Ecrit par Sechy,
le 07-05-2023 23:21
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L’EAU EN POUDRE chez Herman Boerhaave
Des pierres, des briques, réduites en poudre
et exposées ensuite à l’action du ”feu”,
donnent toujours quelque peu d’EAU ;
et même, elles doivent en partie leur origine
à l’Eau (assurément puisque Tout provient
des Eaux Primordiales), qui, comme la COLLE
LIE LES PARTIES LES UNES AUX AUTRES
( Éléments de Chymie, tome 2, 1754).
Chez Boerhaave Nous retrouvons les DEUX PLEUREUSES
ISIS ET NEPHTYS de l’Arbre de Vie :
- ISIS : L’EAU DE VIE de Thot l’Ibis, la sphère
du mental, la passivité agissante. Le principe
magique féminin (résurrection et chute :
comme la MANA des Polynésiens elle peut favoriser
Seth, l’aspect négatif), et source de toute
fécondité et transformation comme la Shakti
l’énergie et pouvoir latent de Shiva.
Isis sera la Gloire, l’Action, le VAUTOUR
transmutatoire.
- NEPHTYS, l’autre face du symbole :
L’EAU DE MORT-COLLE (Corbeau), le centre des
émotions, la passivité négative car elle
corrompt pour donner la vie. Elle est immanente
à Isis dans sa Fonction de pleureuse qui
provoque la PUTRÉFACTION.
Page sur la Pierre Philosophale ou EAU EN POUDRE.
Dans le pétrissage ou le TRAVAIL SUR LE TOUR
DE POTIER : plus aucune géométrie, plus d’arête,
plus de cassure ou de limite.
C’est le rêve translucide sans commencement ni fin,
UN RÊVE INTIME, ET LE PLUS IMPORTANT : RYTHMÉ.
(Le Feu est avant tout un RYTHME, frottement).
TRAVAIL DU POTIER, TRAVAIL DES PÂTES/ADN/ARGILE
car le Divin Potier CHNOUPHIS/KHNOUM donne vie
à l’argile. Le Potier des Formes, le Logo manifesté,
le mâle phallique qui féconde la Nature-Temps,
Chnouphis/Khnoum est :
1) le Potentiel
2) l’Ouvrier/Potier avec SES 2 MAINS.
Travailler la Matière pour trouver à unir les
contraires avec l’aide du VAN/VENT (1).
“Grandes vertus gisant es chouses petiotes
créées par Dieu” (Note du mode de faire des
mélanges du Livre 3, des 3 Livres de l’Art du
Potier du “Cavalier” Cyprian Piccolpassi Durantoys)
Petit peut vouloir dire aussi : ce qui est né
une deuxième fois, Re-né/Renaissance ou RÉ-alisé.
POTIER = RYTHME et con-naître intimement la
substance, l’ADN, vaincre intimement la Matière
comme l’EAU vainc la terre, soit retrouver
l’Eau Primordiale ou énergie élémentée et participer
À LA FORCE COMBATTANTE DISSOLVANTE
DE PUTRÉFACTION.
Union de la Terre (Argile ADN) et de l’Eau.
Les VRAIS TRAVAILLEURS SONT CEUX QUI ONT
MIS LA MAIN À LA PÂTE OU AU TOUT DE POTIER.
Celui qui a écrasé le raisin avec ses dix
doigts de pieds comprendra : pieds ou mains
sont du même Thème…
Si Bouddha a 100 bras, c’est qu’Il est un Potier.
POTIER = L’ANTI-GÉOMÉTRIE DU MONDE GRÉCO-OCCIDENTAL.
ARGILE/ADN = MATIÈRE D’ÉNERGIE, et non un organe
de formes (façon géométrie).
Le Tour et les mains du Potier forment une DYNAMIQUE
UNE RYTHMIQUE avant d’être un ”organe de formes”.
L’ensemble Tour et Potier SYMBOLISE LE RÊVE,
L’IMAGINATION CRÉATRICE au sens d’Ibn’Arabi (2).
Le Divin Potier CHNOUPHIS/KHNOUM devant son tas
d’Argile-ADN trouve la Forme par PUTRÉFACTION
OU DÉ-FORMATION, DÉ-CONSTRUCTION AU SENS D’UNE
VÉGÉTATION RÊVEUSE DE L’AMORPHE (2).
C’est le Divin Potier qui est le plus près du
RÊVE INTIME, DU RÊVE VÉGÉTANT.
Le sculpteur Auguste Rodin pratiquait le ”soufre”
au sens alchimique : cela doit pousser de l’intérieur
vers l’extérieur. La Forme/Volume doit être
“habillée” d’énergie, comme “gonflée” (Boule, Bolg).
EXCRÉMENTS ET ARGILE/ADN ET OR MÉTAL : chez certains
malades l’intérêt pour leurs excréments est très fort.
Et le Scarabée roule sa bouse….
TRAVAIL DE PÉTRISSAGE : TRAVAIL DE LA PÂTE,
TRAVAIL DE LA MER ET DES MARÉES.
TRAVAIL DE L’EAU et DU LIMON,
comme la CENDRE est ”l’EAU” du Feu
en compagnie de la Fumée.
Argile-Limon = création par l’EAU.
ARGILE = RÊVERIE SANS FIN.
Pour créer, il faut toujours une Argile/ADN
qui vient SE MARIER À L’EAU.
IMAGINATION CRÉATRICE : LES FORMES S’ACHÈVENT,
LES MATIÈRES, JAMAIS (2)
MATIÈRE = LE DIVIN POTIER DES RÊVES INDÉFINIS
(jamais il n’apparait le mot ”fin” sur l’écran).
EAUX PRIMORDIALES : LE LAIT.
Le rêve a une racine PIVOT (Chaise d’Isis) qui
descend dans la BROUSSE de l’origine de la
conscience primitive.
Les PAN (Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés)
appartiennent à ces mêmes EAUX PRIMORDIALES ET
À CETTE MÊME ARGILE/ADN du Divin Potier.
Les PAN appartiennent au MÊME ”QUI SUIS-JE ?”.
La preuve : pourquoi les humains sont-ils
fascinés par l’espace et le fait de ”s’envoyer
en l’R” par tout moyen ? (Ils appellent ça
”évolution”, ou ”Salut”, ou pire :
”république” (3)).
Pour être un Jour un Réalisé vivant, donc un
”Enfant des Étoiles”, les compagnons des
Anges, ou les interlocuteurs de formes de vie
extraterrestre (2), NOUS DEVONS CONTINUER
À ÊTRE DES POTIERS DANS LE SENS DE
L’IMAGINATION CRÉATRICE.
CAR À LEUR MANIÈRE, À LEUR ÉCHELLE,
LES PAN APPARTIENNENT AU MÊME RYTHME
DU RÊVE.
LA VIE A DÉBUTÉ DANS L’EAU, avant l’arrivée
catastrophique de l’Oxygène.
ELLE DEVRA Y RETOURNER, SURTOUT POUR LES HUMAINS.
La Vraie Vie est celle du RÊVE dans le sens
« d’arpenter l’Eau-Espace » sous forme de
LA CONSCIENCE INFINIE AU SEIN DE CES
MILLIARDS DE MILLIARDS DE « VRAIES DEMEURES »
QUE SONT LES ÉTOILES DONT CHACUN SAIT QUE
LE CENTRUM CENTRI N’EST PAS NOSTRE
SYSTÈME SOLAIRE…..
(Le Centre est nulle part et la
Circonférence est partout).
L’EAU, le Soi qui transcende même l’intellect
(l’intelligence), ”qui doit lui-même disparaître
pour que le Soi soit atteint”, dit Ramana Maharshi
à l’entretien 13a du 7-1-1935.
« Celui qui est délivré de la notion de l’ego,
dont l’intellect n’est pas conditionné,
celui-là, même s’il détruit tous les mondes,
ne tue pas, pas plus qu’il n’est enchaîné
par les conséquences de ses actions ».
Bhagavad-gîtâ, chapitre 18, vers 17, cité
par le Maharshi à l’entretien 17, 24-1-1935.
« D’où ces pensées s’élèvent-elles ? » Les pensées sont spontanées, superficielles ou analytiques. Elles opèrent dans l’intellect. Qui donc prend conscience d’elles ? C’est l’individu. L’existence des pensées, leurs claires perceptions et leurs opérations lui deviennent évidentes. L’analyse mène à la conclusion que l’individualité de la personne fonctionne en tant que connaisseur de l’existence des pensées et de leur succession. Cette individualité, c’est l’ego ou ce que les gens appellent ‘je’. Le vijnânamayakosha (l’intellect) n’est pas le vrai ‘Je’, il n’est que son enveloppe.
Si l’on pousse plus loin l’analyse on se demande : « Qui est ce ‘je’ ? D’où vient-il ? » Le ‘Je’ n’était pas conscient durant le sommeil profond. Mais dès que le ‘je’ apparaît, le sommeil profond se transforme en rêve ou en état de veille. Pour le moment, ne nous occupons pas du rêve. Qui suis-je actuellement, dans cet état de veille ? Si je tire mon origine de l’état de sommeil, le ‘je’ était alors recouvert par l’ignorance. Et un tel ‘je’ ignorant ne peut pas être ce que les Ecritures prétendent qu’il est, et ce que les sages affirment. ‘Je’ suis au-delà même du sommeil. ‘Je’ dois exister maintenant et ici et être le même que celui que j’étais durant le sommeil et au cours des rêves, sans avoir été affecté par les qualités de ces états. ‘Je’ dois donc être le substrat non qualifié, sous-jacent à ces trois états (au-delà de l’ânandamaya-kosha) [le scribe de la page souligne].
En bref, le ‘Je’ se situe au-delà de ces cinq enveloppes ( kosha). Ce qui reste lorsque l’on a abandonné tout ce qui est « non-Soi » est le Soi, sat-chit-ānanda (Être-Conscience-Félicité) [abandon au sens de PUTRÉFACTION] ».
(Ramana Maharshi, entretien 25 du 4-2-1935).
Notes.
1. Le VAN : Dans la Vallée souffle le Vent, le Vent d’Hermès, au sens du VAN. Vent ou Van trouve son homonyme en FAN (paraître, le CELA), mis en Fêmi dont la forme enclitique signifie : rendre visible, se manifester. Le latin vanna (van) trouve dans FANOS (Phanos ou Lanterne) la signification de lumineux, brillant, que le sens figuré affirme par « manifeste », « évident », le CELA ; c’est aussi proprement le Flambeau, que le second sens de Phanos ou Fanos désigne par Lanterne (la « Lanterne » ou Lumière d’Hermès, cette Pierre nécessairement volatil revivifiant le mort et donnant la vie au Soleil et à la Lune, au « mari et à la femme »…).
FAN : paraître, avec le F de Figure, Feu, Fléau, Fantôme, Finalité, Forme, Fond, Fin, Fleuve : « Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source » (Jean Coulonval, dans Synthèse et Temps Nouveaux). Le F de Feu comme du Fléau qui détruit tout et qui donne cependant au Fer après liquéfaction, la Forme ou la Figure-Fin. Ainsi est la définition du mot VAN : LE RETOURNEMENT DE LA LUMIÈRE, au sens du Secret de la Fleur d’Or, manuel classique de méditation permettant l’accès à l’Être intérieur ; manuel incorporant la quintessence du bouddhisme et de la taoïcité. L’Or signifie la Lumière, celle de l’intellect qui « pointe » (AIGUILLE) ; la fleur signifie l’épanouissement, le jaillissement de la lumière du Soi. Ainsi, le nom même de cette technique désigne l’Éveil fondamental et inconcevable du Vrai Soi et de son potentiel caché, le « Zéro indien », appelé en Occident d’une façon utilitariste : « énergie libre »…
Les énergies spirituelles sont symbolisées par la LUMIÈRE, mais aussi par le VENT : Il souffle dans la Vacuité de la Fontaine de Jouvence…..
2. Imagination Créatrice pas au sens de nostre époque des images du numérique et de la perception par les sens du mental, donc par la croyance au corps et de son monde empirique à la John Locke. Imagination Créatrice qui n’est pas encore le monde de la pure Intuition du sans limite. Monde entre-deux, FLÉAU et médiateur ; Fléau sans lequel tous le événements de l’Histoire sacrale et prophétique deviennent de l’irréel, PARCE QUE C’EST DANS CE MONDE LÀ QUE LES ÉVÉNEMENTS ONT LIEU : DANS CET INTER-MONDE.
« À son tour Ibn’Arabi déploie ce que nous pouvons appeler une métaphysique de l’Imagination active et du mundus imaginalis », écrit page 18 Henry Corbin, dans L’Imagination créatrice dans le soufisme d’Ibn’Arabi.
Et page 28 : ”On s’efforcera de montrer en quel sens cette Imagination est ”créatrice” : parce qu’elle est essentiellement Imagination active [au sens par exemple du Tour du Potier], et que cette activité la qualifie essentiellement comme Imagination théophanique. Elle assume une fonction hors de paire, si imprévue par rapport à ce que le plus souvent nous attachons d’inoffensif et de péjoratif au mot imagination, que nous aurions préféré recourir à un néologisme pour la désigner, et qu’il nous est arrivé d’employer le terme Imaginatrice. N’est-ce pas le lieu de prévenir un doute : la spiritualité, l’expérience mystique, ne tendent-elles pas à un dépouillement des images, au renoncement [putréfaction] à toutes représentations de formes et de figures ? Certes, il est même des maîtres qui ont exclu farouchement et implacablement toute représentation imaginative, toute intervention des images. En revanche, ce qui se proposera ici, c’est une valorisation extraordinaire de l’image et de l’Imagination pour l’expérience spirituelle”.
La pensée des Anciens est essentiellement MÉTAPHORIQUE. Par exemple le corps est comparable à un Vaisseau, à une Maison, et des plantes seront des invités de marque ; la diète sera un grand ménage de printemps. Les éléments métaphoriques constituent une structure imaginative d’accueil pour les ”esprits” (Yokai) des plantes. Les esprits des plantes se manifestent dans les rêves.
Imagination créatrice = aussi la réception des esprits du Règne Minéral et Végétal ne peut que s’appuyer sur une logique métaphorique (totalement absente de ce mondialisme numérisé par l’informatique…).
C’EST POURQUOI : QUI CONSTRUIT LA RÉALITÉ ?
DES HUMAINS AUX GROS COMPTES EN BANQUES ? SHIVA ? CERTAINES PLANÈTES PROCHES ET LOINTAINES OU CERTAINES GALAXIES ? Cette dernière hypothèse étant la plus admissible par l’Imagination créatrice : seul L’I-RÉEL est le Seul Réel puisqu’Il est une manifestation à partir de choses terrestres : En Haut comme en Bas, et l’inverse. Shakespeare écrivait : ”Les choses sont faites de la même substance que les rêves”.
3. Le NIRVANA du I’M SAFE.
Ainsi l’impur, le SALE, c’est ce qui est CACHÉ, COMME L’EXCRÉMENT, COMME DIEU, COMME LE DIABLE, COMME L’OR MÉTAL, COMME LA VÉRITÉ.
DÈS LORS QUE LE SALE EST IDENTIFIÉ, IL DEVIENT LE PUR OU L’EXISTANT DANS LA MISE EN VALEUR DU TEMPS. On comprendra alors ce désir du Pour-Voir de VOIR ou de NUMÉRISER LE MONDE POUR MIEUX LE CONTRÔLER….
Car enfin, qu’est-ce qui peut être considéré comme « sale » ou « impur » ?
La réponse est simple : est considéré comme impur ou sale tout ce qui, après identification, ne fût apparu ni comme excrément, ni comme tâche d’huile, ni comme tâche de goudron, etc., ni comme quoi que ce soit d’identifiable. Seul serait impur ou sale l’objet caché, non identifié, c’est-à-dire « INNOMMABLE », le TERRORISTE CACHÉ, LE DÉVIANT TOUT AUSSI CACHÉ, L'OR, DIEU SONT CACHÉS. Alors il sera très facile de comprendre le sens républicain des ” LUMIÈRES” ET DE L’ACTUELLE NUMÉRISATION DE LA PLANÈTE AFIN DE CONTRÔLER TOUS LES TERRIENS PAR UN POUVOIR OMNIPOTENT PYRAMIDALE, CERTIFIÉ D’UNE ”INTELLIGENCE ARTIFICIELLE”.
Dernière mise à jour : 07-05-2023 23:36
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