OLIGARCHIE qui dirige le monde
et détruit la Terre
OLIGARCHIE : du grec oligarkhia : chefferie de quelques-uns. Système politique que possède par leur ego un petit groupe de personnes : les meneurs, les têtes-d’œufs. C’est une dictature de gens qui imposent à l’ensemble.
L’oligarchie veut transformer notre SOI
Ainsi nous ne sommes plus au bas niveau
du mensonge, qui devient en croissance.
Désormais ces cancéreux du pouvoir
font retravailler le code-source (ADN)
pour modifier le règne de l’espèce
« animal » comprenant l’humain,
ensuite ces malades s’attaqueront
au règne végétal, ce qui est déjà
chose faite avec les Monsanto & Cie,
et même le règne minéral est bidouillé.
Ces gens de la « croissance », de l’évolutionnisme et
du transhumanisme qui font semblant
de durer avec leur « fin des temps » !
Bienvenue chez les faux alchimistes, ceux du vulgaire qui se prennent pour des Dieux, pour des Transhumanistes.
Comme des Dieux, les cancéreux du pouvoir et leur sponsors Couilles en Or veulent de fond en comble reconstruire l’être humain. Mais ils oublient complètement qu’il n’existe que la Conscience ou Soi, le reste, la matière, c’est le détail, la cuisine. Les cancéreux mettent donc la matière AVANT la Conscience ou Soi. Ils oublient le Principe Universel, à ne pas confondre avec le « Big Bang » genre « cause première » de l’abbé Georges Lemaître !!!
Dans ce monde TOUT EST DOUBLE, et la cause première ne peut qu’être UN REFLET, UN REBIS ; soit ce que l’actuel cerveau humain est capable de comprendre. Ainsi notre système solaire et ses planètes ne sont qu’un REFLET du Système Solaire Universel.
Premier terroriste premier pirate : l’État
et les « citoyens sont tous complices de cette
réunion en bandes organisées qui osent se nommer
« gouvernement » ou pire : « pouvoir ».
DIVISER POUR RÉGNER OU STRATÉGIE DE LA TENSION, DU CHOC COMME LA TERREUR SOUS LA RÉPUBLIQUE DE 1793 OU LA RÉVOLUTION RUSSE DE 1917.
La « politique » devient de plus en plus une mécanique informatisée, virtualisée.
« Le moi et le social sont les deux grandes idoles », disait Simone Weil, cité par Gustave Thibon dans : Notre regard qui manque à la lumière.
Bienvenue dans cette civilisation complètement schizophrène : en même temps
« tout pour l’individuel et tout pour cette mode du social ».
Comme la plus vulgaire des marchandises, l’être humain de l’après 1789 est devenu UN ÊTRE INTERCHANGEABLE, COMME DES PATATES EN UN SAC À CODE-BARRES (dans un monde-hôtel selon Jacques Attali). Il est le numéro 1 à côté de son voisin le numéro 2, un individu ou unité du binaire informatique dans la masse humaine, de France et du monde, dénombrables comme les patates cités, ou comme un code informatique dans une carte d’identité, bancaire, ou un nom sur un fichier électoral, ou un numéro de poste à l’usine ; tout cela limitant l’être humain au SENSIBLE SENTI-MENT, soit la seule dimension quantitative des besoins physiques et de la production. Depuis ces plus de 200 ans tout est fait pour me persuader que ce qu’on appelle « vie » ou mieux : « réalité », se limite au sensible des pauvres cinq sens entre l’instant de la naissance et l’instant de la mort. Si c’est ça la « réalité », elle est tellement imbécile qu’elle ne vaut pas la peine de se démener pour elle !
Suite d’un projet de long métrage.
Dans la précédente partie on laissait Eric qui venait de finir une passe.
SÉQUENCE 16.
Le jour dans l’hôpital St. Paul. To-Tjenen frappe au service du personnel. Une voix de femme lui dit d’entrer. Une fois dans le bureau, sur l’invitation de la femme il s’assied. Le bureau est sommairement meublé mais très encombré.
- FEMME : Monsieur bonjour. Vous postulez je suppose pour l’un des 2 postes vacants ?
To-Tjenen fait oui oui de la tête.
- FEMME : Lequel monsieur ?
To-Tjenen réfléchit un instant et se décide.
- TO-TJENEN : C’est le poste d’aide aux cuisines qui m’intéresse.
- FEMME : Où avez-vous travaillé avant ? Avez-vous des diplômes, des références ?
- TO-TJENEN : Oh, j’ai travaillé il y a bien longtemps dans les cuisines du roi Djeser.
- FEMME (l’air songeuse) : Je ne connais pas ce roi ! Et qu’avez-vous fait entre temps ?
- TO-TJENEN : Oh, j’ai aidé beaucoup de monde !
- FEMME : Vous pouvez me montrer vos références ?
- TO-TJENEN : Elles sont tellement nombreuses qu’elles ne tiendraient pas dans votre bureau, et même dans votre hôpital !
- FEMME : Oui, oui monsieur ! Mais je ne peux pas vous mettre à l’essai sur le poste que vous demandez selon votre bonne mine !
Alors To-Tjenen se met à émettre avec sa voix un son grave, qui a pour effet « d’hypnotiser » la femme.
- FEMME : Bon vous ferez l’affaire comme aide aux cuisines, c’est cela que vous avez demandé ?
To-Tjenen fait oui, oui de la tête. La femme lui tend un papier et lui demande :
- FEMME : Signez ici !
Suite d’un projet de long métrage.
Précédemment Vladimir et Marilyn jouent les funambules entre des immeubles pour tenter de semer les trois Atlantes : Quesen, Cheta et Ahat. Au pied d’un immeuble par chance les deux fuyards trouvent un taxi.
SÉQUENCE 13.
De jour dans le taxi. Marilyn entreprend de faire la cour auprès de Vladimir. Elle lui passe un bras autour de la taille. Vladimir ne sait que faire, sa timidité le paralyse.
- MARILYN : Vladimir Oblakoff. Oblakoff, cela veut bien dire nuage en Russe ? J’aime les nuages, les nuages qui passent, là-bas là-bas, les merveilleux nuages !
- VLADIMIR : Ah ! c’est gentil, et on dirait du Baudelaire.
- MARILYN : Et tu sais que les nuages et le brouillard sont le prélude à des manifestations importantes !
- VLADIMIR : Merci, on a déjà eux la pluie des Atlantes.
- MARILYN : Ah je ne parle pas de cette manifestation-là, je parle de toi. Tu es beau comme un nuage ! beau comme un nu-ange.
Timidement Vladimir met une main sur la cuisse de Marilyn, qui prend cette main et l’emmène sur son ventre, (Vladimir se laisse faire) puis sur ses seins. Il lui donne enfin un baiser rapide.
- MARILYN : Que veux-tu ?
- VLADIMIR : Je ne sais pas, seulement prendre le temps de te regarder, te sentir près de moi.
- MARILYN : Attendre. Quel bonheur d’attendre quelque chose, et l’accomplissement d’un désir ne correspond jamais à l’exquise douceur de l’attente.
- VLADIMIR : Tu veux dire que tu risques d’être déçu, comme le plaisir que l’on cherche et que l’on ne peut jamais atteindre ici-bas ?
- MARILYN : Ah oui, il y a un peu de ça !
- LE CHAUFFEUR : Où je vous dépose ?
- MARILYN : Sur un nuage !
Suite d’un projet de long métrage.
Sur la plage en Atlantide, To-Tjenen accompagné de Vladimir, Marilyn, Christophe et Marc, rejoint par la nouvelle équipe Eric, Ellen et Danny.
Sur une plage, 8 cristaux s’avancent lentement et s’arrêtent par instants. Ils laissent sur le sable un léger sillon. Tout proche de là est posé sur un socle de pierre le petit émetteur de fréquence « créatrice de vie » (des cristaux enchâssés dans une petite boîte de métal argenté avec une curieuse antenne).
Pleasantry 4
Suite dans ce monde de
la FUMISTERIE.
La Main-Mise de l’ego
ou prise de possession
commençant par les
empruntes de mains dans
des grottes « préhistoriques »
(on marque son « chez-soi »).
Sol-I-Terre et
en con-naître un rayon
avec perte de l’É-mission.
Dans la précédente partie, To-Tjenen et Vladimir Oblakoff sont dans une grande serre, quand Vladimir provoque un accident en cassant une vitre et un bout de ferraille dans le dôme. Toutes les langues du monde viennent d’être mélangées par des Atlantes joueurs et perturbés.
SÉQUENCE 8.
De jour dans la grande salle de lecture d’une grande bibliothèque. 6 personnes sont assises devant des tables sur lesquelles sont posées de petites lampes, elles consultent fébrilement des piles de dictionnaires. Tous les livres sont épais, et un œil descriptif permet de découvrir les titres des ouvrages. À une autre table, un peu à l’écart, Marc avec à ses côtés Christophe et Marilyn essayent de lire un livre ancien en caractères bizarres (puisqu’il y a mélange des langues). Seuls les dessins et les symboles semblent compréhensifs à Marc.
- MARC : YA NIPONIMAYOU ? (je ne comprends pas).
- MARILYN : C’est pas grave !
- CHRISTOPHE (tout content et la désignant) : TI PAPI, TI PIPA, TITI ET GROS… Tu parles !
- MARILYN : ça doit être parce que je suis une femme !
- CHRISTOPHE : KAKATU ALORS !
- MARC : TI POUVOIR ASK FOR ME HELIOPOLIS BOOK.
Marilyn se lève et se dirige vers un employé, et elle lui écris en gros sur un papier : HÉLIOPOLIS BOOK.
- L’EMPLOYÉ : KAK TU BOUBOUK, DA, DA.
Et Marilyn fait signe à Marc et à Christophe de venir. L’employé leur ouvre une porte épaisse.
Citation du jour
"La France n’est pas de tradition spirituelle chrétienne mais DE TRADITION DU PALÉOLITHIQUE : LE DOMAINE DES PAGANS : provinciaux des districts. Paganisme devrait bien signifier : ANCIENS CULTES DE DIVERS GROUPES DE POPULATION. Sa spiritualité sera celle du CULTE DE LA TERRE-MÈRE ou MÈRE DIVINE (Vierge Noire, Isis la Noire : l’Eau de Vie). Cette Tradition Paléolithique appartient au Christ-Soi".
La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties.
