TOUT EST LIÉ.

NE SOYEZ PAS CHARLIE, SOYEZ VOUS-MÊMES ! REFUSEZ LA TYRANNIE DE L’OPINION ET DU GRÉGARISME. NE SOYEZ PAS CONTAMINÉ PAR LES CANCÉREUX DU POUVOIR QUI VOUS MANIPULE PAR LEURS « INFORMATIONS ».
Désirer le « bonheur des autres » est du pur égoïsme ; c’est désirer le bonheur d’autrui afin de s’acheter du confort, du bonheur, du SÉCURITAIRE.
Même égoïsme en voulant bénéficier du mérite d’avoir intercéder en faveur des autres.
La violence, le terrorisme, il n’est pas extérieur mais INTÉRIEUR puisque TOUT EST DANS LE MENTAL, y compris l’espace, les étoiles… La Vraie Paix ou Libération se trouve dans le mental, et pas à l’extérieur ou dans un quelconque étatisme. Relire le début de la page 2000 ans de christianisme ?

Combattre la violence ou le « terrorisme » ça passe par l’INTÉRIEUR de chacun de nous et certainement pas par l’étatisme et ses lois. Cherchons qu’est-ce que c’est cette violence à l’intérieur de nous. « Connais-toi toi-même et l’univers changera ». L’inquisition et le totalitarisme ne date pas d’aujourd’hui !!!
Le « terroriste », le Brigand, la gueule de l’autre, le malade, le pauvre, le diminué mentalement ou physiquement, c’est le moyen, la monnaie pour acheter le confort ou sécuritaire, la tranquillité.

« Je ne suis ni mes pensées, ni mes émotions, ni mes perceptions sensorielles, ni mes expériences. Je ne suis pas le contenu de ma vie [ou opinion]. Je suis la vie. Je suis l’espace dans lequel tout se produit. Je suis la conscience. Je suis le Présent ou Instant. Je suis ».

Réunissons-nous en petits groupes, mais pas par les manipulations de l’étatisme et de ses partis politiques et de leurs singeries liturgiques comme celles du 11 janvier 2015.

Soyons nous-mêmes, ne faisons pas partie de la société, pas de socialisme, pas « d’humanisme » ou de consumérisme, il ne faut pas inverser les choses ! L’harmonie humaine viendra ENSUITE, mais pas à coups d’humanisme à la John Locke et ses suiveurs de 1789.
La seule chose qui puisse libérer ce monde est L’AMOUR (sens du A privatif : privé de mort) ; c’est gratuit et sans condition, donc pour tous, y compris les « terroristes ».

DÉFINITION DE L’OPINION POLITIQUE ET DE SA MANIPULATION : Croire à un homme, en une cause, un idéal, une idéologie, c’est décider une constance [une norme, un dogme], c’est lui attribuer une valeur stable et constante malgré l’expérience la plus criante, dans la paranoïa individuelle et collective (réf. à Raymond Ruyer dans : La gnose de Princeton).

« Les meetings, défilés avec pancartes, chants, et drapeaux, caractérisent toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie). C’est une véritable liturgie [puisque l’homme est un Homo religiosus]. Ce sont les délires des foules nazies, communistes, gaullistes, estudiantines, ou autres. Toute opinion prétend stabiliser, en le déifiant, du temporel, du vent. C’est une singerie du religieux. Comme le dit mon ami Gustave Thibon : « Dieu, s’il n’est pas la lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise », écrit Jean Coulonval à Raymond Ruyer le 15 décembre 1974, dans : Synthèse et Temps Nouveaux).

L’être humain en cas de drame cherche à l'extérieur, son PÈRE, donc le Petit-Père-des-peuples ou le Président machin, puisque le roi, les républicains lui ont coupé la tête. Ainsi fait le Nouvel Ordre Mondial tant souhaité par les cancéreux du Pouvoir qui pourra se mettre en place en douceur, comme un suppositoire, avec la bénédiction de tous les moutons plombés par l’égrégore républicain.
Il n’y a pas d’autre libération ni la Vraie Paix que par la connaissance de soi, ou réalisation du Soi ou Instant, abolissant la dualité, la division. Cette Réalisation du Soi porte aussi le simple nom : AMOUR (du A privatif ou mort : privation de mort).
AMOUR ou le FLÉAU… de la Balance supprimant la dualité des deux plateaux ; comme la LICORNE, plus de dualité, plus de charge (balance : bi-lanx ; poids : tas-lanx ou talent par sa Corne.
Le FLÉAU comme son nom l’indique fait peur, il est LE TERRORISTE, parce qu’il fait peur à celui dont l’attachement ou le confort à sa litière (de paille, factice) est trop vivace ; le fléau sert aussi à dépouiller la graine, à l’ouvrir et ça ne se fait pas sans douleur, sans PAN ou PANIQUE.
Ne sois plus couverture, masque ou mouton ou personnage du système ; fais ton propre théâtre ou double rôle en la Réalisation du Soi-Instant ; soi toi-même. La seule Vraie paix est intérieure, et donc notre état naturel. Ici-bas nous ne sommes que de simples promeneurs dans un Paysage nommé TERRE.

Le républicanisme profite de l’attentat du 7 janvier 2015 pour redorer sa religion de la laïcité et de son « vivre ensemble », une chose extérieure du genre : « Tu gentil, tu es heureux tu es en paix, tu es bon », soit ‘Circulez y’a rien à voir’. Celui qui voudra exprimer un autre avis et émettre des critiques contre le « meilleur des mondes » ou « république universelle judéo-maçonnique » passera soit pour un terroriste, soit pour un malade passible d’un traitement en hôpital psychiatrique. Déjà nous voyons les annuaires des psychiatres fabriquer des thérapies comportementales pour s’adapter au Nouvel Ordre Mondial.

Le « Vivre ensemble » du mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial ou Religion du Saint Fric.

« Il n’est pas de pire méfait social que d’acculer les masses à la sainteté [ou au républicanisme] » écrit prophétiquement Gustave Thibon dans : Diagnostics).
Ramana Maharshi dit à peu de chose près la même chose : « Les instructions spirituelles diffèrent selon le tempérament des individus et leur maturité spirituelle. Il est impossible d’instruire en masse. (Entretien 107). Et ce n’est pas à l’étatisme républicain et judéo-maçonnique à imposer à coups de lois sa religion de la laïcité.

Ainsi on ne répare pas l’humain en masse à la façon socialiste de l’URSS, à la façon de la propagande républicaine, on ne prêche pas à tout le monde et à personne du faîte de l’édifice humain complètement branlant ; il devient maintenant nécessaire de DESCENDRE et en réparer, pierre après pierre, les fondements totalement corrodés.

« Croire à un homme, en une cause, un idéal, une idéologie, c’est décider une constance [une norme, un dogme], c’est lui attribuer une valeur stable et constante malgré l’expérience la plus criante, dans la paranoïa individuelle et collective », écrit Raymond Ruyer dans : La gnose de Princeton.

« C’est la définition même de l’opinion politique. Les meetings, défilés avec pancartes, chants, et drapeaux, caractérisent toutes les manifestations des foules en proie à un même culte (d’un homme, d’une cause, d’une idéologie). C’est une véritable liturgie [puisque l’homme est un Homo religiosus]. Ce sont les délires des foules nazies, communistes, gaullistes, estudiantines, ou autres. Toute opinion prétend stabiliser, en le déifiant, du temporel, du vent. C’est une singerie du religieux. Comme le dit mon ami Gustave Thibon : « Dieu, s’il n’est pas la lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise », écrit Jean Coulonval à Raymond Ruyer le 15 décembre 1974, dans : Synthèse et Temps Nouveaux).

Le mot république comme le mot démocratie ne sert que de packaging à propagande à l’oligarchie des cancéreux du pouvoir. Cette oligarchie, cette ploutocratie qui se dit « républicaine » comme les régimes socialistes de l’URSS qui s’appelaient « démocraties populaires ». Ce n’est pas étonnant vu que le socialisme de l’URSS est l’aboutissement du républicanisme de 1789. Nous vivons dans la mort du républicanisme, comme la période de décadence finale de la première république qui trafiquait dans l’affairisme, la corruption politique, et le profond mépris des peuples. Se souvenir de ce Directoire de 4 années avec cette mode des Incroyables et des Merveilleuses dignes de notre monde actuel de pur matérialisme !