un seul individu qui le sent et le pense selon les colorations de sentiments et de pensée qui lui sont propres, comme par prédestination, mais qui peuvent être étouffées ou amplifiées par un dressage sentimental et intellectuel qu’on appelle « éducation ». Toute la vie du citoyen se déroule donc dans un CADRE, DES BARRIÈRES. (En référence à Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 10, du 7-2-1972, à Aimé Michel).

CROIRE en la toute puissance de la raison (l’idéation ou pensée discursive, la pensée en séquences), comme le régime républicain, c’est encore avoir une FOI (les « valeurs » de la république). De nos jours la « foi » se met en ordinateur….

Toute individu qui se soumet d’une façon plus ou moins masochiste à un matraquage politico-médiatique et de social, qui se soumet plus ou moins consciemment à la volonté des têtes d’œufs de le fourrer dans une matrice, renonce du même coup à sa liberté, par un processus qui singe une religion. Il se soumet au système, d’où le terme « citoyenisé », il se soumet à un seul individu ou à un groupe d’individus quand ce système atteint son point ultime de coagulation et non pas à un contact total, intégral avec le Soi, le EST, par-delà tout ex-istant, par-delà tout ÉTANT, lequel peut seul avoir conscience du sens du TOUT, du GLOBAL, DONC DE L’ÊTRE HUMAIN, DE LUI-MÊME.
Tout système ou régime nécessairement appartenant au concept d’État, tout système philosophique et, en conséquence tout système politique, qui de nos jours se disent tous « démocratie » ou « république » est une cage, une prison, un esclavage, une limitation de l’Être. Mais le « isme » étant ce qu’il est dans ce modernisme à l’envers, cet être humain renonce du même coup à être concrètement un être social, à exister, à être inséré, à « compter » dans le corps social et par son inscription sur une liste électorale.
Le Christ a dit : « Qui perd sa vie la gagne ». Évidemment c’est totalement le contraire de ce monde sous loi de succion et de la saisie : la consommation, l’utilitarisme. IL FAUDRA BIEN UN JOUR QUE CES CONTRAIRES DISPARAISSENT, QUAND IL Y AURA UNE NOUVELLE TERRE, DE NOUVEAUX CIEUX.

LE CAPITALISME DU CITOYEN-SALARIÉ = UNE USINE À RENDEMENT, D’OÙ D’AILLEURS LE PROBLÈME DE LA POLLUTION, ET DU CAPITALISME VERT (l’écologie).

ABSOLU : retournement de l’Univers ou de l’ego comme le Retournement de la Lumière ou « Qui suis-je ? » : Svetashvatara Upanishad 6, 20 : « Seulement lorsque les hommes seront capables d’enrouler le Ciel comme un parchemin, verra-t-on alors la fin de leurs misères sans qu’ils aient besoin de réaliser la Divinité ». « Enrouler le Ciel comme un parchemin » signifie aussi dépasser le mode de pensée qu’on appelle « opinion » ou « liberté d’expression », qui implique nécessairement conflits, luttes, sang et massacres.
 
À notre époque, le « social » dans le régime capitaliste et républicain, c’est le winnerisme psychique d’opinions d’un groupe, qui agglutine les âmes en un paquet visqueux (un Moi-Collectif), comme les paquets d’œufs de crapauds qui se trouvent aux bords des étangs, il est dangereux d’être têtard qui veut vivre seul en tête à tête avec les lois de sa vie de têtard, sans la protection de ce paquet de gélatine grégaristique ; il y aura toujours un goujon ou une truite pour le bouffer.
Depuis 1789 en France et 1905 avec la séparation de l’Église de Rome et de l’État on a séparé les choses du spirituel et les choses de l’économique ; l’impératif capitaliste du rendement ou du winnerisme, c’est la même chose, étouffe le spirituel et maintenant le monde en crève. De plus, l’efficacité de l’incarnation de la science dans la technique a tué le travail en tant qu’œuvre au sens d’art, au sens de la manifestation du Soi ou de l’énergie libre, le Zéro Indien. La réaction en est le besoin de bricolage le dimanche hors du salariat et le floraison des magasins « Tout pour le bricolage » : les uns tondent aussi leur pelouse, les autres font du football, quand d’autres jouent au tiercé (PMU).


Nous en sommes rendus à ce que le pour-voir, les sens du mental engendrent « la science », et le langage parlé et écrit engendre l’opinion ; et parmi les choses qu’on ne sait pas, il y a en a qu’on croit par le Dehors, c’est ce qu’on appelle la « foi » ; il y en a sur lesquelles on suspend son jugement avant et après examen ou pour-voir, cas du doute. Et quand dans le doute on penche d’un côté plutôt qu’un autre sans pourtant rien déterminer absolument, ça s’appelle « opinion ».
Pour un citoyenisé donné, plus les opinions sont fortes, plus elles ont pour ferment le besoin d’absolu, plus elles sont chargées d’affectivité religieuse, comme dans le cas de certains mahométans, et plus elles sont dogmatiques et refusent d’être critiquées ou révisées. Inversement, plus elles sont floues, sans fondements sentimentales et de la raison, et plus elles sont insignifiantes, inoffensives. Aussi, plus une opinion est ferme, plus elle tend à s’imposer, à exercer sa dictature sur les cerveaux. Les opinions politiques sont ennemies entre elles, par nature, et donc tout État qui prétend admettre la pluralité des opinions genre « liberté d’expression » (ou de croyance), est à la base totalement hypocrite. Pour ceux qui tirent les ficelles dans de tel régime, il en est nécessairement qui sont parfaitement conscients, mais qui ne cherchent pas à résoudre le problème de l’ambiguïté des régimes d’opinions : style élections à l’occidental, ou même qui l’entretiennent, parce que cette ambiguïté est utile à leur soif de pouvoir. POUVOIR NÉCESSAIREMENT OCCULTE, POUVOIR DE L’ÉTAT PROFOND, parce que ces cancéreux du pouvoir ne peuvent par dire aux masses : « Vous savez, je vous couillonne ». Nous le subissons avec les candidats à l’élection présidentielle de 2022 : en régime démocratique de multi ou de mono-opinion, la politique ne peut être autre chose qu’une ingénierie sociale en technique d’agiter les masses dans une élection avant de s’en servir.


FLÉAU : entre le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi) et le VIDE : L’ILLUSION/FOUET/FOUDRE/BARATTAGE DE LA MER DE LAIT DU BLANC DE L’INSTANT ET FONTAINE DE JOUVENCE/MIRAGE/HALLUCINATION/SAINTE CHIMÈRE.

Le curé d’Ars disait : « Si on se voyait sans masque, on mourrait ». Pourquoi ? Parce qu’on se verrait laid ? ou plutôt parce qu’on ne trouverait que l’illusion/fouet/foudre/etc. et que l’on ne verrait qu’un CADAVRE ?
LUCIDITÉ OU ÉVEIL ABSOLU = LE FLÉAU, LE SURFEU, L’HORREUR DE CE FOUET CE ZIGZAG, ZINZIN, ZÈLE, ZOO (l’animal humain manifestation du jeu du Soi) dans oublier le ZÉNITH ni le ZODIAQUE (lettre Z = fréquence, feu, va et vient du frottement sexuel qui engendre quelque chose), le jeu du Retournement de la Lumière ramené ou TOUT ou PAN.
Le SURFEU, LA FONTAINE DE JOUVENCE = LA RÉVÉLATION ABSOLUE DU SENS DE LA MORT ELLE-MÊME, LA RÉVÉLATION DE L’ESSENCE.
LE MASQUE, c’est ce que les mortels humains appellent « Vie », mais aussi RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, par l’intermédiaire du « QUI SUIS-JE ? ». Or avec le récent Hollywood mondial du codivisme prolongé de celui de l’ukrainisme, CE MASQUE EST UNE INVERSION, UN MASQUE RETOURNÉ, À L’ENVERS COMME UN CUIVRE REPOUSSÉ.

Le mortel humain étant soumis à la LOI DE SUCCION, il ne faut pas juger sévèrement d’après les objets auxquels ses désirs s’accrochent. Car il peut désirer l’infini et aussi vouloir « sucer », saisir, ou posséder n’importe quoi, ce qui sera le jeu du capitalisme juif. Cette TERREUR DU VI(D)E, cette PANique lui fait se soumettre à la loi de succion, aussi il pourrait éprouver LE BESOIN de s’accrocher à un vieux clou rouillé, ça s’appelle aussi : « sécurité » (et protection), « réconfort », « consolation », « sentiment », « affection », bref : LA PROTHÈSE PARFAITE COMME LE RÊVE LE TRANSHUMANISME ET LE CAPITALISME, LE SOUTIEN PAR LE DEHORS DANS LA RACINE DU MAL LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS ENGENDRANT LA SAISIE, CE QUI EXPLIQUE TOUTE LES PROSTITUTIONS DÉCOULANTS DE LA LOI DE SUCCION OU ATTRACTION ”UNIVERSELLE” ; AINSI LES PAÏENS ATTAQUÉS PAR LES HÉBREUX-JUIFS SOUS PRÉTEXTE DE « PROSTITUTION » SONT UNE ÉNIÈME FUMISTERIE POLITIQUE DEPUIS L’INVENTION DE L’ÉTAT ET DE SON SOCIAL.
Et parce que le ré-confort d’un clou rouillé ou d’une capsule tordue d’une bouteille de soda américain lui sert de prothèse, IL LUI DONNE DE LA VALEUR sans proportion avec ce qu’est ce clou ou cette capsule - jusqu’au jour où, saturé de déception et de frustration, IL PREND CONSCIENCE QUE SON VIDE EST PLUS RÉEL QUE TOUS SES OBJETS DE CONSOMMATEURS ET DE POUVOIR D’ACHAT QUI LUI SERVENT À COMBLER CE VI(D)E.

LA LOI DE SUCCION S’APPELLE AUSSI : « CAROTTE », MESSIANISME, SALUT : la carotte attachée à distance de la tête de l’âne pour le faire avancer. La carotte qui peut s’appeler HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule).
La CROYANCE EST LA LOI DE SUCCION : LA MISE EN VALEUR DU TEMPS : LE SALUT (santé, liberté, paix) ne doit en aucun cas venir, comme le confirme la croyance du judaïsme ; d’où d’ailleurs l’invention du social : la lumière attribuée au Dehors, à l’autre, doit demeurer le privilège du Dehors, ou de l’autre, soit rester une étrangère à l’égard de ses propres ombres, comme en témoigne l’histoire de la « Caverne de Platon » : l’ILLUSION des ombres sur les parois de la caverne est bien plus réelle que ce que l’habitant de la caverne pourrait voir AU DEHORS en pleine lumière, qu’il prendrait en pleine gueule : SANS MASQUE ! Aussi, l’autorité de tout messie consiste en son absence, comme la carotte ne devant jamais être bouffée par l’âne, sinon, le moteur est cassé : l’âne n’avance plus, sauf si son conducteur lui offre une nouvelle carotte, soit une nouvelle attraction ”universelle” ou nouvelle loi de succion, UN NOUVEAU POUVOIR D'ACHAT…

Le salut ne doit jamais venir, d’où l’invention de la démocratie pour que les humains puissent se taper dessus en toutes saisons……

AVEZ-VOUS PENSÉS AUX CONSÉQUENCES D’UNE ANTI-GRAVITATION, D’UNE APESANTEUR, SUR TERRE ?
AVEZ-VOUS PENSÉS AUX CONSÉQUENCES SCIENTIFIQUES (dans le vrai sens du mot ”Science” incluant la Libération) DE LA RACINE DU MAL : LA DUALITÉ DEDANS-DEHORS ? IDENTIQUE À L’HORRIBLE DIVISION : MEMBRES DE LA « BONNE SOCIÉTÉ » QUI ENGENDRE NATURELLEMENT LES MEMBRES DE LA « MAUVAISE SOCIÉTÉ », COMME LES GRANDES ÉCOLES ENGENDRENT LES « PETITES ÉCOLES » ET AINSI DE SUITE ?…


 
 

Dernière mise à jour : 01-04-2022 02:22

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