Les contes de Fées commencent toujours par ÊTRE (Je suis ce JE SUIS). Dans les contes de Fées il n’y a pas d’espace ni de temps (il est écrit : « En un certain royaume… », si on le nomme, on tombe dans le Nom-la Forme et donc dans l’espace-temps ou monde des accidents). Dans les contes de Fées le Maître du monde des accidents est bien-sûr l’Ogre, qui comme la Chronologie tueuse ou Saturne bouffe ses enfants et détruit toutes choses ici-bas. l’Ogre, maître des Lumières comme les perruques poudrées du « siècle des lumières » et Lucifer (I-Luce ou lus), maître des Images (I-luce-trations) ; maître de l’Illusion ou Maya, ou apparences (toujours trompeuses).
FÉE ou FAY désigne le Connaissant : ÊTRE-HESTRE (haistre, de 1301 : jeune hêtre). Du H, huitième lettre de l’alphabet et à l’horizontal ça donne le symbole de l’Infini. H comme Hermès (et PAN le TOUT). H = Incarnation, et PAN/Instant. Pan de la Panique quand surgit l’Arc-en-Ciel de Conscience d’un se(u)l « coup », dans l’Instant, dans le « Blanc du Tore »… 
Le conte de Fée est donc pas essence l’Existence. Le conte de Fée est Création perpétuelle (Shiva destructeur permettant la re-génère-essence, comme Nephtys qui corrompt pour donner vie, et dans les contes russes c’est « L’Eau de Mort » (colle et Putréfaction), son conjoint étant « L’Eau de Vie » (Isis et sphère du mental).

 

 

 

 

 

 

Nous devons aller au-delà de l’arrogance des « droits de l’homme », aller au-delà du Trou-de-balle.
Aller au-delà de ce monde du SPICE-ESPION-BIG BROTHER ; CE MONDE DU MÉPRIS (Me-Prix et du consommateur-consumé), CE MONDE IMPERSONNEL OU DE L’INDIFFÉRENCE-UNIFORME-PENSÉE UNIQUE. Le Trou ouvre l’Intérieur à l’Extérieur, il ouvre l’extérieur à l’AUTRE, le SECOND.
Trou-Bler, Trou-Blanc de l’Instant ou de PAN créant la PANique… Troublé par le passage vers l’ailleurs. La mort est un passage Trou-Blanc (ou Trou-Noir, voyez les EMI).

 

 

 

 

 

 

Per-son-El : Per (maison en ancien égyptien, et pépère), son sonne comme El (divin). Per-sonne : ondes comme sur l’eau et donc dans le spatio-temporel.
EGO : de egg (œuf en anglais) et O (Origine des Origines, le Tout, Eau primordiale).
E-G-O : I axe et Trinité du E, G de Glèbe, de Gorge, de Gosier, de Gamme. Sonne comme JET ; et O du Tout.
L’œuf (eg de ego) est évidemment la MATRICE. La « naissance du monde » à partir de l’œuf est universelle (Celtes, Grecs, Égyptiens, Phéniciens, Cananéens, Tibétains, Hindous, Chinois, Japonais, etc.). L’œuf (craché) indique le Verbe. L’Œuf cosmique est le Tout : germe de toutes les possibilités. ŒUF = TOTALITÉ. Si l’œuf n’est jamais premier (voir ci-dessous l’exemple avec Jean Coulonval), il symbolise toutefois le germe des premières différenciations, transformations. L’Œuf cosmique et primordial (Eau primordiale) est UN, et renferme à la fois Ciel-Terre, les eaux inférieures et supérieures (et même complexifiées par la rosée), dans sa totalité UNE en une « forme » de « Fixité Cavalante ».
L’œuf paraît comme un symbole de rénovation périodique de la Nature : UNE RENAISSANCE EN ACCORD AVEC LES CYCLES ne tombant pas dans l’évolutionnisme de rationalistes et empiriques à la John Locke ! Donc il est plus que germe, plus de départ de quelque chose, IL EST SOURCE PÉRIODIQUE. L’œuf renvoie à une RE-Naissance, une RE-tour. Cependant la notion d’évolutionnisme se retrouve si on prend pour départ l’Eau primordiale de moult civilisations. Sa fonction cyclique est dévolu au rôle premier, comme Involution-Évolution, puis plus tard dualité terrestre Bien-Mal, etc. L’évolution à partir de l’Eau primordiale est plutôt un MOUVEMENT.
Ainsi le Retour au Principe-Origine ou Eau primordiale se fera par « pointer » (POINT FOCALE), « POINTER » OU VRAIE OBJECTIVITÉ : subjectivité de l’objet et pointage de cet objet par le sujet !
Le « pointer » se retrouve d’ailleurs dans les contes qui commencent par : « Il était une fois », ou « En un certain royaume, en un certain État, bien loin de chez nous », signifient tous la Réalisation de l’Instant, le SPONTANÉ, le Soi éternel, ce qui est DIRECT, MAÂT comme la plume symbole de cette Déesse égyptienne marquant l’absence de spatio-temporel. Dans les contes il n’y a pas d’interférence de l’ego, tout est pur, originel, pas de Matrice qui « maternerait » ou ralentirait le Spontané.
Bien-sûr en Alchimie nous avons « l’Œuf philosophique » ; l’œuf va aussi devenir synonyme de CONFORT-MATRICE-VENTRE DOUILLET (rester dans sa coquille).

 

 

 

 

Mondialisme : tous dans un HÔTEL
Tous dans un Ostel, tous NOMADES
comme l’ARGENT, la PENSÉE UNIQUE
INIQUE, celle qui nique, celle
qui se moque du Soi-Instant.
PANSÉE (panse-ventre obésité du
consommateur, égrégore gore) PANSÉE UNIQUE
de ceux qui se prennent pour des Dieux
ou des athées, ou des existentialistes,
qui en font autant comme le mouvement
transhumaniste, les sans Axe ou désaxés
oublieux de l’Originel.

Dilemme multi-millénaires de l’Individualisme-Collectivisme.
La Nouvelle Diaspora de Jacques Attali et de ses monDIAlistes.

 

 

Voir aussi la page : Onde, Eau a-gité, Main-tenant

Monde de l’OR, monde du HORS (OR) ou nomadisme à la Hébreux et tribus des 12, comme les 12 heures et les 12 mois et l’argent c’est du temps ou de l’HISTOIRE (temps qui passe comme l’argent qui coule dans moult pays dans cette civilisation du cacapitalisme).
HORS : de HUIS et PORTA : franchir l’Hui. Porte : duron en gaulois, door (Gate) en anglais ; en prolongeant, le dvara (place) en sanskrit, dvoru (cour) en vieux slave, et le forum (marché, place, et de nos jours d’opinion les forums sur l’informatique).
HORS à rapprocher de HORMIS (hors et mis : étant mis hors), étymologie de mettre (qui est aussi s’approprier, comme l’OR !).
HORS : ors, huers : à l’extérieur ; huer, étymologie de hurler, et « hue » pour hurler au cheval d’avancer.
HORSBANIR : bannir, mettre au ban. HORSBORG : faubourg, et par prolongement ça donnera « banlieue » (lieu banni, lieu à l’extérieur). HORSBOUTÉE : élargissement de prison. HORSCLOS : chassé. HORSJETER : jeter, é-jecter ; et HORSPRIS : hormis, excepté.

DeHORS : exu- en gaulois, comme exucricone, où le contexte invite à détacher le mot exu et à traduire soit par « dehors », soit par « sors, va-t’en », qui donne aussi exucri (va-t’en, ou « sors, allez sors », ou « décroche, décroche-toi ». Con-ex-ugri renforce l’emphase de l’expression. À rapprocher de exuertina (infidèle, déloyale, donc quelqu’un « dehors », à l’extérieur, un étranger). (Réf. Dic. Français-Gaulois de J.P. Savignac).

 

 

 

 Onde, Eau a-gité, Main-tenant
Eau a-gité : privée de ci-gît, privée de gîte (3)

 

 

ONDE du BROC VERSANT LE TRAIT ou RAYON, le JET de la BRO-derie BRODÉE AUX « PETITS POINTS ». (Certains peuples « brodent » autour de leur histoire… Ils en font tout une histoire… Tout un plat... )

Voir aussi la page :
Grégarisme, égrégore ou opinion = DANGER

Eau Courante, Cavalante, Eau de TUYAU (ONDE), LE Ré-yon (i-on), la CONDUITE (ici-bas il y en a de bonne et de mauvaises par perte de l’É-mission).
Main-tenant (1) : le D de Point de Départ (Bindu, zéro ou Univers, la Base de toutes abstractions, à ne pas confondre avec la Stargate mathématique ou infini de Bhâskara qui est l’inverse du zéro, donc une Stargate, d’ailleurs reprise par l’entreprise Google (2)), Début, Démarrage, D’abord, D’ici, D’I-rect, D’I-vin. Le Point de Départ de la Main ouverte prête à… Et pour le Soi-Instant dans ce qui est D’I-rect et qui D’écoule comme l’On-De.
ONDE : Eau/Ondes/Ondulations/Ondines (Fréquence), ondulation du ver de terre, du Vermisseau (le “tout petit peu” est nécessaire : il n’y a pas à s’en moquer parce qu’il est constructeur).
Eau/Ondes : voyages à travers l’Espace ; l’Eau Céleste aussi (tout ce qui se “balade” au-dessus de nos têtes (Archée) Eau céleste.

 

 

 

 

Grégarisme, égrégore ou opinion = DANGER
LES DANGERS DE CETTE MODE DU SOCIAL
ET SON « VIVRE ENSEMBLE » CONTRAIRE DE L’UNITÉ
dans ce monde où certains veulent péter
plus haut que leur cul (ceux qui « supètent »,
qui « supotent », qui opinent du chef, du bonnet)

Page dédiée aux courts-circuits qui sont MAÂT (mat, négatif, Source), DIRECTES.

 

 

Le Monde (de-mon) du N.O.M. (Nom ou Mon) NON à l’Origine, au Soi. Le Monde (démon) de la Haine (N-Om et N-On, NO). Ce monde, cette FRANCE dont le christianisme des plus pervertis a pratiqué la main-mise dessus pour engendrer, comme en 1789, une tabula rasa de SES RACINES CELTIQUES. Une France faussement copyrighté « fille aînée de l’Église ». UN PAYS VIOLÉE DEPUIS LES ROMAINS ET CLOVIS PAR L’ÉGLISE ET SA CHEFFERIE TRANSFORMÉE DE NOS JOURS EN RÉPUBLICANISME JUDÉO-MAÇONNISÉ, LAÏCISÉ, MERCANTILISÉ.