RELIGIONS = OPINIONS, AIMANT et POLÉMIQUES SANS FIN : « Quand on parle de l’union de l’individu avec le Suprême [Dieu], le Suprême est connu par oui-dire [par opinion ou grégarisme] alors que l’individu est directement expérimenté [dans l’Instant]. Vous ne pouvez faire usage que de l’expérience directe [Maât]. Par conséquent, cherchez qui vous êtes » (Ramana Maharshi, entretien 332).
Avec l’opinion et les religions et leurs dogmes (et la politique, la science et ses
« constantes » couches-culottes, la philosophie) on s’enferme dans la dualité construite autour de l’unité et de ce qu’il y a derrière : la diversité, donc du Dieu et des Dieux (ou du Un et des multiples, ou du chef ou autorité et de la masse : système pyramidal) ; on s’enferme dans la servitude et la libération, ou encore dans le pur et de l’impur, ou bien dans un Dieu est des Dieux. Et ça n’a pas de fin, comme toute opinion,
et ça construit le temps et l’histoire (Histoire-Opinions-Temps qui coule, HOTC).
Le monothéisme hébreux, juif et chrétien et islamiste et celui de la république universelle des talmudisés avec leur Dieu unique NE PEUT QU’ÊTRE
UNE DICTATURE, UN TOTALITARISME !
La Vérité n’est exprimable par aucun nom-la-forme, par aucun égrégore
(2).
Si le Soi ou pure Conscience donne naissance à des concepts comme inventer Dieu, ou la Création (le faire attiré par l’aimant et l’argent), ça donne effectivement l’adamisme ! le
jiva (être vivant, âme individuelle), lequel va errer dans le
samsara (apparence du monde, cycle des naissances et des morts).
La Création ce n’est pas Dieu, mais la Connaissance de soi (
”Qui suis-je ?”) retrouvée par le Soi Lui-même : « Je suis ce JE SUIS », ou « Je ne suis que pure Conscience ».
S’imaginer le corps, l’ego, est la servitude !
La création de Yahvé C’EST LE COMMERCE (voyez le formidable business de l’art, peinture, sculpture, musique, etc.)
Connais-toi toi-même par toi-même (Fractal et Tout est dans Tout) :
1 - Lecture et compréhension des principaux textes sacrés et fréquenter la compagnie des Saints.
2 - Le « Qui suis-je ? »
3 - Jeter l’aimant : pas d’attachement.
4 - Jeter les tendances ou conditionnements à n’en plus finir.
5 - À cette dimension arrive la Félicité ou pure Conscience, où le Réalisé vivant vit comme en demi-sommeil.
6 - Le Réalisé vivant vit alors comme en profond sommeil.
7 - Dimension appelée
Turiya : pure non-dualité, aucun sentiment de l’ego, aucun sentiment de la dualité réel-irréel.
Ce septième état est situé au-delà des trois états de veille, rêve, sommeil profond. Dans l’entretien 353 le Maharshi explique : « Le
turiya n’est pas un quatrième état [sauf si on résonne en évolutionnisme…] ; il est sous-jacent aux trois états. Mais les gens ne comprennent pas cela facilement. Voilà pourquoi on dit que le
turiya est le quatrième état et la seule Réalité. En fait, le
turiya n’est séparé de rien, car il forme le substrat de tout ce qui existe. Il est la Seule Vérité ;
et Il est votre Être même. Les trois états apparaissent sur Lui en tant que phénomènes éphémères et s’y fondent ensuite. C’est pourquoi ils sont irréels.
Les images d’un film ne sont que des ombres qui passent sur un écran [comme les images des ombres chinoises]. Elles apparaissent, changent de l’une à l’autre ; elles sont donc irréelles tandis que l’écran reste toujours le même. […] Les phénomènes du monde, extérieurs aussi bien qu’intérieurs, ne sont que des manifestations passagères qui ne sont pas indépendantes de notre Soi [Instant]. Seule notre habitude de les considérer comme réelles et de les situer hors de nous mêmes [par notre opinion] est responsable du fait que notre être véritable est caché et que les phénomènes du monde sont mis en avant (comme l’opinion]. Quand l’unique Réalité toujours présente, le Soi, est retrouvée, toutes les autres choses irréelles disparaîtront, laissant derrière elles la Connaissance qu’elle ne sont autres que le Soi.
Turiya n’est qu’un autre nom pour le Soi. Conscients des états de veille, de rêve et de sommeil profond, nous demeurons inconscients de notre propre Soi. Et pourtant,
le Soi est ici et maintenant, il est la Seule Réalité. Il n’existe rien d’autre. Aussi longtemps que persiste l’identification au corps, le monde semble se trouver à l’extérieur de nous.
Réalisez simplement le Soi, et tout le reste NE SERA PLUS ».
Depuis au minimum l’époque de la Renaissance l’être humain occidental pense le Faire/Fer tant il est attiré par l’aimant ! Plus grave : IL POUSSE LES AUTRES AUSSI À FAIRE, COMME DES SINGES QUI SE COPIENT ENTRE EUX. Les humains occidentaux ONT PEUR DE PERDRE LEUR EGO (PANique), puisque au siècle des perruques poudrées iceux renforcent même l’ego des Occidentaux par la « raison ». Ainsi
les Occidentaux n’osent pas faire face en silence à leur Soi, la pure Conscience d’Être.
Or TOUTES CHOSES EST, QUI S’ORDONNENT D’ELLES-MÊMES. Mais aussitôt que nous leur attribuons des qualités, des noms-les-formes, que nous introduisons de la valeur en les évaluants, ELLES DEVIENNENT DES CONCEPTS AFFECTIFS, DES OPINIONS ET, EN TANT QU’OPINIONS, ELLES SONT TOTALEMENT ILLUSOIRES.
L’aimant des opinions et du faire est comparable à des enfants dans une cour de récréation des écoles du judéo-maçon Jules Ferry ! Ce sont des fantasmes, des jeux de faux enfants (les vrais s’amusent « plus sérieusement »).
L’opinion de l’Aimant prétend se baser sur la logique (autre Aimant), mais toute logique, comme l’histoire en général, part toujours de prémisses qui sont nécessairement, par définition, des postulats incontrôlables, adoptés pour le seul motif de la satisfaction de penchants sentimentaux, donc de l’ego, et totalement obscurs. Ces prémisses prennent nécessairement valeur de dogmes, surtout en la période autour de 1789 et en son « siècle des lumières », que l’on en soit conscient ou non. Et comme en 1789, ce dogmatisme sera d’autant plus intraitable jusqu’à en supprimer des vies en coupant des têtes, car ce dogmatisme est inconscient, parce que tout danger de n’y plus croire va engendrer la panique devant le vide, devant la possibilité de ne plus avoir de raison de vivre. (Ici je fais référence à Jean Coulonval :
Synthèse et Temps Nouveaux, Lettre 26 de novembre 1973).
OPINION = CROYANCE et CRÉDIT-CRÉDO, et construction SUR AUTRUI (la foi, sens de grégarisme-égrégore : ce qu’on ne sait pas on en cherche la source sur autrui, à l’extérieur, et on appelle ça
”culture”). Puis s’il y a un doute, on utilise la BALANCE : je penche d’un côté ou d’un autre. C’est la dualité winner-loser complètement stérile, rien n’est déterminé absolument, aucune possibilité de certitude !
Henri Bergson déclarait que
« L’Homme se fabrique ses opinions à la façon d’un carrelage » (qui se retrouve en symbole dans le carrelage de carreaux noirs-blancs des loges judéo-maçonniques spéculatives de l’après 1717 londonien) ; citation de Bergson rapporté par
A.-G. Sertillanges et Jean Coulonval dans
Synthèse et Temps Nouveaux.
Ce qui veut dire que les opinions sont construites sur l’ego à partir d’expériences réalisées dans l’espace-temps illusoire. Conséquence : toute opinion est comme une construction géométrique dont les paramètres sont d’une part les dispositions intérieures de l’humain (ses tendances), et d’autre part l’expérience extérieure, les événements vécus (HOTC).
« Or, les appétits, les besoins du mental d’une part, et de l’autre part les temps et lieus de l’expérience sensible, vécue, étant indéfiniment divers selon les lieux géographiques et sociaux, il faut conclure que de toute évidence il ne peut exister deux opinions identiques. C’est mathématiquement impossible et il est illusoire de rechercher « la paix » dans la prétendue possibilité d’unité d’opinion, comme le voudrait le mirage démocratie », écrit Jean Coulonval.
L’être humain ne peut pas se couper en deux : temporel ou laïcité d’un côté, et spiritualité ou Connaissance de l’autre ! « Pas plus que Dieu n’a put créer deux mondes distincts. Si quelqu’un se persuade de la légitimité de cette séparation du spirituel et du temporel (ce qui revient à briser en deux parts distinctes et indépendantes l’unité ontologique de la Création), il ne pourra attribuer à la religion qu’une finalité post-mortem, et c’est précisément ce que je remarquais dans le comportement des catholiques », écrit Jean Coulonval.
Ce que les médias et autres outils de manipulation des masses appellent
« opinion publique », est un équilibre très précaire en dualité sujet-objet, et ne sert que dans cet autre illusion : le quantitatif ou statistique (le sel, le produit, le salaire, le confort ou fixe ou résultat et
”Circulez ya plus rien à voir”). Ce « sel », cet arrêt, n’est en aucune façon un critère de vérité, et ne peut qu’être une singerie de l’Instant.
Il ne peut pas exister de « paix » qui serait le produit, le sel ou résultat d’une quantité d’opinions considérées comme des petits bouts de vrais récoltées un peu partout dans le monde. Il n’y a pas plus ignorance crasse que de rechercher une opinion
« vraiment vraie ».
Ce ne sera jamais plus que « Ma vérité », « Ma foi », « Ma religion à moi », « Mon parti », etc., alors que la Vérité ne peut pas être un objet de possession comme on à une croyance en politique ou en religion, ou en ceci ou cela.
Le transhumanisme, l’humanisme sont des phénomènes qui relèvent totalement de l’ego :
LE TEMPS, et le rêve de croire que l’on peut vivre, ici-bas,
« pour toujours », c’est-à-dire continuer à vivre, à consommer, à brûler, et pour les transhumanistes ce sera consommer des nano-trucs (sinon, que feront-ils de leur « temps » ?) ; ce qui n’a rien à voir avec
« ÊTRE ÉTERNEL », car le temps, invention du mental n’entre pas là-dedans !!!
« Vivre pour toujours » est le délire transhumaniste et humanisme de la Renaissance. Mais le
« ÊTRE ÉTERNEL » EST ICI ET MAINTENANT ET NI AVANT, NI PENDANT, NI APRÈS.
ÉTERNEL = IGNORANCE DE L’HOTC (icelle n’a jamais été inventée). ÉTERNEL = ÊTRE = SANS POURQUOI, sans temps ou sans idéation…
Le phénomène 1789 en France reposant uniquement sur l’opinion triomphante fut hautement criminel et contaminant toute la planète. Cette « criminalité » pète de partout en ce moment (migrants, terrorisme, chaos organisé, économie, etc.) et ne pourra qu’aller en s’accentuant comme jamais…
Le phénomène 1789 nous fait TOUS FOUTRE DEDANS (même soupe pour tous, ou monstrueux grégarisme). Ce grégarisme monstrueux qui prive du Soi est trinitaire : liberté-égalité-fraternité (singerie judéo-maçonnique de la Sainte Trinité universelle). 1789 a pondu l’ego relatif ou libéralisme, le ‘je’, le « je suis ceci ou cela », le « je fais ceci ou cela ».
Le ‘je’ du pauvre type déguisé, masqué, en « citoyen ». Le ‘je’ emprisonné dans le social, ce grégarisme déguisé qui colle très très très fort et fait AUGMENTER LA RÉALITÉ sans dépenser un centime pour une technique censée « augmenter cette réalité » ; ce grégarisme déguisé sous le nom de « raison » qui ne peut faire voir la Réalité qu’en trois dimensions et cela intellectuellement, donc par l'ego.
Se débarrasser du big égrégore du républicanisme de 1789 et de son
« libre-échange » assimilé au libéralisme (« liberté ») si collant et plus même qu’une religion car encore plus destructeur.
Lorsqu’on se débarrasse de cet égrégore républicain, donc DES AUTRES, du SOCIAL et de son TOUT CONNECTÉ selon son principe du
« Cause toujours » ou triomphe de l’opinion opposé à la tyrannie où ce serait
« Fermes ta gueule ! ». On devient enfin LIBRE de se retourner : comme le
« Retournement de la Lumière du mental ». Ce qu’exprime la taoïcité par le but essentiel de la « Voie » (TAO) de retrouver le Soi pour enfin se réaliser en tant qu’ÊTRE humain, libéré de tout conditionnement, de tous « ismes » ; conditionnements qui, inévitablement en religion républicaine, vont devenir de plus en plus nombreux et pesants et prisons.
La république de la juiverie internationale maçonnisée enferme dans la prison de la dualité, car le monothéisme républicain ou yahviste, comme déjà écrit plus haut, EST UNE DICTATURE, LA CRÉATION OU MATÉRIALISME INVENTÉ PAR YAHVÉ EST UNE DICTATURE, L’ADAMISME EST UNE DICTATURE car « exister » est nécessairement duel, et comporte évidemment une mort au bout) ! C’est pourquoi la religion républicaine ou yahviste est non réelle, son matérialisme est une fumisterie de feu d’enfer, rien ne peut exister dans la Seule Réalité !!!
ÊTRE c’est toujours dans l’Instant ou Ici et maintenant. Rien de relatif, ou de duel n’« est ».
Ici et maintenant veut dire qu’il n’existe ni servitude ni libération (pas de Chute au sens biblique), car on ne peut atteindre quelque chose, comme la libération, que l’on possède déjà de toute éternité, et il ne peut y avoir aucun état avant et après quelque chose qui est déjà là. 1789 et sa soi disant
« liberté » est SON CONTRAIRE : l’enfer du nomadisme de la juiverie mercantile virale cher à un Jacques Attali.
Le seul « but » est ce que décrit Le Secret de la Fleur d’Or : le Retournement de la Lumière : mariage de Yin et Yang ou purification du mental.
« Lorsqu’on utilise cette technique pour la première fois, on a l’impression d’un non-être dans l’Être. Mais une fois le travail achevé, quand on a un corps au-delà du corps, on a l’impression d’un Être dans le non-être.
Ce n’est qu’au terme de cent jours de travail concentré que la Lumière est réelle, qu’elle est Feu du mental. Car au bout de cent jours, la Lumière jaillit spontanément : de même que le rapport entre un homme et une femme forme l’embryon, soudain, d’un point d’authentique énergie positive, surgit une perle. Il convient alors d’observer, calmement, tranquillement. Le Retournement de la Lumière est le processus de « mise à feu », écrit
Le Secret de la Fleur d’Or (trad. Thomas Cleary).
La Fleur d’Or dit aussi : « Ayant cherché mon mental, j’ai compris qu’il était insaisissable. Eh bien, je te l’ai pacifié ! ».
« Voilà la vraie vision : tout ce qui lui est contraire est fausse vision. Quand vous aurez atteint cette Nature insaisissable [le Soi ou Vérité insaisissable], continuez à pratiquer continuellement l’arrêt en le prolongeant par la vision, et à pratiquer la vision en la prolongeant par l’arrêt. Cela s’appelle le jumelage de l’arrêt de la vision. Voilà comment retourner la Lumière.
Le Retournement correspond à l’arrêt, la Lumière à la vision. Pratiquer l’arrêt sans la vision s’appelle le Retournement sans la Lumière. La vision sans l’arrêt s’appelle la Lumière sans retournement. Souvenez-vous en ! ».
1789, cette république juive universelle (une prière à la république est dite chaque semaine par les Talmudistes) qui encense l’ego en un libéralisme ou culte du narcissisme genre de son
« unité dans la diversité, plutôt dans le divertissement » !
- Comme tu es
fier de ton humilité.
- Comme tu prends
plaisir au dévouement envers les autres par ton
« vivre ensemble ».
- Comme tu es
attaché au détachement de l’éveil (tu peux même être attaché à l’indifférence).
- Comme tu es
reconnaissant à toi-même d’être bon et sociable avec les autres !
Voilà ce qu’il peut ressortir de cette trinité républicaine judéo-maçonnique spéculum.
Comme le dit Ramana Maharshi :
« La seule liberté que vous ayez est de vous identifier ou non avec le corps [l’ego] ».
Le Soi ou Instant se retrouve sous cette trinité :
- Précision.
- Massif et aérien et irradiant, rayonnent.
- Universel et mondialisé (malgré l’apparence de peu de moyen technologique, au sens que nous donnons maintenant au mot « technologie »).
C’est pas exemple ce que nous trouvons partout sur notre planète sous la forme de PYRAMIDES et de PIERRES dressées ou couchées, moulées (reconstituées) ou non, assemblées ou non.
Notes.
1.
Sankalpa : pensée, intention, opinion, latence de ceci ou cela.
2. Égrégore, Grégarisme : ces deux termes tournent autour de GRUMEAU (motte de terre ou de quelque chose), portion de matière, ou de mental, agglutinée en grains style du politisme actuel :
« unité dans la diversité ». Égrégore comporte l’idée de grains, comme égrénage, grappe de raisin. « Un égrégore naîtrait, par exemple, d'une fervente prière collective, d'une thérapie de groupe, d'un soin énergétique, d'un rituel qui pourrait être chamanique par exemple », écrit Robert Ambelain dans :
La Kabbale pratique, et cité dans le
Wikipedia. Bref, égrégore et grégarisme concernent le social, l’EXTÉRIEUR, toujours dans l’antique dilemme individualisme-collectivisme non résolu, par oublie du Soi….